Un musicien de Mumford & Sons quitte le groupe pour parler librement et « ne pas vivre dans le mensonge »
Winston Marshall.
Par Patrick Delaney — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo (modifiée avec IMGonline.com.ua) : Amy Nelson/Flickr/Wikimedia Commons
Londres, 25 juin 2021 (LifeSiteNews) — Winston Marshall, membre fondateur du groupe de folk rock Mumford & Sons, a annoncé jeudi qu’il quittait le groupe parce qu’il refuse de « s’autocensurer » face aux mensonges.
Après avoir raconté les souvenirs extraordinaires qu’il a partagés avec ses chers compagnons, le joueur de banjo et guitariste britannique a évoqué « le nid de frelons » qui s’est déchaîné en mars lorsqu’il a envoyé ce qu’il croyait être un message « anodin » au journaliste Andy Ngo.
Andy Ngo est l’auteur du livre à succès du New York Times Unmasked : Inside Antifa's Radical Plan to Destroy Democracy [Démasqué : le plan radical d’Antifa pour détruire la démocratie]. Selon une critique, le livre est un « exposé fascinant du contexte, de la structure et du fonctionnement de ce groupe militant collectiviste, déterminé à détruire le capitalisme et l’histoire, la culture et les institutions de l’Amérique. »
« Félicitations @MrAndyNgo », a écrit Marshall dans un message maintenant supprimé. « J’ai enfin eu le temps de lire votre important livre. Vous êtes un homme courageux. »
La foule Twitter de la « culture de l’annulation » s’est activée et, en une journée, le geste a suscité « des dizaines de milliers de commentaires furieux. »
« Je n’ai pas prévu que mon commentaire sur un livre critiquant l’extrême-gauche pourrait être interprété comme une approbation de l’extrême-droite, tout aussi odieuse », a-t-il écrit.
« J’ai subi de nombreux propos injurieux au fil des ans. Je suis un joueur de banjo après tout », a-t-il plaisanté. « Mais là, c’était d’un autre niveau. Et, en raison de notre association, mes amis, mes camarades de groupe, en recevaient aussi. Il m’a fallu un certain pour comprendre à quel point c’était pénible pour eux. »
Lire la suiteEntrevue avec le Dr Zelenko médecin à l’origine du traitement par HCQ et zinc contre le COVID-19 aux États-Unis
Entrevue de Claire Chrétien (à gauche) de LifeSiteNews avec le Dr Vladimir Zelenko (à droite).
Par David McLoane — Traduit par Campagne Québec-Vie
Correction importante : Cet article indiquait à l’origine, à tort, que le Dr Zelenko recommandait « corcidin, vitamine C, vitamine D et zinc » comme protocole de traitement du COVID. Nous corrigeons : le premier élément est en fait la quercétine et NON la corcidine. Nous nous excusons pour l’erreur résultant de la transcription de l’audio.
De plus : Dans l’entrevue vidéo, le Dr Zelenko mentionne que Michael Yeadon a déclaré que la plupart des personnes vaccinées avec les vaccins Covid-19 mourront dans les 2 ans suivant la vaccination. C’est plutôt le professeur Dolores Cahill qui a fait cette déclaration, à propos de laquelle le Dr Yeadon a été enregistré déclarant qu’il « n’irait pas aussi loin ».
9 juillet 2021 (LifeSiteNews) — Le Dr Vladimir Zelenko, ce médecin de Monsey, dans l’état de New York, qui a été le premier à utiliser l’hydroxychloroquine (HCQ) et le zinc comme traitement du COVID-19, a accordé une longue entrevue à LifeSiteNews pour expliquer pourquoi ce protocole a donné de si bons résultats. S’adressant à Claire Chrétien de LifeSite, Zelenko a parlé des vaccins contre le coronavirus et du « groupe de sociopathes » qui veut administrer ces injections au monde entier, ainsi que de la censure généralisée des informations sur le traitement du virus.
Dr Zelenko est médecin de famille depuis deux décennies dans le nord de l’État de New York. Le COVID-19 a balayé cette région lors de l’apparition de l’épidémie de coronavirus en mars 2020. À l’époque, les patients les plus gravement atteints du coronavirus de Wuhan étaient mis sous respirateur, mais « 80 à 90 % des personnes sous respirateur mouraient, ce n’était donc pas un très bon protocole de traitement », a noté Dr Zelenko.
Sur les 3 000 patients positifs au COVID dont il s’occupait, Dr Zelenko en a identifié 1 000 comme étant « à haut risque », mais son intervention médicale à base d’HCQ et de zinc a « réduit [leur] taux de mortalité de 7,5 % à moins de 0,5 % ».
« Cela représente une réduction de 84 % des hospitalisations et des décès. »
« Sur les 600 000 Américains décédés, nous aurions pu en empêcher 510 000 d’aller à l’hôpital et de mourir. »
Pourtant, ce protocole n’a pas été largement adopté par la communauté médicale. De nombreux Américains qui ont attrapé le coronavirus ont constaté que leurs médecins ne voulaient pas leur prescrire d’hydroxychloroquine ou que les pharmaciens ne voulaient pas en exécuter les ordonnances.
« L’HCQ a été adoptée par des médecins de renommée mondiale qui sont honnêtes et capables de raisonnement déductif et qui ne sont pas endoctrinés », a déclaré Zelenko à LifeSite, mais « malheureusement, 90 % des médecins de ce pays sont incapables d’une pensée indépendante ».
« Le résultat net est qu’ils suivent aveuglément les recommandations de leurs employeurs ou des agences gouvernementales sans faire appel au bon sens. Ils ne font que suivre les ordres, comme le faisaient les nazis. »
Lire la suiteLe Tribunal constitutionnel d'Espagne se prononce contre une loi régionale autorisant la vaccination obligatoire
Par Jeanne Smits — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
30 juillet 2021 (LifeSiteNews) — Dans une remarquable victoire pour les libertés individuelles concernant le « vaccin » expérimental COVID-19, le Tribunal constitutionnel d’Espagne a refusé de lever la suspension d’une loi régionale qui prévoyait la possibilité de rendre les vaccins obligatoires en cas de crise sanitaire. Le Tribunal a fondé son raisonnement sur le fait que l’obligation vaccinale « serait susceptible de causer des dommages certains et tangibles qui peuvent être irréparables ou difficiles à réparer, dans la mesure où la vaccination peut être imposée contre la volonté du citoyen ».
La décision du Tribunal, signée le 20 juillet et rendue publique le 23 juillet 2021 sur son site Internet, a suspendu une disposition générale de la Xunta de Galice (nord-ouest de l’Espagne) qui visait à donner à la région autonome le pouvoir de mettre en place des restrictions sanitaires locales, des mesures d’isolement obligatoire et des mesures prophylactiques. Celles-ci comprennent l’obligation de « vaccination ou d’immunisation » à l’égard de toute maladie infectieuse et transmissible ─ pas seulement le COVID-19.
Le projet de loi date du 25 février 2021 et modifie la législation régionale antérieure sur la « santé galicienne ». Il a été immédiatement suspendu à la demande des autorités nationales espagnoles (une telle suspension d’une loi régionale est limitée à cinq mois) et en avril, le procureur général espagnol a saisi le Tribunal constitutionnel pour demander la prolongation de la suspension pour cause d’inconstitutionnalité. La Communauté autonome, pour sa part, demandait la levée anticipée de la suspension.
S’il est vrai que la réponse favorable du Tribunal au gouvernement central de l’Espagne est limitée ─ la législation locale concernait une région de moins de 3 millions d’habitants ─ elle met en évidence des problèmes fondamentaux liés aux mandats de vaccination, indépendamment même des problèmes spécifiques posés par une injection expérimentale qui n’a obtenu qu’une autorisation de mise sur le marché « conditionnelle ».
Toutes les autres dispositions de la loi, qui incluent le confinement, l’isolement contrôlé par la police en cas de positivité à une maladie infectieuse et autres, ont été jugées compatibles avec la « loi organique » de l’Espagne, et leur suspension a été refusée par la Cour.
Lire la suiteLe procès d’une famille catholique bannie d’un marché parce qu’elle refuse d’offrir des réceptions pour les « mariages » gays
Steve et Bridget Tennes et leur enfants.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Alliance Defending Freedom
Detroit, Michigan, 27 juillet 2021 (LifeSiteNews) — Cette semaine, un tribunal fédéral de district entendra enfin le cas d’un agriculteur biologique catholique qui a été banni d’un marché du Michigan en raison de sa conviction que le mariage est l’union d’un homme et d’une femme.
Mercredi, l'Alliance Defending Freedom (ADF) représentera Country Mill Farms dans une affaire contre la ville d’East Lansing, qui, en 2017, a interdit à ses propriétaires, Steve et Bridget Tennes, de participer au marché d’East Lansing, dans le Michigan, en raison d’un message affiché sur Facebook en 2016 dans lequel Steve Tennes exprimait son opinion selon laquelle le mariage est l’union d’un homme et d’une femme.
Les responsables de la ville ont réagi en disant aux Tennes qu’ils ne voulaient pas de sa ferme au prochain marché prévu le dimanche suivant. Cependant, les Tennes ont refusé de céder et ont participé au marché.
Après que M. Tennes eût publié un autre commentaire en faveur du mariage traditionnel, les responsables de la ville ont contourné les limites juridictionnelles prévues par la loi du Michigan pour élaborer une politique visant à l’empêcher de vendre au marché des agriculteurs.
M. Tennes vend des fruits et des légumes à tous les acheteurs intéressés et affirme qu’il emploie une variété de personnes, y compris celles qui s’identifient comme faisant partie de la « communauté LGBT ». Mais la ville a refusé de l’autoriser à participer au marché à moins qu’il n’accepte d’accueillir des « mariages » homosexuels dans son verger.
Pendant un certain temps, la famille Tennes a décidé de ne plus recevoir de groupes de mariage à sa ferme. Cependant, elle a depuis décidé d’organiser des mariages traditionnels, tout en conservant son droit de refuser les événements qui contredisent ses croyances religieuses.
L’action en justice de l’ADF indique que la politique de la ville a violé les garanties de la Constitution en matière de liberté d’expression, de liberté de religion et d’égalité de protection. L’ADF demande au tribunal de rétablir les « libertés constitutionnellement protégées de Country Mill Farms et d’empêcher une violation de la loi du Michigan régissant les villes ».
La plainte demande également au tribunal de mettre un terme à la politique discriminatoire de la ville, de la déclarer illégale et inconstitutionnelle et d’accorder des dommages-intérêts nominaux et compensatoires.
« Cette action en justice demande simplement au tribunal de défendre la liberté d’un agriculteur catholique, qui devrait être libre de vendre ses produits sans coercition, discrimination ou intimidation de la part du gouvernement en raison de ses convictions sur le mariage », a déclaré Jeremy Tedesco, avocat principal de l’ADF. « La ville doit respecter la liberté de Steve, protégée par la Constitution, d’exprimer ses croyances religieuses sur les sites de médias sociaux sans être obligé de renoncer à son droit de participer au marché. »
Voici pourquoi « la pandémie des non-vaccinées » est un mensonge
Par Celeste McGovern — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : pathdoc/AdobeStock
21 juillet 2021 (LifeSiteNews) — Depuis plusieurs jours, les médias grand public diffusent en boucle des informations selon lesquelles 99 % des décès dus au COVID-19 concernent des personnes non vaccinées. En plus de l’absence de données — il existe en fait des preuves du contraire — cette information est devenue la base d’un flot de propagande déshumanisante qui qualifie la moitié de la population adulte américaine et la plupart des enfants qui n’ont pas reçu les vaccins expérimentaux COVID-19 d’« usines à variants » et d’« incubateurs » de maladies.
Cette propagande ressemble effroyablement à celle des premiers nazis, qui qualifiaient les « sales Juifs » de propagateurs de maladies et suscitaient une peur et une haine irrationnelles chez des millions de personnes dans la société allemande. C’était un message gouvernemental utilisé pour justifier la mise en quarantaine d’un peuple, sa famine, puis son anéantissement.
« Écoutez, la seule pandémie que nous ayons est parmi les non-vaccinés — et ils tuent des gens », a déclaré Joe Biden aux journalistes vendredi.
Rochelle Walensky, directrice des Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC), a tenu des propos similaires plus tôt dans la journée : « Cela devient une pandémie de personnes non vaccinées ».
Deux jours plus tard, le Directeur général de la santé Vivek Murthy a annoncé que « 99,5 % des décès dus au COVID-19 dans notre pays concernent des personnes non vaccinées ». La seule solution, disait-il, était que tout le monde se fasse vacciner.
C’était soit un mantra, soit un programme de propagande gouvernementale manifestement orchestré pour inciter les gens à se faire vacciner. Le programme de publicité à trois milliards de dollars n’avait pas séduit 51 % des Américains. Le scénario du « sale non-vacciné » est utile pour contraindre ceux qui ne veulent pas du nouveau produit pharmaceutique. Il s’agit d’une violation des principes du code de Nuremberg, qui a été mis en place après les violations des droits de l’homme commises par l’Allemagne nazie, afin de protéger les personnes contre la participation à des expériences médicales contre leur gré. Étant donné que tous les vaccins contre le coronavirus actuellement disponibles aux États-Unis font encore l’objet d’essais cliniques pendant au moins un an, ils sont expérimentaux par définition.
Les principes universellement acceptés, tels que le consentement éclairé et la liberté médicale, inscrits dans le code de Nuremberg, n’ont cependant plus d’importance. Aujourd’hui, les ardents défenseurs de la « liberté de choix » lorsqu’il s’agit du « droit » des gens à arracher des bébés à naître du ventre de leur mère sont soudainement arrogants et dogmatiques quant aux choix médicaux des autres. Ainsi, Kathleen Sebelius, ancien pilier enthousiaste de l’avortement « pro-choix » et secrétaire d’État à la santé et aux services sociaux sous Barack Obama, a déclaré, par exemple : « C’est très bien de ne pas choisir de vous faire vacciner », mais « vous ne pouvez pas venir travailler ».
Lire la suiteUn analyste travaillant pour le gouvernement déclare sous serment que les vaccins covid ont causé au moins 45 000 décès aux É.-U.
Par Patrick Delaney — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Studio Romantic/AdobeStock
Anaheim, Californie, 22 juillet 2021 (LifeSiteNews) — Un programmeur informatique lié au gouvernement, qui travaille dans le domaine de l’analyse des données sur les soins de santé, a fait une déclaration sous peine de parjure selon laquelle, d’après les réclamations médicales soumises aux Centers for Medicare and Medicaid Services (CMS), il y a « au moins 45 000 » décès liés à des vaccins, à cause des injections du vaccin expérimental COVID-19.
Cette annonce dramatique a été faite en début de semaine par Thomas Renz, avocat basé dans l’Ohio, lors de l’étape du ReAwaken America Tour de Clay Clark à Anaheim en Californie. Thomas Renz est l’un des principaux avocats dans plusieurs affaires majeures intentées contre des agences fédérales pour fraude et violation des droits à la liberté médicale.
« Je dépose aujourd’hui des documents devant un tribunal fédéral », a déclaré M. Renz à la foule enthousiaste. Ce dépôt est « basé sur une déclaration sous serment, sous la menace d’un parjure », d’une femme experte en dénonciation qui a attesté « qu’il y a eu au moins 45 000 décès dus à ce vaccin ».
De plus, ces chiffres sont « basés sur le nombre de personnes décédées dans les trois jours suivant l’administration du vaccin dans un seul système qui fait rapport au gouvernement fédéral ».
M. Renz poursuit en expliquant qu’« il y aurait environ 11 ou 12 systèmes qui signalent les décès et les blessures au gouvernement », et il estime que les chiffres réels sont « immensément plus élevés » que les 45 000 décès, même s’il ne peut pas le prouver immédiatement.
Selon les données complètes, tous systèmes de déclaration confondus, demande Renz, « combien sont réellement morts ? Et pourquoi le dissimulent-ils ? Ces gens assassinent des gens. C’est de la complicité au minimum. Il y a des gens qui doivent être mis en prison ».
Lire la suiteDes dizaines de femmes témoignent des douleurs atroces provoquées par les stérilets abortifs et du déni des médecins
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie
20 juillet 2021 (LifeSiteNews) — Un article récent paru dans le journal féminin du Washington Post, The Lily, présente plusieurs récits de femmes endurant des douleurs atroces après s’être fait implanter un dispositif intra-utérin (DIU) ou stérilet, la plupart d’entre elles ayant été ignorées par leur médecin.
Le DIU est un outil de contraception. Selon son fabricant, Mirena, le stérilet empêche la grossesse en « épaississant la glaire cervicale, en empêchant les spermatozoïdes de pénétrer dans l’utérus, en inhibant le mouvement des spermatozoïdes de sorte qu’il leur est plus difficile d’atteindre et de féconder un ovule ».
Il peut également agir comme un abortif en amincissant la muqueuse utérine et en empêchant l’embryon de se fixer à la paroi de l’utérus. Le stérilet au cuivre provoque une réaction inflammatoire qui est toxique pour les spermatozoïdes et les ovules ainsi que pour l’embryon fécondé, provoquant ainsi des avortements.
De nombreux obstétriciens avertissent leurs patientes de l’inconfort qu’elles pourraient ressentir après la procédure d’insertion du DIU, notamment des crampes irrégulières. Cependant, de nombreuses femmes ont fait état de douleurs extrêmes qui les ont obligées à prendre des médicaments et à utiliser d’autres méthodes non pharmaceutiques pour faire face à la douleur.
The Lily a demandé aux femmes de partager leurs témoignages. Cent trente et une femmes ont répondu, et la plupart d’entre elles ont raconté avoir ressenti de fortes douleurs soit pendant la procédure, soit après avoir reçu leur stérilet.
Lire la suiteUn évêque canadien : Les prêtres qui refusent le vaccin covid « risquent d’être limités dans leur ministère »
Mgr Douglas Crosby.
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : christthekingcathedral.org
Hamilton, Ontario, 26 juillet 2021 (LifeSiteNews) — Dans une lettre obtenue par LifeSiteNews, un évêque canadien avertit ses prêtres que leur ministère pourrait être limité s’ils ne reçoivent pas un vaccin expérimental contre le coronavirus.
« Toute personne qui ne reçoit pas les vaccins peut se trouver limitée dans son ministère », a écrit Mgr Douglas Crosby, évêque d’Hamilton en Ontario, dans une lettre du 20 juillet 2021 adressée à ses prêtres et diacres (cliquez ICI pour accéder à un PDF de la lettre). Mgr Crosby a exhorté le clergé de son diocèse à « continuer d’observer les sages conseils des autorités sanitaires ».
Les prêtres qui ne se font pas vacciner contre le coronavirus « pourraient ne pas être autorisés à entrer dans les établissements de soins (hôpitaux et maisons de retraite) et les écoles », a-t-il poursuivi.
La menace de Mgr Crosby d’interdire aux prêtres non vaccinés de se rendre dans les établissements de soins de santé pourrait empêcher les prêtres d’administrer le sacrement des malades, parfois connu sous le nom de derniers sacrements, qui comprend la confession, l’extrême-onction (l’onction des malades) et la réception de la sainte communion par les malades et les mourants.
L’évêque d’Hamilton n’a pas déclaré de façon définitive qu’il limiterait la capacité des prêtres à dire la messe et à accomplir d’autres sacrements ailleurs. Toutefois, il a écrit que « pour que tous les membres du clergé puissent exercer efficacement leur ministère, y compris célébrer la messe et les autres sacrements, il est impératif qu’ils soient pleinement vaccinés ».
Mgr Crosby fait également pression sur les laïcs pour qu’ils se fassent vacciner : « De même, les ministres et les membres du personnel des paroisses qui sont complètement vaccinés seront en mesure de remplir leurs rôles respectifs plus efficacement », écrit-il.
Lire la suiteUne nouvelle photo montre Joe Biden, partisan radical de l’avortement, recevant la Communion ce samedi
Joe Biden recevant la communion des mains de Mgr John P. Hopkins, le 24 juillet 2021.
Par Michael Haynes — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
Wilmington, Delaware, 26 juillet 2021 (LifeSiteNews) — LifeSiteNews révèle en exclusivité une photo montrant le président des États-Unis Joe Biden, partisan radical de l’avortement, en train de recevoir la Sainte Communion à l’église catholique St. Joseph de Wilmington samedi dernier, malgré son propre rejet de l’enseignement de l’Église catholique sur la nature de l’avortement que celle-ci qualifie de « crime abominable » [CEC 2271].
Le politicien catholique autoproclamé a assisté à la messe de 16 heures à l’église St. Joseph on the Brandywine à Wilmington, Delaware, le 24 juillet 2021.
Les défenseurs de la vie qui veillaient à l’extérieur de l’église ont « supplié » le pasteur récemment nommé, Mgr John P. Hopkins, lorsqu’il est entré dans l’église, de ne pas donner la Communion à l’homme politique pro-avortement.
Les deux défenseurs de la vie ont également interpellé le président à son entrée et à sa sortie de l’église, lui demandant de ne pas recevoir la Sainte Communion et de ne pas commettre de sacrilège. Des membres de la presse ont assisté à l’événement, a appris LifeSiteNews, mais n’ont pas encore interviewé correctement le groupe qui monte la garde lorsque le président assiste à la messe à l’église.
La photo montre Mgr Hopkins en train de donner la communion à Joe Biden, qui reçoit l’hostie sur sa main. On voit Joe Biden portant des lunettes de soleil à l’intérieur de l’église.
Alors que Joe Biden assistait à la messe de 16 heures, son emploi du temps officiel montre qu’il n’a pas quitté sa résidence avant 16 h 14 et n’est arrivé à l’église qu’à 16 h 17. Environ 22 minutes plus tard, Joe Biden a quitté l’église pour retourner chez lui.
Joe Biden s’est montré très ouvert quant à son soutien à l’avortement et à l’idéologie du genre. Il est allé jusqu’à qualifier l’avortement de « service de santé essentiel » et souhaite inscrire l’avortement dans la loi fédérale.
Biden défend également un certain nombre de politiques qui favoriseraient l’idéologie LGBT dans la vie quotidienne en Amérique, ainsi que dans le monde entier. Le premier « mariage » que Biden a célébré, en tant que vice-président, était entre deux hommes.
L’Église catholique enseigne depuis toujours la « malice morale » de l’avortement parce qu’il tue un être humain innocent, violant ainsi l’interdiction du meurtre par l’Église, un enseignement qui « reste immuable ».
« La coopération formelle à un avortement constitue une faute grave », peut-on lire dans le Catéchisme de l’Église catholique. « L’Église sanctionne d’une peine canonique d’excommunication ce délit contre la vie humaine ». [CEC 2272]
Lire la suiteGrâce à des religieuses, il ne fut pas avorté. Maintenant, il veut entrer au séminaire de la FSSP
Par Michael Haynes — Traduit par Campagne Québec-Vie
26 juillet 2021 (LifeSiteNews) — Un jeune homme originaire de l’Inde, qui a été sauvé d’un avortement par des religieuses travaillant dans un hôpital, cherche à poursuivre sa vocation en étudiant au séminaire catholique traditionnel Our Lady of Guadalupe dans le Nebraska, qui est dirigé par la Fraternité sacerdotale Saint-Pierre (FSSP).
Il a maintenant besoin d’aide pour réunir les fonds nécessaires pour répondre à l’appel et entrer au séminaire. Les lecteurs peuvent envisager de l’aider dans cette collecte de fonds par le biais de cette page LifeFunder.
Dominic Pavan, qui vit actuellement en Inde, est rempli du désir de répandre la joie et la vérité de l’Évangile, reconnaissant que tant de personnes ont besoin de connaître Dieu.
Sa mère s’est mariée jeune, mais à environ 16 semaines de grossesse, alors qu’elle était enceinte de Dominic, elle a commencé à vouloir se faire avorter. Cependant, l’hôpital local était dirigé par des religieuses qui l’ont convaincue d’attendre plusieurs semaines. Lorsqu’elle est retournée à la clinique, la mère de Dominic avait dépassé la limite légale pour les avortements en Inde.
Elle est retournée au même hôpital au moment de l’accouchement et les religieuses ont placé Dominic devant une statue de Notre-Dame peu après sa naissance, le confiant à Marie avec leurs prières.
Élevé dans une famille hindoue très traditionnelle, Dominic se rendait au temple « presque tous les jours ». Pourtant, vers l’âge de cinq ans, il a été fasciné par une image du Sacré-Cœur dans l’école catholique qu’il fréquentait, ainsi que par un sanctuaire marial qu’il visitait lors de voyages scolaires.
Lire la suite