L’administration Trump met fin au harcèlement des écoles qui retirent les livres indécents
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
29 janvier 2025, Washington, D.C. (LifeSiteNews) — Les communautés locales qui prennent la décision de retirer ou de restreindre les livres inappropriés et obscènes de leurs étagères ne feront plus face au harcèlement fédéral, selon l’administration Trump.
Le ministère de l’Éducation a annoncé à la fin de la semaine dernière qu’il mettrait fin aux enquêtes sur les « interdictions de livres » à la suite de 11 plaintes déposées contre des districts scolaires. Ces plaintes étaient fondées sur une « théorie juridique douteuse ».
L’administration Biden-Harris a ignoré des précédents juridiques de longue date en affirmant que le retrait de livres sexuellement explicites créait en quelque sorte un « environnement hostile pour les élèves ».
L’Office for Civil Rights (OCR) enquête sur les plaintes selon lesquelles les écoles pratiquent une discrimination fondée sur une classe protégée, telles que la race ou le sexe. L’OCR a également « annulé toutes les directives du ministère », ce qui signifie que les bureaucrates du gouvernement ne peuvent plus harceler les écoles qui décident de supprimer des contenus inappropriés.
Lire la suiteLa Californie abandonne les poursuites contre David Daleiden pour avoir révélé le scandale des organes de bébés de Planned Parenthood
David Daleiden.
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : American Life League
28 janvier 2025, San Francisco (LifeSiteNews) — Les procureurs de Californie ont finalement accepté de rejeter les chefs d’accusation restants contre les enquêteurs du Center for Medical Progress (CMP) pour avoir utilisé des vidéos d’infiltration afin d’exposer l’activité secondaire criminelle de prélèvement d’organes fœtaux de Planned Parenthood, mettant ainsi fin à une tentative de près de dix ans visant à punir le journalisme pro-vie.
À partir de 2015, le CMP a commencé à publier une série de conversations — enregistrées secrètement — avec des responsables de Planned Parenthood et de la Fédération nationale de l’avortement qui ont déclenché une tempête de controverses et une série de révélations sur l’industrie de l’avortement. Celle-ci enfreint de nombreuses lois fédérales interdisant de tirer profit des tissus humains, elle modifie les procédures d’avortement dans le but d’obtenir des échantillons de tissus plus utiles, et elle pourrait même commettre des avortements par naissance partielle ou des infanticides. Center for Medical Progress a enregistré des exemples vidéo de travailleurs de l’avortement faisant preuve d’insensibilité à l’égard de l’humanité des enfants que leur « travail » a tués.
Ni l’administration Obama ni la première administration Trump n’ont pris de mesures contre les organisations d’avortement à la suite de ces révélations, mais les militants pro-vie qui ont dénoncé leurs activités ont fait l’objet de diverses poursuites judiciaires et ont été accusés d’intrusion, d’avoir utilisé de faux permis de conduire pour s’identifier et d’avoir enregistré des personnes sans leur consentement.
Lire la suiteLes adolescents américains sont désormais plus enclins que les adultes à affirmer que le fait d’être un homme ou une femme « est déterminé par le sexe »
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Prostock-studio/Adobe Stock
28 janvier 2025 (LifeSiteNews) — De nouvelles données montrent que les adolescents américains sont maintenant plus susceptibles que les adultes de dire que le « genre » d’une personne est déterminé par son sexe, marquant un renversement des tendances de 2022.
Pew Research a constaté en 2024 que 65 % des adultes américains pensent que le fait d’être un homme ou une femme est déterminé par le sexe, alors que 69 % des adolescents sont du même avis. Bien que les statistiques de Pew pour 2022 n’indiquent pas spécifiquement les opinions des adolescents, elles montrent que les jeunes adultes âgés de 18 à 29 ans étaient beaucoup moins susceptibles que les cohortes plus âgées de croire que le genre est synonyme de sexe.
En 2022, seuls 50 % des adultes âgés de 18 à 29 ans pensaient que le fait d’être un homme ou une femme était déterminé par le sexe, tandis que 60 % des adultes âgés de 30 à 49 ans pensaient que c’était le cas, et 66 % des adultes âgés de 50 à 64 ans.
Lire la suiteAmazon supprime les références aux « droits LGBTQ+ » et aux lois pro-transgenre de son site internet
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Drazen Zigic/Freepik
27 janvier 2025 (LifeSiteNews) — Le géant de la vente au détail Amazon a supprimé plusieurs déclarations de politique identitaire de son site internet, ce qui constitue peut-être le meilleur coup de la campagne contre l’idéologie woke dans le monde de l’entreprise.
De nombreuses déclarations d’activistes libéraux ont disparu d’Amazon depuis décembre, selon les archives des pages web, y compris l’approbation de « l’équité pour les Noirs » et des « droits LGBTQ+ », le mot « transgenre », l’approbation de « la législation pour combattre les fautes et les préjugés raciaux dans le maintien de l’ordre, les efforts pour protéger et étendre les droits de vote, et les initiatives qui fournissent de meilleurs résultats en matière de santé et d’éducation pour les Noirs » ; et le soutien aux lois pro-transgenre.
Le site d’Amazon se targuait auparavant d’être un partisan « précoce et convaincu » du « mariage » homosexuel et de défendre « l’égalité des droits » pour les personnes souffrant d’un trouble du genre et de « travailler au niveau fédéral et des États américains sur la législation, notamment en soutenant l’adoption de la loi sur l’égalité ».
Lire la suiteL’administration Trump met fin aux poursuites engagées contre des militants pro-vie et limite fortement l’emploi futur de la loi FACE
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : maylim/Adobe Stock
25 janvier 2025, Washignton, D.C. (LifeSiteNews) — (Mise à jour.) Le ministère de la Justice de Trump (DOJ) a mis fin vendredi à trois poursuites en cours de l’ère Biden contre des militants pro-vie en vertu de la loi fédérale sur la liberté d’accès aux entrées des cliniques (FACE), avec de nouvelles exigences strictes pour les invocations futures de la loi afin d’empêcher qu’elle ne soit à nouveau utilisée comme une arme au cours des quatre prochaines années.
Monica Miller, de Red Rose Rescue et de Citizens for a Pro-Life Society, a déclaré à LifeSiteNews que ses organisations étaient « incroyablement reconnaissantes » :
Lire la suiteNous sommes incroyablement reconnaissants, et particulièrement reconnaissants à Dieu, que ce procès pathétique ait disparu. Il n’aurait jamais dû être intenté en premier lieu. En effet, les sauvetages de Red Rose n’enfreignent pas la loi FACE, car les sauveteurs de Red Rose ne bloquent pas physiquement ou n’interfèrent pas avec la liberté de mouvement de qui que ce soit. (Voir redroserescue.com pour plus d’informations sur cette stratégie de sauvetage innovante.) Mais sous le ministère de la Justice de Garland et Biden, les procureurs fédéraux n’ont fait que plier, tordre et élargir la formulation de la loi FACE pour que ce que nous faisions corresponde à leur interprétation pervertie. Si nous avions dû aller jusqu’au procès, nos avocats de la Société Thomas More étaient convaincus que nous aurions gagné contre cette accusation injuste. Le rejet de cette affaire FACE est la cerise sur le gâteau, en plus des grâces accordées par Trump aux prisonniers pro-vie qui ont été condamnés pour avoir violé la loi FACE et l’accusation supplémentaire de conspiration pour interférer avec les droits civils, ce qui a entraîné des peines d’emprisonnement draconiennes d’un an. Désormais, tous les sauveteurs pro-vie sont libres à tous les niveaux en termes de poursuites fédérales.
Nous attendons avec impatience l’abrogation de la loi FACE, la pire loi en faveur de l’avortement après Roe v Wade.
Trump va réintégrer les militaires expulsés pour avoir refusé les vaccins COVID
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pikist
27 janvier 2025, Washington, D.C. (LifeSiteNews) — Le président Donald Trump aurait l'intention de réintégrer cette semaine les membres de l'armée qui ont été expulsés pour avoir refusé le vaccin COVID-19, une piqûre expérimentale entachée d'avortement.
La directive fait suite à la promesse faite par Trump lors de son discours d'investiture de « réintégrer tous les militaires qui ont été injustement expulsés de notre armée pour s'être opposés au vaccin COVID », en leur promettant des « arriérés de salaire ».
« Le décret ordonne au secrétaire à la Défense de réintégrer tous les membres de l'armée (actifs et de réserve) qui ont été renvoyés pour avoir refusé le vaccin COVID et qui demandent à être réintégrés », indique la directive, selon Fox News, qui a reçu une « fiche d'information » sur la décision.
« De 2021 à 2023, l'administration Biden et l'ancien secrétaire à la défense Lloyd Austin ont réformé plus de 8 000 soldats uniquement en raison de leur statut vaccinal COVID-19 », a déclaré la Maison Blanche. « Après l'abrogation de l'obligation de vaccination en 2023, seuls 43 des plus de 8 000 soldats licenciés ont choisi de reprendre le service sous l'administration Biden et le secrétaire Austin.
Lire la suiteTrump rétablit la politique de Mexico et applique l’amendement Hyde pour limiter le financement de l’avortement
Donald Trump.
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Gage Skidmore/Flickr
25 janvier 2025 (LifeSiteNews) — Le président Donald Trump a rétabli deux règles fédérales clés pour éloigner l’argent des contribuables de l’industrie de l’avortement vendredi, en signant deux décrets pour rétablir la politique de Mexico régissant l’aide étrangère et en ordonnant aux agences fédérales de reconnaître les limites de l’amendement Hyde sur la distribution de l’argent fédéral à l’intérieur du pays.
La politique de Mexico interdit aux organisations non gouvernementales d’utiliser l’argent des contribuables pour financer des avortements volontaires à l’étranger. Le président Ronald Reagan a institué cette politique pour la première fois en 1984, et le président George W. Bush l’a rétablie en 2001. Pendant des décennies, il a été considéré comme acquis que les présidents démocrates annulent la politique peu après leur entrée en fonction et que les présidents républicains la rétablissent. Le rétablissement de cette politique a été l’une des premières mesures prises par M. Trump au cours de son premier mandat, et il a déclaré lors de la campagne électorale de 2024 qu’il « envisagerait » de la rétablir.
De même, l’amendement Hyde est traditionnellement inclus chaque année dans les budgets fédéraux sans grande objection et on estime qu’il a sauvé plus de deux millions de vies depuis son adoption il y a plusieurs décennies, en interdisant que l’argent des contribuables finance directement des avortements, sauf en cas de viol, d’inceste ou de menace pour la vie de la mère. Le président Joe Biden a proposé de le supprimer dans les budgets qu’il a soumis au Congrès et s’est efforcé, tout au long de sa présidence, de distribuer des fonds à des entités impliquées dans l’avortement.
Lire la suitePierre Poilievre déclare que son gouvernement ne quitterait pas l’accord de Paris sur le climat, favorable à l’avortement
Pierre Poilievre.
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/Global News/YouTube
24 janvier 2025 (LifeSiteNews) — Le chef du Parti conservateur du Canada Pierre Poilievre a déclaré qu’il n’envisageait pas de retirer le Canada de l’Accord de Paris sur le climat des Nations unies, qui promeut l'avortement, s’il devenait premier ministre.
Lorsqu’on lui a demandé mercredi s’il retirerait le Canada de l’Accord de Paris sur le climat, pro-avortement, une mesure que le président américain Donald Trump a prise plus tôt cette semaine quelques instants après son investiture, Poilievre, tout en s’exprimant en français, a répondu : « Nous ne proposons pas cela. »
Comme LifeSiteNews l’a rapporté, l’Accord de Paris de l’ONU sur le climat fait progresser de nombreux maux moraux, y compris l’avortement et la contraception. L’accord permet également au Canada d’être taxé pour ses émissions, ce qui a été dénoncé comme une voie permettant aux mondialistes de saper la souveraineté nationale des pays signataires du traité.
Lire la suiteLe président Trump gracie des prisonniers pro-vie
Donald Trump montrant le décret signé graciant 23 pro-vie.
Par Dorothy Cummings McLean et Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Forbes Breaking News/YouTube
23 janvier 2025 (LifeSiteNews) — Le président Donald Trump a gracié les militants pro-vie emprisonnés pendant la présidence de Joe Biden.
Jeudi après-midi, le président américain Donald Trump a officiellement gracié les 23 militants pro-vie, emprisonnés par le ministère de la Justice de Joe Biden pour leurs tentatives de sauver des bébés à naître.
Avant de signer les grâces, M. Trump a déclaré qu’aucun des 23 militants pro-vie n’aurait dû être « poursuivi », ajoutant que la signature des grâces était un « grand honneur ».
Les militants pro-vie graciés sont les suivants : Joan Bell, Coleman Boyd, Joel Curry, Jonathan Darnel, Eva Edl, Chester Gallagher, Rosemary « Herb » Geraghty, William Goodman, Dennis Green, Lauren Handy, Paulette Harlow, John Hinshaw, Heather Idoni, Jean Marshall, le père Fidelis Moscinski, Justin Phillips, Paul Place, Bevelyn Beatty Williams, et Calvin, Eva et James Zastrow.
Après la signature des grâces, LifeSiteNews s’est entretenu avec le mari de l’activiste pro-vie Joan Andrews, Chris Bell, qui a déclaré qu’il pensait que sa femme était toujours en détention fédérale dans un établissement pénitentiaire près de Philadelphie. Il ne sait pas quand elle sera libérée.
Lire la suiteLa Chambre des représentants des États-Unis adopte un projet de loi imposant aux écoles d’interdire les garçons des équipes féminines
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
17 janvier 2025 Washington, D.C. (LifeSiteNews) — La Chambre des représentants des États-Unis, contrôlée par les républicains, a adopté un projet de loi visant à interdire aux hommes de participer à des compétitions sportives pour femmes et filles — y compris ceux qui se disent « transgenres » — en retenant les fonds fédéraux aux écoles qui refusent de s’y conformer.
Baptisé « Loi de 2025 sur la protection des femmes et des filles dans les sports », le projet de loi a été adopté principalement selon les lignes partisanes, tous les républicains, rejoints par deux démocrates, ayant voté en faveur de son adoption.
Comme le résume le 119e Congrès, la mesure, qui va maintenant au Sénat, « prévoit que c’est une violation du titre IX des amendements à l’éducation de 1972 pour les programmes ou activités d’éducation financés par le gouvernement fédéral d’opérer, de parrainer ou de faciliter les programmes ou activités athlétiques qui permettent aux individus de sexe masculin de participer à des programmes ou activités destinés aux femmes ou aux filles ».
« Le titre IX interdit la discrimination fondée sur le sexe dans les programmes ou activités d’éducation financés par le gouvernement fédéral, y compris dans les écoles primaires et secondaires publiques et dans les collèges et universités. Selon le projet de loi, le sexe est basé sur la biologie reproductive et la génétique d’un individu à la naissance ».
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