Malgré le diagnostic des médecins qui la disaient incompatible avec la vie, Bella Santorum fête ses 10 ans !
Isabella Santorum (Bella).
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
« Incompatible avec la vie ». Ces mots ont transpercé le cœur de nombreux parents de par le monde alors que des médecins leur livraient d’accablants diagnostics au sujet de leur enfant à naître. Karen Santorum, épouse de l’ancien sénateur Rick Santorum, est l’un d’entre eux. Les médecins leur ont annoncé que leur fille Bella était porteuse de trisomie 18, une pathologie considérée comme « incompatible avec la vie ». Mais Bella était là, pleine de vie, dans le sein de sa mère. Le couple pro-vie a refusé d’avorter… et Bella vient de fêter ses dix ans.
« […] elle est la petite fille la plus heureuse du monde et est pleine de vie », a annoncé Karen Santorum dans un message sur Facebook le 30 avril 2018.
Mme Santorum n’a pas pu contenir sa frustration lorsque le cas d’Alfie Evans a provoqué un tollé international, alors que ses parents se sont vus retirer le droit de se battre pour sa vie. De même que Charlie Gard, Alfie Evans fut le deuxième petit garçon à mourir dans un hôpital anglais [… l’un en 2017 et l’autre en 2018] Ceci parce que les professionnels de la santé de l’hôpital et les tribunaux étaient convaincus d’être les mieux placés pour savoir, bien que des médecins de d’autres pays aient manifesté leur désir de tenter de nouveaux traitements pour sauver la vie de ces garçons.
Lire la suiteUn petit trisomique a gagné le concours d’une compagnie célèbre. Malheureusement beaucoup d'handicapés comme lui sont avortés
Cette photo ne représente pas le petit Lucas.
Par John Stonestreet et Stan Guthrie (LifeSiteNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
20 février 2018 (BreakPoint) — Un magnifique petit garçon ayant la trisomie 21 a été choisi pour être le bébé Gerber de cette année. C’est une excellente nouvelle. Mais il faut se souvenir que son importance ne vient pas du fait qu’il est mignon!
Depuis les années 1920, le Bébé Gerber est devenu un symbole culturel de la représentation enfantine au dessin à la main. En 2010, la compagnie vendant de la nourriture de bébé a commencé un concours annuel pour trouver de vrais bébés Gerber. Cent quarante mille familles ont participé au concours de cette année-là et le gagnant fut Lucas Warren, alors âgé d’un an. Une fois que vous aurez vu son sourire magnifique, vous comprendrez pourquoi.
En plus d’être l’ambassadeur Gerber — ce qui évidemment n’est pas complètement fidèle à la réalité puisqu’il ne peut pas encore parler — le petit Lucas profite d’un autre honneur. Il est le premier enfant ayant la trisomie 21 à être nommé gagnant.
Lire la suiteUne mère refuse l’avortement de son fils, qui, lui disait-on, mourrait, et donne le jour à un bébé en bonne santé
Robyn et Thomas.
Par Feleica Langdon (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
(Secular Pro-Life Perspectives) — En janvier 2016, Robyn Power de Terre-Neuve, au Canada, a découvert qu'elle attendait un fils, Thomas. Sa petite famille allait grandir, et elle n'aurait pas pu être plus excitée.
Sa première échographie n’annonçait rien d’anormal, aussi en passa-t-elle une deuxième quelques mois plus tard.
Mais peu de temps après sa deuxième échographie, elle a reçu un appel de l'hôpital. À sa grande consternation, on lui a annoncé que son fils Thomas pourrait mourir. Il avait un blocage coronarien dans son cœur et ses chances de survivre sans devoir subir une chirurgie [...] étaient très minces. Robyn a été envoyée chez un spécialiste à St. Johns afin afin de former une équipe qui soit bien préparée pour une chirurgie à cœur ouvert au moment de la naissance de son fils.
Toutefois, ce n'était pas la fin des mauvaises nouvelles! Les médecins lui ont dit que Thomas présentait des signes de la trisomie 21 et lui ont demandé si elle voulait avoir un avortement.
Lire la suiteCharlotte Fien répond à un eugéniste de l'ONU
Par ECLJ
Nous partageons avec vous la réponse émouvante de Charlotte Fien, porteuse de la trisomie 21, à M. Yadh Ben Achour. Comme vous le savez, le Comité des droits de l'homme de l'ONU rédige actuellement une interprétation officielle du droit à la vie. À cette occasion, M. Ben Achour a recommandé l'avortement [...] des enfants handicapés au titre du droit à la vie.
Choquée par ces propos qui ne pouvaient pas rester sans réponse, Mlle Charlotte Fien a souhaité répondre à M. Ben Achour.
Cette jeune femme de 21 ans est déjà intervenue lors d'une conférence à l'ONU à l'occasion de la journée mondiale de la trisomie 21 du 21 mars 2017.
Lire la suiteCitation du jour: L’avortement légal nous mène vers un monde sans ‘syndrome de Down’
Jeune trisomique (Source: Fondation Jérôme Lejeune)
LiveActionNews - Traduit par Campagne Québec-Vie
Le mois dernier, Dr Peter McParland, un obstétricien de l’Hôpital National de Maternité, a discuté à l’Assemblée des Citoyens à propos de ce qui se passe réellement dans d’autres pays une fois qu’on a légalisé l’avortement pour des raisons d’infirmité. La réalité des chiffres est dure et tout à fait bouleversante.
«En Grande-Bretagne, 90% des bébés qui ont le syndrome de Down sont avortés avant leur naissance. En Islande, chaque bébé, soit, 100% de ceux qui ont été diagnostiqués du syndrome de Down sont avortés. Il n’y a eu aucun bébé né avec le syndrome de Down en Islande durant les cinq dernières années».
Le Danemark en fait autant et on s’attend à ce qu’il soit, d’ici 2030, «sans syndrome de Down»; et ces statistiques à faire frémir, nous indiquent exactement vers où l’avortement légal dirige le reste de l’Europe.
L’avortement légal nous mène vers un monde «sans syndrome de Down». Je peux à peine taper ces mots. C’est à vous fendre le cœur complètement. Figurez-vous un peu qu’en Grande-Bretagne, Lord Shinkwin – un membre de la Chambre Haute qui a un handicap congénital – a donné la semaine dernière, un discours poignant qui souligne: « c’est écrit sur le mur pour des gens comme moi. Les gens avec des handicaps congénitaux sont menacés d’extinction».
~ Anne Trainer, Le journal.ie, 4 février
Voici la vidéo de Lord Shinkwin, qui déclare "Les gens avec des handicaps congénitaux sont menacés d’extinction":
Richard Dawkins tente de s'excuser, mais s'enfonce davantage...
Sur le blog de Jeanne Smits du 22 août 2014 :
(Photo : Kanaka Menehune sur flickr.com, licence creative commons)
(...)Vingt-quatre heures plus tard, Dawkins s’est donc rétracté, mais avec modération, soutenant toujours que pour aboutir à moins de souffrance l’avortement des trisomiques est la solution « réellement morale » mais précisant que rien ne pouvait lui être plus étranger que l’idée de dicter sa conduite à une femme ni d’imposer ses vues à quiconque. (...)
Dawkins a-t-il pensé que si l'on devait avorter les personnes que l'on prévoit être souffrantes dans leur vie, il aurait fallu avorter toutes les personnes qui un jour seraient mises en contact avec les âneries qu'il débite à une vitesse phénoménale?
Magnifique vidéo d'enfants trisomiques répondant aux craintes d'une maman d'un enfant à naître trisomique
//www.youtube.com/embed/Ju-q4OnBtNU
La trisomie tolérée
Dans le journal Métro du 21 septembre, un article relate la volonté de laisser le choix aux parents de faire avorter leur enfant trisomique s'il le désire. Ce "choix" existe déjà.
Nouveau papa, j'ai eu l'occasion d'expérimenter la pression morale de notre médecin en faveur de l'avortement, s'il s'avérait que notre enfant soit trisomique. Nous avons refusé les tests de dépistages qui n'ont aucun but curatif. A plusieurs reprises, on nous a recommandé l'avortement en cas de pépin, le médecin affirmant même, dans le cas d'un cas d'une trisomie, que la réponse était automatiquement l'avortement.
L'eugénisme est déjà pratiqué. Le sous-titre de l'article dit subtilement que le regroupement pour la trisomie 21 aimerait que les parents connaissent aussi les joies que peuvent apporter les enfants trisomiques, pas seulement les appréhensions face aux difficultés réelles vécues. Le témoignage de M. Martin est très beau sur la couleur spéciale qu'apporte son enfant trisomique dans sa vie.
Les gynécologues et obstétricien préfèrent plutôt "le libre choix", c'est-à-dire, la pression sur les parents, telle que je l'ai vécu, pour avorter l'enfant ne correspondant pas aux critères eugéniques non dits mais déjà établis. La bioéthique enseignée dans nos universités québécoises est généralement déficiente, désolante, décevante pour les étudiants ne pouvant se payer des études à l'extérieur du Québec pour recevoir en ce domaine une formation de qualité. Les enfants "imparfaits" en paient le prix.