Un modèle britannique a un petit garçon trois ans après avoir renoncé à la « transition de genre »

Sascha Bailey.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/andrew gold – heretics/YouTube
9 septembre 2025 (LifeSiteNews) — Sascha Bailey, 30 ans, modèle et fils du célèbre photographe britannique David Bailey, a annoncé la naissance de son fils le 7 septembre sur Instagram. Il y a trois ans à peine, Bailey souffrait de dysphorie de genre et envisageait de « transitionner » au sexe féminin. S’il l’avait fait, il aurait probablement détruit définitivement sa fertilité.
Bailey et sa petite amie Lucy Brown, ancienne assistante de l’activiste Tommy Brown, ont appelé leur petit garçon Wolfgang Robert Bailey. « Wolfgang aurait pu être mon prénom, mais mon père s’y est opposé », a déclaré Bailey au Daily Mail. « J’ai toujours voulu ce prénom, alors maintenant je le transmets. » Sur une photo de son fils publié sur Instagram, Bailey écrit : « Il n’y a littéralement rien de plus important au monde pour moi. »
En 2022, aux prises avec une profonde dépression et l’échec de son mariage avec l’avocate japonaise Mimi Nishikawa, Bailey envisageait de « changer de sexe » et de suivre un traitement hormonal substitutif (THS). Il était même allé jusqu’à obtenir une ordonnance pour des hormones féminines après une consultation de dix minutes seulement avec un médecin.
Lire la suiteRFK Jr. affirme que l’administration Biden a altéré les données sur les effets néfastes de la pilule abortive

Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
9 septembre 2025, Washington, D.C. (LifeSiteNews) — L’administration Biden a « tordu » les données sur la sécurité des pilules abortives afin de protéger ce produit, a déclaré jeudi le secrétaire à la Santé et aux Services sociaux des États-Unis (HHS), Robert F. Kennedy Jr., lors de son audition devant la commission des finances du Sénat.
Bloomberg Law rapporte que, lors d’un long interrogatoire, les sénateurs républicains ont demandé à Kennedy des informations sur l’« examen complet » des données relatives à la sécurité des avortements chimiques qu’il avait promis en mai. Le secrétaire a refusé de donner un calendrier pour les conclusions finales, mais a déclaré que la collecte d’informations était en cours.
« Nous recevons constamment de nouvelles données à ce sujet et nous les examinons », a-t-il déclaré. « Nous savons que pendant l’administration Biden, ils ont en fait déformé les données afin de dissimuler l’un des signaux de sécurité, un signal de sécurité très élevé, d’environ 11 %, et nous allons donc veiller à ce que cela ne se reproduise plus. »
Lire la suiteMargaret Atwood s’insurge contre les mesures prises par l’Alberta contre les livres à caractère sexuellement explicite dans les écoles

Des féministes déguisées en « servantes écarlates ».
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Kai Medina/Wikimedia Commons
9 septembre 2025 (LifeSiteNews) — Au cours de sa carrière légendaire, Margaret Atwood a remporté plus de 50 prix littéraires. L’auteure de La Servante écarlate — qui a ensuite été adapté en une série télévisée accusée par certains critiques de mettre en scène de la « torture pornographique misogyne » — a remporté le Booker Prize, le Scotiabank Giller Prize et le Prix littéraire du Gouverneur général. Elle est également compagnon de l’Ordre du Canada.
Mais ce qu’Atwood souhaite vraiment, c’est être une dissidente persécutée, et c’est ce qu’elle tente d’être depuis quelque temps. Elle n’a pas encore revêtu la tenue rouge et le bonnet blanc caractéristiques de son Gilead fictif, comme l’ont fait de nombreuses militantes pro-avortement, mais elle a récemment annoncé dans un discours (alors qu’elle recevait un nouveau prix) qu’elle risquait d’être « arrêtée » si elle tentait de passer la frontière américaine.
À sa grande joie, ses livres ont une fois de plus fait la une des journaux, cette fois au Canada, où La Servante écarlate a été inscrite sur une « liste de livres interdits » établie par les écoles publiques d’Edmonton. En mai, le premier ministre d’Alberta, Danielle Smith, a annoncé une nouvelle politique visant à interdire les livres pornographiques et sexuellement explicites dans les bibliothèques des écoles publiques. Cette nouvelle règle fait suite à la révélation que des livres graphiques et sexuellement explicites, tels que Gender Queer et Flamer, avaient été introduits dans les bibliothèques pour jeunes enfants.
Lire la suiteUne religieuse qui lutta contre le sida en Afrique avec la chasteté, et non les préservatifs, décède à l'âge de 84 ans

Sœur Miriam Duggan.
Par Andreas Wailzer — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/LifeSiteNews/Rumble
3 septembre 2025 (LifeSiteNews) — La religieuse missionnaire irlandaise Sœur Miriam Duggan est décédée.
Sœur Duggan était une religieuse missionnaire franciscaine connue pour son travail en Afrique, notamment pour son programme qui a permis de réduire considérablement le taux de VIH en Ouganda en encourageant l’abstinence plutôt que la contraception. Elle s’est éteinte paisiblement au monastère de Mount Oliver à Dundalk, en Irlande.
Elle a consacré plus de 55 ans de sa vie au service de l’Église catholique en Afrique. Pendant son séjour en Ouganda, son programme encourageant l’abstinence en dehors du mariage plutôt que l’utilisation de préservatifs a contribué à réduire le taux de VIH de 26 % à 6 %. Son programme a été adopté par le gouvernement et a été l’une des campagnes de réduction du sida les plus efficaces de toute l’Afrique.
« La seule véritable solution pour enrayer le sida était de revenir à la loi de Dieu, si vous voulez, qui interdit les relations sexuelles avant le mariage et impose la fidélité dans le mariage », a déclaré Mme Duggan à LifeSiteNews en 2022.
Lire la suiteUn nouveau centre de soins palliatifs du Québec comprend un programme d'euthanasie pour ses patients

Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Shutterstock
4 septembre 2025, Saint-Charles-Borromée, Québec (LifeSiteNews) — Le plus récent centre de soins palliatifs du Québec met en lumière la crise de l’euthanasie et le vieillissement de la population dans la province.
Le 28 août dernier, un nouveau centre de soins palliatifs a ouvert ses portes à Saint-Charles-Borromée, au Québec. Il se targue d’offrir le suicide assisté ou ladite « aide médicale à mourir » (AMM), à ses patients les plus vulnérables.
« Le Pavillon offrira 10 nouveaux lits de soins palliatifs, en plus d’un volet d’aide médicale à mourir (AMM), qui viendront s’ajouter à l’offre existante dans la région », indique un communiqué de presse.
Cet établissement est l’un des premiers au Québec à combiner soins palliatifs et suicide assisté. Le projet est financé par les réseaux de santé publics et privés, y compris le gouvernement du Québec.
« Le Pavillon accueillera des personnes en fin de vie, dont le pronostic est d’environ 3 mois, lorsque le maintien à domicile n’est plus possible », indique le communiqué de presse.
Lire la suiteLa mort d'une jeune canadienne dévoile la mortelle réalité des pilules abortives

Rheanna Laderoute.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : photo fournie par la famille/Taylor Funeral Home
1er septembre 2025 (LifeSiteNews) — En 2022, Rheanna Laderoute, âgée de 19 ans, habitant en Ontario, prit des pilules abortives, dix jours plus tard, elle entra en choc septique et décéda. The Globe and Mail a révélé l’affaire le 27 août dernier, mais s’est concentré non pas sur les dangers de la pilule abortive, mais sur une « défaillance du système ».
Selon le Mail, lorsque Laderoute a découvert qu’elle était enceinte, elle n’en a parlé à personne. À la place, elle a conduit pendant une heure depuis son domicile de Newmarket, en Ontario, jusqu’à une clinique d’avortement à Brampton, où on lui a administré du Mifegymiso (communément appelé pilule abortive).
« Les avortements chimiques sont pratiqués à l’aide de deux produits : la mifépristone, qui tue d’abord l’enfant à naître en le privant de nutriments, puis le misoprostol, qui provoque des contractions et expulse le corps du bébé à naître », note Live Action.
Deux semaines après avoir pris les pilules abortives, la jeune femme saignait abondamment et souffrait de douleurs atroces. Laderoute s’est rendue aux urgences du Southlake Regional Health Centre où les médecins ont effectué une échographie. L’échographie n’a révélé aucun « tissu fœtal ou placentaire » et Laderoute a été renvoyée chez elle avec la recommandation de se rendre dans une clinique de grossesse.
Lire la suiteLe Texas déclare la guerre aux réseaux illégaux de pilules abortives

Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : jajam/Adobe Stock
21 août 2025 (LifeSiteNews) — La guerre entre les États pro-vie et les réseaux de marché noir de pilules abortives s’est encore intensifiée.
Le procureur général du Texas, Ken Paxton, a publié une série de mises en demeure à l’intention des organisations radicales d’avortement « exigeant la fin immédiate de la publicité illégale, de la vente et de l’expédition de médicaments provoquant l’avortement dans l’État du Texas ».
Selon un communiqué de presse du 20 août du bureau du procureur général, l’action en justice officielle de Paxton « suit deux cas tragiques au Texas dans lesquels des organisations et militants radicaux de l’avortement ont facilité l’achat illégal de produits abortifs » ; un homme a empoisonné sa petite amie, « causant la mort de leur enfant à naître et envoyant la mère à l’hôpital ».
Même le langage utilisé par le bureau du procureur général du Texas met en évidence le fossé croissant entre les États pro-avortement et les États pro-vie. Dans les États pro-vie, l’humanité de l’« enfant à naître » est légalement reconnue, même si le niveau de protection varie ; dans les États pro-avortement, la reconnaissance de cette réalité scientifique est rejetée comme de la propagande afin d’alimenter la fiction selon laquelle l’avortement ne tue pas un être humain.
Lire la suiteL’Écosse abandonne toute charge contre la grand-mère pro-vie arrêtée pour avoir tenu une pancarte dans une zone bulle

Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/YouTube
20 août 2025 (LifeSiteNews) — Toutes les charges qui étaient portées en vertu de la loi sur les zones bulles contre une grand-mère écossaise de 75 ans pour avoir tenu une pancarte à moins de 200 mètres d’un hôpital pratiquant l’avortement en Écosse ont été abandonnées.
Rose Docherty avait été arrêtée par la police en février alors qu’elle se tenait silencieusement devant l’hôpital universitaire Queen Elizabeth à Glasgow, en Écosse, tenant une pancarte avec le message suivant : « La coercition est un crime, ici pour parler, seulement si vous le voulez ».
Une vidéo montre des agents lui disant qu’elle « tenait une vigile silencieuse », considérée comme un crime en vertu de la « Loi sur les zones d’accès sûr », qui est entrée en vigueur en septembre 2024 et a établi des « zones bulles » de 200 mètres (656 pieds) autour des centres d’avortement en Écosse. La loi interdit les comportements considérés comme susceptibles d’« influencer la décision d’une personne d’avoir recours à des services d’avortement, de prévenir ou de faire obstacle au recours à des services d’avortement ou de harceler ou de décourager quelqu’un voulant recourir à des services d’avortement ».
Lorsque les images de l’arrestation de Docherty ont émergé, le comportement des policiers qui y figurent a été qualifié de « honteux » et de « déshonorant ».
Lire la suite2 Canadiens sur 3 veulent une preuve de l’existence des « fausses communes » des pensionnats avant d’y croire

Le pensionnat de Kamloops.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Wikimedia Commons
21 août 2025 (LifeSiteNews) — Près des deux tiers des Canadiens ont besoin de preuves concrètes avant d’accepter le récit des « sépultures non marquées » des pensionnats.
Selon un sondage Angus Reid publié le 14 août, 63 % des Canadiens exigent la preuve de « sépultures non marquées » avant de croire ce que les grands médias ont dit de milliers d’enfants autochtones ayant été secrètement assassinés et enterrés sur le terrain des pensionnats autochtones.
« Alors que la découverte a compté son quatrième anniversaire en mai, il y a, cependant, une hésitation généralisée à accepter les affirmations faites par la première nation Tkʼemlúps te Secwépemc sans preuve supplémentaire », explique le communiqué de presse.
« À ce jour, aucun reste humain n’a été confirmé ou exhumé et les anomalies suspectées n’ont pas été vérifiées », poursuit-il.
Lire la suiteLes statistiques montrent que l’avortement a éliminé 28% de la génération Z aux États-Unis

Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Birute Vijeikiene/Adobe Stock
20 août 2025 (LifeSiteNews) — Environ 28 pour cent de la génération Z aux États-Unis ont été avortés, selon des statistiques tirées du Guttmacher Institute qui sont devenues virales cette semaine.
Selon les estimations de Guttmacher sur le nombre d’avortements effectués chaque année aux États-Unis entre 1997 et 2011, les années de naissance de la génération Z, environ 19,5 millions d’êtres humains conçus de cette génération ont été tués par avortement. Il y a actuellement environ 69,3 millions de membres de la génération Z aux États-Unis.
Les données les plus récentes de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) indiquent que le taux d’avortement des bébés de la génération Z aux États-Unis correspond presque au pourcentage estimé de bébés à naître tués par avortement dans le monde : 29 pour cent, soit trois grossesses sur dix.
Les statistiques d’Angleterre et du Pays de Galles montrent des taux d’avortement très similaires. « Le pourcentage de conceptions aboutissant à un avortement était de 29,7 pour cent ; c’est une augmentation par rapport aux 26,5 pour cent de 2021 et la proportion la plus élevée enregistrée », selon un rapport du Bureau des statistiques nationales (ONS) basé sur les données de 2022.
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