L’histoire d’un champion international de natation qui a survécu à l’avortement
Ernie A. Gawilan.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — capture d'écran vidéo/YouTube
30 août 2021 (LifeSiteNews) — Si vous lisez le profil du nageur philippin Ernie A. Gawilan sur le site internet du Comité international paralympique, vous ne lirez rien sur l’avortement. Son « type de déficience » est répertorié comme « déficience d’un membre », et l’« origine de la déficience » est notée comme « congénitale ».
Gawilan a commencé à nager en l’an 2000 pendant son temps libre, alors qu’il travaillait comme homme de ménage à Samal, et un entraîneur de natation l’a remarqué. Gawilan a ensuite remporté trois médailles d’or et deux d’argent aux Jeux paralympiques asiatiques de 2018 en Indonésie, devenant ainsi le premier athlète philippin à le faire.
Gawilan participe cette année aux Jeux paralympiques de 2021 à Tokyo, mais l’histoire du célèbre nageur est plus complexe qu’il n’y paraît immédiatement. Dans une entrevue en 2014, Gawilan a révélé qu’il a bien failli ne pas sortir vivant de l’utérus. Il n’a pas de jambes et son bras gauche ne s’est pas complètement développé, mais il est aussi devenu orphelin lorsque sa mère est morte du choléra alors qu’il n’avait que cinq mois.
Gawilan a été conçu lors d’une liaison de sa mère avec un autre homme, et le petit garçon a failli mourir dans l’utérus lors d’un avortement raté alors qu’elle tentait de cacher sa grossesse à son mari (qui les a ensuite abandonnés).
« Je devais être un bon nageur même dans l’utérus de ma mère, car j’ai survécu à l’avortement », a-t-il déclaré au journaliste. « J’ai simplement nagé ».
Lire la suiteMgr Schneider accorde une lettre d’exemption religieuse aux vaccins souillés par l’avortement
Mgr Athanasius Schneider.
Par Claire Chrétien — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Claire Chrétien/LifeSiteNews
29 août 2021 (LifeSiteNews) — De nombreux catholiques aux États-Unis craignent d’être licenciés ou contraints de recevoir des vaccins contaminés par l’avortement. Mgr Athanasius Schneider du Kazakhstan a décidé de fournir des déclarations sous serment certifiant l’appartenance à la Confrérie Notre-Dame de Fatima.
La Confrérie s’oppose aux vaccins contaminés par l’avortement du fait de convictions religieuses profondes. Les certificats sont personnalisés au nom de chaque membre et portent sa signature.
Tout membre peut apporter ce certificat, accompagné d’une déclaration personnelle, sur son lieu de travail.
Le certificat se lit comme suit :
« Ceci certifie que [NOM] est un membre perpétuel et en règle de la Confrérie Notre Dame de Fatima et qu’en tant que tel, il adhère à la croyance religieuse suivante : le crime d’avortement est si monstrueux que toute forme de concaténation avec ce crime, même très éloignée, comme accepter des vaccins qui ont été testés ou produits en utilisant des cellules de fœtus avortés, est immorale et ne peut être acceptée en aucune circonstance par un catholique ».
Christopher Wendt, directeur international de la Confrérie Notre-Dame de Fatima, qui a participé à la fondation de la Confrérie avec Mgr Schneider, explique que toute personne dans le monde peut rejoindre celle-ci.
« Il y a quelques promesses que vous faites pour essayer de vivre l’appel de Notre Dame de Fatima et d’amener le Triomphe du Cœur Immaculé de Marie dans votre propre vie », a déclaré Wendt.
Il y a également un lien sur le site Web pour demander votre certificat et obtenir une copie de la lettre type d’exemption religieuse.
C’est très simple. Vous téléchargez d’abord votre modèle de lettre d’exemption pour motif religieux. Vous prenez ce modèle et le personnalisez, pour en faire une expression de vos croyances religieuses profondément personnelles. Ensuite, si vous vous sentez appelé à rejoindre la Confrérie, vous remplissez le formulaire et devenez membre. Une tierce personne vous enverra par e-mail, dans un délai d’un jour ouvrable, votre certificat personnalisé signé par l’évêque Schneider. Vous présentez ensuite les deux documents à votre lieu de travail.
Il est indiqué sur le site Web qu’il ne s’agit pas d’un avis juridique, mais des avocats respectés ont examiné ce document.
Il est certainement recommandé de demander l’aide d’un expert juridique si vous pensez que vos droits constitutionnels sont violés.
Pour rejoindre la Confrérie Notre-Dame de Fatima et demander votre certificat à l’évêque Schneider, rendez-vous sur le site de la confraternité, ici.
Une campagne de financement pour diffuser la culture de la vie, de la famille et de la Foi à Québec
Geneviève de Vriendt, membre de l'équipe de Campagne Québec-Vie.
Par David McLoone — Traduit par Campagne Québec-Vie
27 août 2021, Québec (LifeSiteNews) — Alors que l’héritage catholique du Québec est rapidement oublié et enterré, une jeune femme courageuse de la province a entrepris de restaurer la culture de la foi, de la famille et de la vie dans la région.
Geneviève De Vriendt, une jeune fille de 16 ans passionnée par la vie et la foi, est membre du groupe chrétien pro-vie du Québec, Campagne Québec-Vie, dont la mission est « de construire une société chrétienne qui défend la foi, la famille et la vie, de la conception à la mort naturelle ».
À cette fin, Geneviève De Vriendt a déclaré à LifeSiteNews qu’elle avait entrepris de créer un « bureau permanent de la foi, de la famille et de la vie à Québec », comprenant le personnel et le matériel nécessaires pour promouvoir cette cause dans toute la province.
« Notre plan est de promouvoir un retour à la Foi et à la Vie pour le Québec, en commençant par sa capitale », a-t-elle ajouté.
Le président de Campagne Québec-Vie, Georges Buscemi, a récemment accordé une entrevue au Dr Thomas Ward de l’Académie Jean-Paul II pour la vie humaine et la famille. Buscemi a expliqué dans l’entrevue que le Québec avait autrefois un lieu unique dans l’histoire de l’Amérique du Nord en tant que « microcosme de la chrétienté dans une mer de protestantisme ».
« Des religieux et des religieuses dirigeaient les hôpitaux et les écoles. L’écrasante majorité de la population assistait régulièrement à la messe. Les familles nombreuses de 8, 9, 12 enfants… n’étaient pas du tout rares », a déclaré M. Buscemi.
Cependant, dès le début des années 1960, l’enseignement catholique a subi un coup dur de la part du nouveau gouvernement libéral qui a retiré le système scolaire à l’Église, le sécularisant complètement, a expliqué M. Buscemi. « Pendant ce temps, l’esprit du temps alimenté par les médias dictait que le “Québec était en retard” sur le plan économique, en raison de son style d’éducation catholique/classique. Les Québécois devaient répondre aux “besoins d’aujourd’hui” en devenant plus libéraux et plus avisés sur le plan économique. »
Mais les dégâts causés « par la sécularisation du système éducatif n’ont pu être égalés que par ceux qui se sont produits dans le système de santé », a ajouté M. Buscemi. « Les hôpitaux gérés par l’Église et remplis de religieuses en habit ont rapidement été remplacés par des hôpitaux gérés par l’État. Ceux-ci ont très vite commencé à autoriser les stérilisations et à distribuer des contraceptifs. Le système de santé publique a aussi lancé la création de centres d’avortement. »
Lire la suiteLa tyrannie des vaccins covid n’est pas catholique : analyse des arguments de la moralité des vaccins
Par le P. Christopher Paul — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : marchsirawit/AdobeStock
24 août 2021 (LifeSiteNews) — Alors que les mandats de vaccination se profilent et entrent même en vigueur à travers notre nation et le monde, la question morale de la licéité des vaccins COVID actuellement sur le marché devient de plus en plus pressante. De plus en plus souvent, les apologistes de la licéité s’appuient sur un document publié par la Congrégation pour la doctrine de la foi (CDF), Note sur la moralité de certains vaccins anti-Covid-19, ainsi que sur certaines déclarations du Saint-Père.
Les arguments pour ou contre l’utilisation de vaccins compromis sur le plan éthique s’appuient nécessairement sur les principes de coopération matérielle, qui fournissent en général les bases de certaines des questions morales les plus difficiles et les plus incertaines rencontrées par les théologiens et les éthiciens. Les questions de coopération matérielle nécessitent inévitablement l’identification et la mise en balance de divers principes moraux avec des circonstances concrètes, et n’admettent donc généralement que des solutions probables et contingentes. Les solutions n’auront de force que si leurs suppositions de faits concrets représentent des conditions réelles et si leurs conclusions mettent précisément ces faits en balance avec les principes moraux en jeu. En ce qui concerne les vaccins compromis sur le plan éthique, il est impératif que des jugements précis soient portés sur la nature du mal qui exige une coopération matérielle, ainsi que sur le besoin proportionné et grave qui l’excuse. La première et le second sont difficiles à mesurer, et les individus les mesurent souvent différemment en toute bonne foi.
Les apologistes des vaccins occultent de plus en plus la nature contingente des arguments concernant la coopération matérielle et ─ tragiquement ─ présentent les déclarations de la CDF comme faisant autorité, et comme contraignantes pour la conscience catholique, alors qu’en fait la CDF elle-même ne le fait pas. « La raison pratique, écrit le dicastère, rend évident que la vaccination n’est pas, en règle générale, une obligation morale et que, par conséquent, elle doit être volontaire. » Elle admet que certains catholiques refuseront la vaccination « pour des raisons de conscience » et, loin d’identifier une telle conscience comme erronée, donne des instructions pratiques pour des moyens alternatifs de garantir le bien commun.
Les raisonnements en faveur des vaccins ont tendance à tenir pour acquises plusieurs suppositions qui sont manifestement fausses, ou du moins douteuses et controversées ; en outre, certaines d’entre elles sont des jugements médicaux ou sociopolitiques, et dépassent donc le cadre de la compétence ecclésiastique. Ces suppositions et ma réponse à celles-ci suivent.
Lire la suiteCombattez le programme anti-vie : diffusez cette vidéo rare et étonnante sur l’enfant à naître
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie
25 août 2021 (LifeSiteNews) — Nous sommes maintenant au summum d’une attaque mondiale de type Goliath contre la vie et la fertilité ; c’est pourquoi il est temps de lutter pour la vie avec toutes les « pierres » à notre disposition. Les séquences vidéo montrant l’être humain à naître dans ses moindres détails sont l’une de ces pierres ─ une pierre qui n’amène pas la destruction, mais la préservation de la vie.
The Biology of Prenatal Development (Biologie du développement prénatal), que le Père Frank Pavone, directeur national de Priests for Life (Prêtres pour la vie), a qualifié de « vidéographie la plus vivante, la plus puissante et la plus saisissante qui soit sur l’enfant à naître », en est un excellent exemple.
Dave Andrusko, du National Right to Life News, a déclaré que ce documentaire primé du National Geographic « est si beau, si impressionnant, qu’il vous coupe presque le souffle ».
Bien que le film soit longtemps resté dans l’ombre, ses séquences vidéo du bébé à naître, qui capturent de façon saisissante même les battements de son cœur embryonnaire rouge vif, visible à travers la peau transparente, demeurent à la fine pointe de l’imagerie fœtale. Le documentaire a été filmé grâce à une technique rare, l’embryoscopie, qui fait appel à une caméra minuscule de la taille d’une pointe de stylo.
Le documentaire capture d’étonnantes séquences en couleur semaine après semaine, de 4,5 semaines à 5 mois, après quoi il passe aux images échographiques. Le film montre systématiquement des images vidéo de 4,5 semaines de gestation à 12 semaines, période au cours de laquelle la grande majorité des avortements sont pratiqués. Le CDC a indiqué en 2018 que 92,2 % des avortements étaient pratiqués dans les 13 premières semaines de gestation.
Lire la suiteDes étudiants privés de cours poursuivront le Seneca College sur la vaccination covid obligatoire
Par LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
Toronto, Canada, (Justice Centre for Constitutional Freedoms) — Le Centre de justice pour les libertés constitutionnelles représente deux étudiantes qui ne sont pas autorisées à retourner sur le campus du Seneca College en septembre à moins de recevoir les vaccins destinés à la prévention du COVID-19. Mlle Mariana Costa est inscrite à un programme d’arts de la mode de trois ans, et il ne lui reste que deux semestres, et Mlle Crystal Love est inscrite à un programme de technique vétérinaire de deux ans. Les deux étudiantes devaient terminer leur programme et commencer leur nouvelle carrière en avril 2022.
Le président du Seneca College, David Agnew, a envoyé aux étudiants un avis par courriel le 18 juin 2021, les informant de la nouvelle exigence en matière de vaccination.
Le Centre de justice a écrit une lettre au nom de Mlle Costa et de Mlle Love en juillet, informant le collège que s’il ne levait pas l’exigence de vaccination pour les deux étudiantes, une action en justice serait engagée. Ces lettres n’ont jamais reçu de réponse. M. Agnew a récemment écrit dans une colonne du Toronto Star, où il a déclaré : « Le moment est venu de dire clairement que certaines portes s’ouvriront aux vaccinés et que d’autres resteront fermées aux non-vaccinés. »
Ni Mlle Costa ni Mlle Love ne peuvent finir leurs programmes en ligne ce qui, à long terme, leur causera des difficultés pour faire face aux paiements des prêts étudiants, car il leur faudra plus de temps pour gagner un revenu afin de commencer à les rembourser. Mlle Love est une mère célibataire qui a travaillé dur pour pouvoir mieux subvenir aux besoins de ses enfants, et les deux femmes sont impatientes de terminer leurs programmes pour pouvoir commencer de nouvelles carrières.
La Cour suprême du Canada a statué que la Charte s’applique aux actions des collèges au Canada, et que la Charte protège les droits de conscience, de vie privée et de vie, de liberté et de sécurité des étudiants. Un tribunal peut également conclure que le mandat de vaccination est discriminatoire envers les personnes non vaccinées et constitue une violation de leurs droits à l’égalité.
Les étudiants n’ont pas non plus été informés de tous les risques potentiels connus associés aux vaccins COVID-19 (tels que la paralysie de Bell, la myocardite, la péricardite et la thrombose) avant d’être avertis qu’ils en auraient besoin pour pouvoir terminer leurs études. Il existe actuellement des étiquettes de mise en garde de Santé Canada concernant ces affections pour les vaccins Pfizer, Moderna et Johnson & Johnson.
Lire la suiteEn France, le gratin féministe de gauche est furieux de la diffusion du film pro-vie « Unplanned »
Ashley Bratcher (à droite) dans le rôle d'Abby Johnson, dans le film Unplanned.
Par Jeanne Smits — Traduit par Campagne Québec-Vie
19 août 2021, France (LifeSiteNews) — Une petite chaîne de télévision privée française, C8, est dans la ligne de mire du CSA (« Conseil supérieur de l’audiovisuel »), l’organisme national de surveillance des médias, parce qu’elle a diffusé Unplanned, l’histoire vraie de la conversion pro-vie d’Abby Johnson après une carrière chez Planned Parenthood. Des ministres du gouvernement sont même intervenus pour condamner l’émission, suggérant qu’elle pourrait être contraire à la loi.
Le long-métrage a été diffusé le lundi soir à une heure de grande écoute et a rassemblé 304 000 téléspectateurs (1,5 % du total des téléspectateurs ce soir-là en France, au lieu de 2 % en moyenne les autres soirs, selon « PureMedias », une agence de notation de l’audience). Mais l’événement a fait les gros titres de la presse nationale après trois semaines d’une controverse qui a commencé à la fin du mois dernier lorsque deux voix « off » de C8, Chloé Sitbon et Guillaume Orsat, ont rendu public leur refus de contribuer aux publicités annonçant le film.
Au cours des semaines suivantes, C8 et sa chaîne d’information sœur, CNews, ont été pointées du doigt en raison de leur décision de diffuser des émissions « catholiques » aux alentours du 15 août, jour de la fête de l’Assomption de la Sainte Vierge, patronne de la France et fête nationale. Dimanche, deux messes ont été diffusées, l’une célébrée par Mgr Dominique Rey à Cotignac, où le roi Louis XIII a obtenu la grâce de la naissance d’un fils à son épouse Anne après 20 ans de mariage sans enfant, l’autre à Lourdes. Des mises en scène de la vie du pape Jean-Paul II, de Mère Teresa et de saint Philippe Néri ont été diffusées sans interruption sur C8 dimanche dernier ; Unplanned a suivi lundi.
Les commentateurs en colère des médias grand public ont critiqué le propriétaire de la chaîne, l’industriel milliardaire et propriétaire de médias Vincent Bolloré. Bolloré est connu comme un catholique pratiquant, bien que le catholicisme ne soit que très peu présent dans les programmes de ses chaînes grand public.
Avant la diffusion d’Unplanned, lundi, une pétition lancée par « Grossesse imprévue » a obtenu quelque 20 000 signatures, demandant la déprogrammation de ce « film de propagande mensonger » en raison du « danger qu’il représente pour la population vulnérable des femmes enceintes ». Si C8 devait continuer à diffuser ce film, la pétition demandait qu’elle le « contextualise » en rappelant avant sa diffusion que « le droit à l’interruption volontaire de grossesse est ancré dans le droit français et permet à celles qui choisissent d’avorter de bénéficier d’un accompagnement médical et social adapté, si nécessaire ».
Si C8 a tout de même diffusé Unplanned, la chaîne a cédé à la pression en présentant le démenti suivant avant le début du film : « En France, chaque femme a le droit de disposer de son corps comme elle le souhaite. Ce droit est garanti par la loi. Cette histoire, qui ne reflète que l’opinion de son auteur, ne signifie pas une remise en cause de ce droit, mais permet plutôt d’en mesurer l’importance. »
Lire la suiteMédias et CDC occultent le fait que la «flambée» de covid de juillet avait pour épicentre un village de vacances LGBT
Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Fabio/AdobeStock
3 août 2021, Provincetown, Massachusetts (LifeSiteNews) — Les Centers for Disease Control (CDC) ont semé la panique cette semaine lorsqu’ils ont révélé qu’au cours de la première moitié du mois de juillet, il y avait eu un pic important de cas de COVID-19 [ce qui ne signifie pas grand-chose*] émanant d’une pittoresque destination touristique de bord de mer, où 74 % des personnes infectées étaient des personnes entièrement vaccinées.
Pourquoi une éclosion épidémique s’est-elle déclarée dans ce petit village situé à l’extrémité de Cape Cod et non dans l’une des milliers d’autres stations balnéaires qui bordent les côtes américaines ou dans tout autre lieu de fête, urbain ou rural ?
Ce que le CDC ne mentionne pas dans son rapport, et que les médias grand public veulent vous faire oublier, c’est à quel point Provincetown est différente de la plupart des autres stations balnéaires.
Provincetown est la Mecque américaine des vacances d’été pour les LGBT, et pendant les deux semaines qui se sont écoulées entre le 3 et le 17 juillet, lorsque les cas se sont multipliés, des dizaines de milliers de gays ont envahi la station balnéaire.
Le CDC, les médias nationaux et la Maison-Blanche occultent tous l’évidence afin de déclencher une nouvelle obligation de port de masque et d’autres mesures strictes de confinement : ce n’est pas une question de masques insuffisants ou de confinement. Il s’agit de ce qui se passe lorsque des milliers d’hommes convergent pour se livrer à la sodomie récréative.
Le CDC
Les personnes qui ont contracté le COVID-19 ont déclaré « avoir assisté à des événements intérieurs et extérieurs très fréquentés dans des lieux tels que des bars, des restaurants, des chambres d’hôtes et des maisons de location », indique le rapport du CDC, qui ne s’interroge pas sur le rôle que les rapports sexuels décontractés et souvent anonymes entre hommes ou groupes d’hommes ont pu jouer dans la transmission du redoutable virus.
Remarque : qu’est-ce qui est le plus susceptible de faciliter la transmission du COVID-19 : des personnes sans masque rassemblées pour le 4 juillet — ou des milliers de rencontres homosexuelles avec des inconnus et des connaissances ?
Lire la suiteUn juge du Manitoba se range du côté d’un étudiant en médecine chrétien expulsé pour publication de messages pro-vie sur Facebook
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : beeboy/AdobeStock
Winnipeg, Manitoba (LifeSiteNews) — Un juge provincial a « annulé » la décision de l’Université du Manitoba d’expulser l’étudiant copte orthodoxe Rafael Zaki pour avoir exprimé publiquement ses convictions religieuses pro-vie dans un message publié sur Facebook en 2019.
Selon le National Post, Zaki, un étudiant en médecine à l’Université du Manitoba dont la famille a émigré d’Égypte pour des raisons de liberté religieuse, a été renvoyé de l’université il y a deux ans. Son expulsion a été confirmée à deux reprises en 2020 par des comités universitaires, jusqu’à ce que son cas soit porté devant un tribunal provincial, qui lui a donné raison.
« La décision est annulée », a énoncé de façon expresse le juge provincial Ken Champagne, mercredi 11 août 2021.
Dans sa décision, le juge Champagne a déclaré que l’université n’avait pas tenu compte des droits de Zaki à la liberté d’expression garantis par la Charte.
Le comité d’avancement de l’université, composé de membres du corps enseignant chargés d’examiner la conduite des étudiants, a rejeté cinq lettres d’excuses différentes écrites par Zaki, affirmant qu’elles « manquaient de sincérité » et qu’il n’avait pas « changé d’avis ».
Le juge a décidé que le fait d’exiger de Zaki qu’il « change » ses croyances constituait une violation des droits garantis par la Charte et il a indiqué : « M. Zaki n’a pas voulu et n’a pas pu changer ses convictions religieuses pro-vie profondément ancrées ».
En plus de violer les droits de Zaki en vertu de la Charte, la décision de Champagne montre également qu’il y avait un parti pris envers l’étudiant de la part du doyen associé pour la formation médicale de premier cycle, le Dr Ira Ripstein.
Lire la suiteLes médecins de la conférence Stop the Shot : les femmes enceintes ne devraient jamais se faire vacciner au covid
Par David McLoone — Traduit par Campagne Québec-Vie
Vendredi 20 août 2021 (LifeSiteNews) — Depuis près d’une décennie, les scientifiques savent que les vaccins à ARNm mettent en danger la fertilité.
Des recherches menées dès 2012 montrent que la technologie qui sous-tend les injections expérimentales de COVID-19 peut entraîner des problèmes critiques de fertilité et de grossesse, a déclaré le Dr Elizabeth Lee Vliet lors de la deuxième conférence « Stop the Shot ». La réunion en ligne a été diffusée en continu le 19 août par LifeSiteNews.
Vliet, la présidente de Truth for Health Foundation [Fondation vérité pour la santé], et d’autres médecins et experts médicaux se sont réunis à nouveau hier pour discuter de recherches scientifiques datant de 2012 et 2018, redécouvertes et évaluées par les pairs. Ils ont également présenté de nouvelles preuves, provenant de lanceurs d’alerte, qui montrent que la technologie sous-jacente aux injections expérimentales de COVID-19 nuit à la fertilité et à la grossesse. Personne d’autre ne l’a signalé au public.
Lors de son discours d’ouverture, Mme Vliet a mis en avant une étude évaluée par des pairs datant de 2018, selon laquelle les nanoparticules, utilisées dans la technologie des piqûres d’ARNm, « peuvent perturber les niveaux d’hormones sécrétées, entraînant des changements dans le comportement sexuel », car les nanoparticules « peuvent traverser la barrière sang-testicule, la barrière placentaire et la barrière épithéliale, qui protègent les tissus reproducteurs ».
Voici l’un des nombreux effets possibles [du vaccin] : les cellules immunitaires humaines se retrouveront « entraînées à attaquer » une protéine absolument vitale pour une grossesse réussie, a averti Mme Vliet, « ce qui pourrait causer des fausses couches, des malformations congénitales et de l’infertilité » après la vaccination anti-covid.
Le Dr Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer et fervent critique des vaccins expérimentaux actuellement disponibles, a souligné que, pour de bonnes raisons scientifiques et médicales, « nous ne donnons jamais de traitements médicaux expérimentaux aux femmes enceintes ».
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