Bonne nouvelle : Le Sénat d’Ohio adopte un projet de loi interdisant l’avortement des bébés atteints de trisomie 21
Un bébé trisomique.
Par Becky Yeh (LiveActionNews) — traduit par campagne Québec-Vie
Le Sénat d'Ohio a approuvé mercredi un projet de loi interdisant les avortements motivés par un diagnostic prénatal de trisomie 21. Le projet de loi 164 du Sénat, également connu sous le nom de Down Syndrome Non-Discrimination Act (loi sur la non-discrimination de la trisomie 21), a été voté par 20 à 12. Ce projet de loi protégerait les bébés à naître atteints de trisomie 21 alors qu'ils sont dans leur phase la plus vulnérable.
Les groupes favorables à la vie dans l'État de Buckeye ont applaudi cette décision, notant que la législation est un pas dans la bonne direction vers la protection de toute vie humaine.
« Nous sommes continuellement encouragés par la manière dont l'Ohio est à l'avant-garde de la protection de l'enfant à naître », a déclaré le président de l'Ohio Right to Life (Droit à la vie d’Ohio), Mike Gonidakis, dans un communiqué. « Tous les habitants d'Ohio, quel que soit leur sexe, leur couleur de peau ou leur handicap, méritent le droit de vivre leur potentiel et leur but donnés par Dieu. »
Lire la suiteUn trisomique prend la parole au Congrès américain : « Je suis un homme porteur de trisomie 21 et ma vie vaut la peine d’être vécue »
Frank Stephens — image tirée d'une vidéo de l'émission c-span.
Frank Stephens, acteur, sportif des Special Olympics et avocat a prononcé un discourt au Congrès des États-Unis, la semaine dernière, nous rapporte le site Gènéthique. Ce trisomique a porté à l'attention du Congrès qu'il vaudrait mieux allouer des fonds fédéraux à la recherche pour soigner les personnes atteintes de trisomie 21, plutôt que de faire du dépistage prénatal [qui mène souvent à l'avortement — NDLR].
Puis plus loin Frank Stephens affirme :
« A ceux qui remettent en question la valeur de la vie des personnes trisomiques, je voudrais dire... : ... une étude Harvard a montré que les personnes trisomiques et leur famille sont plus heureuses que le reste de la société ; enfin, nous donnons au monde l’occasion de réfléchir à la valeur éthique du tri entre les hommes qui ont le droit de vivre et ceux qui ne l’ont pas »
Scandaleux : Des femmes se font dire qu'il est de leur «devoir moral» d'avorter leur enfant trisomique
Petite fille trisomique.
Par Cassy Fiano (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Les personnes porteuses de trisomie 21 (ou syndrome de Down) sont souvent condamnées à mort, même dans notre monde actuel, qui est supposément plus éthique et tolérant.
Dans plus de 50 pourcent des cas, les femmes qui reçoivent un diagnostic prénatal choisissent d'avorter leur bébé à naître, dans pratiquement tous les pays où les tests prénataux sont disponibles. Bien que la communauté des personnes trisomiques dénonce les taux ahurissants d'avortement, il y a encore de l'opposition, accompagnée de mensonges, de désinformation et de coercition.
Il y en a même qui prétendent que nous avons l'obligation morale de condamner la trisomie à mort.
Plus tôt cette année, un scandale international a éclaté lorsqu'il a été révélé que l'Islande avait un taux d'avortement des enfants trisomiques qui frôle les 100 pourcent. Au même moment, l'Australie présentait de façon éclatante un reportage spécial à l'émission « 60 Minutes », qui vantait un nouveau test prénatal non invasif [Non-Invasive Pre-Natal Test (NIPT)]. Ce test permettrait d'« éliminer efficacement la trisomie » en Australie. Et maintenant, aux Pays-Bas, les femmes se font dire qu'elles ont le devoir moral d'avorter leur enfant trisomique.
Lire la suiteUn jeune trisomique montre la valeur de toutes vies en sauvant un enfant de la noyade
Valerio Catioa a été honoré du titre de « champion de la solidarité d'Italie »
Par Mark Hodges (LifeSiteNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Lazio, Italie, 25 août 2017 — Un garçon de 17 ans, ayant la trisomie 21, est devenu un héros en Italie en sauvant une petite fille de la noyade.
Valerio Catioa et sa famille était en vacances à la plage de Saubadia, le 12 juillet, quand deux demoiselles, respectivement âgées de 10 et 14 ans étaient littéralement emportées, par un retour de vague, vers la mer. Elles ne pouvaient résister à la force du courant qui les poussait toujours plus loin de seconde en seconde. Elles crièrent à l’aide.
« La plus petite commença à couler puis reparut à la surface, » rapporte le Republic. Valerio « instinctivement » se jeta à l’eau à son secours sur-le-champ.
Le père de Valerio entendit aussi le cri des filles et entra immédiatement en action. Devant les maîtres-nageurs qui essayaient d’aider, les deux héros atteignirent les deux filles qui se débattaient pour rester à la surface.
Pendant que le père assistait la plus vieille, Valerio rejoignit la plus jeune, la maintint hors de l’eau et la ramena saine et sauve au rivage.
Lire la suiteUne femme vivant avec le syndrome de Down a prononcé un merveilleux discours pro-vie aux Nations Unies: « S’il vous plaît n’essayez pas de nous faire tous disparaître »
Charlotte Fien
Par Dorothy Cummings McLean traduit par Campagne Québec-Vie
Genève (Suisse), (LifeSiteNews) 29 mai 2017 – En mars, une femme âgée de 21 ans et vivant avec le syndrome de Down a plaidé aux Nations Unies avec passion contre les assassinats ciblés de bébés vivant avec ce syndrome.
Charlotte « Charlie » Fien a comparé le génocide croissant des bébés ayant le syndrome de Down, aux programmes d’euthanasie nazi des années 1930.
Fien a déclaré à l’instance onusienne à Genève : « Je ne suis pas souffrante; je ne suis pas malade. Aucun de mes amis ayant le syndrome de Down ne souffre non plus. Nous sommes heureux. »
Elle a ajouté : « Nous avons juste un chromosome supplémentaire. Nous sommes encore des êtres humains. Nous ne sommes pas des monstres. N’ayez pas peur de nous…S’il vous plaît n’essayez pas de nous faire tous disparaître. »
Lire la suiteRapport du Congrès : Le cerveau d’un enfant avorté souffrant du syndrome de Down vendu à 325$
LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
(16 janvier 2017) Le rapport du comité d’enquête sur la vie des enfants (un comité du congrès présidé par la Républicaine Marsha Blackburn) déborde de détails terrifiants sur l’avortement et le commerce des organes du fœtus.
Des captures d’écran faites directement à partir du rapport montrent les prix de plusieurs organes et parties du corps. En ce qui concerne la première image ci-dessous, Advanced Bioscience Resources (ABR) a acheté “quatre fœtus” à Planned Parenthood du Sud-Ouest du Pacifique (PPSOP) pour un montant de 240$; cet institut a ensuite vendu vingt “spécimen” de ces enfants avortés à 6825$. Chacun de ces enfants était âgé d’au moins 20 semaines.
Fœtus de 20 semaines. (Source)
Le rapport fournit d’autres détails selon lesquels le cerveau d’un fœtus de 19 semaines (fœtus également livré par Planned Parenthood du Sud-Ouest du Pacifique) a été vendu à 325$, “les deux jambes à 650$... le thymus et le foie à 325$ chacun.” ABR a encaissé un montant total de 1625$ après avoir vendu tous les organes sollicités.
Traduction :
Le registre d’approvisionnement fournit aussi l’heure de la livraison du fœtus et l’heure de l’expédition des spécimens par le technicien de l’ABR. ABR a réceptionné le fœtus de 20 semaines mentionné plutôt à 9 :00 am et à 1 :00 pm il a expédié les spécimens tirés du dit fœtus ainsi que de trois autres fœtus recueillis ce matin-là. En effet, pendant les quatre heures de travail fournies ce jour-là par le technicien de l’ABR à la clinique de PPSOP, il ou elle a obtenu, traité et expédié au total 20 spécimens procédant de quatre fœtus achetés. À cause de ces quatre heures de travail, ABR demande des frais de service élevés à 6825$ à ses clients pour ces spécimens. Et cela ne concerne que les frais de service liés aux spécimens; l’expédition, le dépistage des maladies, l’entretien et la réfrigération (le cas échéant) engendrent d'autres frais. En vertu de l’accord avec PPSOP, ABR leur a versé un montant de 240$ en échange de ces quatre fœtus. Le technicien de l’ABR a perçu 60$ pour les quatre heures de travail à raison de 15$ l’heure. Il en ressort donc que les dépenses faites par ABR se résument à 240$ pour PPSOP, 60$ pour le technicien et probablement une somme moins importante pour la logistique, les fournitures et la paperasse.
Ce fœtus n’était pas un cas isolé. Par exemple un jour de juin 2014, la clinique de PPSOP livra à ABR un fœtus de 19 semaines. ABR vendit son cerveau à un client pour 325$; il fit de même pour les jambes à un autre client pour 650$; le foie et le thymus furent cédés à un troisième client pour 325$ chacun. Après avoir payé 60$ pour avoir le fœtus, ABR obtint au total 1625$ pour les frais de service liés aux spécimens provenant du fœtus.
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Rapport: Des docteurs ont tué un nouveau-né ayant le syndrome de Down
Par Sarah Terzo (LiveActionNews) - traduit par Campagne Québec-Vie
Dans un rapport du Centre Européen pour la Loi et la Justice appelé ''Avortement en fin de grossesse et infanticide néonatal en Europe,'' une docteure donne un témoignage vécu d'infanticide.
La docteure, identifiée comme Mme D.F., a été appelée dans une salle et on lui a demandé son opinion à propos d'un bébé qui venait de naître. A cette époque, elle était interne en pédiatrie dans un hôpital achalandé:
Lire la suiteLe pédiatre senior de garde m'a appelée et me demanda de le rejoindre dans la salle de réanimation néonatale adjacente aux salles d'accouchement. Un enfant nouveau-né y était intubé et ventilé. L'enfant présentait de multiples symptômes d'un enfant atteint du syndrome de Down (aucun de ces signes n'avaient été détectés lors des ultrasons prénataux). Mon patron me demanda de lui dire ce que je pensais des particularités de ce bébé. Après ma réponse, il demanda à l'anesthésiste présent si on avait des restes de produit d'épidurale de la mère, ce qui était le cas. Il le prit et en injecta à l'enfant qui mourut tout seul en une ou deux minutes. Au moment où l'enfant étendu mourait, les deux docteurs parlaient, sans aucune gêne ni égard pour ce bébé. Quant aux parents, ils furent informés de l'état de santé de leur enfant après sa mort!
Une mère rédige une lettre au médecin qui lui a conseillé d'avorter son bébé atteint du syndrome de Down
Par Nancy Flanders de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Courtney Baker était terrifiée quand elle est allée chez un spécialiste pendant sa grossesse pour confirmer que sa fille avait le syndrome de Down; mais ses craintes se sont transformées en tristesse et colère, lorsqu'elle a entendu le médecin lui conseiller d'avorter sa fille qu'elle avait déjà nommée.
Courtney a refusé l'avortement, et maintenant, plus d'un an après, elle a envoyé une lettre à ce médecin, et l‘a partagé sur internet.
Dans sa lettre très sincère, Courtney Baker écrit au médecin:
Lire la suite«Dès ma première visite, nous redoutions nos rendez-vous. Le moment le plus difficile de ma vie a été rendu presque insupportable parce que vous ne m'avez jamais dit la vérité.
Mon enfant était parfait.»
Des parents rejettent l'avortement, font le choix de la vie pour leur fils atteint du syndrome de Down
Par Nancy Flanders de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Enceinte de quinze semaines, Claire Martin et son mari Benjamin s'attendaient à un ultrason de routine de leur bébé garçon. Au lieu de cela, le docteur les secoua en leur annonçant que leur garçon avait le syndrome de Down.
''Mon docteur fut merveilleux. Il était très factuel, laissant les émotions de côté il a dit: ''Votre bébé a le syndrome de Down'' alors que mon mari et moi pleurions tous les deux,'' dit Martin au Daily Mail.
Le docteur les avisa d'aller à la maison et de discuter du diagnostic avec famille et amis et de décider d'avorter le bébé ou non.
''J'ai trouvé que les gens qui m'ont fait le plus de peine, sans intention de leur part, étaient parfois les plus proches,'' a dit Martin. ''J'ai dit à toute ma famille que j'étais enceinte d'un bébé ayant le syndrome de Down et ils me disaient, ''Je suis vraiment peiné'' et pleuraient et me serraient dans leurs bras. J'ai même eu une personne pour me dire: ''Si c'était un chien, que ferais-tu?''
Lire la suiteLa lettre d’un père à sa fille trisomique, à l’occasion de son mariage, devient célèbre
Par Kristi Burton Brown de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
L’émission TODAY Show a suscité une grande émotion avec la photo publiée sur sa page Facebook le 14 avril. On voit sur la photo Ryan et Jillian, le jour de leur mariage avec leurs parents. Ryan et Jillian – qui souriait d’un éternel sourire de jeune mariée heureuse – souffrent tous les deux du Syndrome de Down.
Paul, le père de Jillian, a fait part de la lettre écrite à sa fille, et TODAY l’a envoyée au monde entier. Le message a déjà reçu plus de 50 000 réactions, 5 700 partages et 2 000 commentaires – beaucoup de commentaires de parents célébrant les réussites et la beauté intrinsèque de leurs propres enfants ayant le Syndrome de Down.
Voici un passage de la lettre de Paul :
Lire la suite“Chère Jillian, j’ignore les difficultés que doit affronter une femme souffrant du Syndrome de Down pour épouser l’amour de sa vie. Tout ce que je sais, c’est que tu les as surmontées…Nous ne pouvions pas amener les autres enfants à t’aimer, à t’accepter, à se lier d’amitié avec toi, à te soutenir sur le plan social. Nous pensions : “À quoi sert la vie d’un enfant si elle n’est pas faite de soirées pyjamas, de fêtes d’anniversaires et des bals de finissants?”. Je me faisais alors des soucis pour toi. Au plus profond de moi, j’ai pleuré cette nuit où tu es descendue me dire : “je n’ai pas d’amis.” Tu avais 12 ans. Tu es très naturelle lorsqu’il s’agit de socialiser. À l’école primaire, on t’avait surnommée la Mairesse à cause de ton habilité à t’intéresser à tous. Tu faisais partie de l’équipe de danse junior du collège. Tu as fait 4 ans de collège et tu fis forte impression sur toute personne rencontrée. Jills, te souviens-tu de toutes les choses que tu étais supposée ne jamais faire? Conduire un engin à deux roues ou faire du sport. Tu n’irais pas au collège. Tu ne te marierais certainement pas. Regarde-toi maintenant. Tu es la personne la plus charmante que je connaisse. Quelqu’une capable de mener une vie d’empathie et de sympathie, sans hypocrisie, est une personne que tous veulent rencontrer. …Il y a dix ans, lorsqu’un jeune homme en costume portant un bouquet d’orchidées cymbidium, frappa à notre porte et dit : “Monsieur, je viens chercher votre fille pour l’amener à la fête,” toutes les peurs que j’avais nourries sur la possibilité d’une vie incomplète pour toi s’évanouirent. Aujourd’hui, Ryan et toi, vous empruntez un nouveau chemin ensemble.” (Source : Paul Daugherty via The Mighty)