Le gouvernement Trudeau va fournir jusqu’à 75 000 $ pour les « chirurgies trans » des employés fédéraux dans le cadre d’une nouvelle entente médicale
Par LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pete/Flickr
17 août 2022 — Le gouvernement Trudeau jette davantage d’argent des contribuables aux groupes de pression transgenres, cette fois sous la forme d’un accord avec les syndicats pour ajouter jusqu’à 75 000 $ de couverture pour les « soins d’affirmation du genre » au Régime de soins de santé de la fonction publique.
Les « soins d’affirmation du genre » sont l’expression orwellienne que les militants transgenres utilisent pour décrire les opérations de changement de sexe et l’hormonothérapie. L’accord intervient après quatre ans de négociations. Le Comité des partenaires du Régime de soins de santé de la fonction publique a envoyé sa recommandation au Conseil du Trésor le 3 août.
Selon un communiqué de presse du gouvernement Trudeau du 8 août :
Le régime modernisé offre un soutien accru aux membres sans coût supplémentaire pour les contribuables.
Les nouvelles caractéristiques du régime comprennent un soutien accru à la santé mentale et au bien-être, comme une couverture accrue des services psychologiques et un élargissement des fournisseurs de services de santé mentale. Pour la première fois, une couverture sera offerte pour l’affirmation du sexe, ce qui fait du gouvernement du Canada un chef de file en matière de modernisation des prestations de soins de santé pour les employés.
Le nouveau régime à vie couvrira près de 1,5 million de personnes dans la fonction publique fédérale, y compris les retraités. Mona Fortier, la présidente du Conseil du Trésor, a déclaré que le nouveau régime pro-transgenre était une preuve de plus de l’approche avant-gardiste du Canada sur ces questions.
« Nos employés, actuels et anciens, bénéficieront de l’un des régimes de soins de santé du secteur public les plus modernes au monde, avec un soutien pour les services de santé mentale et l’affirmation du genre, conformément à notre engagement à défendre la diversité et l’inclusion dans la fonction publique », a-t-elle déclaré.
Lire la suiteUn millier de familles devraient se joindre au procès collectif contre la tristement célèbre clinique de « traitements » transgenres britannique
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : sergign/Adobe Stock
11 août 2022 (LifeSiteNews) — C’est enfin arrivé. Le professeur Jordan Peterson avait prédit — il y a des années — que cela se produirait ; les avocats conservateurs ont mis en garde contre ce résultat ; les militantes féministes l’ont espéré : selon le Times, 1000 familles vont poursuivre le Service de développement de l’identité et du genre (GIDS) de la clinique Tavistock pour les « traitements » transgenres administrés aux mineurs.
Si l’affaire se déroule comme le rapporte le Times, l’impact sera énorme : « Les avocats s’attendent à ce qu’environ 1 000 familles se joignent à un procès pour négligence médicale, alléguant que des enfants vulnérables ont été mal diagnostiqués et placés dans un parcours médical préjudiciable. »
Les parents accusent le GIDS de la clinique du genre de « multiples manquements à son devoir de prudence », notamment « en prescrivant de manière imprudente des bloqueurs de puberté aux effets secondaires nocifs » et en ayant une « approche affirmative et sans discussion » auprès d’enfants qui se croyaient transgenres.
Le Times rapporte que le cabinet d’avocats Pogust Goodhead a « annoncé qu’il demandait une ordonnance de litige collectif contre la fondation, qui a traité 19 000 enfants atteints de dysphorie de genre depuis 1989 ». Des personnes traitées à la clinique se sont déjà manifestées pour se joindre à l’action collective, et il est rapporté que les documents seront déposés auprès de la Haute Cour dans les six mois.
Selon l’avocat Tom Goodhead :
Lire la suiteDes enfants et de jeunes adolescents ont été précipités dans un traitement sans la thérapie appropriée et sans l’implication des bons cliniciens, ce qui signifie qu’ils ont été mal diagnostiqués et ont commencé un parcours de traitement qui ne leur convenait pas. Ces enfants ont subi des effets qui ont changé leur vie et, dans certains cas, des effets irréversibles du traitement qu’ils ont reçu... Nous prévoyons qu’au moins 1 000 clients se joindront à cette action.
Une femme de 80 ans bannie du YMCA après s’être plainte qu’un homme en costume de bain féminin regardait les filles se changer
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Capture d'écran du site de l'YMCA
6 août 2022, Port Townsend, Washington (LifeSiteNews) — Une grand-mère de 80 ans de l’État de Washington a été interdite de baignade au YMCA après s’être plainte qu’un « homme en maillot de bain féminin » « regardait les petites filles » se changer.
« La ville et le YMCA s’efforcent d’appliquer les règles néo-culturelles relatives au genre dans les vestiaires et les salles de douche de la Mountain View Pool, ce qui met en danger les femmes et les enfants », a déclaré Julie Jaman, 80 ans, au conseil municipal de Port Townsend lundi.
Expliquant pourquoi elle est de cet avis, Mme Jaman a déclaré que le 26 juillet, elle se douchait dans les installations de la piscine locale lorsqu’elle a entendu « une voix d’homme dans la zone de vestiaires des femmes ».
Lorsqu’elle est allée voir ce qui se passait, Jaman a dit avoir été témoin « d’un homme en maillot de bain de femme, regardant des petites filles enlever leur maillot de bain afin d’utiliser les toilettes du vestiaire. »
Tout en contestant le récit de Mme Jaman, le responsable de la publicité et de la communication du YMCA n’a pas nié la présence de l’homme, mais a déclaré au Post Millennial que le membre du personnel en question n’était pas en train de « s’engager » avec les jeunes filles, mais les escortait simplement jusqu’au vestiaire.
Le responsable de la communication a également confirmé que Jaman avait effectivement été bannie de l’établissement, mais a déclaré que ce problème n’était qu’un élément parmi d’autres ayant conduit à cette décision.
Dans un rapport local du Port Townsend Free Press, Jaman a donné plus de détails sur ce qui s’est passé selon elle lors de l’incident du 26 juillet.
« Il y avait des interstices dans le rideau et j’étais là, nue, avec du savon et de l’eau sur moi, et ce type, juste là, très près de moi », se souvient Jaman.
Lire la suiteUne célèbre clinique britannique de chirurgie transgenre ferme ses portes
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
29 juillet 2022 (LifeSiteNews) — Tavistock, la seule clinique du Royaume-Uni spécialisée dans la transition de genre, fait l’objet d’un scandale depuis des années et doit maintenant être fermée.
Une étude rendue publique par la BBC en 2020 a révélé que tous les enfants traités pour une dysphorie de genre, sauf un, ont reçu des produits bloquant la puberté.
Plus tôt cette année, une enquête commandée par le National Health Service (NHS) et menée par le Dr Hilary Cass, pédiatre à la retraite, a révélé que la clinique du genre n’était « pas une option sûre ou viable à long terme » pour les jeunes et les enfants, concluant que le personnel de la clinique se contentait souvent de précipiter les enfants dans la transition, d’autant plus que le nombre d’enfants s’identifiant comme transgenres augmente.
Aujourd’hui, enfin, le NHS fait ce qui aurait dû être fait depuis des années : il ferme Tavistock.
Il n’y a pas que des bonnes nouvelles, bien sûr. Si l’enquête qui a conduit à cette décision a critiqué Tavistock pour ses méthodes précipitées et bâclées, elle n’a pas condamné ni ne s’est opposée à l’administration d’inhibiteurs de puberté aux enfants de manière catégorique.
Au lieu de cela, le Tavistock and Portman NHS Foundation Trust fermera Tavistock d’ici le printemps — et il sera remplacé par de « nouveaux centres régionaux » qui « veilleront à répondre aux besoins holistiques » des patients. Le NHS estime que le problème est que la demande de traitements transgenres entraîne une réduction de la qualité des soins — il ne condamne pas encore l’idée de départ selon laquelle le changement de sexe chez les jeunes serait un soin.
Selon la BBC, l’un des nouveaux centres sera situé à Londres et l’autre dans le nord-ouest de l’Angleterre, et tous deux devraient être ouverts au printemps prochain. Les deux centres travailleront avec des hôpitaux pour enfants tels que Great Ormond Street et Alder Hey afin « d’aider à soutenir les jeunes de moins de 18 ans qui se débattent avec leur identité de genre », bien que ceux qui relèvent actuellement de Tavistock y conserveront leur place pour le moment.
Lire la suiteUn quartier de Montréal annule temporairement l'heure du conte « Drag Queen » à la bibliothèque pour en revoir le contenu
Par Clare Marie Merkowsky, 14 juillet 2022 — Traduit par Campagne Québec-Vie
Montréal (LifeSiteNews) — Les conseillers d’un arrondissement de Montréal ont annulé une heure de conte « Drag Queen » pour enfants, disant qu’ils doivent revoir le contenu du spectacle du travesti et artiste de la télévision Sébastien Potvin, selon CBC News.
« Tout était parfait. Nous avions signé le contrat », a déploré Sébastien Potvin. « Tout est allé très, très vite la semaine dernière, et j’aurais adoré être informé et j’aurais pu éviter toute cette histoire ».
Le maire de l’arrondissement de Saint-Laurent, Alan DeSousa, a révélé que la ville est « surtout préoccupée par les sujets qui seront abordés ».
En réponse au tollé sur les médias sociaux concernant l’annulation de l’événement, le conseil a planifié une réunion en août pour discuter du contenu de ce spectacle qui devait avoir lieu le 4 novembre.
Lire la suiteUn juge espagnol déclare qu’une enfant de 8 ans a la « maturité suffisante » pour changer de « genre » sur son certificat de naissance
Par Joseph Summers — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Africa Studio/Adobe Stock
30 juin, 2022, Orense, Espagne (LifeSiteNews) — Un juge espagnol a statué qu’une fillette de huit ans pouvait changer le genre sur son certificat de naissance, affirmant qu’elle présentait une « maturité suffisante » et une « situation stable de transsexualité ».
Le juge Dario Carpio Estevez Perez, le juge responsable du registre civil d’Orense, a rendu sa décision le 10 juin. La décision n’a été rendue publique que lundi. L’enfant est maintenant identifiée comme « Antonio ».
L’année dernière, les parents de l’enfant ont tenté de changer son sexe, mais un juge du registre civil a rejeté cette tentative en septembre, estimant qu’elle n’avait pas la maturité suffisante. Conseillés par Euforia Familia Trans-Aliadas, un groupe espagnol pro-« transgenre », les parents ont affirmé que le juge chargé de superviser le changement de sexe n’avait pas interrogé l’enfant.
Selon Euroweekly, Perez a interrogé l’enfant en mars. Il a estimé qu’elle faisait preuve d’une « maturité suffisante » pour prendre la décision de « passer » de fille à garçon et qu’elle présentait une « situation stable de transsexualité ». Perez a également déclaré que « l’absence de légitimité pour les mineurs de rectifier leur sexe dans le registre civil revient à leur dénier leur droit à l’identité sexuelle ».
La décision a été rendue le jour même où le Conseil des ministres espagnol a approuvé un « projet de loi trans » qui permettrait aux personnes âgées de 16 ans et plus de changer leur sexe sur les documents gouvernementaux sans témoin. Selon la loi, les personnes demandant le changement doivent le confirmer après trois mois. La loi permet également aux enfants dès l’âge de 12 ans de demander le changement avec l’autorisation de leurs parents ou avec l’autorisation d’un juge si les parents ne donnent pas leur consentement. La loi a été introduite en juillet dernier et devrait être soumise à l’approbation du Congrès espagnol.
Les sondages montrent que l’idéologie « transgenre » est de plus en plus discréditée aux États-Unis : le pourcentage d’Américains qui pensent que le sexe biologique détermine le genre a augmenté depuis 2017. Selon un récent sondage, 60 % des Américains pensent que le sexe biologique indique le genre d’une personne. Ce pourcentage est en hausse par rapport à 56 % en 2021 et 54 % depuis 2017.
Des sondages récents indiquent également que la confusion des genres augmente chez les adolescents américains. Une étude menée par l’Institut Williams de la faculté de droit de l’UCLA a révélé que si 0,5 % des adultes s’identifient comme « transgenres », 1,3 % des adolescents de 13 à 17 ans s’identifient comme « transgenres », ainsi que 1,4 % des jeunes adultes de 18 à 24 ans. En revanche, une étude menée en 2017 a révélé que parmi les deux groupes, le pourcentage correspondait à celui des adultes, avec 0,7 % des adolescents s’identifiant comme « transgenres », selon Breitbart.
Un Britannique poursuit le NHS pour l’avoir autorisé à suivre une « transition »
Par David McLoone — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : H Ko/Adobe Stock
25 juin 2022 (LifeSiteNews) — Un Britannique poursuit le National Health Service (NHS), financé par les contribuables, affirmant que les médecins ne l’ont pas averti de tous les effets de l’ablation de ses organes génitaux dans le cadre de son opération de « changement de sexe », rapporte le Daily Mail.
L’homme, âgé d’une trentaine d’années et en cours de « dé-transition », a révélé son combat avec son identité et le traumatisme chirurgical qui s’en est suivi dans une série de messages sur Twitter le 13 juin, expliquant à ses 20 000 sympathisants qu’il était un « adulte vulnérable » lorsque, à l’âge de 26 ans, on l’a convaincu d’entreprendre un régime de médicaments « transgenres » qui a bouleversé sa vie.
C’est en train de se passer. Nous avons également le très courageux TullipR qui poursuit le NHS pour négligence médicale, affirmant que les médecins ne l’ont pas prévenu des conséquences dramatiques de l’intervention chirurgicale qui l’a rendu stérile, incontinent et a fait qu’il se sent comme un « eunuque sexuel ».
— Family Education Trust (@FamEdTrust) 24 juin 2022
« J’avais beaucoup de problèmes complexes au sujet desquels je suppliais que l’on m’aide, mais à la place on m’a affirmé que j’étais transgenre », a déclaré l’homme, qui écrit sous le pseudonyme de TullipR.
Au départ, l’homme a acheté des médicaments à base d’hormones féminines dans le secteur privé, mais son médecin et une « clinique du genre » gérée par le NHS lui ont ensuite prescrit les pilules, selon le Daily Mail. Un psychiatre du NHS lui a ensuite proposé d’envisager une intervention chirurgicale.
Il y a cinq ans, il a franchi l’étape suivante, choisissant de subir une opération irréversible d’« inversion du pénis avec greffe du scrotum ».
« J’ai fini par me retrouver sur la table d’opération. Dès mon réveil de l’opération, j’ai su que j’avais fait la plus grosse erreur de ma vie. Mon sexe avait été lobotomisé ».
Il a détaillé les résultats permanents de son opération qui ont conduit à l’infertilité, à l’incontinence et à un manque de sensations, le tout faisant de lui, selon son expression, un « eunuque sans sexe ».
Stephanie Davies-Arai, fondatrice du groupe pro-famille Transgender Trend, qui a tiré la sonnette d’alarme « au sujet de la transition médicale des enfants et des jeunes », a affirmé que son organisation pense que TullipR « a subi un préjudice » et que « c’est un cas réel de compensation contre le service de santé ».
« Nous espérons que cela obligera le NHS à réévaluer ce type de chirurgie barbare sur des patients à qui les médecins disent que cela les aidera », a déclaré Mme Davies-Arai.
L’affaire a été prise en charge par une équipe d’avocats de Liverpool, dans le nord-ouest de l’Angleterre, qui devrait faire valoir que le NHS n’a pas suffisamment informé TullipR des résultats de l’opération avant de le placer sous le scalpel.
Une enseignante poursuit le conseil scolaire qui l’a expulsée d’une réunion parce qu’elle s’opposait à des livres pour enfants promouvant la «transition»
Mme Burjoski.
Par le Justice Centre for Constitutional Freedoms (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : JCCF
21 juin 2022, Hamilton, Ontario (JCCF) — Le Centre de justice a annoncé mardi qu’une action en justice a été intentée contre le Waterloo Region District School Board au nom de Carolyn Burjoski.
Mme Burjoski, une ancienne enseignante de classe élémentaire, a été expulsée d’une réunion du conseil scolaire après s’être opposée aux décisions du conseil d’interdire les livres de bibliothèque jugés « nocifs » et d’inclure des livres sur la sexualité dans le programme de tous les élèves de l’élémentaire.
Mme Burjoski a assisté à la réunion, ouverte au public, le 17 janvier 2022, et a tenté de faire une présentation de 10 minutes pour exprimer son point de vue, en soulignant que le matériel d’éducation sexuelle proposé sexualiserait les enfants et minimiserait les risques d’une transition sexuelle médicale.
La présentation de Mme Burjoski comprenait un passage d’un livre d’Alex Gino intitulé Rick qui raconte l’histoire d’un jeune garçon dont l’ami parle tout le temps de filles nues. Le garçon décide qu’il doit y avoir quelque chose qui ne va pas chez lui parce que cela n’éveille rien en lui, il déclare donc son « identité asexuelle ».
La présentation a également montré un passage d’un livre de M.G. Hennessy intitulé The Other Boy, qui traite d’une fille qui s’identifie comme garçon et prend des bloqueurs de puberté et de la testostérone dans le cadre d’une transition sexuelle médicale. Mme Burjoski a fait remarquer que certains livres « donnent l’impression qu’il est simple ou même cool de prendre des bloqueurs de puberté et des hormones du sexe opposé ».
La présentation de Mme Burjoski a été interrompue après quatre minutes par le président Scott Piatkowski, qui a allégué qu’elle violait le Code des droits de la personne de l’Ontario. Le conseil a voté pour confirmer la décision de M. Piatkowski et Mme Burjoski a été expulsée de la réunion.
Selon Jorge Pineda, avocat du Centre de justice, « Mme Burjoski est une ancienne enseignante qui s’inquiète sincèrement de la convenance du contenu sexuel partagé avec des enfants d’âge élémentaire dans les écoles de la région de Waterloo ».
Lire la suiteBiden signe un nouveau décret promouvant le programme LGBT dans la loi et la société
Joe Biden.
Par Pierre-Alain Depauw (Média-Presse Info) — Photo : Gage Skidmore/Flickr
États-Unis – L’administration Biden a annoncé mercredi un décret ordonnant aux départements fédéraux de « promouvoir un accès élargi aux soins d’affirmation de genre ».
« Aujourd’hui, pour marquer le mois de la fierté, le président Biden signera un décret exécutif faisant progresser l’égalité pour les personnes LGBTQI+, et il accueillera les familles, les défenseurs, les élus et les dirigeants LGBTQI+ à la Maison-Blanche pour une réception », a annoncé la Maison-Blanche.
Le décret ordonne au Département américain de l’éducation (DOE) et au Département américain de la santé et des services sociaux (HHS) de rédiger et de publier des « exemples de politiques » pour contrer les États qui résistent à la théorie du genre et refusent que les étudiantes aient à partager les toilettes ou les casiers avec des hommes qui se disent femmes.
Le décret charge également le gouvernement fédéral de « renforcer les protections contre la discrimination LGBTQI + dans le système de placement familial » (ce qui signifie probablement à l’avenir de nouvelles contestations du droit des organismes religieux d’insister pour placer les enfants dans des foyers avec à la fois une mère et un père), « promouvoir des environnements d’apprentissage sûrs et inclusifs » et « une collecte de données fédérales élargie sur l’orientation sexuelle et l’identité de genre ».
Le décret fait suite à l’approbation sans réserve par l’administration Biden des enfants « en transition », exprimée dans des documents publiés par le Bureau des affaires de la population du Département américain de la santé et des services sociaux et le National Child Traumatic Stress Network de l’administration des services de toxicomanie et de santé mentale du HHS. En avril, l’ancienne attachée de presse de la Maison-Blanche, Jen Psaki, a affirmé que « chaque grande association médicale convient que les soins de santé affirmant le genre pour les enfants transgenres sont la meilleure pratique et peuvent potentiellement sauver des vies ».
Lire la suiteUne étude révèle que l’utilisation de bloqueurs de puberté et d’hormones sexuelles augmente le taux de suicide chez les jeunes
Par Everyday for Life Canada — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Basicdog/Adobe Stock
Une étude récente de Jay P. Greene, chargé de recherche principal au Center for Education Policy de la Heritage Foundation, devrait inquiéter les parents et tous ceux qui proposent des hormones sexuelles à des jeunes souffrant de confusion de genre. L’étude s’intitule « Puberty Blockers, Cross-Sex Hormones, and Youth Suicide ». Greene constate que l’accès facile aux bloqueurs de puberté et aux hormones n’a pas réduit le risque de suicide, mais l’a plutôt augmenté. Cette constatation est d’autant plus inquiétante que les commissions scolaires, les gouvernements et même les médecins encouragent l’utilisation généralisée de ces substances. Ce mois-ci, les écoles de l’Ontario célèbrent le mois de la fierté, arborant l’arc-en-ciel et faisant la promotion de toutes les lettres de lgtbq, où le « t » signifie transgenre. (Nous refusons intentionnellement de mettre en majuscules cet acronyme).
La présente recherche soulève cette question importante : comment aidons-nous les plus vulnérables si notre intervention, en fournissant des bloqueurs de puberté et des hormones transsexuelles, fait augmenter le taux de suicide chez les 12-23 ans ? Nous ne le faisons pas. On nous dit pourtant que c’est le contraire qui se produit. Ces produits sont censés sauver la vie des enfants et prévenir les suicides. C’est la seule véritable raison pour laquelle un parent prendrait la décision difficile d’accepter d’utiliser ces substances qui altèrent la vie et peuvent arrêter le développement naturel d’un enfant.
Au lieu de cela, sommes-nous en train d’expérimenter avec des enfants souffrant de confusion de genre et de les exposer à un risque plus élevé ? Les résultats de cette étude sont tristes et effrayants, oui. Nous devrions mettre un terme à ce qui s’apparente à de la maltraitance d’enfants. Les parents doivent faire ce qu’ils peuvent pour protéger leurs enfants de cette dangereuse thérapie d’affirmation du transgenre.
Dans une série de Tweets, Greene décrit ses conclusions. Ce sont tous des messages informatifs qui méritent d’être lus. Les lecteurs peuvent également souhaiter examiner les graphiques dans le lien, et lire l’étude dans son intégralité. Dans cet article, nous publions les Tweets de Greene :
Lire la suiteMa nouvelle étude, publiée aujourd’hui, révèle que la facilitation de l’accès aux bloqueurs de puberté et aux hormones transsexuelles a en fait augmenté les taux de suicide chez les jeunes, contrairement aux affirmations de l’administration Biden, des défenseurs de la cause et des recherches antérieures erronées. 1/
La nouvelle étude examine une expérience politique naturelle qui s’est produite parce que certains États ont des dispositions permettant aux mineurs de recevoir des soins de santé sans le consentement parental, du moins dans certaines circonstances, tandis que d’autres États ne le permettent pas. 2/