Kamala Harris voudrait « éliminer la liberté de religion » et a un programme anticatholique « extrême », dénoncent des personnalités catholiques
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : PxHere
26 juillet 2024 (LifeSiteNews) — L'éventuelle présidence de Kamala Harris représenterait une menace pour les libertés religieuses des catholiques et la vie des bébés à naître, avertissent des personnalités catholiques.
La vice-présidente Kamala Harris est actuellement le choix du Parti démocrate pour l'élection présidentielle de 2024. Sauf changement de dernière minute, les démocrates la désigneront officiellement au cours de la première semaine d'août.
Ses antécédents d'opposition aux catholiques et aux valeurs catholiques suscitent des inquiétudes.
Sous l'administration Biden-Harris, le ministère de la Justice a appliqué de manière agressive et sélective la Loi sur la liberté d'accès aux entrées des cliniques (FACE Act), en s'en prenant notamment à des pères pro-vie pacifiques comme Mark Houck.
Ce même ministère de la Justice a également publié, par l'intermédiaire du Bureau fédéral d'enquête (FBI), un document accusant sans fondement d'« extrémisme » les catholiques qui assistent à la messe traditionnelle en latin. Le FBI a même espionné des églises pratiquant la messe en latin sous l'administration Biden-Harris.
De même, le procureur général de Biden, Merrick Garland, et le ministère de la Justice ont publié un document suggérant que les parents et les activistes inquiets qui s'opposaient à la politique d'identité raciale et à l'idéologie sexuelle dans les salles de classe étaient assimilés à des terroristes nationaux.
Lire la suiteDans cet État, les manuels scolaires glorifiant l’homosexualité, obligatoires dans les écoles publiques
Par Reinformation.tv
L’exigence d’inclure la propagande en faveur des homosexuels et des transgenres dans les manuels d’histoire dans les curriculums des écoles publiques de la maternelle à la quatrième en Californie, à la suite d’une décision prise en 2011 au nom de « l’éducation équitable » est désormais assortie du bannissement de tout manuel ne répondant pas à ces critères dans le domaine de l’histoire et des sciences sociales.
L’objectif est de faire connaître les réalisations et les apports des personnes de la communauté LGBTQ à l’histoire de manière explicite, en les présentant comme décisifs pour la culture et l’histoire des Etats-Unis, comme le fait l’éditeur scolaire Houghton Mifflin Harcourt.
Peu importe d’ailleurs que l’« identité » homosexuelle des personnes concernées soit controversée. Cet éditeur, très peu suspect de résistance aux injonctions du lobby gay, vient de voir l’un de ses manuels recalé par l’administration californienne au motif que le poète Langston Hughes n’est pas identifié comme homosexuel. La maison d’édition a eu beau souligner que l’on manque de preuves à cet égard, l’administration scolaire a cédé devant les pressions du mouvement LGBTQ, et le manuel est donc interdit dans les écoles californiennes.
Mutilations et suicides chez les jeunes «transgenres» ?
Par Clémentine Jallais (Reinformation.tv)
Un rapport instructif de l’organisation écossaise de défense des droits des homosexuels, « Stonewall », révèle que la majeure partie des jeunes dits « transgenres » se font volontairement du mal, un mal allant jusqu’aux mutilations, voire jusqu’au suicide. Un comportement qui dénote un malaise profond, un trouble psychologique intense – et réel, comme le montrent fort bien les chiffres. Mais pour « Stonewall », il ne peut être en aucun cas être la cause de leur « disphorie sexuelle ». Il est, encore et toujours, la conséquence du rejet dont ils font l’objet. Le message est clair : il faut renforcer l’éducation sexuelle dans les écoles sur ce sujet – et sur tous ceux du vaste domaine LGBT…
Le très engagé « Stonewall »
L’étude « School Report Scotland », menée avec l’Université de Cambridge, a pour principal objectif de porter, on l’imagine bien, sur les intimidations et les discriminations que subissent les élèves LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels et trans). Mais les chiffres lancés confirment, encore une fois, autre chose.
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