Dans une catéchèse pour aider ses diocésains, un évêque affirme que « personne n’est transgenre »
Mgr Michael Burbidge, évêque d'Arlington.
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo
Lundi 23 août 2021, Arlington, Virginie (LifeSiteNews) — Un évêque catholique a publié une courte catéchèse pour aider les membres de son diocèse qui pourraient se sentir mal équipés pour faire face à la contagion du transgenrisme qui affecte maintenant de nombreuses familles, en particulier celles qui ont des enfants dans les écoles publiques.
La « Catéchèse sur la personne humaine et l’idéologie du genre », publiée par Mgr Michael Burbidge, évêque du diocèse d’Arlington en Virginie, a suscité l’ire des forces pro-transgenrisme et homosexualité au sein de l’Église catholique en raison de sa simple proclamation des vérités les plus fondamentales du catholicisme et du droit naturel.
Le diocèse d’Arlington se trouve de l’autre côté du fleuve Potomac par rapport à Washington, D.C. ; il est notamment composé de banlieues de grande taille, de plus en plus libérales, dans lesquelles des batailles d’identité de genre sont menées dans les systèmes scolaires publics.
« Personne n’est transgenre », déclare le document. « Utiliser des noms et des pronoms qui contredisent l’identité donnée par Dieu à la personne, c’est parler faussement ».
« Nous ne pouvons jamais dire quelque chose de contraire à ce que nous savons être vrai », conseille le document, de sorte que les « fidèles devraient éviter d’utiliser des termes ou des pronoms “d’affirmation du genre” qui véhiculent l’approbation ou renforcent le rejet de la vérité par la personne. »
La vérité immuable est une menace existentielle pour le transgenrisme
Le langage sans ambiguïté du document a été rapidement condamné par le Père James Martin, SJ ─ la voix la plus forte plaidant pour la normalisation de l’homosexualité et du transgenrisme au sein de l’Église ─ comme une attaque contre le message qu’il a été libre de promouvoir ces dernières années.
Le Père Martin a depuis longtemps adhéré à l’idée que Dieu a créé certaines personnes pour être transgenres.
« La pire forme de marginalisation, la pire forme de discrimination et la pire forme de haine est de prétendre que quelqu’un n’existe pas », a fulminé le jésuite dans un tweet. « Personne n’“est” transgenre, dit le diocèse d’Arlington. Or, les personnes transgenres existent et sont des enfants bien-aimés de Dieu. »
Lire la suiteMgr Schneider : les commentaires du pape François sur les Dix commandements contredisent l’Église et s’apparentent à l’enseignement de Luther
Par David McLoone — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo
Mercredi 18 août 2021 (LifeSiteNews) — Mgr Athanasius Schneider a répondu à la suggestion du pape François selon laquelle les dix commandements ne sont pas absolus. Il décrit les paroles du pape comme contradictoire avec l’Écriture et correspondant à l’enseignement de l’hérésiarque Martin Luther.
Dans des commentaires exclusifs à LifeSiteNews, Schneider a souligné deux problèmes-clés avec le déni par le pape de la nature contraignante du Décalogue. D’abord, les propos de François contredisent une encyclique du pape Jean-Paul II, et ensuite, ils contredisent l’enseignement exprès du Catéchisme de l’Église catholique (CEC).
L’affirmation problématique a été prononcée par le pape actuel lors de son audience générale de mercredi : « Est-ce que je méprise les commandements ? Non. Je les observe, mais pas de manière absolue, parce que je sais que ce qui me justifie c’est Jésus-Christ. »
Les remarques du pape François ont été faites en réponse à une question qu’il s’est lui-même posée, à savoir s’il vit dans la crainte « si je ne fais pas ceci ou cela, d’aller en enfer ? »
Commentant ces mots, Schneider a noté, sans ambages, que la déclaration de François « contredit l’enseignement de l’Église et est très proche de l’enseignement sola fide de Martin Luther. »
L’évêque auxiliaire d’Astana, au Kazakhstan, a expliqué que l’affirmation du pape François « contredit également l’encyclique Veritatis Splendor du pape Jean-Paul II ».
Mgr Schneider a cité l’encyclique :
Dans l’Ancienne Alliance, nous rencontrons déjà d’admirables témoignages d’une fidélité à la Loi sainte de Dieu, poussée jusqu’à l’acceptation volontaire de la mort. L’histoire de Suzanne est exemplaire à cet égard : aux deux juges iniques qui menaçaient de la faire mourir si elle avait refusé de céder à leur passion impure, elle répondit : « Me voici traquée de toutes parts : si je cède, c’est pour moi la mort, si je résiste, je ne vous échapperai pas. Mais mieux vaut pour moi tomber innocente entre vos mains que de pécher à la face du Seigneur ! » (Dn 13, 22-23). Suzanne, qui préférait « tomber innocente » entre les mains des juges témoigne non seulement de sa foi et de sa confiance en Dieu, mais aussi de son obéissance à la vérité et à l’absolu de l’ordre moral. [Veritatis Splendor, no. 91]
Mgr Schneider a noté que le CEC contredit aussi clairement les récentes déclarations du pape François, enseignant que les chrétiens sont toujours liés par la prescription de la Loi. Le numéro 2072 du CEC, a-t-il souligné, déclare : « Les dix commandements sont foncièrement immuables, et leur obligation vaut toujours et partout. Nul ne pourrait en dispenser ».
Mercredi également, le pape François a publié une vidéo dans laquelle il exhorte les gens du monde entier à prendre l’un des vaccins expérimentaux COVID-19. François n’a pas mentionné le lien entre les vaccins et les avortements historiques, mais a qualifié le fait de recevoir un vaccin COVID-19 d’« acte d’amour ».
François a ajouté que le fait d’aider d’autres personnes à prendre les vaccins contaminés par l’avortement est également « un acte d’amour. Amour pour soi-même, amour pour nos familles et nos amis, et amour pour tous les peuples ».
Un ancien vice-président de Pfizer : les vaccins covid présentent un « risque grave » d’infertilité pour les femmes
Par Celeste McGovern — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : shotprime studio/AdobeStock
(LifeSiteNews) — Les scientifiques savent depuis près de dix ans que les nanoparticules lipidiques, comme celles actuellement utilisées dans les tout nouveaux vaccins COVID à ARNm, s’accumulent dans les ovaires et sont potentiellement toxiques pour la santé reproductive, a déclaré un ancien vice-président et chercheur principal chez Pfizer lors d’une conférence organisée jeudi par LifeSiteNews sur les dangers des vaccins COVID pour la fertilité.
« On ne vous dit pas la vérité », a déclaré Michael Yeadon, ancien vice-président de Pfizer et directeur scientifique au niveau mondial pour la pharmacologie et la toxicologie respiratoires, qui est maintenant le conseiller scientifique en chef de la Fondation Truth for Health. « En y réfléchissant, j’essaie d’imaginer que je m’adresse à mes propres filles, qui sont de jeunes adultes, pour lesquelles je serais très inquiet si elles recevaient ces vaccins. »
Yeadon a cité des études datant de 2012 qui mettent en garde contre les dangers potentiels pour la reproduction des nanoparticules lipidiques qui sont utilisées dans les injections COVID.
Les vaccins à ARNm de Moderna et de Pfizer utilisent tous deux des nanoparticules lipidiques ou des lipoprotéines spécialisées pour transporter leur principal ingrédient ─ une protéine ARNm instable qui amène les cellules à produire la fameuse protéine de pointe du coronavirus et à déclencher une réponse immunitaire. Ce sont ces molécules qui ont eu besoin de températures extrêmement basses pour préserver la stabilité du lipide enveloppant le fragile ARNm.
Accumulation dans les organes reproducteurs
Des chercheurs allemands ont signalé dans leur article publié il y a neuf ans, « Accumulation of nanocarriers in the ovary: A neglected toxicity risk ? », qu’il existe un « risque potentiel de toxicité de tous les systèmes d’administration de médicaments à l’échelle nanométrique » et une accumulation de différentes molécules porteuses microscopiques dans les ovaires des rongeurs. Les chercheurs ont injecté des lipides « nanoporteurs », dont certains contenaient un ingrédient que l’on trouve aussi dans les vaccins COVID à ARNm de Pfizer et Moderna : le polyéthylène glycol.
Lire la suiteLes « élites » continueront à voler les élections et à terroriser l’humanité jusqu’à ce qu’elles rencontrent une résistance massive
Par Leo Hohmann — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : MoiraM/AdobeStock
(Leo Hohmann) — Les passeports numériques de santé ne font plus partie des théories de la conspiration, ils sont là, avec New York, Los Angeles et plusieurs autres grandes villes qui se livrent elles-mêmes comme terrains d’essai américains aux technocrates mondiaux.
Si les entreprises se plient effectivement à l’exigence de séparer les gens comme du bétail et de les traiter différemment en fonction de leur volonté de se soumettre à un certain traitement médical, alors que Dieu nous vienne en aide. Ces passeports numériques se répandront rapidement dans d’autres villes et villages d’Amérique. Tout le monde devra « montrer ses papiers numériques » avant d’entrer dans un lieu de commerce pour acheter ou vendre.
C’est déjà le cas en Europe, qui a toujours un peu d’avance sur l’Amérique dans la course à la suppression de la liberté.
J’ai expliqué dans mes articles précédents la signification des passeports numériques, qui en fait la promotion et quel type de société souhaitent créer les puissances qui sont derrière cette technologie.
Beaucoup de ces articles m’ont laissé mentalement épuisé et fatigué par la recherche.
Mais si ceux-là étaient écrits avec la tête, celui-ci vient du cœur.
J’ai décidé que je ne pourrais pas vivre avec moi-même si je ne publiais pas une évaluation sans retenue de la nature diabolique de ce qui est en train d’envahir la terre.
La vérité est qu’une révolution de couleur a été orchestrée avec succès aux États-Unis en novembre et décembre de l’année dernière. Cela a ouvert la porte aux élites mondiales du pouvoir qui détestent l’Amérique et tout ce qu’elle représente, leur permettant de faire leur dernier geste désespéré pour le contrôle total de l’humanité. Leur objectif est la gouvernance mondiale sur une population mondiale considérablement réduite et, après des décennies de travail à cette fin, ils estiment que le moment est venu de faire leur coup décisif aux échecs. Un échec et mat pour toujours.
Auraient-ils surestimé leur jeu ? Je l’espère.
Mais il est également possible qu’ils soient trop investis pour faire marche arrière. En faisant tomber leurs masques et en appelant audacieusement à des mesures aussi manifestement totalitaires, telles que le masquage et les injections obligatoires pour chaque homme, femme et enfant, les méchants ont réveillé un grand nombre de personnes au sein des masses endormies.
Lire la suiteTrudeau déclenche des élections fédérales au Canada pour le 20 septembre
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie
Ottawa, Ontario (LifeSiteNews) — Après que le déclenchement possible d’élections fédérales ait fait l’objet de nombreuses spéculations, le premier ministre canadien Justin Trudeau a annoncé dimanche que les Canadiens se rendront aux urnes le 20 septembre 2021.
« Après avoir traversé 17 mois comme nous n’en avons jamais connu, les Canadiens méritent de choisir à quoi ressembleront les 17 prochains mois, les 17 prochaines années et au-delà », a déclaré Trudeau.
Le gouverneur général du Canada, Mary Simon, a accédé à la demande de Trudeau de dissoudre le Parlement.
Le déclenchement des élections par M. Trudeau ne laisse que 36 jours aux partis pour faire campagne, soit le délai le plus court autorisé par la loi.
Au Canada, bien que les élections soient fixées et organisées tous les quatre ans, le parti au pouvoir peut à tout moment demander au chef d’État officiel du Canada, le Gouverneur général, de dissoudre le Parlement. Si le Gouverneur général accepte, ce qui est la coutume, une élection doit être organisée.
Lors d’un entretien avec les médias dimanche, M. Trudeau a affirmé qu’une élection était maintenant nécessaire, car « en ce moment crucial et lourd de conséquences, qui ne voudrait pas avoir son mot à dire ».
Le député Erin O’Toole, chef du Parti conservateur du Canada (PCC) et catholique pro-avortement, a déclaré à plusieurs reprises qu’il ne voulait pas d’élections pour le moment. De nombreux sondages le montrent à la traîne derrière Trudeau.
O’Toole a ouvertement déclaré à plusieurs reprises qu’il est « pro-choix ».
Le député canadien indépendant Derek Sloan, qui a été évincé du PCC début janvier, a récemment annoncé qu’il allait créer son propre parti fédéral pour « reconquérir le Canada ».
« Le parti sera explicitement pro-vie. La façon dont nous y parviendrons sera discutée, mais l’avortement ne sera pas une idée neutre dans le parti », a déclaré Sloan à LifeSiteNews.
Le PCC permet toujours aux candidats d’avoir des opinions pro-vie. Le Parti populaire du Canada, dirigé par l’ancien député du PCC Maxime Bernier, permet également à ses candidats d’exprimer des opinions pro-vie.
Bernier est le seul chef de parti fédéral qui s’est prononcé fermement contre les vaccins obligatoires COVID-19 et les passeports vaccinaux.
À l’heure actuelle, M. Trudeau détient un gouvernement minoritaire avec 155 sièges, tandis que le PCC de M. O’Toole détient 119 sièges. Le parti séparatiste Bloc Québécois détient 32 sièges, et le NPD en a 24. Il y a cinq députés indépendants, deux députés verts et un siège vacant.
La Chambre des communes du Canada compte 338 sièges au total. Pour qu’un parti forme un gouvernement majoritaire, il lui faut au moins 170 sièges.
Lire la suiteMgr Schneider : Le sang des enfants à naître crie vers Dieu depuis les vaccins et les médicaments liés à l’avortement
Mgr Athanasius Schneider.
Par Mgr Athanasius Schneider, évêque auxiliaire de l’archidiocèse de Sainte-Marie à Astana (Gloria.tv) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo
Les vaccins contaminés par l’avortement et la culture de la mort
Les puissances mondiales antichrétiennes qui font la promotion de la culture de mort cherchent à imposer à la population mondiale une collaboration implicite — bien que lointaine et passive — avec l’avortement. Cette collaboration éloignée, en soi, est également un mal en raison des circonstances historiques extraordinaires dans lesquelles ces mêmes puissances mondiales encouragent le meurtre d’enfants à naître et l’exploitation de leurs restes. Lorsque nous utilisons des vaccins ou des médicaments qui utilisent des lignées cellulaires provenant de bébés avortés, nous bénéficions physiquement des « fruits » de l’un des plus grands maux de l’humanité — le cruel génocide des enfants à naître. Car si un enfant innocent n’avait pas été cruellement assassiné, nous n’aurions pas ces vaccins ou médicaments concrets. Nous ne devrions pas être naïfs au point de ne pas voir que ces vaccins et médicaments n’offrent pas seulement un avantage pour la santé, mais qu’ils promettent également de promouvoir la culture de mort. Bien sûr, certains affirment que même si les gens ne prennent pas ces vaccins, l’industrie de l’avortement continuera à exister. Il se peut que nous ne réduisions pas le nombre d’avortements si nous cessons de prendre ces vaccins ou ces médicaments, mais là n’est pas la question. Le problème réside dans l’affaiblissement moral de notre résistance au crime de l’avortement, et au crime du trafic, de l’exploitation et de la commercialisation des parties du corps des enfants à naître assassinés. L’utilisation de ces vaccins et médicaments soutient d’une certaine manière moralement — bien qu’indirectement — cette horrible situation. En observant la réponse de l’Église catholique, les avorteurs et les responsables de la recherche biomédicale concluront que la hiérarchie a donné son accord à cette situation, qui comprend toute une chaîne de crimes contre la vie et peut être décrite à juste titre comme une « chaîne de mort ». Nous devons nous éveiller aux dangers réels, aux conséquences et aux circonstances de la situation actuelle.
Théories justifiant l’utilisation de vaccins contaminés par l’avortement
Les documents du Saint-Siège (de 2005, 2008 et 2020) qui traitent des vaccins développés à partir de lignées cellulaires provenant d’enfants à naître assassinés ne sont pas des décisions infaillibles du Magistère. Les arguments avancés dans les documents susmentionnés concernant la licéité morale de l’utilisation de vaccins contaminés par l’avortement sont finalement trop abstraits. Nous devons aborder ce problème de manière plus profonde, et ne pas rester dans un positivisme juridique et un formalisme de théories abstraites de coopération avec le mal, de bénéfice des mauvaises actions d’autrui, de double effet ou de tout ce que l’on veut appeler de telles théories justificatives.
Lire la suiteUn tribunal annule la politique de l’administration Biden obligeant les médecins à pratiquer l’avortement et la «transition»
Par Raymond Wolfe — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Sebastian Duda/AdobeStock
Wichita Falls, Texas (LifeSiteNews) — Un tribunal fédéral a bloqué une politique de l’administration Biden exigeant que les médecins pratiquent des avortements et des procédures de changement de sexe, sans tenir compte de leurs objections religieuses ou de conscience.
Le juge Reed O’Connor de la Cour de district des États-Unis pour le district Nord du Texas, division de Wichita Falls, a interdit de façon permanente au gouvernement fédéral de mettre en œuvre le soi-disant mandat transgenre dans une décision rendue lundi.
L’administration Obama a d’abord publié le mandat transgenre en 2016, obligeant les prestataires de soins de santé à offrir des procédures de « changement de sexe » à tout patient, quel que soit son âge, sur recommandation d’un professionnel de la santé mentale. La règle, qui ne prévoyait pas d’exemption de conscience, s’appuyait sur l’interprétation d’une clause de non-discrimination de la loi sur les soins abordables (ACA).
Le département de la santé et des services sociaux (HHS) a finalisé l’abrogation du mandat l’année dernière sous le président Trump, mais l’administration Biden l’a rétabli depuis. Et le secrétaire à la santé de Biden, Xavier Becerra, a intenté un procès pour défendre cette politique après un autre jugement défavorable cette année.
Le juge O’Connor a interdit au HHS « d’interpréter ou d’appliquer » l’ACA « d’une manière qui obligerait [les plaignants] à pratiquer ou à fournir une couverture d’assurance pour les procédures de transition de genre ou les avortements, y compris en refusant l’aide financière fédérale en raison de leur incapacité à pratiquer ou à fournir une couverture d’assurance pour de telles procédures ou en poursuivant, facturant ou évaluant de toute autre manière des pénalités, des amendes, des évaluations, des enquêtes ou d’autres mesures d’exécution ».
Lire la suiteUn nouvel article révèle une utilisation intensive de l’application de rencontre homosexuelle Grindr au Vatican
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pikist
27 juillet 2021 (LifeSiteNews) — La publication catholique The Pillar, dont la révélation explosive que le secrétaire général de la Conférence des évêques catholiques des États-Unis est un utilisateur régulier de l’application de rencontre homosexuelle Grindr a poussé celui-ci à démissionner, vient de lâcher une autre bombe, cette fois directement sur la Cité du Vatican.
Dans un article publié le 27 juillet 2021, The Pillar a indiqué qu’il a accès à une foule de données commerciales provenant de Grindr et d’autres applications de rencontre, montrant que celles-ci sont utilisées dans les zones non publiques du Vatican ─ et ces données sont similaires à celles auxquelles ils ont pu accéder et ensuite analyser aux États-Unis.
« L’utilisation intensive de l’application de rencontres basée sur la localisation est évidente dans les murs de la Cité du Vatican, dans les zones restreintes de la basilique Saint-Pierre, à l’intérieur des bâtiments du gouvernement de la Cité du Vatican et de l’administration du Saint-Siège, y compris ceux utilisés par le personnel diplomatique du Vatican, dans les bâtiments résidentiels et dans les jardins du Vatican, le jour et la nuit », explique The Pillar.
Leur enquête a montré qu’en 2018, « au moins 32 appareils mobiles ont émis des signaux en série de données d’applications d’accrochage ou de rencontre à partir de zones et de bâtiments sécurisés du Vatican ».
« Au moins 16 appareils mobiles ont émis des signaux à partir de l’application de rencontre Grindr pendant au moins quatre jours entre mars et octobre 2018 dans les zones non publiques de l’État de la Cité du Vatican, tandis que 16 autres appareils ont montré que d’autres applications d’accrochage ou de rencontre basées sur la localisation, tant hétérosexuelles qu’homosexuelles, ont été utilisées pendant quatre jours ou plus au cours de la même période. »
Lire la suiteUn juge accorde la garde de James Younger à la mère, mais exige l’accord du père pour les produits et les opérations de transition
Par Raymond Wolfe — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Facebook
Dallas (LifeSiteNews) — Un juge du Texas a accordé la garde complète de James Younger à sa mère, qui appelle le garçon de 8 ans une fille, le prénomme « Luna » et veut le soumettre à une « transition de genre ».
La juge Mary Brown, une démocrate, a pris parti contre le père de James, Jeff Younger, dans une décision rendue la semaine dernière, accordant à l’ex-femme de Younger, Anne Georgulas, la garde temporaire de James et de son frère jumeau, Jude. Jeff Younger s’oppose aux procédures transgenres pour son fils et se bat devant les tribunaux depuis des années contre Georgulas, qui n’est pas la mère biologique des garçons, pour protéger James.
Mme Brown a invoqué le soi-disant « manque de volonté ou l’incapacité de Younger à suivre l’ordonnance conçue pour servir au mieux les intérêts des enfants » et a déclaré qu’il avait « omis de verser en temps voulu » la pension alimentaire des enfants.
En conséquence, le juge a accordé à Georgulas « des droits exclusifs sur une base temporaire », selon le mémorandum du jugement publié par le Texan.
Les nouveaux droits de Georgulas comprennent, entre autres, l’autorité exclusive sur la résidence principale de James et Jude, l’inscription à l’école, les conseils, les activités extrascolaires et les médicaments.
Georgulas peut également refuser de communiquer à Younger des informations concernant le bien-être de ses enfants, y compris des détails sur les « rendez-vous de santé mentale ».
« Les ordonnances antérieures selon lesquelles Mme Georgulas doit informer M. Younger des rendez-vous chez le médecin, le conseiller ou le psychologue, ou des activités extrascolaires des enfants sont levées », a déclaré Mme Brown.
Lire la suiteDes milliers de Canadiens sont morts en 2020 en attente d’une opération reportée dans le cadre des mesures « sanitaires »
Par David MacLoone — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : gpointstudio/AdobeStock
5 juillet 2021 (LifeSiteNews) — Un rapport du groupe de réflexion politique SecondStreet.org a révélé le mois dernier que plus de 2 300 personnes inscrites sur des listes d’attente en chirurgie durant la [soit-disante*] pandémie de COVID-19 au Canada sont décédées entre janvier 2020 et décembre 2020.
Au Canada, quelque 353 000 opérations, procédures médicales et consultations ont été reportées ou annulées en raison des mesures de confinement mises en place par le gouvernement pour faire [prétendument*] face au COVID-19. Le report des traitements non urgents avait pour but de libérer des lits en prévision d’une augmentation des hospitalisations liées au coronavirus et de maintenir une distance physique entre les patients dans les salles.
L’organisation SecondStreet.org a pu confirmer 2 367 décès en déposant des demandes d’accès à l’information auprès de nombreuses autorités sanitaires à travers le pays. Ainsi, elle a obtenu le nombre de patients retirés des listes d’attente en chirurgie, car ils sont décédés avant d’avoir pu se rendre à leur rendez-vous. Le groupe de réflexion politique a averti que ce chiffre pourrait changer, puisque des importantes « données du Québec, du Nouveau-Brunswick, de Terre-Neuve-et-Labrador, de deux des plus grandes régions sanitaires de la Colombie-Britannique, de l’Office régional de la santé de Winnipeg et de plusieurs hôpitaux de l’Ontario » n’ont pas été suivies et n’ont donc pas pu être ajoutées au décompte.
Outre le manque d’information transparente de la part de toutes les provinces, le rapport indique que « les cas dans lesquels les patients ont été opérés, mais qui sont décédés durant l’opération ou peu de temps après celle-ci en raison des conditions aggravées par l’attente » n’ont pas été comptabilisés, contribuant ainsi à une sous-déclaration.
Le rapport a fourni les chiffres de la plupart des autorités sanitaires canadiennes pour la période fiscale 2019-2020, ainsi que de l’année civile 2020, ce qui signifie qu’il y a trois mois de rapports croisés. Cependant, selon le rapport, certaines autorités n’ont pas fourni de chiffres pour la période de la pandémie du coronavirus, ce qui rend impossible une vraie comparaison sans avoir pu ajuster au préalable cet écart. En dépit d’avoir travaillé avec peu de rapport, les chiffres obtenus depuis le début de la crise sanitaire sont supérieurs de 111 décès à ceux enregistrés entre avril 2019 et mars 2020.
Lire la suite