Les médecins avaient déclaré que Tabitha était « condamnée » — six ans plus tard elle est toujours vivante
Tabitha Grace.
Par Sandi Enzminger (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photos : Sandi Enzminger
Nous menions une vie agréable en faisant l’école à la maison avec quatre enfants dans une ferme centenaire du sud-ouest de l’Idaho lorsque nous avons décidé que deux bébés de plus serait parfait pour renforcer le principe biblique d’être moins égocentrique et plus attentif aux autres. Nous avons donc conçu deux autres fois et j’ai accouché à domicile avec l’aide d’une sage-femme, sans AUCUN test prénatal.
À tous points de vue, la deuxième de ces grossesses s’est déroulée comme la précédente, sauf qu’il s’agissait de ma grossesse la plus facile. À 39,5 semaines, j’ai perdu les eaux mais le travail n’a pas progressé. Après près de 36 heures, Tabitha Grace s’est finalement présentée par le siège et son rythme cardiaque a commencé à diminuer. Conformément à la réglementation nationale, les services médicaux d’urgence ont été prévenus et sont arrivés juste à temps pour assister à l’accouchement par le siège de notre plus petit bébé.
Avec un poids d’un peu plus de 2 kg, Tabitha était beaucoup plus petite que prévu, et nous avons donc décidé d’accepter d’être transportés en ambulance à l’hôpital pour y être évalués. À notre arrivée aux urgences, nous avons été contraints (sous la menace des services de protection de l’enfance) d’admettre Tabitha en réanimation néonatale. Une fois à l’USIN, elle a reçu des soins de stabilisation complets en matière de nutrition (lait maternel par sonde nasale), d’hydratation (IV), d’oxygène (canule nasale) et de chaleur (lampe chauffante). Les néonatologistes ont ensuite procédé à un examen approfondi de la tête aux pieds afin de déceler d’éventuelles anomalies physiques ou organes défectueux.
Lire la suite« On m’a dit que mon bébé était “incompatible avec la vie”, mais j’ai refusé l’avortement »
Beverly Jacobson et sa fille Verity.
Par Beverly Jacobson (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Le jour où j’ai entendu pour la première fois les mots « trisomie 18 » a été le pire jour de ma vie.
J’étais enceinte de 18 semaines de notre neuvième enfant. Ce coup de téléphone du médecin a bouleversé notre vie.
Pour être honnête, il m’avait fallu quelques mois pour me faire à l’idée que nous allions avoir un autre enfant. Je pensais que nous en avions « fini » avec huit enfants !
Mais une fois de plus, je suis tombée amoureuse du petit être qui grandissait en moi. Il m’a semblé tellement contradictoire d’entendre le médecin me dire qu’il serait probablement mort-né alors que je sentais des coups de pied et des sauts périlleux si forts à l’intérieur de moi.
Et pourtant, nous en étions là. D’après mes analyses de sang, j’avais un risque élevé que ce bébé soit atteint de trisomie 18. Je ne savais même pas ce que cela signifiait. Je n’avais jamais entendu parler de cette maladie.
Quelques jours plus tard, en compagnie d’un conseiller en génétique, j’ai appris que la trisomie 18 — également connue sous le nom de syndrome d’Edwards — signifie que le bébé a un 18e chromosome supplémentaire.
Lire la suite« Ma fille est atteinte de trisomie 18 et sa vie est magnifique »
Par Jennifer Thenhaus (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Jennifer Thenhaus
« Incompatible avec la vie ». « Anomalie fœtale fatale ». « Défaut chromosomique mortel ». « Des vies angoissées, courtes et douloureuses ». Telles sont les expressions utilisées récemment par les médias pour décrire les bébés atteints de trisomie 18, en réponse à l’affaire de l’avortement de Kate Cox au Texas.
Lorsque notre fille Melody, atteinte de trisomie 18, est née il y a près de 11 ans, elle a été affublée des mêmes sinistres étiquettes. Cependant, la belle vie de Melody défie cette description.
Contrairement aux étiquettes qui sont actuellement apposées sur les enfants atteints de trisomie 18, il existe un mot plus précis pour les décrire. Un jour, j’ai étudié le mot « aimable » dans Philippiens 4,8. Il signifie délicieux, attachant, gracieux, charmant, agréable. Un commentateur, Hurt, a écrit qu’il s’agit de « ce qui appelle l’amour ». C’est la meilleure description que l’on puisse faire de Melody.
Lire la suite« Chaque minute en vaut la peine » — les parents de bébés atteints de trisomie 18 disent qu’ils ne regrettent pas d’avoir choisi la vie
Par Jean Mondoro — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : jcomp/Freepik
14 décembre 2023 (LifeSiteNews) — Alors que les médias grand public continuent de promouvoir la soi-disant « nécessité » de l’accès à l’avortement pour les femmes qui attendent un bébé atteint de graves handicaps, les parents qui ont perdu des enfants à cause de ces conditions s’expriment, affirmant combien ils « ne regrettent pas » d’avoir choisi la vie face à la mort.
Le témoignage édifiant de parents dont les bébés sont morts de trisomie a été suscité par une femme du Texas qui demandait une dérogation à l’interdiction quasi totale de l’avortement dans cet État parce qu’on avait diagnostiqué chez son enfant à naître de 20 semaines la trisomie 18 (syndrome d’Edwards). Cette maladie entraîne un retard de développement chez l’enfant et, si celui-ci survit à la naissance, le grave handicap amène souvent la mort au cours des premières années de vie.
Kate Cox a intenté une action en justice contre l’État et a obtenu la suspension temporaire de la loi, qui interdit l’avortement volontaire à moins qu’il ne soit jugé « médicalement nécessaire » pour sauver la vie de la mère. Le lendemain, la Cour suprême du Texas a bloqué l’ordonnance. Peu après, il a été annoncé que Mme Cox, âgée de 31 ans, avait l’intention de se faire avorter en dehors de l’État.
Lire la suiteLa mère d’une enfant atteinte de trisomie 18: «Sa vie compte. Elle peut être différente de la nôtre, mais elle compte»
Par Bridget Johnson (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
La trisomie 18 (syndrome d’Edwards) a été diagnostiquée chez Harper Grace alors qu’elle était in utero. Les médecins ont considéré que cette condition était « incompatible avec la vie », mais malgré tous les obstacles qui se sont dressés contre elle, Harper approche de son cinquième anniversaire. Si une recherche rapide sur Internet vous apprendra que la plupart des personnes atteintes de ce diagnostic survivent moins de quelques semaines après leur naissance, de plus en plus d’histoires d’enfants défiant ces probabilités et vivant des années ─ voire des dizaines d’années ─ avec leur famille font surface.
Bella Santorum, Faith Smith, Melody Thenhaus et Kayden McClanahan ne sont que quelques noms d’enfants atteints de trisomie 18 dont les parents se sont battus pour leur donner une chance de vivre.
En raison des difficultés qu’implique la prise en charge d’un enfant atteint de trisomie 18, la plupart des médecins recommandent l’avortement lorsque le diagnostic est confirmé. Ils prétendent qu’il n’y aura pas de qualité de vie, voire pas de vie du tout, malgré ce que prouvent des enfants comme Harper. Mais le combat pour la protection et la vie ne s’arrête pas à la naissance pour ces enfants. Dans une interview vidéo « Special Books by Special Kids », la mère de Harper a évoqué la négligence et l’opposition que les enfants atteints de trisomie 18 reçoivent dans les hôpitaux :
« On ne leur donne pas [une chance équitable]. Très peu d’hôpitaux dans le pays sont disposés à fournir des interventions complètes aux enfants atteints de sa condition. Nous connaissons de nombreux enfants qui se sont vu refuser les droits humains les plus élémentaires, comme une sonde d’alimentation pour les aider à manger ou un peu d’oxygène s’ils en avaient besoin, et ces familles ont été contraintes de ramener ces enfants chez eux pour qu’ils meurent. »
Lire la suiteDes parents irlandais avortent leur fils atteint d’une « anomalie fœtale fatale », puis découvrent qu’il était en parfaite santé
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie
23 juin 2021 (LifeSiteNews) — Le 26 mai 2018, une foule de partisans entassés dans la cour du château de Dublin a éclaté en une fête sauvage à l’annonce de l’abrogation du 8e amendement par les électeurs irlandais. Les dirigeants irlandais avaient promis qu’il n’y aurait pas de célébration macabre si le « fœticide » était légalisé ; ces promesses sont tombées à l’eau à l’annonce de la nouvelle. Les gens s’embrassaient, applaudissaient, chantaient et sanglotaient. Pour la première fois dans l’histoire de l’Irlande, il serait enfin légal de tuer un enfant dans le ventre de sa mère sur le sol irlandais. Pour certains, c’était un événement joyeux.
Grâce à des années d’activisme dévoué (que je décris dans mon livre Patriots: The Untold Story of Ireland's Pro-Life Movement [Patriotes : l’histoire jamais racontée du mouvement pro-vie irlandais]) et au cours de la vaillante campagne Save the 8th [Sauvez le 8e], les pro-vie ont averti que les régimes d’avortement engendrent des chagrins et des horreurs impensables. Les taux d’avortement augmentent toujours ; les enfants atteints de trisomie 21 sont toujours tués parce qu’ils ne sont pas désirés ; la barbarie est toujours perpétrée contre les bébés à naître. L’avortement est une affaire sanglante.
Les prophéties du mouvement pro-vie se réalisent malheureusement. Le taux d’avortement en Irlande est en constante augmentation. Des bébés sont avortés à un stade avancé de la grossesse. Et bien sûr, des erreurs sont commises. Des erreurs mortelles. Des erreurs pour toujours.
L’exemple le plus triste est celui d’un couple qui avait découvert la veille de Noël 2018 qu’ils attendaient un heureux évènement, mais à qui les médecins ont annoncé que leur petit garçon à naître présentait une « anomalie fœtale fatale ». Le 21 février 2019, le couple a passé une échographie à la clinique privée Merrion Fetal Health Clinic, où on leur a dit de passer un autre test pour des troubles potentiels tels que la trisomie 21 ou le syndrome d’Edward (également connu sous le nom de trisomie 18). Une semaine plus tard, les parents ont appris que leur garçon était atteint de trisomie 18. Cette condition est l’une des principales exceptions prévues par la législation sur l’avortement de 2018 du ministre de la Santé Simon Harris pour un avortement après le seuil de 12 semaines.
Lire la suiteUne pizzeria de Rome emploie principalement des trisomiques
Les employés de La Locanda dei Girasoli.
Par Kelli (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
La Locanda dei Girasoli est une pizzeria à Rome, en Italie, qui peut ne pas sembler inhabituelle du tout… excepté pour le fait que la majorité des employés du restaurant ont la trisomie 21 ou un autre type de handicap.
Le site web de La Locanda dei Girasoli mentionne « Nous sommes un Restaurant-Pizzeria accueillant, qui depuis 1999 combine l’amour de la cuisine de qualité avec l’inclusion sociale et professionnelle de jeunes personnes ayant la trisomie 21, 18, ou d’autres handicaps. » L’objectif global de l’entreprise est « de promouvoir l’embauche de personnes ayant une trisomie 21, ennoblir et donner de la dignité à la personne par le biais d’un parcours individuel, une formation et l’accès à un emploi. »
L’onglet « à propos de nous » du restaurant indique qu’en employant des personnes ayant un handicap leur « but n’est pas d’éliminer le “désavantage” », mais plutôt de « briser les barrières culturelles » qui souvent mènent les personnes ayant une déficience à ressentir « de la marginalisation, de la solitude et de l’abandon. »
Lire la suiteMalgré le diagnostic des médecins qui la disaient incompatible avec la vie, Bella Santorum fête ses 10 ans !
Isabella Santorum (Bella).
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Karen Santorum/Facebook
« Incompatible avec la vie ». Ces mots ont transpercé le cœur de nombreux parents de par le monde alors que des médecins leur livraient d’accablants diagnostics au sujet de leur enfant à naître. Karen Santorum, épouse de l’ancien sénateur Rick Santorum, est l’un d’entre eux. Les médecins leur ont annoncé que leur fille Bella était porteuse de trisomie 18, une pathologie considérée comme « incompatible avec la vie ». Mais Bella était là, pleine de vie, dans le sein de sa mère. Le couple pro-vie a refusé d’avorter… et Bella vient de fêter ses dix ans.
« […] elle est la petite fille la plus heureuse du monde et est pleine de vie », a annoncé Karen Santorum dans un message sur Facebook le 30 avril 2018.
Mme Santorum n’a pas pu contenir sa frustration lorsque le cas d’Alfie Evans a provoqué un tollé international, alors que ses parents se sont vus retirer le droit de se battre pour sa vie. De même que Charlie Gard, Alfie Evans fut le deuxième petit garçon à mourir dans un hôpital anglais [… l’un en 2017 et l’autre en 2018] Ceci parce que les professionnels de la santé de l’hôpital et les tribunaux étaient convaincus d’être les mieux placés pour savoir, bien que des médecins de d’autres pays aient manifesté leur désir de tenter de nouveaux traitements pour sauver la vie de ces garçons.
Lire la suiteUne mère refuse l'avortement de son bébé atteint de trisomie 18: «mon devoir était de le protéger»
Par Nancy Flanders de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
À 21 semaines de grossesse, Sarah Hynes apprit que son fils Seán avait le syndrome d'Edward, ou trisomie 18. Sarah n’a jamais entendu parler de cette condition et a été dévastée lorsque les médecins lui ont dit que son fils était «incompatible avec la vie».
Informée qu‘elle avait l'option d'avorter, Sarah a immédiatement su qu'elle choisirait la vie pour Seán.
«Je savais d'emblée que ce n’était pas ainsi que je voulais faire face à cette situation», a-t-elle confié à Newstalk FM.
En poursuivant sa grossesse, elle savait qu'à tout moment elle pourrait échouer. Même si Seán survivait à la grossesse, il n'y avait aucun moyen de savoir combien de temps il vivrait en dehors de l'utérus.
Lire la suiteBébé Zion n’a vécu que 10 jours après sa naissance mais son histoire a touché le cœur des gens partout dans le monde
Par Susanna Rose de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Zion Isaiah Blick est né le 11 Janvier, atteint de Trisomie 18. Après sa naissance, il a vécu 10 jours mais en seulement quelques semaines l’histoire de sa vie a touché le cœur des gens. Son père Josh Blick a exprimé ceci dans une vidéo publiée sur Vimeo, « Je veux que tu saches que tu n’avais pas à être grand et robuste afin qu’on te remarque. Tu n’avais pas besoin de te tenir debout devant un lutrin ou d’écrire un livre pour capter notre attention. Tout simplement, tu t’es démarqué. »
Josh, un pasteur de jeunesse à l’Alpine Chapel, une église sans dénomination à Lake Zurich dans l’Illinois et son épouse Robbyn, ont publié des photos touchantes sur Instagram et une vidéo afin de commémorer la courte période de temps que Zion a partagé avec eux et leurs quatre autres fils, rapporte le Daily Mail. Dans la vidéo, Robbyn exprime cette réflexion : « Mon doux et précieux Zion, tu es un cadeau pour moi. Chaque respiration que tu as prise a été un instant où nous avons absorbé la perfection et la beauté de Dieu. Chacun des battements de ton cœur reflétait une dimension de l’amour.
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