Directives sur les « pronoms » préférés au ministère de la Justice du Canada
David Lametti, ministre de la Justice du Canada.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Sebastiaan ter Burg/Flickr
21 novembre 2022 (LifeSiteNews) — Selon des documents récemment publiés, le ministre de la Justice du gouvernement Trudeau, David Lametti, a demandé au personnel de son ministère en 2021 de rédiger une directive qui obligerait [en fait inciterait fortement — A.H.] les avocats fédéraux à indiquer leurs « pronoms » au début de toute procédure.
Selon une note de service intitulée « Identification proactive des pronoms de genre », le cabinet du ministre a été « mis au courant d’une pratique de communication des pronoms de genre dans les tribunaux de la Colombie-Britannique » lors d’une « formation sur l’espace positif organisée par le Comité consultatif sur l’orientation sexuelle, l’identité et l’expression de genre (ACSOGIE), anciennement connu sous le nom de “Comité consultatif LGBTQ2+” ».
Cette révélation a « inspiré » le cabinet du ministre, qui a demandé au Secteur national du contentieux « d’élaborer une directive exigeant que les avocats du ministère de la Justice indiquent leurs pronoms et leurs titres … dans toutes les procédures judiciaires et administratives ». Il s’agit apparemment d’une pratique courante en Colombie-Britannique, au Manitoba et en Nouvelle-Écosse.
La note de service concluait qu’étant donné que le ministère de la Justice « s’est également engagé à créer une société plus inclusive, y compris par le biais du système juridique », pour le moment, « une approche non obligatoire encourageant fortement ou invitant à l’identification des pronoms est préférable, en mettant l’accent sur l’éducation et en donnant l’exemple ».
Lire la suiteLa guerre des démocrates contre les parents vient de prendre un nouveau tournant radical : retirer leurs enfants aux conservateurs
Par Raymond Wolfe — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : dusanpetkovic1/Adobe Stock
3 novembre 2022 (LifeSiteNews) — Si les démocrates arrivent à leurs fins, les parents qui s’opposent à l’idéologie transgenre ou aux médicaments et opérations chirurgicales irréversibles pour enfants pourraient perdre la garde de leurs enfants dans un avenir proche.
Cela peut sembler trop radical pour être vrai, mais c’est en train de se produire.
Fin septembre, le gouverneur de la Californie, Gavin Newsom, a signé le projet de loi SB 107 qui permet aux tribunaux californiens de prendre une « juridiction d’urgence » pour les enfants qui viennent dans l’État pour une « transition de genre ».
En d’autres termes, à partir de janvier, la Californie pourra retirer aux parents de n’importe quel État leur droit de garde si leurs enfants cherchent à subir une mutilation chimique ou chirurgicale à l’intérieur des frontières californiennes, ou même par télémédecine avec un médecin basé en Californie.
En outre, cette loi, dont l’auteur est un législateur homosexuel de San Francisco et qui est coparrainée par Planned Parenthood, pourrait favoriser l’enlèvement de mineurs vers la Californie — et laisser les parents impuissants à l’empêcher.
La loi SB 107 comprend une large dérogation qui protège « l’enlèvement d’un enfant » pour obtenir des médicaments ou des opérations transgenres, comme l’a souligné le groupe juridique conservateur Alliance Defending Freedom.
« Cela donne à un proche de l’enfant qui emmène celui-ci secrètement en Californie et organise des procédures d’identité sexuelle sur l’enfant, un moyen de priver également les parents de leurs droits et d’obtenir la garde exclusive de l’enfant », a expliqué le groupe. « Les parents dont l’enfant rend visite à un proche en Californie pourraient perdre la garde de leur enfant pour toujours si ce proche persuade l’enfant de s’identifier à un autre sexe pendant la visite. »
Lire la suiteNon à une Drag Queen au défilé de Noël / No to a Drag Queen at the Montreal Santa Claus Parade
Photo : Unsplash: Parade/Wikipédia: Barbada
**English version below**
À la Société de développement commercial du centre-ville de Montréal (SDCCM), organisatrice du défilé annuel du père Noël au centre-ville de Montréal :
Nous, citoyens concernés, parents et grands-parents de Montréal et d’ailleurs, sommes profondément fâchés et attristés d’apprendre qu’une « drag-queen » nommée « Barbada » fera partie du défilé du père Noël au centre-ville de Montréal cette année en tant que « Fée des étoiles ».
Le défilé de Noël ou du père Noël est une tradition annuelle qui inaugure la saison de Noël, une période spéciale où tout le monde, mais surtout les enfants, devrait pouvoir célébrer les joies de la vie familiale et de l’enfance dans un environnement sûr.
Malheureusement, il semble que la Société de développement commercial du centre-ville de Montréal (SDCCM), qui organise le défilé annuel, pense autrement. Il est scandaleux qu’après deux ans de confinement dû aux mesures de lutte contre la pandémie, le meilleur moyen que la SDCCM puisse trouver pour attirer à nouveau les familles et les enfants dans un centre-ville de Montréal abandonné soit de transformer un événement familial en un « défilé de la fierté » LGBT chargé d’idéologie.
Les « drag queens » ne sont pas un « amusement inoffensif » : beaucoup de nos familles ont déjà eu leur dose de cette propagande dans nos bibliothèques et nos écoles, où il semble que tous les deux jours on dise aux enfants que les hommes peuvent être des femmes, et les femmes des hommes. Ces mensonges, répétés à l’infini, entraînent des conséquences désastreuses sur la santé mentale et physique de nos enfants. Aux États-Unis, pas moins de 121 882 enfants âgés de 6 à 17 ans ont reçu un diagnostic de dysphorie de genre ou de confusion quant à leur sexe, entre 2017 et 2021. Tragiquement, beaucoup de ces enfants ont entrepris une hormonothérapie et des opérations chirurgicales dangereuses et irréversibles, qui les marqueront à jamais. Nous déplorons que cette tendance nocive vienne à Montréal et soit présentée lors d’un événement familial !
Parce que nous aimons nos familles et que nous croyons que les événements familiaux sont la clé d’un véritable renouveau du centre-ville de Montréal, nous demandons que la SDCCM retire son invitation à « Barbada » et laisse les enfants être des enfants, sans qu’ils aient à subir du harcèlement idéologique et sexuel, ou de l’endoctrinement « woke ».
Sincèrement vôtre,
***English version***
No to a Drag Queen as “Star Fairy” at the Annual Montreal Santa Claus Parade
Drag Queen has no place in Montreal Christmas Parade
To the Montreal Downtown Business Development Corporation (MDBDC), organizers of the annual Santa Claus Parade in downtown Montreal:
We, concerned citizens, parents, and grand-parents of Montreal and elsewhere, are deeply angered and saddened at the news that a “drag-queen” named “Barbada” will be included as the “Star Fairy” at the Santa Claus parade in downtown Montreal this year.
The Christmas or Santa Claus parade is an annual tradition that ushers in the Christmas season, a special time where all people, but especially children, should be allowed to celebrate the joys of family life and childhood in a safe environment.
Unfortunately, it seems that the Montreal Downtown Business Development Corporation (MDBDC), which organizes the annual parade, thinks otherwise. It’s outrageous that, after two years of confinement due to pandemic measures, the best way the MDBDC can find to attract families and children back to an abandoned Montreal downtown core is to transform a family event into an ideologically charged LGBT “pride parade”.
“Drag queens” are not “harmless fun”: Many of our families have already had their fill of this propaganda in our libraries and schools, where it seems every other day children are being told that men can be women, and women can be men. These lies, repeated over and over, have dire consequences on the mental and physical health of our children. In the US, as many as 121,882 children between the ages of 6 and 17 were diagnosed with gender dysphoria or confusion about their sex, between 2017 and 2021. Tragically, many of these children have gone on to undertake dangerous and irreversible hormone therapy and surgeries, which will mark them forever. We deplore that this dangerous trend is coming to Montreal and being featured at a family event!
Because we love our families and believe that family-friendly events are the key to a true renewal of Montreal’s downtown, we ask that the MDBDC retract its invitation to “Barbada” and let children be children, without grooming, ideological or sexual harassment, or misguided “wokeness”.
Le Conseil de médecine de Floride vote l'interdiction des opérations et produits de « transition » aux mineurs
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Minerva Studio/Adobe Stock
28 octobre 2022, Orlando, Floride (LifeSiteNews) — Le comité législatif du Conseil de médecine de Floride a voté aujourd’hui pour interdire les médicaments et les opérations transgenres pour les mineurs. La mesure sera soumise à l’ensemble du Conseil la semaine prochaine pour décider de sa date d’entrée en vigueur.
« La règle interdirait aux professionnels de la santé de prescrire aux mineurs des bloqueurs de puberté, des hormones transsexuelles et de les orienter pour fin d'opérations d’affirmation du genre », rapporte le Daily Wire.
[Malheureusement]*« Toutefois, les adolescents qui suivent actuellement un traitement à base de bloqueurs de puberté et d’hormones transsexuelles seraient autorisés à le poursuivre s’ils acceptent de prendre part à un essai clinique approuvé par un comité d’examen institutionnel (IRB) dans un centre affilié à une université, selon les membres du conseil présents à la réunion. »
Chloe Cole, qui regrette aujourd’hui d’avoir subi des procédures d’« affirmation de genre » à un jeune âge, a publié une vidéo de son témoignage déchirant devant le comité.
« À seize ans, après des années de transition médicale, je me suis rendu compte que je regrettais profondément ma transition », cite Cole de son audition devant le comité.
« Pourquoi une épidémie de santé mentale n’est-elle pas abordée avec un traitement de santé mentale pour s’attaquer aux causes profondes pour lesquelles des adolescentes comme moi veulent rejeter leur corps ? », a demandé Cole.
Lire la suiteDes médecins et des chercheurs dénoncent une nouvelle étude qui préconise l’amputation du sein chez les adolescentes confuses
Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie
3 octobre 2022, Chicago, Illinois (LifeSiteNews) — Des professionnels de la médecine et des chercheurs en sciences sociales ont critiqué une nouvelle étude qui prétend trouver des avantages aux doubles mastectomies sur les jeunes filles qui souffrent de confusion de genre.
L’étude, intitulée « Top Surgery and Chest Dysphoria Among Transmasculine and Nonbinary Adolescents and Young Adults » [Chirurgie du haut et dysphorie de la poitrine chez les adolescents et jeunes adultes transmasculins et non binaires], et publiée dans la revue JAMA Pediatrics de l’American Medical Association, affirme que « la chirurgie du haut visant à affirmer le genre est associée à une amélioration de la dysphorie de la poitrine, de la congruence des genres et de l’image corporelle dans ce groupe d’âge ».
L’étude a porté sur des femmes âgées de 13 à 24 ans qui ont subi une « mastectomie chirurgicale » ou qui ont pris uniquement de la testostérone comme groupe témoin.
L’un des chercheurs était affilié à la faculté de médecine de l’université de l’Illinois à Chicago, tandis que les autres étaient affiliés à l’hôpital de l’université Northwestern et à l’hôpital Lurie pour enfants. Lurie a reçu de l’argent de la riche famille Pritzker pour promouvoir la médecine « transgenre » et les « soins d’affirmation du genre ». La faculté de droit de la Northwestern University a reçu un don de 100 millions de dollars de J.B. Pritzker, l’actuel gouverneur de l’Illinois, et porte désormais le nom de sa famille.
Les avantages supposés ont conduit les auteurs à conclure qu’il ne devrait pas y avoir d’âge minimum pour l’ablation de seins en bonne santé chez les filles. « Dans notre pratique, il n’y a pas de délai prédéterminé pour un traitement médical ou chirurgical d’affirmation du genre », ont-ils écrit. « Les patients sont évalués individuellement par une équipe multidisciplinaire pour déterminer s’ils sont prêts. Il n’y a aucune donnée probante pour soutenir le report de la chirurgie en fonction de l’âge pour les patients admissibles. »
En dépit d’une couverture médiatique flatteuse, l’étude présente des lacunes, selon Michael New, professeur à la Catholic University of America, qui écrit et étudie fréquemment la conception des recherches et possède une formation en statistiques.
« Même si l’étude a bénéficié d’une couverture médiatique largement favorable, il existe de nombreuses raisons d’être sceptique quant à ses conclusions. Tout d’abord, l’étude compare divers résultats de 36 personnes qui ont subi une chirurgie du haut à 34 personnes qui n’ont pas été opérées », a écrit New dans un courriel adressé à LifeSiteNews. « Il s’agit d’un échantillon de petite taille. En outre, les auteurs de l’étude admettent qu’ils ne disposent pas de données sur 11 personnes en raison de l’attrition. On ne sait pas combien de ces 11 personnes ont subi une chirurgie du haut. Cependant, le fait qu’ils ne disposent pas de données sur plus de 13 % des sujets de l’étude est préoccupant. »
Lire la suiteLe district scolaire de San Francisco apprend aux enfants à cacher leur « identité » transgenre à leurs parents
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo (modifiée) : Freepik
4 octobre 2022 (LifeSiteNews) — Christopher Rufo fait partie de la poignée de militants — avec Matt Walsh, Katy Faust, Laila Mickelwait, Libs of Tiktok et une poignée d’autres — qui prouve qu’il est possible de lancer avec succès un mouvement opposé à la révolution sexuelle. Ses reportages révèlent constamment à quel point la pourriture de l’idéologie du genre s’est répandue dans le système scolaire public, et son journalisme attire régulièrement l’attention des autorités.
Dans son dernier reportage viral, Rufo a révélé un guide édité par le San Francisco Unified School District « encourageant les enseignants à faciliter les transitions secrètes des enfants et à soutenir les élèves qui utilisent le pronom de genre “it” (pronom neutre anglais) à l’école — qui, selon le district, est la version, pour l’identité de genre, du mot tabou en “n” ».
Rufo, comme à son habitude, présente ses justificatifs dans une série de messages Twitter truffée de captures d’écran qui prouvent ses allégations. « Le district enseigne aux élèves qu’ils peuvent s’écarter de la “sexualité vanille” (ou classique) et faire partie du “parapluie bisexuel”, avec des options d’identité sexuelle incluant “fluide”, “pansexuel”, “omnisexuel”, “homo-curieux” et “hétéro-flexible” », a noté Rufo. « Le district a également publié un guide sur l’affirmation des élèves qui utilisent le pronom “it”, expliquant qu’il a été utilisé depuis longtemps comme une insulte pour déshumaniser les personnes trans et non conformes au genre, mais qu’il peut être récupéré, comme les Afro-Américains l’ont fait avec le mot en “n”. »
Comme toujours, cependant, la partie la plus troublante des directives scolaires est le fait qu’elles donnent des conseils explicites sur la façon de garder l’identité des enfants secrète pour les parents. « Le district a créé un système pour faciliter les transitions sexuelles des enfants pour ses élèves de la maternelle à la cinquième année, en disant aux enfants qu’ils peuvent choisir un nom et un ensemble de pronoms différents de ceux qu’ils utilisent à la maison, et que cette nouvelle identité sera cachée à leurs parents », a rapporté Rufo.
« La politique du district est de faciliter les transitions sexuelles des enfants sans en informer les parents. Les élèves ont le droit de révéler leur nouveau genre à l’école — avec de nouveaux pronoms, une nouvelle identité — et que cette information ne soit en aucun cas partagée avec les gens de leur famille ».
Lire la suiteLe père de James Younger craint que son ex-femme ne déménage en Californie afin de « transitionner » son fils
Jeffrey Younger et son fils James.
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Facebook
27 septembre 2022 (LifeSiteNews) — Jeff Younger, qui se bat depuis des années pour la garde de ses jumeaux, craint qu’une récente décision de justice ne permette à son ex-femme de déménager en Californie pour contourner une décision antérieure et castrer chimiquement l’un des jumeaux.
L’ex-femme de Younger, Anne Georgulas, traite leur fils James, âgé de 10 ans, comme une fille, depuis qu’il a trois ans, l’appelant « Luna », le vêtant de robes et le présentant à l’école comme fille. Au cours d’une bataille juridique qui lui a permis d’obtenir la garde complète des enfants en 2021, Mme Georgulas a admis à plusieurs reprises sous serment qu’elle avait l’intention de transformer James en fille.
Younger soutient que son ex-femme a amené James à se présenter socialement comme une fille avant qu’il ne soit assez mature pour en comprendre les implications. Il a précédemment expliqué à LifeSiteNews que James se présentait comme un garçon lorsqu’il était avec Younger, et un ancien journaliste de LifeSiteNews qui a rencontré James a observé qu’il « avait l’énergie et l’esprit d’un jeune garçon » et qu’il avait des comportements typiquement masculins, notamment le goût de la lutte.
Le juge du district de Dallas, Mary Brown, a décidé le 21 septembre que Mme Georgulas pouvait déplacer James et son frère jumeau Jude n’importe où aux États-Unis, et qu’elle ne devait pas révéler leur futur lieu de résidence à leur père. Elle se trouve actuellement dans la région de Dallas, tout comme Younger.
En outre, toute visite de Younger à ses enfants devra être « supervisée » dans le comté où les enfants résideront, selon le jugement, comme l’explique Jeff Morgan, militant de la réforme du droit de la famille, dans une vidéo YouTube.
Younger a déclaré à LifeSiteNews que Georgulas a témoigné sous serment lors de la dernière audience du tribunal qu’elle avait l’intention de déménager en Californie, ce qui lui permettra probablement de contourner une décision de justice antérieure qui exigeait le consentement de Younger pour effectuer une opération « transgenre » sur son fils ou lui administrer des bloqueurs de puberté.
La Californie a adopté un projet de loi qui empêche essentiellement l’application des lois en vigueur dans d’autres États qui « empêcheraient les personnes d’obtenir des soins d’affirmation du genre qui sont légaux en Californie », a partagé The Epoch Times.
Lire la suiteL’université Vanderbilt encourage les opérations transgenres pour gagner « énormément d’argent »
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Hero Images/Adobe Stock
21 septembre 2022, Nashville (LifeSiteNews) — Le centre médical de l’université Vanderbilt (VUMC) a fait la promotion des « transitions de genre » mutilantes pour les mineurs comme « générant énormément d’argent » et a considéré les objections morales à la participation à cette pratique comme un problème méritant des sanctions, selon une vidéo explosive découverte par Matt Walsh du Daily Wire.
Walsh a publié le 20 septembre 2022 une série de messages Twitter soulignant ses découvertes sur la clinique transgenre de Vanderbilt à Nashville — dont certains patients étaient des enfants de 13 ans seulement — dont les détails ont ensuite été compilés et élaborés dans un article du Daily Wire.
« Nouvelle fracassante : Mon équipe et moi avons enquêté sur la clinique transgenre de Vanderbilt, ici à Nashville. Vanderbilt drogue, castre chimiquement, et pratique des doubles mastectomies sur des mineurs. Mais il y a pire. Voici ce que nous avons trouvé. Commençons par le début. »
« Vanderbilt a ouvert sa clinique transgenre en 2018. Lors d’une conférence la même année, le Dr Shayne Taylor a expliqué comment elle a convaincu Nashville de se lancer dans le jeu de la transition de genre. Elle a souligné qu’il s’agissait d’une “grosse rentrée d’argent”, notamment parce que les opérations chirurgicales nécessitent beaucoup de “suivis”. »
« Vanderbilt était apparemment préoccupée par le fait que tout son personnel ne serait pas d’accord. Le Dr Ellen Clayton a prévenu que les “objections de conscience” sont “problématiques”. Toute personne qui décide de ne pas participer aux opérations de transition en raison de “convictions religieuses” devra faire face à des “conséquences”. »
« Au cas où les objecteurs n’auraient pas reçu le mémo, Vanderbilt a dévoilé un programme appelé “Trans Buddies”. Les “copains des trans” sont des activistes transgenres de la communauté qui assistent aux rendez-vous des patients transgenres et surveillent les médecins pour éviter les comportements “dangereux” tels que les erreurs d’appellation. »
« Vanderbilt met aussi ses Trans Buddies à la disposition des enfants. Ils mettent beaucoup de “services” à la disposition des enfants, y compris la castration chimique. Bien qu’à un moment donné, au cours du mois dernier, ils aient supprimé la reconnaissance explicite de ce fait sur leur site. Voici la capture d’écran archivée [qui dit : “Traitements et services. Gamme complète de tests, de traitements et de services, y compris l’hormonothérapie d’affirmation”]. »
Lire la suiteTucker Carlson : les études montrent que les opérations transgenres entraînent « 19 fois plus de risques de suicides »
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
21 septembre 2022 (LifeSiteNews) — L’animateur de Fox News Tucker Carlson a démenti l’affirmation selon laquelle les chirurgies transgenres préviennent les suicides, affirmant que les personnes qui sont passées par ces opérations destructrices sont en fait beaucoup plus susceptibles de se suicider que celles qui n’en ont pas obtenu.
Dans un clip publié sur les médias sociaux par le Daily Caller lundi, Carlson a déclaré que des militants « avec un agenda sexuel, pas un agenda politique, ont poussé si fort pour rendre » la chirurgie transgenre « légale et ensuite à la mode que nous n’y avons pas fait attention. Mais les chiffres sont là ».
Dans son monologue, Carlson a fait référence à une étude de cohorte suédoise publiée en 2011. Selon le résumé de l’étude, « les personnes atteintes de transsexualisme, après une réassignation sexuelle, présentent des risques considérablement plus élevés de mortalité, de comportement suicidaire et de morbidité psychiatrique que la population générale. »
Carlson a expliqué que, d’après les recherches qui ont porté sur les résultats réels sur trois décennies, les personnes qui ont obtenu ce qu’on appelle des « chirurgies d’affirmation du genre » étaient « 19 fois plus susceptibles de se suicider que les personnes qui n’en avaient pas eu ; la population générale. »
Tucker Carlson: "People that underwent 'gender-affirming surgery' were 19 times more likely to kill themselves than people who hadn't." pic.twitter.com/xXG0fwn2BR
— Daily Caller (@DailyCaller) September 20, 2022
« Ce n’est pas une histoire ? Vraiment ? », a dit Carlson, en soutenant que les médias traditionnels « ne couvrent pas du tout cela. Ils l’encouragent. »
Le populaire animateur de Fox News a en outre noté que les défenseurs de l’idéologie transgenre « cachent la réalité » des opérations chirurgicales destructrices permanentes « derrière des euphémismes », faisant passer la castration réelle pour des « soins d’affirmation du genre ».
Alors que les défenseurs des transgenres citent souvent des statistiques pour affirmer que les soins dits « d’affirmation du genre » contribuent à réduire les idées suicidaires, une étude du JAMA de 2021 a révélé que les efforts « pour démontrer empiriquement les avantages pour la santé mentale de la chirurgie d’affirmation du genre ont généré des résultats mitigés ».
Lire la suiteLe gouvernement canadien recommande aux enseignants de cacher aux parents l’« identité transgenre » de leur enfant
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Wayhome Studio/Adobe Stock
Vous est-il déjà arrivé de jeter un coup d’œil sur la page du site officiel du gouvernement du Canada, intitulée « Questions et réponses : L’identité sexuelle à l’école – Que dois-je faire si un étudiant me révèle son identité transgenre ? » Sa lecture édifiante vous apprendra, entre autres velléités progressistes, que le gouvernement fédéral se permet de recommander aux personnes travaillant dans le domaine de l’instruction de cacher aux parents l’« identité transgenre » de leur enfant, s’il advenait que ce dernier confiât auxdits éducateurs un tel sentiment et qu'il ne l'eût pas révélé à ses parents.
Pourquoi ? Parce que « Le milieu familial n’est pas toujours sécuritaire pour les jeunes transgenres », proclame l’auteur de la page. Selon le site du Gouvernement du Canada :
Le milieu familial n’est pas toujours sécuritaire pour les jeunes transgenres. Il est important de ne pas faire appel aux parents et aux personnes responsables des jeunes transgenres à moins que les jeunes eux-mêmes n’aient déjà divulgué leur identité sexuelle à leurs familles ou vous avez l’obligation légale de déclarer une telle identité s’il y a des risques de blessures volontaires. Les jeunes transgenres peuvent être exposés à des risques à la maison si l’école s’adresse aux parents et aux personnes responsables alors qu’ils ne sont pas au courant de l’identité sexuelle de leur enfant.¹
Les parents sont toujours (que je sache) les premiers responsables de leurs enfants, les dernières personnes en fait à qui cacher une telle révélation, et surtout pas a priori. En effet, en quoi un professeur devrait-il systématiquement cacher aux premiers responsables de l’enfant un secret de ce type sous prétexte que le « milieu familial n’est pas toujours sécuritaire » ? Ce n’est pas parce que le milieu familial « pourrait » être insécuritaire qu’il faut par défaut le sauter. Cette généralité est symptomatique d’un gouvernement qui désire s’arroger les prérogatives parentales. A priori, un éducateur ne devrait pas cacher aux parents l’état de l’élève qu’ils lui ont confié, puisque c’est d’eux qu’il a reçu autorité pour enseigner à l’enfant.
C’est un peu comme si le fédéral s’ingérait dans les autres paliers gouvernementaux : « surtout n’allez pas dire au gouvernement provincial… »
Suivant les conseils gouvernementaux, l’enseignant pourrait même décourager l’élève de se confier à ses parents :
Lire la suiteNe parlez pas de l’identité de l’étudiant avec les personnes auxquelles il n’a pas encore révélé son identité sexuelle, y compris les parents et les personnes responsables.
La divulgation de leur identité sexuelle est l’une des annonces les plus difficiles et les plus importantes que les personnes transgenres communiquent aux autres. Pour un grand nombre d’entre elles, cela peut représenter la fin d’une très longue lutte intérieure pour tenir leur identité secrète par peur ou par honte. L’action de divulguer son identité est un jalon qui peut signifier que la personne accepte son identité, et marquer le début d’une « nouvelle vie ». Il est toutefois important de parler au jeune transgenre de la gamme de réactions que la divulgation pourrait susciter au sein de la collectivité scolaire et au sein de la famille. Discutez avec lui de la possibilité qu’il soit victime de rejet, de harcèlement, de violence verbale, de violence physique, et de violence sexuelle, et aidez-le à acquérir des mécanismes d’adaptation.