Un nourrisson ayant survécu à l’avortement laissé à mourir en criant pendant une heure
Extrait d’un article de LiveActionNews, par Cassy Fiano-Chesser — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : PxHere
L’industrie de l’avortement ne veut pas admettre que les bébés peuvent survivre à l’avortement. Elle appelle ça un mythe et prétend que ça n’arrive pas, mais c’est le cas. Et ce qui arrive aux bébés survivant à un avortement est effrayant. Trop souvent, on laisse les bébés mourir, sans réconfort ni compassion, mais seuls, dans le froid et la douleur. C’est exactement ce qui s'est passé en Pologne, où un bébé atteint du trisomie 21 a été victime d’un avortement raté, puis a été laissé à mourir, pleurant pendant près d’une heure alors que les médecins ne faisaient rien.
Lire la suiteLes médecins et le personnel médical de l’Hôpital Sainte-Famille de Varsovie, en Pologne, ont laissé un enfant mourir après un avortement raté, d’après les médias locaux qui décrivent la scène horrible.
Le bébé est né le 7 mars 2016 à 24 semaines, après l’échec d’un avortement. L’enfant a pleuré et crié pendant une heure avant de mourir, selon des témoins, comme l’a rapporté Republika Television.
Le personnel médical n’essaya pas d’aider l’enfant de quelque façon que ce fût.
La Chambre des représentants du Kentucky adopte une loi interdisant l’avortement des bébés trisomiques
Par Calvin Freiburger — traduit par Campagne Québec-Vie
Frankfort, 27 février 2019 (LifeSiteNews) — Suite à l’avancement de multiples propositions pro-vie, la Chambre des représentants du Kentucky a voté cette semaine en faveur de l’adoption d’un projet de loi qui interdirait les avortements motivés par la discrimination contre certaines caractéristiques de l’enfant à naître.
Présenté par la députée républicaine Melinda Gibbons Prunty, le House Bill 5 interdirait tout avortement demandé en raison de la race, du sexe, de la couleur, de l’origine nationale ou du handicap du bébé. Les avorteurs seraient tenus de certifier qu’ils n’étaient pas au courant d’un tel motif avant d’avorter. Les contrevenants seraient coupables d’un crime de Class D (passible d’une peine d’emprisonnement de un à cinq ans), verraient leur permis médical révoqué ou suspendu, et pourraient être tenus passibles de poursuites pour dommages civils.
Mardi, la Chambre contrôlée par les républicains a voté par 67 voix contre 25 pour approuver le projet de loi HB5 et l’envoyer au Sénat, rapporte Kentucky Today.
« Il y a 15 clauses qui protègent le caractère sacré de la vie et des droits civils », a soutenu M. Prunty au cours d’un long débat en séance. « Ce projet de loi étendrait ces mêmes droits à l’enfant à naître, dès le moment de la conception. Exiger le droit d’éteindre ou d’éliminer la vie d’un enfant à naître, notamment en raison de son sexe, de sa race ou d’un éventuel handicap physique ou mental, rappelle la philosophie sociale malfaisante de l’eugénisme. »
Lire la suiteUn test de dépistage prénatal peu fiable
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Le DPNI est un test de dépistage prénatal qui consiste en l’analyse de prises du sang de la mère, qui contient des traces d’ADN de son enfant à naître. Une mère, désireuse de connaître l’état de son enfant se fit dire que le test indiquait qu’il y avait moins d’une chance sur 1000 que le bébé pût avoir la trisomie 21, une chance très infime somme toute. Sa fille naquit trisomique. La mère poursuit donc la compagnie détentrice du test pour la non-fiabilité de celui-ci. Il est vrai que si une personne se fie à ce test pour connaître la santé de son enfant à naître, ce test pourrait très bien après tout indiquer que l’enfant a la trisomie alors qu’il ne l’a pas, et si la réponse de cette femme à cette maladie est l’avortement… Très nombreux sont les enfants porteurs d’un handicap même pas mortel se faisant avorter pour leurs malformations. Extrait de Gènéthique :
La mère d’une petite fille de deux ans, porteuse de trisomie 21, a intenté un procès le mois dernier auprès de la Cour supérieure du comté de San Mateo en Californie, contre la société de biotechnologie Natera. Nicole Stremlau remet en cause la fiabilité et l’exactitude de leur test de dépistage prénatal non invasif, dont les résultats se sont trouvés erronés pour son propre enfant.
Selon la brochure, le test Panorama de Natera est conçu pour dépister les anomalies génétiques, identifier le sexe du bébé. Il peut être réalisé dès neuf semaines de grossesse sans risque de fausse couche, à partir d’un échantillon de sang de la mère qui contient naturellement des informations génétiques provenant du placenta. Le test, pratiqué par Nicole Stremlau, avait conclu que le risque pour le bébé d’être porteur de trisomie 21 était minimal, moins d’une chance sur 1000.
L’histoire de Tim : un survivant de l’avortement ayant vécu 21 belles années
Tim, le « bébé d’Oldenburg ».
Par Jonathon Van Maren — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : www.tim-lebt.de
14 janvier 2019 (LifeSiteNews) — C’est par une triste ironie que j’ai aperçu un titre d’article dans l’Irish Times, un journal qui a mené la charge médiatique pour l’avortement légal en Irlande : German man who survived abortion dies at aged 21 (un Allemand ayant survécu à un avortement décède à l’âge de 21 ans).
« Tim n’était pas censé naître, et il ne devait certainement pas vivre. L’homme qui a survécu à un avortement tardif raté en 1997 est mort à l’âge de 21 ans », écrit Derek Scally dans son article du 9 janvier.
Il faut considérer le langage utilisé dans l’article, lequel a été publié dans un journal qui a encouragé la légalisation de l’avortement. On mentionne des termes comme « Survécu », « Avortement tardif raté », « N’était pas censé naître ». Il est clair que l’auteur considère certains faits comme évidents : un avorteur allait tuer Tim (qui est devenu connu comme étant « le bébé d’Oldenburg »), mais il a échoué et c’est pourquoi Tim a survécu. Son existence était basée sur un échec médical.
À 20 semaines de gestation, le petit Tim a reçu un diagnostic de trisomie 21 et sa mère prit la décision de se faire avorter. Cependant, en Allemagne, l’avortement est interdit par la loi après 13 semaines de gestation à la seule exception où la mère mentionne que sa santé physique ou psychologique est gravement menacée par la grossesse. Pour être admissible, la mère de Tim menaça de se suicider à moins qu’on la laisse se faire avorter, et c’est ainsi que l’on planifia une intervention tardive.
Lire la suite« Ma vie est belle même avec la trisomie 21 »
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : capture d'écran de la vidéo de la Marche Pour la vie
Ce sont les paroles qu’un jeune Français porteur de la trisomie 21 prononça dans un discours donné lors de la Marche pour la Vie de Paris, le 20 janvier 2019.
Vidéo trouvée sur le Salon beige :
« On ne nous donnait aucun espoir », une mère décrit les pressions faites pour qu’elle avorte sa fille trisomique
Josee Kelly.
Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
À travers le monde, les gens atteints de trisomie 21 sont de plus en plus en danger à cause des pressions exercées sur les parents afin d’avorter tout enfant à naître ayant reçu le diagnostic prénatal. Il y a cependant un mouvement qui lutte dans le sens inverse, notamment la communauté trisomique. Des militants ainsi que leurs proches proclament la valeur inhérente des personnes atteintes de trisomie 21.
Joelle Kelly, une mère australienne, a donné naissance à sa fille, Josee, après que celle-ci eut été diagnostiquée comme ayant la trisomie 21. Dans une publication sur Facebook, elle a dit que tout au long de la grossesse, on a fait pression sur elle à plusieurs reprises pour qu’elle avorte.
« On nous a dit lors du test de dépistage à la 12e semaine que plus de tests devraient être faits pour prendre une décision quant à la grossesse. Tout a commencé là. On ne nous donnait aucun espoir qu’elle puisse survivre jusqu’à 13 semaines. On nous a dit qu’elle souffrait d’insuffisance cardiaque, que son cœur était plein de liquides. Ils ont dit que ça serait mieux de mettre un terme à la grossesse. »
Lire la suiteUne famille étonnante proclame que sa fille trisomique lui « a appris à aimer »
La famille Cox.
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Dans un essai pour Love What Matters, Kecia Cox, mère de sept enfants, raconte la voie unique et merveilleuse qu’elle et son mari Kristopher ont suivie pour fonder leur famille. Passant par des fausses couches dévastatrices et un diagnostic de trisomie 21, le couple a eu sa part de joies et de douleurs en accueillant ses six filles et un fils.
À 27 ans, Mme Cox et son mari ont eu deux filles et passés par deux fausses couches, lorsqu’ils ont appris qu’ils attendaient leur troisième fille. Bébé Bree est née par césarienne, mais elle a été rapidement emmenée à la pouponnière pour recevoir de l’oxygène. Bientôt, le médecin révéla qu’il croyait que Bree avait la trisomie 21.
« J’avais l’impression que tout mon monde s’était arrêté », écrit Mme Cox. « J’avais l’impression que le temps s’arrêtait et je regardais mon mari, sous le choc qu’apportaient ces mots. “Nous pensons que votre bébé a la trisomie 21. Ça doit être un rêve, ça ne peut pas m’arriver à moi, qu’est-ce que cela signifierait pour notre famille ? Qu’est-ce que cela signifierait pour notre petite fille ?” »
Il n’a pas fallu longtemps à Bree pour rassurer sa mère par le toucher de sa main que tout irait bien. Mme Cox a réalisé à quel point sa petite fille était une bénédiction et elle a compris que Bree était destinée à toucher la vie des gens qui l’entouraient. Ce qui était le plus étonnant, c’était à quel point elle allait changer ses parents, qui avaient eu tellement peur à cause de son diagnostic.
Lire la suiteGrande-Bretagne : les avortements de bébés trisomiques ont augmenté de 50 % en 10 ans
Billet de blog d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Il ne fait pas bon d’avoir un chromosome en triple exemplaire dans notre société actuelle. Extrait de Gènéthique :
En 2017, 655 bébés porteurs de trisomie ont été avortés au Royaume-Uni, soit 218 de plus qu’en 2007. Cela représente une augmentation de 50 % en dix ans, imputable principalement à l’usage du DPNI. Le DPNI est un test jugé fiable à 99 % qui ne nécessite qu’une simple prise de sang de la mère. Actuellement, il n’est disponible que dans les structures privées, mais à partir de l’année prochaine, le NHS va le proposer à toutes les femmes enceintes présentant un risque de trisomie supérieur à 1/150.
Les médecins conseillaient à une mère d’avorter son enfant qu’ils disaient être potentiellement atteint de trisomie 21
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Et elle ne l’a pas avorté, il est né, sain et sauf. Le plus bête dans toute l’affaire, c’est qu’il n’avait pas la trisomie 21. Extrait de Parole de mamans :
... En Angleterre, Jordan Squires, 22 ans, était enceinte de 12 semaines lorsque ses médecins lui ont appris que son bébé était potentiellement atteint de trisomie 21.
Selon eux, son bébé possède une grande quantité de liquide située derrière la nuque, ce qui laisse présager un syndrome de Down. Ils lui préconisent alors d’avorter.
« Lorsque nous avons assisté à mon scan de 12 semaines, j’ai tout de suite compris que quelque chose n’allait pas parce que la sage-femme semblait inquiète », raconte la jeune Britannique au journal The Mirror.
Les futurs parents ont pu discuter après l’échographie avec les médecins : « Tout de suite, on m’a conseillé de mettre fin à la grossesse sans nous donner d’autres options ou du soutien », se désole-t-elle.
Refuser l’avortement
Malgré les fortes suspicions du corps médical, Jordan et son conjoint, Jonathan, refusent d’opter pour l’avortement.
[...]
Enfin est venu le moment de l’accouchement pour Jordan. Après une césarienne en urgence, la jeune femme a mis au monde Jay, un bébé non trisomique...
France : Un ordre religieux pour les femmes atteintes de trisomie 21
Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Les gens ayant la trisomie 21 ne sont pas souvent valorisés dans la société; ils sont souvent victimes de discrimination et même la cible de l’avortement. Mais un ordre religieux en France, les Petites sœurs disciples de l’Agneau, vise à offrir aux femmes trisomiques une communauté.
Les Petites Sœurs Disciples de l’Agneau
L’idée de fonder l'Ordre vint à la Mère prieure Line lorsqu'elle rencontra une jeune fille du nom de Véronique, qui avait la trisomie 21, mais avait ressenti un appel à la vie religieuse. La Mère prieure Line savait que ce serait difficile — voire impossible — pour Véronique de trouver une communauté religieuse disposée à l’accepter, aussi, la Mère prieure Line fonda l’Ordre religieux elle-même, avec l’aide du docteur Jérôme Lejeune, le scientifique catholique qui a découvert l’anomalie chromosomique causant la trisomie 21. L’Ordre fut reconnu canoniquement par l’Archevêché de Tours en 1990, et devint un institut religieux de vie contemplative en 1999. La Mère Prieure Line affirma que le but de l’Ordre était de :
Lire la suite… permettre à celle qui ont la « dernière place » dans le monde, d’avoir au sein de l’Église la place exceptionnelle d’épouses de Jésus Christ, et permettre à celle dont la vie est méprisée, et parfois mise en danger par la culture de la mort, d’être témoins par leur consécration à l’Évangile de la Vie.