Linda Gibbons, héroïne canadienne pro-vie, acquittée de toute charge pour avoir témoigné près d'un avortoir
Linda Gibbons.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie
17 juin 2025 Toronto, Ontario (LifeSiteNews) — L’héroïne pro-vie Linda Gibbons a été acquittée après avoir été arrêtée pour avoir témoigné devant un centre d’avortement de Toronto en février.
Le 16 juin, la Cour de l’Ontario a statué que la grand-mère pro-vie de 76 ans n’était pas coupable d’avoir enfreint une injonction vieille de près de 30 ans lui interdisant de tenir une pancarte pro-vie devant la tristement célèbre clinique Morgentaler de Toronto.
« L’héroïne pro-vie Linda Gibbons a été déclarée NON COUPABLE et est maintenant libre », a déclaré la Coalition nationale pour la vie, une organisation pro-vie.
« Après des décennies de témoignage pacifique, plus de 11 ans de prison et d’innombrables arrestations, Linda a été une nouvelle fois prise pour cible pour avoir défendu pacifiquement et dans la prière la vie devant une clinique d’avortement de Toronto », poursuit la CNV.
Linda Gibbons est emprisonnée depuis son arrestation, le 12 février, pour avoir témoigné en faveur des enfants à naître devant une clinique d’avortement de Toronto, portant sa marque de fabrique, une pancarte montrant un bébé en pleurs avec la légende « Pourquoi maman ? Quand j’ai tant d’amour à donner ».
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L'administration Trump annule les directives forçant les médecins à pratiquer des avortements
Par Doug Mainwaring et Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie - Photo : Prostock Studio/Adobe Stock
3 juin 2025 (LifeSiteNews) — L’administration Trump a officiellement annulé les directives de l’ère Biden qui contraignaient les médecins urgentistes à pratiquer des avortements en vertu de la Loi sur le traitement médical d’urgence et le travail (EMTALA). Cette décision confirme les termes clairs de la loi : L’EMTALA protège à la fois la « femme enceinte » et l’« enfant à naître ».
« Les médecins — en particulier dans les salles d’urgence — ont pour mission de préserver la vie. L’administration Trump a annulé un mandat néfaste de l’ère Biden qui obligeait les médecins à mettre fin à des vies à naître, en violation de leurs convictions profondes », a expliqué l’avocat principal d’Alliance Defending Freedom (ADF), Matt Bowman, directeur de la pratique réglementaire.
L’ADF représentait un groupe de médecins catholiques et de prestataires de soins de santé qui avaient contesté le mandat.
« Les médecins des salles d’urgence peuvent traiter et traitent effectivement des pathologies mortelles telles que les grossesses extra-utérines, et tous les États autorisent les médecins à faire tout ce qui est nécessaire pour préserver la vie d’une mère », a déclaré M. Bowman. « Désormais, les médecins pourront s’acquitter de leurs tâches vitales sans craindre que des fonctionnaires les obligent à mettre fin à la vie et à violer leurs croyances. »
Lire la suiteLe Royaume-Uni pourrait décriminaliser l'avortement à tout stade de la grossesse la semaine prochaine
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : olinchuk/Adobe Stock
13 juin 2025 (LifeSiteNews) — Les nouvelles en provenance du Royaume-Uni ces dernières semaines se lisent comme des dépêches d’une civilisation autrefois grande, mais mourante.
Depuis la loi sur l’avortement de 1967, l’avortement est légal jusqu’à 24 semaines ; il est autorisé jusqu’à la naissance si l’enfant dans l’utérus est atteint de trisomie 21 ou d’une autre condition. À 24 semaines, un bébé dans le ventre de sa mère suce son pouce, reconnaît la musique et l’utérus de sa mère ; il peut ressentir la douleur beaucoup plus tôt. Nous connaissons ces faits depuis longtemps.
La semaine prochaine, les députés voteront sur un amendement au projet de loi sur la criminalité et le maintien de l’ordre déposé par le député travailliste Tonia Antoniazzi, qui dépénalise l’avortement à n’importe quel stade sans répercussion juridique. Les avortements ne nécessiteraient l’approbation de deux médecins, comme le stipule actuellement la loi, que si la procédure a lieu dans un établissement de soins de santé.
Selon Mme Antoniazzi, son amendement est nécessaire pour éviter que des femmes fassent l’objet d’enquêtes ou de poursuites pour avoir avorté à un stade plus avancé de leur grossesse ; il convient de souligner que nombre de ces enfants pourraient survivre en dehors de l’utérus. Six femmes ont comparu devant les tribunaux au cours des trois dernières années pour avoir enfreint la loi sur l’avortement ; plusieurs affaires très médiatisées concernent des femmes qui ont pris des pilules abortives bien au-delà de la limite légale.
Lire la suiteLe nouveau président catholique de la Pologne s’engage à mettre son veto à l’avortement et à l’agenda LGBT
Karol Nawrocki.
Par Frank Wright — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/BFMTV/YouTube
2 juin 2025 (LifeSiteNews) — Dans une défaite pour la faction libérale mondialiste, le catholique Karol Nawrocki a remporté l’élection présidentielle de Pologne avec une marge d’environ 2 %.
La défaite de Rafal Trzaskowski est survenue dans un scrutin serré qui a vu les marchés de paris basculer soudainement en faveur de son adversaire, à la suite de la publication des derniers scrutins tard dans la nuit.
La victoire de Nawrocki a été décrite comme un « revers » pour le gouvernement polonais pro-UE, dirigé par le mondialiste Donald Tusk. L’article de Politico ajoute que la victoire du nationaliste soutenu par Trump pourrait donner lieu à des élections législatives dès 2027.
Les premiers scrutins du second tour de l’élection présidentielle polonaise prévoyaient une victoire du maire libéral de Varsovie, mais l’avance de Trzaskowski — favorisé en partie par les diatribes des médias contre Nawrocki — a été renversée, avec une victoire de 50,9 % contre 49,1 %.
Bien qu’il s’agisse d’un coup dur pour la faction libérale mondialiste de l’UE, cela va-t-il conduire à un changement sérieux en Pologne et à des politiques pro-vie et pro-nation pour inverser la révolution sociale menée par les libéraux ?
Lire la suiteLe cardinal de Toronto appelle les catholiques à honorer le Sacré-Cœur et non les symboles « idéologiques » pendant le mois de juin
Par Stephen Kokx — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Lloydbaltazar/Wikimedia Commons
31 mai 2025 (LifeSiteNews) — Le cardinal archevêque de Toronto appelle les catholiques à honorer le Sacré-Cœur de Jésus au lieu du mois de la fierté en juin.
Dans une déclaration publiée vendredi, le cardinal Frank Leo a exhorté les catholiques à se tourner vers le Sacré-Cœur plutôt que vers des symboles « idéologiques » qui déforment les enseignements moraux et doctrinaux de l’Église.
La déclaration, publiée sur le site web de l’archidiocèse le jeudi 29 mai, mais datée du 1er juin, indique que « nous faisons bien d’utiliser nos propres symboles pour raconter notre propre histoire sans recourir à des symboles à la mode, malavisés et inadéquats qui ne nous représentent pas en tant que catholiques, mais contribuent plutôt à la confusion, aux distorsions et aux ambiguïtés sur ce que la foi catholique enseigne vraiment concernant la personne humaine, la nature humaine et la loi morale naturelle ».
Son Éminence a en outre exhorté les catholiques à « s’assurer que les symboles que nous utilisons sont cohérents avec notre foi catholique et ne sont pas empruntés à des forums idéologiques, promus par des groupes de pression et soutenus par des mouvements politiques. Nous devons honorer et respecter nos traditions et ne pas compromettre l’intégrité de la foi en utilisant des symboles qui sont contraires à la révélation divine. »
Lire la suiteLe CDC ne recommande plus les vaccins covid pour les femmes enceintes et les enfants en bonne santé
Robert Kennedy Junior.
Par l’équipe de LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/X
27 mai 2025 (LifeSiteNews) — Les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies ne recommandent plus les vaccins expérimentaux à ARNm COVID-19 pour les femmes enceintes et les enfants en bonne santé.
« Aujourd’hui, le vaccin COVID pour les enfants et les femmes enceintes en bonne santé a été retiré du calendrier de vaccination recommandé par le CDC », a annoncé le secrétaire à la santé et aux services sociaux, Robert F. Kennedy, sur X mardi.
« En résumé, c’est une question de bon sens et de science. Nous avons fait un pas de plus vers la réalisation de la promesse du président des États-Unis de rendre l’Amérique à nouveau en bonne santé », a ajouté M. Kennedy.
Lire la suiteLes établissements de soins catholiques britanniques pourraient fermer si le projet de loi sur l’euthanasie est adopté
Par Robert Jones — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : DC Studio/Freepik
27 mai 2025, Liverpool, Angleterre (LifeSiteNews) — Les hôpitaux et les maisons de soins catholiques de Grande-Bretagne pourraient être forcés de fermer si le Parlement légalise le suicide assisté, a averti Mgr John Sherrington, archevêque de Liverpool.
« Si la loi est adoptée, il sera pratiquement impossible pour les institutions confessionnelles de fonctionner sans compromettre leurs valeurs fondamentales », a déclaré l’archevêque Sherrington à Zenit.
Le prélat a supervisé les questions de vie pour les évêques d’Angleterre et du Pays de Galles. Il décrit la proposition comme une menace directe pour l’identité catholique dans le domaine des soins de santé, citant l’absence de protection de la conscience institutionnelle.
« Ce projet de loi ne contient aucune garantie solide », a-t-il déclaré, « et le fait de ne pas inclure de protection de la conscience pour les institutions est à la fois peu clairvoyant et dangereux ».
Il a également exprimé son inquiétude quant aux droits de conscience des professionnels. Bien que le projet de loi prévoie des clauses de non-participation individuelles, l’archevêque Sherrington a mis en garde contre le fait que ces clauses s’érodent souvent avec le temps : « Leur option de retrait est ensuite restreinte car l’accès aux services devient prioritaire. »
Lire la suite21 médecins canadiens demandent un réexamen des produits et opérations transgenres pour enfants
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : makyzz/Adobe Stock
27 mai 2025 (LifeSiteNews) — 21 médecins canadiens ont signé une lettre appelant à la révision des dangereux médicaments et chirurgies de « transition » de genre destinés aux enfants.
Dans une lettre datée du 14 mai et produite par l’Institut Macdonald-Laurier, 14 médecins canadiens ont exprimé leurs inquiétudes quant au nombre croissant d’enfants à qui l’on prescrit des médicaments et des interventions médicales irréversibles pour tenter de les « transitionner » d’un sexe à l’autre. Depuis la publication de la lettre, sept autres médecins ont ajouté leur nom au document, atteignant le total de 21 signataires.
« Nous pensons qu’il est essentiel que le public sache que de nombreux médecins — et peut-être la plupart d’entre eux — estiment que des restrictions doivent être imposées aux thérapies de genre qui modifient de façon permanente le corps d’un mineur », écrivent les médecins.
« De nombreux Canadiens ignorent probablement que des politiques restrictives similaires sont déjà en place dans d’autres pays médicalement avancés, comme la Grande-Bretagne et plusieurs États membres de l’UE », expliquent les médecins, faisant également référence aux nouvelles restrictions imposées par le président Donald Trump aux États-Unis.
La lettre fait référence à l’étude Cass du Royaume-Uni, qui a révélé les dangers de la « transition » des enfants, notamment au moyen de produits pharmaceutiques et d’opérations chirurgicales mutilantes. L’étude en question a amené des agences gouvernementales à repenser leurs politiques en matière de transgenrisme.
Lire la suiteUn nouveau documentaire met en lumière le sort d'un Canadien gravement blessé après une injection covid
Par Angeline Tan — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
20 mai 2025 (LifeSiteNews) — Le cinéaste canadien Dean Rainey braque les projecteurs sur les vaccins expérimentaux COVID-19 avec un nouveau documentaire de 80 minutes détaillant le cas d'un homme canadien qui a souffert de séquelles invalidantes après avoir reçu les vaccins.
Intitulé « Why Can't We Talk About This » (Pourquoi ne pouvons-nous pas en parler ?), le documentaire explore l'histoire de Michael Oesch, un homme autrefois actif et en bonne santé dont la santé a dégénéré après avoir reçu sa quatrième injection du vaccin COVID à ARN messager en octobre 2022. Environ 36 heures après avoir été vacciné, Michael Oesch a éprouvé des difficultés à marcher et, peu de temps après, a commencé à souffrir de paralysie.
Après avoir passé une IRM, Oesch a appris qu'il souffrait de graves lésions de la colonne vertébrale, comme l'a rapporté le journal local Norfolk Today. Bien que tout cela se soit produit peu de temps après sa quatrième dose de vaccin COVID, les médecins n'ont pas donné à M. Oesch un diagnostic clair et ont qualifié son état d'« idiopathique », c'est-à-dire de cause inconnue.
Convaincu qu'il souffrait d'une lésion vaccinale liée à la protéine « spike », Oesch a dû faire face à un nouvel obstacle lorsque sa demande auprès du programme fédéral canadien de soutien aux victimes de vaccins a été retardée. Le documentaire de Rainey explique comment Oesch s'est battu pour obtenir un traitement, un soutien et une reconnaissance officielle de ses blessures dans un monde hostile à tout ce qui est négatif à propos des vaccins.
Lire la suiteLes demandes anticipées d’euthanasie sont illégales au Canada, des centaines de personnes en ont quand même signé
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
26 mai 2025 (LifeSiteNews) — À l’automne 2024, le Québec a autorisé les « demandes anticipées » d’euthanasie. Du 30 octobre au 17 avril, près de 650 Québécois ont rempli un formulaire autorisant leur mort par injection létale ultérieurement, lorsqu’ils seront incapables de donner leur consentement en raison d’une maladie avancée ou de déclin mental. Le Comité des Nations unies sur les droits des personnes handicapées a demandé au Canada de cesser de laisser cette pratique avoir lieu ; le Canada n’a pas encore répondu.
Les médias peuvent réagir à cette pratique de deux manières. La première est de souligner les conséquences horribles de cette pratique. Aux Pays-Bas, par exemple, une femme atteinte de démence a été maintenue physiquement par sa famille et s’est fait injecter une dose mortelle par un médecin après que le tranquillisant qui avait été glissé dans son café n’ait pas réussi à la rendre inconsciente. Elle menait une vie heureuse dans sa maison de retraite et n’avait aucune idée de ce qui se passait lorsqu’elle a été tuée. Sa famille affirme que c’est ce qu’elle aurait voulu. Le médecin a été mis hors de cause.
Une grande partie de la presse canadienne adopte l’approche inverse et publie plutôt le genre d’articles que Mourir dans la dignité souhaite si désespérément nous faire lire (en fait, je ne serais pas surpris qu’elle ait facilité beaucoup ou la plupart de ces histoires). Un grotesque article publié récemment par City News illustre cette approche.
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