Pourquoi donc la BBC est-elle obsédée par les drag queens
Par Jonathon Van Maren — Campagne Québec-Vie — Photo : Panhard/Wikimedia Commons
Lundi 31 mars 2025 (LifeSiteNews) — Malgré une impopularité généralisée auprès des téléspectateurs, qui sont passés de 41 000 à 30 000 au cours des deux premiers épisodes, la série Smoggie Queens, primée (bien sûr !) a été renouvelée pour une deuxième série, selon BBC Three et BBC iPlayer.
La série, qui raconte l’histoire d’une « famille choisie » d’amis LGBT, se moque sans relâche des valeurs traditionnelles qui ont permis à la BBC de voir le jour.
Le principe de l’émission est celui d’un groupe de personnes qui ont rejeté leur famille réelle au profit d’autres personnes LGBT. Un personnage a quitté sa famille pour se travestir et est dépeint avec beaucoup de sympathie. Dans un épisode, un parent âgé est moqué pour avoir mal identifié une célébrité. Dans un épisode a « famille à paillettes » est mise en devanture, se terminant par un poème célébrant la façon dont les « queers » peuvent remplacer les structures familiales traditionnelles.
Les gentils sont les « queers » ; les méchants sont les parents qui ne veulent pas que leur fils porte des robes, ou la personne plus âgée qui identifie correctement le sexe d’une personne qui insiste pour qu’il en soit autrement.
Même les critiques ont noté la lourdeur du message, mais la BBC soutient la série. Smoggie Queens est révolutionnaire — non pas dans le sens où il s’agit de grand art, ou même de bon art, mais dans le sens où il s’agit d’une tentative délibérée de subvertir ce qui reste des normes de la famille naturelle, des valeurs sexuelles traditionnelles et de toute autre norme à laquelle vous pouvez penser. Il convient de rappeler qu’il s’agit d’une révolution financée par le contribuable : la BBC finance ses projets grâce à une redevance obligatoire prélevée sur les ménages britanniques.
Lire la suiteL'histoire d'une religieuse autochtone d’une école canadienne contredit le récit anticatholique du « charnier »
Sœur Dorothy Bob.
Republié par LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie
27 mars 2025 (Everyday For Life Canada) — Dorothy Bob s'est jointe aux Sœurs de Sainte-Anne en 1960, en Colombie-Britannique. Rien d'inhabituel à cela. Ce qui l'est un peu, c'est qu'elle a été la première autochtone à devenir religieuse dans cet ordre.
Elle a choisi le nom de Sœur Mary Juan Diego. Sœur Bob était la fille de Christopher et Cordelia Bob de la bande indienne de Fountain. Sœur Bob est décédée le 24 février 2025, à l'âge de 92 ans.
Il y a plus, beaucoup plus. Sœur Bob a également été élève et plus tard cuisinière au pensionnat indien de Kamloops. C'est la bande de Kamloops qui, le 27 mai 2021, a affirmé avoir trouvé « les restes de 215 enfants » sur le terrain de l'école. Près de quatre ans plus tard et après plusieurs fouilles, aucune tombe n'a été trouvée, pas une seule.
Pourquoi l'Église catholique n'a-t-elle pas raconté l'histoire de Sœur Dorothy Bob ? Elle a même été formée et a reçu un prix pour son travail missionnaire auprès des peuples indigènes.
Il a fallu qu'un lecteur attire l'attention du rédacteur en chef de BC Catholic pour que son histoire soit révélée. Pourquoi les évêques n'ont-ils pas publié l'information ? Les bergers, comme le gouvernement libéral, se sont-ils trop investis dans le récit politiquement correct des abus et du génocide commis par des prêtres ? En fin de compte, la vérité doit être révélée. Trop d'églises chrétiennes ont été brûlées, vandalisées et profanées au Canada à la suite d'une allégation non prouvée.
Lire la suiteGrande-Bretagne — l'entrée en vigueur du projet de loi sur le suicide assisté reporté à 2029 (s'il était voté)
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Shutterstock
Vendredi 28 mars 2025 (LifeSiteNews) — Le Royaume-Uni a eu un aperçu effrayant de l’avenir voulu par ceux qui poussent la légalisation de l’aide à mourir. Dan Hitchens, qui a soigneusement documenté les travaux de la commission sur l’aide à mourir du député travailliste Kim Leadbeater, a détaillé dix des pires moments de la commission.
La publicité brutale de ces procédures a été si dommageable que Mme Leadbeater elle-même a proposé un report surprise de l'entrée en vigueur de son projet de loi qui retarderait le délai initial de deux ans et l’étendrait à quatre ans. Cette tactique de report est probablement destinée à assurer la survie à long terme du projet de loi, dans l’espoir que le raz-de-marée de couverture négative se soit estompé.
Mais comme l’a fait remarquer le Catholic Herald, le report signifierait que « l’effort pour introduire la légalisation du suicide assisté coïnciderait probablement avec les élections générales au Royaume-Uni, une période où les ministres pourraient bien être réticents à l’idée d’être perçus comme faisant passer un changement aussi controversé avant que les électeurs ne se rendent aux urnes, ou de voir une telle proposition comme une potentialité suspendue dans l’air et influençant les électeurs ».
Lire la suiteUn jeune homme de 17 ans est décédé après avoir reçu un vaccin covid, mais un juge de l’Ontario rejette la poursuite intentée par sa famille
Dan Hartman.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Dan Hartman/Twitter
26 mars 2025, Toronto (LifeSiteNews) — Un juge de l’Ontario a rejeté une plainte en responsabilité de la famille d’un élève du secondaire décédé quelques semaines après avoir reçu le vaccin COVID.
Selon un article publié le 26 mars par Blacklock’s Reporter, la juge Sandra Antoniani de la Cour supérieure de l’Ontario a statué que le ministère de la Santé n’avait pas de « devoir de diligence » envers un adolescent canadien qui est décédé après avoir reçu le vaccin COVID.
« La tragédie du plaignant est réelle, mais il n’y a pas d’obligation de diligence en droit privé », a déclaré Mme Antoniani.
« Il n’existe pas d’obligation de diligence en droit privé à l’égard des membres individuels du public lésés par les décisions politiques fondamentales du gouvernement dans la gestion des urgences sanitaires qui touchent l’ensemble de la population », a-t-elle poursuivi.
Lire la suiteUn ex-transgenre rend gloire au Christ de l’avoir sauvé de l’opération de mutilation sexuelle
Joshua McParland.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : @joshuamcparland/TikTok
24 mars 2025 (LifeSiteNews) — Un autre détransitionneur de premier plan s’est présenté pour expliquer pourquoi il regrette profondément d’avoir eu recours à des « soins d’affirmation du genre » pour obtenir un changement de sexe.
Joshua McParland, de Belfast, a commencé à lutter contre la dysphorie de genre à un très jeune âge. « À l’école primaire, les gens me prenaient pour une fille parce que j’avais une voix aiguë et des cheveux longs », a-t-il expliqué à Good Morning Ulster. « C’est comme ça que la confusion de mon identité s’est installée... parce que j’avais l’air si féminin. Quand on est enfant, on absorbe les opinions des autres comme une éponge ».
McParland a donc décidé de tenter une « transition » vers le sexe féminin et a commencé à prendre des hormones du sexe opposé à l’âge de 17 ans. Selon lui, il a dû faire pression sur sa mère pour obtenir l’autorisation de « transitionner », mais elle l’a finalement soutenu. « En tant que mère, elle voulait simplement m’aimer », a-t-il déclaré. « Je pense qu’à l’adolescence, on croit tout savoir, mais ce n’est pas le cas. Je faisais la fête, je me droguais, je faisais des choses folles ». En janvier 2024, il s’est rendu en Turquie pour se faire poser des implants mammaires afin de mieux « se présenter » en tant que femme.
La mère de McParland le soutient également dans ses efforts pour inverser les changements qu’il a entrepris à l’âge de 17 ans. En février, à peine un an après son voyage en Turquie, il a été opéré pour retirer les implants mammaires qu’il avait achetés. Il a également cessé de prendre des hormones transsexuelles. McParland affirme qu’il reconnaît aujourd’hui qu’il « fuyait » ses problèmes et qu’il n’aurait pas dû essayer de changer de sexe.
Lire la suiteLa bataille de l’euthanasie au Royaume-Uni oppose les riches aux démunis
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : aijiro/Adobe Stock
24 mars 2025 (LifeSiteNews) — Le 29 novembre, lorsque le projet de loi sur le suicide assisté de la députée Kim Leadbeater est passé en deuxième lecture au Parlement britannique, les personnes en fauteuil roulant rassemblées devant Westminster ont pleuré ouvertement. Au même moment, Dame Esther Rantzen s’est réjouie. Elle a qualifié le vote d’« énorme soulagement » et de « quelque chose que je ne m’attendais pas à voir ». Mme Rantzen a déclaré que lorsqu’elle opterait pour le suicide assisté, elle aimerait « sortir » après un repas au champagne et au caviar.
Ces deux réactions illustrent parfaitement le contraste qui existe dans le débat sur le suicide assisté au Royaume-Uni. D’un côté, une personne riche et privilégiée célébrant son « droit de mourir ». De l’autre, le désespoir des personnes handicapées vulnérables et marginalisées qui paieront le prix de sa croisade. Avant le vote, Mme Rantzen a déclaré à la BBC que l’interdiction de l’euthanasie au Royaume-Uni était « cruelle » et « terrible ». Elle a affirmé que la loi « obligeait » les personnes comme elle à se rendre en Suisse pour mourir seules dans une clinique Dignitas.
La vérité inavouable est que des personnes comme Dame Esther Rantzen ont des options lorsqu’elles souffrent. Les personnes comme celles qui se trouvaient en fauteuil roulant devant Westminster n’en ont pas. Kim Leadbeater et ses alliés activistes de Dying with Dignity parlent cependant au nom des Esther Rantzen de la société — et ignorent résolument les personnes handicapées qui demandent désespérément aux parlementaires de maintenir des lois qu’elles considèrent comme des remparts essentiels contre une discrimination sociale profondément enracinée.
Si l’interdiction de l’euthanasie et du suicide assisté au Royaume-Uni est en fait une imposition « cruelle » de la souffrance, il convient de se demander pourquoi les organisations représentant les malades chroniques de la société s’opposent si farouchement à la légalisation. Pourquoi la plupart des spécialistes des soins palliatifs sont-ils si opposés au suicide assisté ? Pourquoi toutes les organisations de défense des personnes handicapées sont-elles opposées au suicide assisté ? Pourquoi les organisations représentant la profession psychiatrique tirent-elles la sonnette d’alarme ? Que nous disent-elles que les militants de l’euthanasie ne disent pas ?
Lire la suiteUn avorteur d’Illinois poursuivi pour avoir laissé la « moitié » d’un bébé mort dans le corps d’une femme et lui avoir troué l’utérus
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Tomasz Zajda/Adobe Stock
Mardi 25 mars 2025 (LifeSiteNews) — Un avorteur homosexuel de l’Illinois et champion autoproclamé de la « sécurité des personnes » a laissé jusqu’à la « moitié » d’un bébé avorté — dont des « fragments osseux » et « une colonne vertébrale » — à l’intérieur d’une femme et un trou de la taille d’une pièce de monnaie dans son utérus nécessitant un traitement d’urgence, selon une poursuite pour faute médicale.
En juin 2023, le Chicago Tribune a publié un portrait élogieux du fondateur et directeur médical de l’« Equity Clinic », le Dr Keith Reisinger-Kindle, qui avait ouvert son cabinet à Champaign, dans l’Illinois, au début de cette année-là, après avoir quitté l’Ohio en raison de l’évolution des lois sur l’avortement à la suite de l’annulation de l’arrêt Roe v. Wade par la Cour suprême des États-Unis. Il y est dépeint comme un homme dévoué à son « objectif » d’aider les femmes dans le besoin, alors que l’« accès » à l’avortement aurait prétendument disparu de façon tragique.
« Tout le monde se réjouit d’avoir un bébé », a déclaré M. Reisinger-Kindle à l’époque. « Malheureusement, les personnes qui se trouvent dans cette situation sont souvent mises à l’écart, humiliées et stigmatisées. Dans ce contexte, le fait qu’une seule personne dise : “Tu es forte, c’est un choix difficile, mais nous sommes là avec toi” change la vie. Parce que vous êtes probablement la seule personne à leur transmettre ce message ».
Lire la suiteLes conservateurs de Poilievre rejettent un autre candidat pro-famille et pro-vie
Pierre Lemieux.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo (côtés flous rajoutés) : Pierre Lemieux/Facebook
24 mars 2025 (LifeSiteNews) — Le Parti conservateur a informé un ancien député pro-vie et pro-famille qu’il ne sera pas le candidat de sa circonscription aux prochaines élections fédérales.
Dans un message publié le 23 mars sur Facebook, Pierre Lemieux, l’un des rares politiciens conservateurs pro-vie et pro-famille, a révélé qu’il avait été informé qu’il ne serait pas le candidat du Parti conservateur pour sa circonscription locale, bien qu’il ait représenté le parti dans cette région de 2006 à 2015 sous l’ancien Premier ministre Stephen Harper.
« Je veux que vous sachiez que, malheureusement, le Parti conservateur a décidé que je ne serai pas le candidat conservateur de ma circonscription », a-t-il écrit. « Aucune raison n’a été fournie ».
M. Lemieux a été député de la circonscription ontarienne de Glengarry-Prescott-Russell de 2006 à 2015. Pendant cette période, la Coalition nationale pour la vie lui a donné le « feu vert » en tant que candidat pro-vie et pro-famille.
Lire la suiteMark Carney déclare qu’il est à la fois catholique et « absolument » favorable à l’avortement
Mark Carney.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/Radio-Canada Info/YouTube
24 Mars 2025 (LifeSiteNews) — Le premier ministre canadien Mark Carney a fait peu de déclarations publiques sur l’avortement, mais beaucoup de déclarations publiques sur le fait d’être catholique. Aussi pouvions-nous (faiblement) espérer qu’il abrogerait l’infâme déclaration de Justin Trudeau en 2015, selon laquelle aucun pro-vie ne peut se présenter pour le Parti libéral du Canada.
La seule déclaration publique de Carney sur l’avortement que j’aie pu trouver jusqu’à présent est son message sur X le jour où Roe v. Wade a été renversé, le 24 juin 2022.
« Je suis fier de vivre dans un pays où le droit des femmes à choisir est si fortement soutenu. Mais la décision dévastatrice prise aujourd’hui aux États-Unis nous rappelle clairement que les progrès ne doivent jamais être considérés comme acquis », avait-il écrit. « Notre engagement à protéger les droits fondamentaux doit être inébranlable ».
Cela indiquait clairement que Carney est favorable à l’avortement et que son prétendu catholicisme est secondaire par rapport à son engagement en faveur du fœticide. Il ne faut pas oublier que le Canada est la seule démocratie et l’un des seuls pays au monde (avec la Corée du Nord) où l’avortement est autorisé jusqu’à la naissance, pour n’importe quelle raison et même sans aucune raison, et financé par les contribuables canadiens. Aucun autre pays occidental n’autorise, ne finance et ne facilite les avortements barbares tardifs avec autant d’enthousiasme.
Lire la suiteMark Carney a été l’un des premiers à soutenir la répression du gouvernement contre le Convoi de la Liberté
Le Convoi de la Liberté en 2022.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/Rebel News
19 mars 2025 (LifeSiteNews) — Le Convoi de la Liberté est arrivé à Ottawa le 29 janvier 2022. Deux semaines plus tard, le 14 février, Justin Trudeau a déclaré la Loi sur les mesures d’urgence (qui a remplacé la Loi sur les mesures de guerre en 1988) ; son ministre de la Sécurité publique, Marco Mendicino, a insisté sur le fait que les forces de l’ordre avaient demandé cette mesure. Des policiers de tout le pays ont commencé à arriver à Ottawa et, le 18 février, ils ont été envoyés dans les rues pour les « dégager » — y compris avec un contingent à cheval. J’étais à Ottawa pendant la répression, et certaines scènes étaient surréalistes.
Le 23 janvier 2024, le juge Richard Mosley de la Cour fédérale a statué que la décision de M. Trudeau d’invoquer la loi sur les situations d’urgence était à la fois « déraisonnable » et constituait une violation des droits des Canadiens tels qu’ils sont garantis par la Charte canadienne des droits et libertés. Il a estimé que l’invocation de la loi manquait de « justification, de transparence et d’intelligibilité », qu’elle portait atteinte à la liberté d’expression et qu’en raison du gel des comptes bancaires et de la répression des manifestations, elle violait la protection contre les « perquisitions et saisies abusives ».
Le gouvernement Trudeau a fait appel de ce jugement, insistant — contre toute évidence — que la loi sur les mesures d’urgence était essentielle au rétablissement de la paix, bien qu’il n’y ait pas eu un seul incident de violence documenté pendant le Convoi de la Liberté. En outre, Brenda Lucki, commissaire de la Gendarmerie royale du Canada, a directement contredit les affirmations de Mendicino, en déclarant que les forces de l’ordre n’avaient pas demandé l’application de la loi sur l’état d’urgence, un élément clé de la justification de l’invocation par le gouvernement. « Il n’a jamais été question de demander l’application de la loi sur les mesures d’urgence », a carrément déclaré Brenda Lucki à la Commission de l’ordre public et des situations d’urgence.
Il est intéressant de noter que l’un des premiers partisans d’une répression du Convoi pour la Liberté était... l’actuel premier ministre Mark Carney. Le 7 février, une semaine à peine après le début des manifestations, Carney a rédigé un éditorial furieux dans le Globe and Mail, intitulé « C’est de la sédition et il est temps d’y mettre un terme à Ottawa ». Il affirme que les gens sont « terrorisés », que les femmes « fuient les abus » ; il déclare carrément : « C’est de la sédition. C’est un mot que je n’aurais jamais pensé utiliser un jour au Canada. Il signifie “incitation à la résistance ou à l’insurrection contre l’autorité légitime” ».
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