L’Administration Biden veut punir les élèves qui n’emploient pas les noms et pronoms « transgenres » de leurs camarades…
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : WavebreakMediaMicro/AdobeStock
Aussi fou que cela puisse paraître, l’Administration Biden a publié un document intitulé Confrontation du harcèlement anti-LGBTQI+ dans les écoles, qui est sensé donner une ligne de conduite aux écoles, et selon lequel les ministères de la Justice et de l’Éducation pourraient mener enquête sur la (juste) discrimination dont font l’objet les élèves « transgenres » quant à certaines de leurs prétentions — comme d’aller aux toilettes réservées à l’autre sexe ou de se faire donner du « elle » quand il s’agit de « il », et inversement. Le document recommande donc que soient réprimandés les établissements discriminant les « transgenres » et que soient punis les élèves ne se pliant pas à l’exercice grotesque (pour ne pas dire abominable) de traiter leurs camarades « transgenres » selon la fantaisie de ces derniers.
Ainsi, le document donne quelques cas types qu’il croit devoir désigner comme tragiques et auxquels il serait nécessaire de remédier, selon International Family News :
« Alors qu’elle se dirige vers les toilettes des filles, une lycéenne transgenre [c’est-à-dire un homme biologique] est arrêtée par le principal qui lui interdit l’entrée. Le principal dit à l’élève d’utiliser les toilettes des garçons ou le bureau de l’infirmière parce que son dossier scolaire l’identifie comme un “homme”. Plus tard, l’élève rejoint ses amies pour essayer de faire partie de l’équipe de pom-pom girls et l’entraîneur la renvoie des essais uniquement parce qu’elle est transsexuelle. Lorsque l’élève se plaint, le principal lui répond que c’est la politique du district ».
Ainsi, la politique créée par un conseil scolaire de district élu, qui a été conçue pour respecter la vie privée des femmes dans ces lieux les plus intimes et pour s’assurer que les hommes biologiques* ne se mesurent qu’à d’autres hommes biologiques — et qui est légale selon la loi actuelle — est présumée être un comportement illicite. L’administration Biden veut nous faire croire que les éducateurs et les parents devraient avoir honte d’essayer de protéger leurs filles.
Dans un autre exemple, un garçon transgenre (c’est-à-dire une femme biologique) à l’école intermédiaire « se présente sous le nom de Brayden et dit à ses camarades de classe qu’il utilise les pronoms il/elle ». Cet enfant, qui n’a très probablement que 11 ans, est déjà « affirmé » par la note dans son identité transgenre. Parmi les activités que la note considère comme méritant une enquête, il y a le fait que des camarades de classe « appellent [l’étudiant] par son ancien nom ». Ainsi, des collégiens de 11 ans, qui ont très probablement connu l’étudiante biologique en question comme étant une fille pendant plusieurs années et qui peuvent faire la différence de manière innée entre les garçons et les filles, adoptent un comportement illicite lorsqu’ils utilisent l’ancien nom de l’étudiante. Selon l’administration Biden, ces élèves de collège doivent être contraints par le gouvernement à soutenir le programme LGBT ou à en subir les conséquences. S’il y a jamais eu un cas de tyrannie, c’est bien celui-là.
*Remarquez que puisqu’un homme l’est du fait de sa biologie, de sa génétique même, il ne peut donc pas devenir femme, d’où il est absurde de parler d’« homme biologique » quand on veut mentionner un vrai homme, car en fait d’homme, il n’y a que des hommes biologiques. La même chose est vraie pour les « femmes biologiques ». — A. H.
Dans une catéchèse pour aider ses diocésains, un évêque affirme que « personne n’est transgenre »
Mgr Michael Burbidge, évêque d'Arlington.
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie
Lundi 23 août 2021, Arlington, Virginie (LifeSiteNews) — Un évêque catholique a publié une courte catéchèse pour aider les membres de son diocèse qui pourraient se sentir mal équipés pour faire face à la contagion du transgenrisme qui affecte maintenant de nombreuses familles, en particulier celles qui ont des enfants dans les écoles publiques.
La « Catéchèse sur la personne humaine et l’idéologie du genre », publiée par Mgr Michael Burbidge, évêque du diocèse d’Arlington en Virginie, a suscité l’ire des forces pro-transgenrisme et homosexualité au sein de l’Église catholique en raison de sa simple proclamation des vérités les plus fondamentales du catholicisme et du droit naturel.
Le diocèse d’Arlington se trouve de l’autre côté du fleuve Potomac par rapport à Washington, D.C. ; il est notamment composé de banlieues de grande taille, de plus en plus libérales, dans lesquelles des batailles d’identité de genre sont menées dans les systèmes scolaires publics.
« Personne n’est transgenre », déclare le document. « Utiliser des noms et des pronoms qui contredisent l’identité donnée par Dieu à la personne, c’est parler faussement ».
« Nous ne pouvons jamais dire quelque chose de contraire à ce que nous savons être vrai », conseille le document, de sorte que les « fidèles devraient éviter d’utiliser des termes ou des pronoms “d’affirmation du genre” qui véhiculent l’approbation ou renforcent le rejet de la vérité par la personne. »
La vérité immuable est une menace existentielle pour le transgenrisme
Le langage sans ambiguïté du document a été rapidement condamné par le Père James Martin, SJ ─ la voix la plus forte plaidant pour la normalisation de l’homosexualité et du transgenrisme au sein de l’Église ─ comme une attaque contre le message qu’il a été libre de promouvoir ces dernières années.
Le Père Martin a depuis longtemps adhéré à l’idée que Dieu a créé certaines personnes pour être transgenres.
« La pire forme de marginalisation, la pire forme de discrimination et la pire forme de haine est de prétendre que quelqu’un n’existe pas », a fulminé le jésuite dans un tweet. « Personne n’“est” transgenre, dit le diocèse d’Arlington. Or, les personnes transgenres existent et sont des enfants bien-aimés de Dieu. »
Lire la suiteBien que les mesures covid eussent restreint les services de santé, les « transitions » ont augmenté de 12 %
Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Siam/AdobeStock
(LifeSiteNews) — Selon l’American Society of Plastic Surgeons, un nombre record de jeunes femmes souffrant de dysphorie de genre se font enlever les seins afin de se présenter comme hommes. Bien que l’accès à de nombreuses formes de soins de santé ait été limité en 2020 en raison de la [prétendue*] pandémie de covid-19, les opérations de changement de sexe, tant chez les hommes que chez les femmes, ont augmenté de 12 %, passant de 14 602 en 2019 à 16 353 en 2020. Comme l’a noté un observateur, ces chiffres n’incluent pas les opérations, les mastectomies et les traitements de transition de genre effectués par d’autres professionnels de la santé.
Comme l’a exprimé Zane Emma sur Twitter :
« Les services de santé américains ont globalement baissé de 1 % en 2019. Les services non liés au covid ont baissé bien plus. Mais pas les mastectomies pour dysphorie de genre. Ces procédures "salvifiques" pour les jeunes femmes qui se détestent ont grimpé de 15 % malgré la pandémie. Il y a beaucoup d’argent qui se fait sur la détresse des jeunes. Et la pandémie n’arrête personne. Encore moins les chirurgiens, qui ont beaucoup à gagner lorsque Medicaid et les assureurs commerciaux, convaincus par de piètres études que ces procédures sont médicalement nécessaires, paient pour cela.
Les mastectomies pour les filles et les femmes souffrant de dysphorie de genre ont continué à augmenter en 2020, selon l'American Society of Plastic Surgeons. Ce résultat est surprenant, car les restrictions covid ont entraîné des réductions spectaculaires dans tous les autres domaines de soins de santé en 2020. »
Je ne suis pas sûr que les gens soient réellement convaincus de l’efficacité médicale [de ces interventions] ; ils sont plutôt intimidés par la politique du mouvement transgenre. Vous imaginez ce qui se passerait si un assureur commercial refusait de payer ? Il serait immédiatement pris pour cible et accusé de participer au suicide des jeunes, et le gouvernement s’en mêlerait si possible.
Nous savons également que de nombreux parents s’opposent à ce que leurs filles prennent une décision aussi définitive, mais les écoles publiques écartent les pères et mères pour aider les enfants dans leur démarche de changement de sexe. Abigail Shrier, auteur de Irreversible Damage : The Transgender Craze Seducing Our Daughters [Dommages irréversibles : La folie transgenre qui séduit nos filles], a récemment mis en ligne des formulaires qui lui ont été envoyés par un enseignant d’une école publique de Chicago et qui demandent explicitement aux enseignants et au personnel de l’école de cacher aux parents que leurs enfants commencent à s’identifier au sexe opposé ─ une idée souvent implantée dans la tête des jeunes par les programmes LGBT.
Lire la suiteUn médecin québécois souligne la chute de la médecine avec la contraception
Par un médecin québécois — Photo : Siam/AdobeStock
Je crois que l’on assiste, depuis la pilule contraceptive, à une médecine qui retourne à la sorcellerie/chamanisme.
En effet, Hippocrate, puis le christianisme qui a « baptisé » la tradition hippocratique, ont opéré une distinction : dans les sociétés païennes primitives, la frontière entre guérisseur, shaman, médecin, sorcier, etc. n’existait pas.
En interdisant le meurtre, l’avortement, l’abus sexuel, et le charlatanisme, la tradition médicale hippocratique, puis chrétienne, ont opéré une distinction cruciale.
Ils ont subordonné le pouvoir du « guérisseur » à la loi naturelle (Hippocrate), puis à la loi surnaturelle (la charité, avec le christianisme).
En faisant fi de ces lois, la médecine moderne retourne au paganisme. Mais avec des moyens techniques terrifiants.
En effet, l’argument contre la pilule, par exemple, est extrêmement facile et simple :
- la femme qui demande la pilule n’a pas de maladie
- un traitement médical n’est pas indiqué
- donc la prescription de la pilule n’est pas indiquée
La seule façon de faire « fonctionner » un argument logique en faveur de la pilule, et de continuer à faire de la médecine, c’est de postuler qu’une fertilité normale est une maladie.
- une femme souffrant de fertilité veut régler son problème
- il y a une indication médicale de traiter, puisqu’il y a une maladie, la fertilité
- on prescrit la pilule
Du moment que le corps médical s’est mis à prescrire la pilule, il est sorti de son champ d’action « médical », et s’est mis à faire autre chose que de la médecine, telle que définie par la tradition hippocratique depuis 3000 ans.
La porte s’est ouverte pour tout le reste : euthanasie, transhumanisme, avortement sur une échelle industrielle, eugénisme, etc.
Qu’est-ce qui a produit cela, et a séduit pratiquement tout le monde ? Autant dans le monde médical que dans l’Église ?
La révolution sexuelle.
Tout d’un coup, l’impératif éthique ultime, c’est devenu le besoin, arbitraire et subjectif, ressenti par les individus. Des individus esclaves de myriades de passions et de démons...
Le Texas déclare maltraitances les opérations transgenres pratiquées sur des enfants
Par Raymond Wolfe — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : rawpixel.com/Freepik
Vendredi 13 août 2021, Austin, Texas (LifeSiteNews) — Le Département des services familiaux et de protection du Texas (DFPS) a déclaré que la réalisation de chirurgies transgenres sur des enfants constitue un abus d’enfant et pourrait entraîner des poursuites.
« La mutilation génitale d’un enfant par une chirurgie de réassignation constitue un abus d’enfant, soumis à toutes les règles et procédures relatives à l’abus d’enfant », a écrit mercredi le commissaire du DFPS, Jaime Masters, dans une lettre adressée au Gouverneur républicain Greg Abbott. Le gouverneur avait demandé à Masters la semaine dernière d’examiner si les chirurgies transgenres pouvaient être classées comme des abus contre les mineurs.
« Comme vous l’avez décrit, cette procédure chirurgicale modifie physiquement les organes génitaux d’un enfant à des fins non médicales, infligeant potentiellement des dommages irréversibles au corps des enfants », a écrit Masters à Abbott. « En général, les enfants sous la garde et les soins d’un parent n’ont pas la capacité juridique de consentir à des traitements chirurgicaux, ce qui les rend plus vulnérables. »
Les professionnels ayant « des raisons de croire » qu’un enfant a été victime d’abus sont obligés par la loi texane de contacter le DFPS dans les deux jours suivant le premier soupçon d’abus, a poursuivi Masters. « Le défaut de signalement est un délit de classe A passible d’un an de prison, d’une amende pouvant atteindre 4 000 dollars, ou des deux », a-t-il dit, ajoutant que le fait de dissimuler intentionnellement un abus sur un enfant est un crime passible de prison.
« Enfin, les allégations de mutilation génitale d’un enfant par une chirurgie de réaffectation feront l’objet d’une enquête rapide et approfondie et toutes les mesures appropriées seront prises », a déclaré Masters.
Le gouverneur Abbott a déclaré mercredi sur Twitter que la directive du DFPS et son « application subséquente » sont « effectives immédiatement ».
Dans une lettre vendredi dernier, Abbott a demandé au DFPS de déterminer si « la mutilation génitale d’un enfant à des fins de transition de genre » constitue un abus d’enfant. « Soumettre un enfant à une mutilation génitale par le biais d’une chirurgie de réaffectation “crée une menace réelle de préjudice substantiel de blessure physique pour l’enfant” », a-t-il écrit.
Lire la suiteL’Ohio garantit aux médecins la liberté de ne pas pratiquer l’avortement, la « transition », etc.
Par Adèle Cottereau (Droit de Naître) — Photo : jcomp/Freepik
Cet Etat situé à l’est des Etats-Unis a promulgué début juillet une loi autorisant les médecins à refuser d’exercer des activités en fonction de leurs « croyances ou principes moraux, éthiques ou religieux ». C’est-à-dire les avortements, chirurgies transgenres ou d’autres pratiques qui violent notre foi.
Désormais, un médecin, un établissement ou un fournisseur de soins de santé a la liberté de refuser d’exécuter, de participer ou de payer tout service de soins de santé qui viole sa conscience, selon ses principes moraux, éthiques ou religieux.
Les groupes pro-vie ont célébré cette nouvelle loi, le Center for Christian Virtue (CCV) le qualifiant d’« étape importante pour protéger la liberté religieuse ».
« Les professionnels de la santé subissent aujourd’hui une pression incroyable pour abandonner leur foi et leurs convictions éthiques et pour effectuer des procédures qu’ils jugent nuisibles et dangereuses », a déclaré l’association dans un communiqué de presse peu après la signature de la loi. Cependant, a-t-elle mis en garde dans le message, « ne vous méprenez pas, la culture du politiquement correct qui intimide et réduit au silence des millions d’Américains aujourd’hui est profondément ancrée dans le système médical de l’Ohio. »
Avec la promulgation de cette nouvelle clause de conscience, « les hommes et les femmes de foi qui sauvent des vies à travers tout l’État peuvent savoir qu’ils ne peuvent pas être licenciés ou punis pour avoir traité leurs patients de manière éthique », se réjouit encore le CCV.
Un tribunal annule la politique de l’administration Biden obligeant les médecins à pratiquer l’avortement et la «transition»
Par Raymond Wolfe — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Sebastian Duda/AdobeStock
Wichita Falls, Texas (LifeSiteNews) — Un tribunal fédéral a bloqué une politique de l’administration Biden exigeant que les médecins pratiquent des avortements et des procédures de changement de sexe, sans tenir compte de leurs objections religieuses ou de conscience.
Le juge Reed O’Connor de la Cour de district des États-Unis pour le district Nord du Texas, division de Wichita Falls, a interdit de façon permanente au gouvernement fédéral de mettre en œuvre le soi-disant mandat transgenre dans une décision rendue lundi.
L’administration Obama a d’abord publié le mandat transgenre en 2016, obligeant les prestataires de soins de santé à offrir des procédures de « changement de sexe » à tout patient, quel que soit son âge, sur recommandation d’un professionnel de la santé mentale. La règle, qui ne prévoyait pas d’exemption de conscience, s’appuyait sur l’interprétation d’une clause de non-discrimination de la loi sur les soins abordables (ACA).
Le département de la santé et des services sociaux (HHS) a finalisé l’abrogation du mandat l’année dernière sous le président Trump, mais l’administration Biden l’a rétabli depuis. Et le secrétaire à la santé de Biden, Xavier Becerra, a intenté un procès pour défendre cette politique après un autre jugement défavorable cette année.
Le juge O’Connor a interdit au HHS « d’interpréter ou d’appliquer » l’ACA « d’une manière qui obligerait [les plaignants] à pratiquer ou à fournir une couverture d’assurance pour les procédures de transition de genre ou les avortements, y compris en refusant l’aide financière fédérale en raison de leur incapacité à pratiquer ou à fournir une couverture d’assurance pour de telles procédures ou en poursuivant, facturant ou évaluant de toute autre manière des pénalités, des amendes, des évaluations, des enquêtes ou d’autres mesures d’exécution ».
Lire la suiteUn juge accorde la garde de James Younger à la mère, mais exige l’accord du père pour les produits et les opérations de transition
Par Raymond Wolfe — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Facebook
Dallas (LifeSiteNews) — Un juge du Texas a accordé la garde complète de James Younger à sa mère, qui appelle le garçon de 8 ans une fille, le prénomme « Luna » et veut le soumettre à une « transition de genre ».
La juge Mary Brown, une démocrate, a pris parti contre le père de James, Jeff Younger, dans une décision rendue la semaine dernière, accordant à l’ex-femme de Younger, Anne Georgulas, la garde temporaire de James et de son frère jumeau, Jude. Jeff Younger s’oppose aux procédures transgenres pour son fils et se bat devant les tribunaux depuis des années contre Georgulas, qui n’est pas la mère biologique des garçons, pour protéger James.
Mme Brown a invoqué le soi-disant « manque de volonté ou l’incapacité de Younger à suivre l’ordonnance conçue pour servir au mieux les intérêts des enfants » et a déclaré qu’il avait « omis de verser en temps voulu » la pension alimentaire des enfants.
En conséquence, le juge a accordé à Georgulas « des droits exclusifs sur une base temporaire », selon le mémorandum du jugement publié par le Texan.
Les nouveaux droits de Georgulas comprennent, entre autres, l’autorité exclusive sur la résidence principale de James et Jude, l’inscription à l’école, les conseils, les activités extrascolaires et les médicaments.
Georgulas peut également refuser de communiquer à Younger des informations concernant le bien-être de ses enfants, y compris des détails sur les « rendez-vous de santé mentale ».
« Les ordonnances antérieures selon lesquelles Mme Georgulas doit informer M. Younger des rendez-vous chez le médecin, le conseiller ou le psychologue, ou des activités extrascolaires des enfants sont levées », a déclaré Mme Brown.
Lire la suitePoint de vue italien sur la loi protégeant les enfants de l’influence LGBT : la Hongrie est le flambeau de l’Europe
Giusy D'Amico (tenant une pancarte).
Par le Visegrád Post
Article paru dans le Magyar Nemzet le 9 août 2021.
Giusy D’Amico : Des idéologies dangereuses et pernicieuses se sont infiltrées dans l’enceinte des écoles italiennes
« Des personnes et des associations non identifiées ont pénétré sans autorisation dans les écoles, où elles ont pratiqué l’éducation sexuelle, illustrant les possibilités de changement de sexe existantes et faisant l’apologie de l’homosexualité » — Giusy D’Amico (petit encadré) nous explique que ce sont ces visites d’écoles inopinées, et l’absence de réaction de l’État italien, qui l’ont motivée pour fonder l’ONG « Pas touche à la famille ! », qui, en 2018, a remporté une grande victoire sur la diffusion des idéologies de type LGBTQ. Dans cette interview confiée à Magyar Nemzet, Giusy D’Amico affirme que sa loi pour la protection de l’enfance et le référendum convoqué sur ce sujet fait de la Hongrie le flambeau de l’Europe, car elle prouve que le salut des familles et des jeunes générations est une question de volonté politique.
— Comment avez-vous accueilli la nouvelle de la signature par le chef du gouvernement italien, Mario Draghi, de la lettre condamnant la Hongrie pour la loi de protection des mineurs qu’elle a fait passer ? Dans cette lettre, ce sont les dirigeants de dix-sept pays qui accusent le gouvernement hongrois d’instituer par cette loi une discrimination à l’encontre des membres de la communauté LGBT.
— J’ai appris cela avec stupéfaction. Tout ce que je peux dire, c’est que nous, nous sommes une autre Italie, qui ne peut pas s’identifier à la position du chef de notre gouvernement. Pour cette décision courageuse, la Hongrie mériterait de bénéficier d’un élan international de solidarité et de soutien. Et ce, en tout premier lieu, parce qu’elle n’a pas peur d’écouter l’opinion de ses citoyens. Ce que prouve le fait qu’elle ait soumis à référendum cette loi placée sous le feu croisé des controverses. Il serait bon qu’il existe un forum international où les citoyens des pays occidentaux pourraient, eux aussi, exprimer publiquement leurs opinions et dire comment ils souhaiteraient élever leurs enfants. Car la réalité, c’est que les parents italiens seraient très heureux aussi de pouvoir élever leurs enfants à l’abri des idéologies, conformément à leur propre vision du monde.
— Et cela, la classe politique italienne n’est pas pour ?
— De nos jours, en Italie, le législateur aurait plutôt tendance à offrir une marge de manœuvre encore plus large à la diffusion des idéologies de type LGBT dans les écoles, et à laisser encore moins de liberté aux parents qui voudraient défendre leurs enfants de ces influences néfastes. Ces jours-ci, j’ai eu une rencontre face à face avec le député Alessandro Zan, qui a assumé l’initiative de la proposition de loi destinée à criminaliser l’homo-transphobie. J’aurais voulu lui remettre une lettre, récapitulant les inquiétudes de milliers de familles italiennes. Tout ce que le député Zan a eu à me répondre, c’est : « Nous ne pouvons pas être un pays homophobe, comme la Hongrie et la Pologne. » Après quoi il a tourné les talons et m’a plantée là sans m’avoir répondu. Tout ce que j’ai pu faire, c’est lui crier, pendant qu’il s’éloignait : « L’Italie serait donc homophobe, parce qu’elle permettrait aux parents d’élever librement leurs enfants ? » Mais lui ne s’est même pas retourné pour me regarder dans les yeux — il a continué son chemin. Voilà bien la gauche : incapable de donner de vraies réponses aux citoyens, et d’écouter leur opinion.
Lire la suiteUne commission scolaire de Virginie rejette à l’unanimité les directives transgenres
Par Raymond Wolfe — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Gorodenkoff/AdobeStock
21 juillet 2021 (LifeSiteNews) — Un conseil scolaire de Virginie a rejeté les nouvelles politiques radicales de l’État en matière de transgenrisme lors d’un vote unanime la semaine dernière, à la suite de plaintes de parents indignés et d’autres membres de la communauté.
Le conseil scolaire du comté de Russell a voté à l’unanimité de ses sept voix jeudi pour rejeter les directives relatives aux étudiants transgenres, promues par le département de l’éducation de Virginie (VDOE), rapporte l’Epoch Times. Le conseil a également voté contre l’intégration de la théorie critique de la race dans les cours.
Au début de l’année, le VDOE a introduit des modèles de politiques imposant aux écoles publiques « d’accepter l’assertion d’un élève sur son identité de genre sans exiger de preuves particulières, y compris diagnostic, traitement ou documents juridiques ».
Ces politiques autorisent en outre les élèves à utiliser les vestiaires et les salles de bains en fonction de leur « identité de genre », et menacent de licencier les enseignants en cas de non-respect de ces règles. Selon le département de l’éducation, les écoles doivent « adopter des politiques qui sont conformes aux politiques modèles, mais pouvant être plus complètes que celles-ci », qui devraient être mises en œuvre cet automne.
« J’ai été élu par les gens de cette communauté, et j’ai l’intention de me tenir debout pour protéger chaque enfant et d’accomplir la volonté des gens du comté de Russell — et non celle d’un gouvernement d’État envahissant », déclarait jeudi Bob Gibson, membre du conseil scolaire du comté de Russell. « La chose la plus importante que nous puissions faire est de protéger chaque enfant et de leur fournir un endroit sûr et sécurisé pour apprendre. »
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