Le « transpécisme », ou la suite logique du « transgenrisme »
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info)
L’idéologie du genre, sa dérive transsexualiste si à la mode, et le transhumanisme leur fondement véritable, ont créé des monstres, à la lettre et au figuré.
Richard Hernandez était directeur de banque adjoint. Il a vécu une enfance difficile, au milieu du désert et presque abandonné à lui-même. Il a décidé de « changer » de sexe. Lorsqu’il a découvert qu’il était séropositif, sa vie a été bouleversée et il ne s’est plus accepté non seulement en tant qu’homme, mais aussi en tant qu’être humain et il voulait donc devenir un dragon. Il s’est fait tatouer sur le corps des écailles, amputer les oreilles et le nez, sa langue a été rendue fourchue et il s’est fait injecter dans la sclérotique — le blanc de l’œil — une substance verte, afin de changer la couleur des yeux. Il a dépensé soixante mille dollars pour cette folie entre 1990 et 2016. Il est ainsi devenu le premier homme-femme transpécifique (il ne se sent ni femme ni homme complètement).
L’histoire de « feu » Richard nous fait comprendre les paradoxes de la soi-disant identité de genre : si un homme peut se sentir pris au piège dans le mauvais corps d’un homme et veut pour cela « changer » de sexe, pourquoi ne pourrait-il pas se sentir pris au piège dans le mauvais corps d’un être humain et vouloir devenir un dragon ou un autre animal ? Si la transition d’un sexe à l’autre est légale, pourquoi la transition d’une espèce à l’autre ne devrait-elle pas être également légale ? Compte tenu de certaines prémisses, il est nécessaire d’être cohérent et de tirer les conclusions logiques : l’idéologie du genre prônée par les lobbies lgbt et transhumanistes conduit à ces transformations diaboliques !
Un homme affirme qu’il est vraiment un chien en utilisant des arguments transgenres
Par Jonathon Van Maren — traduit par Campagne Québec-Vie
8 avril 2019 (LifeSiteNews) — En tant que chroniqueur sur les dernières nouvelles de la guerre culturelle en 2019, j’ai souvent de la difficulté à savoir sur quelles histoires je dois écrire et sur lesquelles je dois passer. Car, la révolution sexuelle infligée à l’Occident au cours du dernier demi-siècle semble s’être métastasée et être entrée en quatrième phase, nous sommes maintenant forcés de nous attaquer aux concepts et aux comportements qui auraient fait rougir de honte nos grands-parents, à reculer de dégoût ou de désespoir devant l’état de notre culture — et très probablement les trois. Mais malgré cela, il est malheureusement essentiel de s’attaquer à la confusion morale, au totalitarisme transgenre et à l’état mutilé du mariage.
La raison pour laquelle il est important de suivre ces histoires est que si les deux dernières décennies nous ont appris quelque chose, c’est que les choses qui sont considérées comme la limite extrême de la frange folle un jour sont des droits de la personne immuables le lendemain. Des idées que nous avons un jour qualifiées d’incroyables par le bon sens et la pensée ont été adoptées par les élites, qui nous informent rapidement que nous sommes tenus de jouer avec les nouvelles folies à la mode. Et si les progressistes obtiennent ce qu’ils veulent, notre société entière sera restructurée en fonction de leur relativisme révolutionnaire (et obligatoire). Nous ne pouvons pas nous permettre de les ignorer, car ils n’ont pas l’intention de nous ignorer.
Donc, avec ces réserves bien en place, considérez la dernière folie au Royaume-Uni, rapportée par le Daily Mail. Kaz James, un gérant de magasin de 37 ans de Salford, dans le Greater Manchester, a déclaré aux médias qu’il s’est toujours senti « bizarre » et « ne s’est jamais senti comme un humain », puis a réalisé à l’adolescence qu’il était un chiot. C’est-à-dire, un jeune chien, au cas où ce ne serait pas clair. Il mange ses repas dans un bol pour chien, aboie souvent après ses amis, mange des biscuits pour chien [j’imagine que ce ne sont pas vraiment des vrais biscuits pour chien…]*, transporte des choses dans sa bouche et a pour plusieurs milliers de livres sterling en d’objets en caoutchouc, de laisses pour chien et d’autres accessoires pour l’aider dans sa transformation. Il a même écrit un livre, How to Train a Human Pup (Comment entraîner un chiot humain), et s’efforce d’être un « chien » dans toute sa vie.
Lire la suiteLe National Geographic condamné par des pédiatres pour le transgenre de 9 ans sur sa couverture de janvier
Par Sadé Patterson (LifeSiteNews) - traduit par Campagne Québec-Vie
23 décembre 2016 (LifeSiteNews) – Une association de pédiatres condamne le National Geographic d’avoir mis sur la couverture de son numéro de janvier, un enfant de 9 ans qui s’identifie comme transgenre.
Le National Geographic met en exergue la «révolution du genre» dans son numéro de janvier 2017 présentant, Avery Jackson, un enfant de 9 ans, la première d’un transgenre en couverture d’une publication.
On cite Avery sur la couverture affirmant: «La meilleure chose à propos d’être une fille est que maintenant je n’ai pas à prétendre que je suis un garçon».
Michelle Cretella, docteur en médecine, Président du Collège américain des pédiatres a dit à LifeSiteNews que le National Geographic «fait la promotion d’un programme politique sur le dos de la Science et du bien-être d’enfants innocents». en mettant en vedette un jeune enfant transgenre.
Lire la suiteUn ‘Trans-Age’ ? Un père vit comme une fillette de 6 ans après avoir abandonné sa femme et leurs 7 enfants
Par Dustin Siggins (LifeSiteNews) - traduit par Campagne Québec-Vie
21 décembre 2015 - Sept enfants et 23 années de mariage n’ont pas empêché Stefonknee Wolscht d’abandonner sa famille.
Aujourd’hui, six ans plus tard, le transsexuel canadien à la voix profonde et précédemment connu sous le nom de “Paul”, déclare qu’il vit maintenant comme une fillette de six ans.
Wolscht déclare ceci dans une vidéo publiée par le journal The Daily Xtra en partenariat avec le Projet Transsexuel : « je ne peux nier avoir été marié. Je ne peux nier que j’ai des enfants. » Mais il a aussi dit que le fait de vivre comme une enfant de six ans avec le soutien de deux amis plus vieux lui servant de parents « constitue sa façon d'avancer. »
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