Des triplés identiques spontanés incroyablement rares naissent en Louisiane
La famille Cordaro.
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
Un couple de Louisiane a accueilli des triplés identiques spontanés en août — un phénomène rare qui ne se produit que dans un cas sur un million à un cas sur deux cent millions de naissances.
Claire, Ella et Lily Cordaro sont nées de Haley et Matthew Cordaro le 28 août au Willis-Knighton South & the Center for Women’s Health en Louisiane. Le terme « spontané » signifie que les bébés identiques ont été conçus naturellement. Selon un communiqué de presse de l’hôpital, il s’agit des premiers bébés multiples des deux côtés de la famille.
Nous étions « absolument incrédules », déclare Matthew à People, racontant le moment où ils ont appris qu’ils attendaient des triplés. « Nos sentiments ont ensuite évolué vers l’inquiétude en raison du risque très élevé de la grossesse », a-t-il ajouté. « Une fois que nous avons atteint le deuxième trimestre, nos visites chez le médecin ont continuellement apporté de bonnes nouvelles. »
Lire la suiteLes médecins ont dit à une mère d’avorter deux de ses triplés — elle a refusé
Katie Johnson et ses triplés Oliver, Aurelia et Oscar.
Par Miciah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Quelle nouvelle dévastatrice pour Katie Johnson, une mère britannique ! La vie de ses triplés à naître était en danger, et les médecins lui suggéraient d’en avorter un ou deux pour la survie des deux autres ou du troisième.
Mais Katie Johnson et son mari, Patrick, ont choisi la vie pour les trois, rapporte The Daily Mail.
Heureusement, les bébés Oliver, Aurelia et Oscar ont tous survécu. Et les triplés londoniens sont sortis de l’hôpital à temps pour fêter Noël à la maison avec leurs parents, indique l’article.
Mme Johnson a déclaré qu’elle avait appris la menace qui pesait sur la vie de ses triplés lors de son échographie de 12 semaines. Ce jour-là, les médecins lui ont dit que les triplés ne partageaient pas le placenta de manière égale et que l’un des bébés était moins alimenté que les autres, selon l’article.
« Il y avait un risque pour eux tous », dit-elle. « Oliver était 25 % plus petit que son frère et le flux sanguin ne lui parvenait pas correctement. Si Oliver était mort, Oscar aurait pu mourir aussi. »
Comme cela arrive souvent dans de telles situations, les médecins lui ont suggéré d’avorter un ou deux des bébés à naître.
Aujourd’hui, de nombreux médecins encouragent ou parfois même poussent les futures mères à avorter leurs bébés à naître lorsqu’il y a un problème médical. Parfois, c’est parce que la mère a un cancer. D’autres fois, c’est parce que le bébé à naître a été diagnostiqué comme atteint de trisomie 21 ou de spina bifida ─ ou même d’une fente labiale. Les parents d’enfants handicapés disent souvent se sentir poussés à avorter.
Lire la suiteUne mère de l’Oklahoma donne naissance à des triplés identiques extrêmement rares
Aspen, Kensli et Layken Norman.
Par Laura Nicole (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/CNN Newsource
TJ et Stephanie Norman de Blanchard, qui s’aiment depuis le lycée, dans l’Oklahoma, ne s’attendaient pas à ce que leur famille de trois personnes devienne si soudainement une famille de six. Après la naissance de leur fils Wyatt, âgé de deux ans, le couple a fini par vouloir un autre bébé, une fille. « Nous étions prêts à essayer d’en avoir un de plus et nous espérions que ce serait une fille », a déclaré Norman, selon KSWO. « Et puis nous avons été surpris d’avoir trois filles. »
Alors que le couple avait même plaisanté sur le l'idée d’avoir des multiples, ils ne s’attendaient pas à concevoir des triplés.
« Ouais, qu’allons-nous faire si nous entendons plus d’un battement de cœur — et puis il y en avait trois là-dedans », a déclaré TJ.
« Je n’ai jamais pensé que cela pouvait nous arriver », a déclaré Stephanie à FOX13. « Ma sœur a des jumeaux, alors je n’ai jamais pensé que nous pourrions avoir des multiples ».
Comme beaucoup de multiples, Elles sont nées tôt. Le 2 juin, à 29 semaines, Aspen, Kensli et Layken sont nées, étant immédiatement dirigées vers l’USIN où elles pouvaient grandir et se développer un peu plus jusqu’à ce qu’elles fussent prêtes à rentrer à la maison.
Stephanie se rappelle à quel point elles étaient petites à la naissance. « Elles sont nées à 29 semaines, donc elles pesaient toutes un peu plus de deux livres. Elles étaient donc vraiment petites », a déclaré Stephanie. Elle a également mentionné qu’Aspen s’est si bien débrouillée qu’elle a pu rentrer à la maison avant ses sœurs. Si cela a été un événement heureux pour les Norman, il a été difficile de laisser les autres triplés en arrière.
Stephanie et ses médecins se sont également rendu compte à la naissance que les filles n’étaient pas de simples triplées, mais des triplées identiques, qui partageaient toutes trois le même placenta dans l’utérus de leur mère. Les triplés identiques se produisent lorsqu’un spermatozoïde féconde un ovule qui se divise ensuite en trois parties, ou en deux parties, dont l’une se divise à nouveau.
Les chances d’avoir des triplés naturellement sont d’environ 1 sur 9 000. Si les chances d’avoir des triplés identiques sont difficiles à déterminer, elles se situeraient entre 1 sur 60 millions et 1 sur 200 millions, selon Newsweek.
Pour l’instant, les joyeux nouveaux parents ont du mal à distinguer leurs petites filles. « Nous leur avons mis des petits bracelets de cheville de différentes couleurs avec leurs initiales », a déclaré Stephanie, selon KOCO. Le grand frère des triplés, Wyatt, aime les dire bonjour dès le matin. Lorsqu’elles se lèvent le matin, il leur dit : « Salut, pleureuses ! » raconte Norman.
Une mère rejette la suggestion du médecin d’avorter l’une de ses triplées : « Ce sont mes bébés miracles »
Aria, Lilah et Sienna, les triplée de Mme Taala.
Par Maria Gallagher (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Christine Taala
On dit que les bonnes choses arrivent par « trois ». Cela s’est révélé vrai pour Christine Taala, résidente de Miami.
Comme le rapporte The Epoch Times, Mme Taala a d’abord été choquée lorsqu’elle a découvert qu’elle était enceinte de triplés. En effet, Christine avait perdu trois enfants à la suite d’une fausse couche, et la nouvelle d’une nouvelle grossesse de triplés a été une surprise totale.
Mme Taala était déjà maman d’un enfant et d’un bébé lorsqu’elle a appris que les triplées — toutes des filles — feraient leur apparition dans le monde. Alors qu’elle était enceinte de 10 semaines, un médecin a recommandé une « réduction fœtale », c’est-à-dire l’avortement d’un des bébés, afin d’augmenter — supposément — les chances de survie des deux autres petites.
Mme Taala a refusé, optant plutôt pour une décision pleine d’espoir en la vie. Comme l’écrit Louise Bevan de The Epoch Times, « sa grossesse était à haut risque, mais Christine ne pouvait pas se résoudre à perdre l’un de ses bébés ».
À un moment donné, « Bébé A » a cessé de grandir parce qu’elle ne recevait pas suffisamment de nutriments du cordon ombilical qu’elle partageait avec « Bébé B ». Heureusement, l’Hôpital pour enfants du Texas a pu pratiquer une intervention pour améliorer la circulation sanguine.
Mme Taala est entrée en travail à 26 semaines. Mais avec l’aide d’une équipe médicale hors pair de 25 personnes, elle a donné naissance au trio, qui a été immédiatement transporté à l’unité de soins intensifs néonatals (USIN).
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