Une femme vivant avec le syndrome de Down a prononcé un merveilleux discours pro-vie aux Nations Unies: « S’il vous plaît n’essayez pas de nous faire tous disparaître »
Charlotte Fien
Par Dorothy Cummings McLean traduit par Campagne Québec-Vie
Genève (Suisse), (LifeSiteNews) 29 mai 2017 – En mars, une femme âgée de 21 ans et vivant avec le syndrome de Down a plaidé aux Nations Unies avec passion contre les assassinats ciblés de bébés vivant avec ce syndrome.
Charlotte « Charlie » Fien a comparé le génocide croissant des bébés ayant le syndrome de Down, aux programmes d’euthanasie nazi des années 1930.
Fien a déclaré à l’instance onusienne à Genève : « Je ne suis pas souffrante; je ne suis pas malade. Aucun de mes amis ayant le syndrome de Down ne souffre non plus. Nous sommes heureux. »
Elle a ajouté : « Nous avons juste un chromosome supplémentaire. Nous sommes encore des êtres humains. Nous ne sommes pas des monstres. N’ayez pas peur de nous…S’il vous plaît n’essayez pas de nous faire tous disparaître. »
Lire la suiteRapport du Congrès : Le cerveau d’un enfant avorté souffrant du syndrome de Down vendu à 325$
LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
(16 janvier 2017) Le rapport du comité d’enquête sur la vie des enfants (un comité du congrès présidé par la Républicaine Marsha Blackburn) déborde de détails terrifiants sur l’avortement et le commerce des organes du fœtus.
Des captures d’écran faites directement à partir du rapport montrent les prix de plusieurs organes et parties du corps. En ce qui concerne la première image ci-dessous, Advanced Bioscience Resources (ABR) a acheté “quatre fœtus” à Planned Parenthood du Sud-Ouest du Pacifique (PPSOP) pour un montant de 240$; cet institut a ensuite vendu vingt “spécimen” de ces enfants avortés à 6825$. Chacun de ces enfants était âgé d’au moins 20 semaines.
Fœtus de 20 semaines. (Source)
Le rapport fournit d’autres détails selon lesquels le cerveau d’un fœtus de 19 semaines (fœtus également livré par Planned Parenthood du Sud-Ouest du Pacifique) a été vendu à 325$, “les deux jambes à 650$... le thymus et le foie à 325$ chacun.” ABR a encaissé un montant total de 1625$ après avoir vendu tous les organes sollicités.
Traduction :
Le registre d’approvisionnement fournit aussi l’heure de la livraison du fœtus et l’heure de l’expédition des spécimens par le technicien de l’ABR. ABR a réceptionné le fœtus de 20 semaines mentionné plutôt à 9 :00 am et à 1 :00 pm il a expédié les spécimens tirés du dit fœtus ainsi que de trois autres fœtus recueillis ce matin-là. En effet, pendant les quatre heures de travail fournies ce jour-là par le technicien de l’ABR à la clinique de PPSOP, il ou elle a obtenu, traité et expédié au total 20 spécimens procédant de quatre fœtus achetés. À cause de ces quatre heures de travail, ABR demande des frais de service élevés à 6825$ à ses clients pour ces spécimens. Et cela ne concerne que les frais de service liés aux spécimens; l’expédition, le dépistage des maladies, l’entretien et la réfrigération (le cas échéant) engendrent d'autres frais. En vertu de l’accord avec PPSOP, ABR leur a versé un montant de 240$ en échange de ces quatre fœtus. Le technicien de l’ABR a perçu 60$ pour les quatre heures de travail à raison de 15$ l’heure. Il en ressort donc que les dépenses faites par ABR se résument à 240$ pour PPSOP, 60$ pour le technicien et probablement une somme moins importante pour la logistique, les fournitures et la paperasse.
Ce fœtus n’était pas un cas isolé. Par exemple un jour de juin 2014, la clinique de PPSOP livra à ABR un fœtus de 19 semaines. ABR vendit son cerveau à un client pour 325$; il fit de même pour les jambes à un autre client pour 650$; le foie et le thymus furent cédés à un troisième client pour 325$ chacun. Après avoir payé 60$ pour avoir le fœtus, ABR obtint au total 1625$ pour les frais de service liés aux spécimens provenant du fœtus.
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Rapport: Des docteurs ont tué un nouveau-né ayant le syndrome de Down
Par Sarah Terzo (LiveActionNews) - traduit par Campagne Québec-Vie
Dans un rapport du Centre Européen pour la Loi et la Justice appelé ''Avortement en fin de grossesse et infanticide néonatal en Europe,'' une docteure donne un témoignage vécu d'infanticide.
La docteure, identifiée comme Mme D.F., a été appelée dans une salle et on lui a demandé son opinion à propos d'un bébé qui venait de naître. A cette époque, elle était interne en pédiatrie dans un hôpital achalandé:
Lire la suiteLe pédiatre senior de garde m'a appelée et me demanda de le rejoindre dans la salle de réanimation néonatale adjacente aux salles d'accouchement. Un enfant nouveau-né y était intubé et ventilé. L'enfant présentait de multiples symptômes d'un enfant atteint du syndrome de Down (aucun de ces signes n'avaient été détectés lors des ultrasons prénataux). Mon patron me demanda de lui dire ce que je pensais des particularités de ce bébé. Après ma réponse, il demanda à l'anesthésiste présent si on avait des restes de produit d'épidurale de la mère, ce qui était le cas. Il le prit et en injecta à l'enfant qui mourut tout seul en une ou deux minutes. Au moment où l'enfant étendu mourait, les deux docteurs parlaient, sans aucune gêne ni égard pour ce bébé. Quant aux parents, ils furent informés de l'état de santé de leur enfant après sa mort!
Une mère rédige une lettre au médecin qui lui a conseillé d'avorter son bébé atteint du syndrome de Down
Par Nancy Flanders de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Courtney Baker était terrifiée quand elle est allée chez un spécialiste pendant sa grossesse pour confirmer que sa fille avait le syndrome de Down; mais ses craintes se sont transformées en tristesse et colère, lorsqu'elle a entendu le médecin lui conseiller d'avorter sa fille qu'elle avait déjà nommée.
Courtney a refusé l'avortement, et maintenant, plus d'un an après, elle a envoyé une lettre à ce médecin, et l‘a partagé sur internet.
Dans sa lettre très sincère, Courtney Baker écrit au médecin:
Lire la suite«Dès ma première visite, nous redoutions nos rendez-vous. Le moment le plus difficile de ma vie a été rendu presque insupportable parce que vous ne m'avez jamais dit la vérité.
Mon enfant était parfait.»
Des parents rejettent l'avortement, font le choix de la vie pour leur fils atteint du syndrome de Down
Par Nancy Flanders de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Enceinte de quinze semaines, Claire Martin et son mari Benjamin s'attendaient à un ultrason de routine de leur bébé garçon. Au lieu de cela, le docteur les secoua en leur annonçant que leur garçon avait le syndrome de Down.
''Mon docteur fut merveilleux. Il était très factuel, laissant les émotions de côté il a dit: ''Votre bébé a le syndrome de Down'' alors que mon mari et moi pleurions tous les deux,'' dit Martin au Daily Mail.
Le docteur les avisa d'aller à la maison et de discuter du diagnostic avec famille et amis et de décider d'avorter le bébé ou non.
''J'ai trouvé que les gens qui m'ont fait le plus de peine, sans intention de leur part, étaient parfois les plus proches,'' a dit Martin. ''J'ai dit à toute ma famille que j'étais enceinte d'un bébé ayant le syndrome de Down et ils me disaient, ''Je suis vraiment peiné'' et pleuraient et me serraient dans leurs bras. J'ai même eu une personne pour me dire: ''Si c'était un chien, que ferais-tu?''
Lire la suiteLa lettre d’un père à sa fille trisomique, à l’occasion de son mariage, devient célèbre
Par Kristi Burton Brown de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
L’émission TODAY Show a suscité une grande émotion avec la photo publiée sur sa page Facebook le 14 avril. On voit sur la photo Ryan et Jillian, le jour de leur mariage avec leurs parents. Ryan et Jillian – qui souriait d’un éternel sourire de jeune mariée heureuse – souffrent tous les deux du Syndrome de Down.
Paul, le père de Jillian, a fait part de la lettre écrite à sa fille, et TODAY l’a envoyée au monde entier. Le message a déjà reçu plus de 50 000 réactions, 5 700 partages et 2 000 commentaires – beaucoup de commentaires de parents célébrant les réussites et la beauté intrinsèque de leurs propres enfants ayant le Syndrome de Down.
Voici un passage de la lettre de Paul :
Lire la suite“Chère Jillian, j’ignore les difficultés que doit affronter une femme souffrant du Syndrome de Down pour épouser l’amour de sa vie. Tout ce que je sais, c’est que tu les as surmontées…Nous ne pouvions pas amener les autres enfants à t’aimer, à t’accepter, à se lier d’amitié avec toi, à te soutenir sur le plan social. Nous pensions : “À quoi sert la vie d’un enfant si elle n’est pas faite de soirées pyjamas, de fêtes d’anniversaires et des bals de finissants?”. Je me faisais alors des soucis pour toi. Au plus profond de moi, j’ai pleuré cette nuit où tu es descendue me dire : “je n’ai pas d’amis.” Tu avais 12 ans. Tu es très naturelle lorsqu’il s’agit de socialiser. À l’école primaire, on t’avait surnommée la Mairesse à cause de ton habilité à t’intéresser à tous. Tu faisais partie de l’équipe de danse junior du collège. Tu as fait 4 ans de collège et tu fis forte impression sur toute personne rencontrée. Jills, te souviens-tu de toutes les choses que tu étais supposée ne jamais faire? Conduire un engin à deux roues ou faire du sport. Tu n’irais pas au collège. Tu ne te marierais certainement pas. Regarde-toi maintenant. Tu es la personne la plus charmante que je connaisse. Quelqu’une capable de mener une vie d’empathie et de sympathie, sans hypocrisie, est une personne que tous veulent rencontrer. …Il y a dix ans, lorsqu’un jeune homme en costume portant un bouquet d’orchidées cymbidium, frappa à notre porte et dit : “Monsieur, je viens chercher votre fille pour l’amener à la fête,” toutes les peurs que j’avais nourries sur la possibilité d’une vie incomplète pour toi s’évanouirent. Aujourd’hui, Ryan et toi, vous empruntez un nouveau chemin ensemble.” (Source : Paul Daugherty via The Mighty)
Une loi en Indiana interdit les avortements sélectifs reliés à la Trisomie 21
Par Calvin Freiburger de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Ce mercredi, le Parlement de l’Indiana a voté à 60 contre 40 pour passer une loi visant à bannir les avortements sélectifs de bébés ayant une anormalité génétique, comme la Trisomie 21. “Ces enfants à naitre sont de l’Indiana et ont des droits constitutionnels,” a affirmé le président du Parlement Brian Bosma en approuvant ce projet de loi. “Nous ne prenons pas une décision au sujet de la santé de la femme. Nous essayons de protéger le droit des enfants à naitre puisqu’ils ne peuvent pas parler pour eux-mêmes.”
Avec cette loi en vigueur, un avorteur pourrait être poursuivi pour mort injustifiée s’il avortait un enfant avec une telle condition. Également, elle oblige les avorteurs à incinérer ou enterrer les enfants à naitre décédés et considère le trafic de parties du corps d’enfants avortés comme un crime.
Lire la suiteUne sénatrice pro-vie de l’Indiana soumet un projet de loi pour interdire les avortements basés sur le syndrome de Down
Par Micaiah Bilger de LifeNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Une sénatrice pro-vie de l'Indiana va de l'avant avec un projet de loi pour protéger les enfants à naître contre la discrimination en raison de leur sexe ou d’un handicap.
« Ce que nous entendons des médecins est – qu’il aurait mieux fallu que vous ne naissiez pas.» rapporte la sénatrice de l’Indiana Liz Brown au sujet de la pratique de l'avortement discriminatoire. «Si vous naissez, nous vous aimerons et nous pensons que vous avez les mêmes droits et devrez être un membre de la société. En fait, nous avons des Américains avec des handicaps et nous devons faire des accommodements. Mais nous ne voulons pas nous accommoder avant votre naissance, en fait, ce serait vraiment préférable que vous ne veniez pas au monde. "
Indy Star rapportait que Madame Brown a co-écrit avec le sénateur Travis Holdman un projet de loi qui interdirait les avortements fondés sur le sexe ou sur le diagnostic d'un handicap du bébé à naître en Indiana. Le projet de loi du Sénat 313 échoua lors d’un vote du comité du Sénat de l’Indiana à 7 contre 4 mais il passera devant le Sénat au complet pour un vote.
Lire la suiteAprès avoir subi des pressions afin d’avorter son bébé, une mère se bat pour mettre un terme à la discrimination
Par Nancy Flanders de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Rachel Mullen se bat inlassablement pour le droit à la vie des enfants qui reçoivent un diagnostic prénatal du syndrome de Down. Elle sait, pour l’avoir expérimenté, que les bébés à naître atteints de cette condition subissent de la discrimination et sont ciblés afin qu’un terme soit mis à leurs jours simplement parce qu’ils existent. Mme Mullen habite en Ohio, où un projet de loi a été proposé visant à bannir l’avortement dans les cas d’un syndrome de Down. Ce projet de loi est en jeu ainsi que d’innombrables vies.
90% des enfants qui reçoivent un diagnostic prénatal du syndrome de Down sont avortés. Mme Mullen a compris pourquoi ce chiffre est si élevé après avoir reçu l’appel téléphonique qui lui annonçait que son enfant à naître était tout probablement atteint du syndrome de Down. Dans un article pour le journal The Federalist elle écrit :
Mon dossier a été transféré vraisemblablement immédiatement au département de suivi de Grossesse à Risque. La première chose que j’ai déclarée à ce médecin était que je n’avorterais jamais mon enfant et que je ne voulais même pas qu’elle me le propose. Soit qu’elle a pris mon affirmation pour un défi à relever et à gagner ou bien, mes désirs lui importaient peu.
Ce médecin n’avait rien de positif à dire à propos de mon enfant. D’une manière autoritaire, elle m’a dit que si j’aimais vraiment mon enfant, je me ferais avorter parce que c’est un acte de compassion, une décision qui priorise l’enfant.
Lire la suiteTrouvé dans un sac de poubelle, Eddie est aujourd’hui une source de joie extraordinaire pour sa famille adoptive
Par Nancy Flanders de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
«Maman, où toi ?» crie Eddie, durant l’entrevue que donne sa mère en vue d’un documentaire sur son adoption. Une très belle histoire même si elle débute de façon tragique.
Eddie est né en Équateur mais fut immédiatement jeté aux vidanges. Un menuisier qui sortait de son atelier remarqua que quelque chose bougeait dans un sac de poubelle déposé tout près de la benne à ordures. L’ayant ouvert, il y découvrit un petit bébé atteint du syndrome de Down (trisomie 21). C’est un policier qui apporta le bébé à un orphelinat consacré aux enfants avec besoins spéciaux ; par la suite, on lui donna le prénom du policier en question, Eddie.
Quelques mois plus tard, Rachel et Jim Van Eerden ainsi que leurs deux aînés (d’une famille de 10) vinrent en Équateur en mission humanitaire. La veille de leur départ les trouva à l’orphelinat en question.
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