Un père élève seul son fils atteint de trisomie 21 après que sa femme l’eût quitté en raison du diagnostic de l’enfant
Evgeny Anisimov et son fils trisomique Misha.
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) Campagne Québec-Vie
En Russie, un homme élève seul son fils atteint de trisomie 21 après que sa femme l’eût quitté en raison du diagnostic de leur enfant.
Selon AmoMama, Evgeny Anisimov élève son fils Misha en tant que père célibataire et il travaille à faire connaître aux gens les enfants atteints de maladie. La femme d’Evgeny Anisimov aurait divorcé parce qu’elle ne voulait pas élever un enfant atteint de trisomie. Après des années de lutte pour avoir un enfant, le couple avait pourtant accueilli avec grande joie la nouvelle de la future naissance. Misha est né en août 2018 et a immédiatement été diagnostiqué trisomique. Le couple a ressenti un grand choc, et Anisimov admet qu’il a quitté l’hôpital en larmes, comme la plupart des parents lorsqu’ils apprennent que leur enfant a un problème de santé. Mais il a décidé de donner à Misha la meilleure vie possible.
Apparemment, sa femme n’était pas d’accord. Elle voulait faire adopter Misha, mais Anisimov a essayé de l’encourager à élever leur fils. Il était enfin là, le bébé qu’ils avaient tant désiré, et il n’allait pas abandonner Misha parce qu’il n’était pas le bébé prétendument parfait qu’ils avaient imaginé et attendu. Mais sa femme a demandé le divorce et les a quittés.
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Cindy, Grace et SCott Schara.
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : OurAmazingGrace.net
14 février 2022, Appleton, Wisconsin (LifeSiteNews) — Un couple du Wisconsin veut des réponses après qu’un hôpital catholique à but non lucratif eût inscrit et traité leur fille trisomique non vaccinée en tant que cas de non-réanimation sans leur consentement, avant sa mort.
Selon The Epoch Times, Grace Schara, 19 ans, a été admise à l’hôpital St. Elizabeth d’Appleton le 6 octobre 2021, cinq jours après avoir été testée positive au COVID-19. Schara était atteinte de Trisomie 21 et son père, Scott, l’a décrite comme une personne très active. L’hôpital St. Elizabeth fait partie du groupe Ascension, qui se veut « confessionnel ».
Les parents Scott et Cindy Schara affirment que, dès le début, le personnel de l’hôpital a critiqué le rejet par la famille des vaccins COVID-19 et son acceptation des protocoles de traitement précoce recommandés par le groupe America’s Frontline Doctors. Ils se sont également opposés aux efforts finalement couronnés de succès de Scott et Jessica (la sœur de Grace) pour rester auprès de Grace en tant que défenseurs des droits des patients via l’American Disabilities Act, ainsi qu’à ceux de Scott qui a dû désactiver lui-même les alarmes dans la chambre de sa fille pour l’aider à dormir après que le personnel ait ignoré à plusieurs reprises ses demandes pour que les alarmes ne se déclenchent qu’au poste de l’infirmière.
Scott allègue que le niveau d’oxygène dans le sang de Grace a été enregistré à plusieurs reprises comme étant plus bas qu’il ne l’était en réalité, afin de tenter de justifier son placement sous respirateur. Cependant, étant donné qu’il était présent, il dit avoir pu enquêter et déterminer qu’un équipement défectueux était responsable de ces faibles valeurs.
« Ils voulaient donc que nous prenions une décision anticipée pour pouvoir mettre Grace sous respirateur quand ils le voudraient », a déclaré Scott à The Epoch Times. « Cela est significatif car c’est ce qu’ils font : ils veulent avoir cette décision de la famille dans leur poche arrière. »
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Par Anne Marie Williams - Traduit par Campagne Québec-Vie - Photo : LiveAction
11 octobre 2021 - (LiveAction) Catherine Daub et sa famille ont appris de première main ce que c’était d’avoir un enfant trisomique. Dans le numéro d’été 2021 du magazine Celebrate Life de l’American Life League, la militante pro-vie de longue date a raconté qu’elle avait appris que son huitième enfant en vie, William, avait « 99 % de chances » d’avoir la trisomie 21, ou syndrome de Down. Daub a décrit en quoi l’expérience de sa famille a différé des prédictions sombres et catastrophiques qu’elle avait lues en ligne après avoir reçu le diagnostic de William.
Ayant participé à l’activisme pro-vie au fil des ans, en 2019, Daub s’était adaptée à son rôle de directrice du « Programme d’études sur la culture de la vie » (CLSP) d’ALL, qui crée du matériel supplémentaire pour intégrer le message pro-vie dans les programmes d’études de niveau primaire et secondaire. À l’époque, elle a écrit qu’elle était « tout à fait certaine que ce [rôle CLSP] était la façon dont Dieu m’utiliserait pour aider à construire une culture de vie tout en me permettant d’être avant tout une mère et une épouse ». Et avec sept enfants vivants et neuf fausses couches, elle était également sûre que « le prochain bébé dont je m’occuperais serait un petit-enfant ».
Mais ensuite, en octobre 2019, à l’âge de quarante ans, Daub a appris qu’elle était enceinte. Plusieurs mois plus tard, Daub a reçu un appel de son médecin, s’attendant à connaître le sexe du bébé. Elle a appris qu’il était un garçon et qu’il avait « 99 % de chances d’avoir la trisomie 21 ».
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Emersyn et ses sœurs.
Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
Une petite fille atteinte de trisomie 21 est en maternelle et s’épanouit ─ prouvant ainsi que les médecins qui encourageaient ses parents à l’avorter avaient tort.
Courtney Baker était déjà mère de deux filles lorsqu’elle est devenue enceinte de sa fille Emersyn. Mais sa joie s’est vite transformée en peur après qu’un test prénatal eût révélé qu’elle et son mari, Matt, pouvaient s’attendre à ce qu’Emersyn soit atteinte de trisomie. « Nous étions sous le choc. Nous étions dévastés, mais en réalité, uniquement parce que nous ignorions tout de la trisomie 21 », a-t-elle déclaré au The Epoch Times. « Nous ne connaissions que les pires scénarios, et nous n’avions pas le moindre soutien lorsque nous avons quitté le cabinet de notre obstétricien. Nous nous sommes tous deux sentis complètement perdus. »
Mais plutôt que d’apaiser leurs craintes et de répondre à leurs questions, leur obstétricien a rapidement commencé à les orienter vers l’avortement, allant jusqu’à prendre un rendez-vous pour que le couple puisse discuter avec quelqu’un de leurs options. « Je lui ai dit qu’il n’y avait pas de discussion possible », se souvient Baker. « C’était notre enfant et nous allions l’avoir. Il a semblé surpris et a quand même pris rendez-vous pour nous. »
Lors du rendez-vous suivant, l’obstétricien a continué à faire pression sur le couple, leur donnant une « douzaine de raisons » pour lesquelles ils devaient avorter. « À ce moment-là, nous avions donné un nom à notre bébé à naître. Je lui ai dit qu’elle s’appelait Emersyn et que nous la gardions », a-t-elle déclaré. « Il nous a encore interrogés et lors des rendez-vous suivants, il est devenu presque une brute ».
Pourtant, le couple est resté fort, même face au comportement insensible du médecin. « Lors de notre dernier rendez-vous, il nous a dit qu’elle avait des pieds bots et il a gloussé », dit-elle. « Matt et moi avons quitté le cabinet en sachant que nous n’y retournerions plus ».
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Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Avoir un enfant trisomique est apparemment devenu plus difficile que jamais en Nouvelle-Zélande, car les parents subissent une pression énorme pour avorter après un diagnostic prénatal. Un nouvel article d’investigation de Stuff affirme que l’industrie médicale pousse activement les parents à choisir l’avortement.
Karen Loo a raconté son expérience à Stuff : [sa grossesse] a commencé par une grande excitation qui s’est rapidement transformée en peur lors de son échographie à 12 semaines. On y a découvert que son bébé avait un pli nucal épais ─ c’est-à-dire que le pli situé à l’arrière de son cou était épais, un signe courant de la trisomie 21.
« Ils m’ont presque brisée »
« J’étais complètement bouleversée », a-t-elle déclaré. « Mon monde venait de changer complètement. Je suis passée d’une situation brillante, optimiste et impatiente de rencontrer notre bébé ─ à, soudainement, “Oh, mon Dieu, quelque chose pourrait être radicalement mauvais” ».
Malgré ses craintes, Loo a répété à son obstétricien qu’elle ne souhaitait pas avorter, mais qu’elle voulait tout de même procéder à des tests prénataux plus nombreux. « D’emblée, il m’a dit : “À quoi bon faire le test si vous ne voulez pas avorter ? J’étais choquée”, se souvient-elle. J’ai répondu : “Parce que nous devrons peut-être nous préparer à un avenir très différent”. Mais à partir de ce moment, j’ai eu l’impression de me battre pour la vie de mon fils. »
Cette impression de se battre pour la vie de son fils s’est révélée vraie. Bien que Loo et son mari, Leon, aient reçu la confirmation du diagnostic de trisomie 21 à 14 semaines, ils étaient déterminés à choisir la vie. Pourtant, on les a continuellement poussés à accepter d’avorter, l’échographiste refusant même à un moment donné de leur donner des photos de leur enfant à naître.
Lire la suiteLa mère d’un enfant trisomique s’est fait dire d’avorter quelques semaines avant la naissance, elle a refusé
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Dans tout le Royaume-Uni, des parents racontent des histoires déchirantes de pressions exercées sur eux, presque jusqu’au moment de la naissance, pour qu’ils avortent de leur bébé à naître atteint de trisomie 21.
Tracy Seager, de Leyland en Angleterre, a raconté au Lancashire News qu’elle était presque à terme lorsqu’on lui a dit d’envisager d’avorter son fils Jacob, qui a maintenant 3 ans.
« Ce qu’ils ont dit à ce moment-là me hante encore parce que c’était un bébé entièrement formé », a déclaré Mme Seager. « Il était bien réel. »
Alors qu’elle était enceinte de 37 semaines, les médecins avaient remarqué des signes indiquant que son fils à naître pouvait être atteint de trisomie 21. Mme Seager dit qu’ils ont dressé un tableau tellement décourageant de ce que pourrait être la vie de son fils qu’ils lui ont donné le sentiment qu’elle n’aurait pas les compétences nécessaires pour prendre soin d’un enfant handicapé.
« J’ai eu l’impression que sa petite vie ne valait pas la peine d’être vécue », a-t-elle déclaré. « Ils m’avaient déjà montré un scanneur de son visage et il était complètement formé [...] Cela me bouleverse qu’on pense que mon petit garçon a une vie qui ne vaut pas la peine d’être vécue alors qu’elle en vaut vraiment la peine. »
Trois ans plus tard, elle affirme que la vie de Jacob est tellement meilleure que ce qu’on lui a fait croire.
« Il y a des choses tristes et des moments difficiles, mais c’est quand même formidable. Il n’y a pas que des choses négatives et sombres comme on le prétend », a déclaré Mme Seager au média. « Tout le monde remarque toujours comme il est heureux. »
Lire la suiteDes parents irlandais avortent leur fils atteint d’une « anomalie fœtale fatale », puis découvrent qu’il était en parfaite santé
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie
23 juin 2021 (LifeSiteNews) — Le 26 mai 2018, une foule de partisans entassés dans la cour du château de Dublin a éclaté en une fête sauvage à l’annonce de l’abrogation du 8e amendement par les électeurs irlandais. Les dirigeants irlandais avaient promis qu’il n’y aurait pas de célébration macabre si le « fœticide » était légalisé ; ces promesses sont tombées à l’eau à l’annonce de la nouvelle. Les gens s’embrassaient, applaudissaient, chantaient et sanglotaient. Pour la première fois dans l’histoire de l’Irlande, il serait enfin légal de tuer un enfant dans le ventre de sa mère sur le sol irlandais. Pour certains, c’était un événement joyeux.
Grâce à des années d’activisme dévoué (que je décris dans mon livre Patriots: The Untold Story of Ireland's Pro-Life Movement [Patriotes : l’histoire jamais racontée du mouvement pro-vie irlandais]) et au cours de la vaillante campagne Save the 8th [Sauvez le 8e], les pro-vie ont averti que les régimes d’avortement engendrent des chagrins et des horreurs impensables. Les taux d’avortement augmentent toujours ; les enfants atteints de trisomie 21 sont toujours tués parce qu’ils ne sont pas désirés ; la barbarie est toujours perpétrée contre les bébés à naître. L’avortement est une affaire sanglante.
Les prophéties du mouvement pro-vie se réalisent malheureusement. Le taux d’avortement en Irlande est en constante augmentation. Des bébés sont avortés à un stade avancé de la grossesse. Et bien sûr, des erreurs sont commises. Des erreurs mortelles. Des erreurs pour toujours.
L’exemple le plus triste est celui d’un couple qui avait découvert la veille de Noël 2018 qu’ils attendaient un heureux évènement, mais à qui les médecins ont annoncé que leur petit garçon à naître présentait une « anomalie fœtale fatale ». Le 21 février 2019, le couple a passé une échographie à la clinique privée Merrion Fetal Health Clinic, où on leur a dit de passer un autre test pour des troubles potentiels tels que la trisomie 21 ou le syndrome d’Edward (également connu sous le nom de trisomie 18). Une semaine plus tard, les parents ont appris que leur garçon était atteint de trisomie 18. Cette condition est l’une des principales exceptions prévues par la législation sur l’avortement de 2018 du ministre de la Santé Simon Harris pour un avortement après le seuil de 12 semaines.
Lire la suiteUne jeune golfeuse trisomique en lice dans un tournoi universitaire national
Amy Bockerstette.
Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) ― Traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : PGA Tour/YouTube
La semaine prochaine, Amy Bockerstette va entrer dans l’histoire. En se présentant au championnat national NJCAA avec ses coéquipiers du Paradise Valley Community College, cette jeune golfeuse de 22 ans deviendra la première personne atteinte de trisomie 21 à participer à un tournoi sportif universitaire de niveau national.
Amy Bockerstette n’est pas étrangère au monde du golf. Au collège, elle y a excellé, se qualifiant à deux reprises pour le tournoi des collèges d’Arizona, exploit inédit pour une jeune personne trisomique. Elle a ensuite obtenu une bourse sportive complète pour le golf au Paradise Valley Community College.
Elle a également participé aux Jeux olympiques spéciaux et a attiré l’attention des médias après avoir réussi le normal [nombre de coups maximal à faire sur un trou pour ne pas perdre de points] sur le célèbre 16e trou du TPC Scottsdale, sous le regard de Gary Woodland, golfeur du PGA Tour.
« J’ai eu la chance de faire beaucoup de choses chouettes sur le terrain de golf, mais c’est de loin la chose la plus géniale que j’ai jamais vécue », a déclaré Woodland aux journalistes ce jour-là. « Amy était phénoménale. Et puis de se présenter devant tous ces gens, la foule et tout le reste et de frapper les coups qu’elle a frappés et de faire le normal. Je n’ai jamais autant encouragé quelqu’un sur un parcours de golf et c’était une expérience émotionnelle vraiment formidable. »
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Maintenant, Amy s’attaque aux championnats nationaux. Selon son père, Joe Bockerstette, elle a été aimée toute sa vie. « Je me souviens avoir dit, lorsqu’elle avait cinq ou six ans, que cette enfant changeait les gens », a-t-il déclaré à l’Associated Press. « Elle dégage une sorte d’amour et de lumière partout où elle va. »
En grandissant, elle a joué aux quilles, au basket-ball, au base-ball et au football, fait de la natation, mais a surtout excellé au golf. Après ce moment incroyable avec Woodland, elle est devenue encore plus célèbre en participant aux ESPYs [un concours annuel d’excellence en sport], en allant à des tournois de golf et en prenant la parole au Congrès national du syndrome de Down.
« Mon superpouvoir est la confiance, la confiance en moi », a-t-elle déclaré lors de son discours. « Avec votre superpouvoir, vous pouvez atteindre votre propre but. »
Ce qui a permis à Amy Bockerstette de réussir aussi bien au golf, c’est sa capacité à se concentrer, et à ignorer la pression qui l’entoure. « C’est tout à fait Amy », dit son père. « Elle n’est pas nerveuse. Plus le moment est important, plus elle a de chances d’aimer ça. C’est arrivé bien des fois dans sa vie. »
Elle et sa famille ont également lancé la Fondation « I Got This » [« Je l’ai eu »], inspirée de la petite phrase qu’elle se répétait avant sa fameuse partie sur le 16e trou. Cette fondation contribue à donner des cours de golf et des occasions de jouer à des personnes souffrant de déficiences intellectuelles et de troubles du développement. Et avec les championnats nationaux de la semaine prochaine, il semble que les occasions de briller pour Amy Bockerstette ne font que commencer.
Les parents d’un enfant trisomique refusent l’avortement et ne le regrettent pas
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Pixabay
Les parents d’un enfant trisomique s’étaient fait proposer de passer à l’avortement leur enfant à naître quand le médecin lui découvrit un troisième exemplaire de son 21e chromosome. Ils ont refusé et ne le regrettent pas maintenant, selon Gènéthique :
Daniel est un petit garçon de trois ans, porteur de trisomie 21, qui fait la joie de ses parents. Dès le premier trimestre de grossesse, le gynécologue a identifié l’anomalie chromosomique, et « fortement recommandé d’avorter ». S’ils reconnaissent avoir été « bouleversés » par la nouvelle, les parents ont préféré garder leur bébé, « quelle que soit sa santé », une décision qu’ils n’ont jamais regrettée. « Trois ans après […], je tiens à dire que je suis très heureuse de ne pas avoir interrompu ma grossesse. Mon fils Daniel a apporté une joie indescriptible à toute ma famille » témoigne la maman, qui habite Singapour.
Contestation de la loi sur l’avortement eugénique en Grande-Bretagne
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (rognée) : yulia84/Pixabay
Deux femmes, l’une mère d’un enfant trisomique et l’autre elle-même porteuse de la trisomie 21, conteste devant la Haute Cour la section de la loi sur l’avortement qui permet l’avortement pour des raisons eugéniques après la limite de 24 semaines. Elles remettent en cause la légalité de l’avortement des bébés ayant un handicap non mortel. Selon Gènéthique :
La loi britannique sur l’avortement des fœtus porteurs de trisomie 21 va faire l’objet d’un examen par la Haute Cour. La loi actuelle autorise l’avortement jusqu’au terme en cas de diagnostic de trisomie 21, jusqu’à 24 semaines pour les autres. Cette loi n’est « pas juste » estiment deux femmes, contestant la légitimité de cette loi. Pour elles, l’affaire relève de « l’inégalité devant la loi ».