Les mesures de confinement ont coûté plus de vies qu’elles n’en ont sauvées : étude
Kenton Biffert — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pikist
15 septembre 2021 (LifeSiteNews) — Une étude réalisée en juin a révélé que les mesures de confinement augmentent le taux de mortalité.
L’étude, réalisée par des chercheurs de la RAND Corporation, organisme non partisan, et de l’Université de Californie du Sud, a comparé le nombre de décès non liés au coronavirus enregistrés avant la quarantaine COVID-19 à celui des décès non liés au coronavirus enregistrés pendant la quarantaine.
« Nous constatons qu’après la mise en œuvre des politiques de mise à l’abri en restant sur place (Shelter-in-place, SIP), la surmortalité augmente », écrivent les chercheurs. Les chercheurs ont utilisé le terme SIP comme un terme générique pour désigner les mesures de confinement, confinement à la maison et autres décrets draconiens similaires.
Les chercheurs ont analysé les statistiques de 43 pays et de la plupart des États américains. Certains de ces pays et de ces États se sont lancés immédiatement dans la quarantaine. D’autres ont attendu un certain temps avant de le faire. Dans les deux cas, le schéma était le même : on a constaté une augmentation des décès non liés au COVID ou aux décès excédentaires.
Selon l’étude, l’isolement résultant des mesures de confinement peut avoir entraîné « plusieurs conséquences involontaires importantes », telles que le chômage, l’augmentation du stress et de l’anxiété, la toxicomanie, les suicides, l’augmentation de la maltraitance des enfants et de la violence domestique, et l’impossibilité pour les personnes ayant besoin de soins médicaux (tels que les dépistages du cancer) d’y accéder en raison des restrictions imposées par les hôpitaux.
En outre, la recherche a noté que certains pays qui « ont mis en œuvre des politiques SIP ont connu une baisse de la surmortalité avant la mise en œuvre ». Ces pays avaient enregistré une baisse de la surmortalité avant la [prétendue]* pandémie. Après les mesures de confinement, la surmortalité enregistrée a augmenté. Des îles comme l’État d’Hawaï étaient la seule exception.
Lire la suiteLe New Hampshire supprime le financement de Planned Parenthood et des autres centres d’avortement
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : ArtFamily/AdobeStock
16 septembre 2021 (LifeSiteNews) — Un bureau de l’exécutif du New Hampshire a interdit aux fournisseurs d’avortement, dont Planned Parenthood, de recevoir des fonds destinés à la « planification familiale ».
Le Conseil exécutif de l’État du Granit a voté mercredi pour « rejeter les contrats de planification familiale avec trois fournisseurs de santé reproductive de l’État qui fournissent également des soins d’avortement avec un financement distinct — Planned Parenthood of Northern New England, Lovering Health Center, et Equality Health Center », a rapporté le Conway Daily Sun.
Le Conseil exécutif a autorité sur tous les contrats et dépenses de l’État. La démarche est similaire à la règle fédérale Protect Life Rule du président Donald Trump qui interdisait aux bénéficiaires de fonds du titre X de commettre des avortements.
Cornerstone Action, un groupe pro-vie du New Hampshire, s’est réjoui du vote.
« Le conseiller Dave Wheeler continue d’être un modèle d’homme d’État ayant des principes », a écrit Cornerstone sur Facebook. « Ce matin, Wheeler a donné l’exemple à ses collègues républicains du Conseil exécutif en rejetant avec succès des contrats qui auraient directement financé des cliniques d’avortement, notamment des cliniques gérées par Planned Parenthood of Northern New England et deux autres cliniques du New Hampshire qui pratiquent des avortements facultatifs. »
« Ce faisant, le conseiller Wheeler et ses collègues républicains ont confirmé l’interdiction légale de l’État de fournir des fonds pour la planification familiale aux cliniques d’avortement : une victoire pour les droits de conscience des habitants de l’État du Granit », a déclaré Cornerstone.
Lire la suiteLa position des chefs de partis canadiens sur la vie, la famille et la liberté
Par Kennedy Hall — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : ishmael n. daro/Flickr
Ottawa, Ontario, 16 septembre 2021 (LifeSiteNews) — Les élections fédérales canadiennes approchent à grands pas et les Canadiens se demandent peut-être quelle est la position des différents candidats sur les questions relatives à la vie, à la famille et à la liberté. Cet article donne un aperçu des idées et des votes des chefs des partis fédéraux les plus en vue.
L’actuel premier ministre a constamment pris des positions contraires aux valeurs des Canadiens pro-vie et, bien qu’il soit un catholique baptisé qui s’est marié dans l’Église, il a admis être en décalage avec la foi catholique. En 2009, Justin Trudeau a déclaré : « En tant que politicien, j’ai des positions politiques sur le mariage gay et sur l’avortement qui ne ressemblent pas du tout à celles de l’Église catholique. »
Trudeau a constamment défendu des positions anti-vie, concernant à la fois l’avortement et l’euthanasie, et a même qualifié l’avortement de « droit fondamental » en faisant référence à son opposition à la motion d’un député conservateur visant à condamner l’avortement sélectif en fonction du sexe.
Sous la direction de Trudeau, l’euthanasie a été officiellement légalisée et il a voté pour étendre la portée de l’euthanasie en appuyant le projet de loi C-7. Ce projet de loi permet aux Canadiens d’être plus facilement tués par des médecins, même s’ils sont malades mentaux.
Trudeau a même voté contre le projet de loi C-510, qui visait à protéger les femmes enceintes contre la coercition à l’avortement.
Trudeau a soutenu publiquement diverses causes LGBT et a été le premier premier ministre canadien à défiler dans un défilé de la fierté.
Trudeau a soutenu le projet de loi C-10, qui permettrait au Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes de réglementer l’Internet et les médias sociaux conformément à sa réglementation sur les services de radiodiffusion.
Récemment, Trudeau a également alimenté la peur et inculqué une mentalité de ségrégation aux Canadiens en diabolisant les Canadiens qui choisissent de ne pas prendre les nouveaux vaccins COVID-19 comme des « anti-vaxx », un danger pour la société.
Lire la suiteGoogle supprime les annonces payées par Live Action pour faire connaître le remède à la pilule abortive
Par Cassy Fiano-Chesser (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
16 septembre 2021 (LiveAction) — La journaliste du Daily Beast, Emily Shugerman, a publié un article à charge critiquant Live Action pour une campagne publicitaire promouvant l’inversion de la pilule d’avortement. Shugerman, qui est ardemment pro-avortement et a travaillé pour attaquer la loi texane Heartbeat Act, a soutenu que l’inversion de la pilule abortive (APR) est dangereuse et non prouvée, et a cité une litanie de militants de l’industrie de l’avortement pour faire valoir son point de vue. L’article s’appuie sur un rapport du Center for Countering Digital Hate, qui indique que les publicités de Live Action ont été vues des millions de fois sur Facebook et Google.
L’industrie de l’avortement s’oppose à l’inversion de la pilule abortive car cette pratique met en doute que toutes les femmes qui choisissent l’avortement sont certaines de leur décision, et aussi parce qu’environ 40 % de tous les avortements se font aujourd’hui par la méthode de la pilule abortive ─ une source de revenus importante pour l’industrie.
Shugerman a commencé par remettre en question l’histoire de Rebekah Hagan, qui a témoigné avoir commencé le processus d’avortement par pilule, mais l’a immédiatement regretté. Elle a choisi d’essayer la méthode d’inversion de la pilule abortive, et affirme que cela a sauvé la vie de son fils ─ mais Shugerman insinue que cette histoire a été inventée, écrivant : « C’est du moins ce que des dizaines de publicités sur Facebook voudraient vous faire croire. »
Censure en ligne
Le 10 mai 2021, Live Action a placé des annonces stratégiques sur Google qui informaient les femmes de la possibilité d’inverser le processus de la pilule abortive, ce qui implique un traitement avec une hormone de grossesse sûre appelée progestérone, qui est utilisée en toute sécurité depuis des décennies comme traitement standard pour prévenir les fausses couches. L’objectif du traitement APR est de surpasser les effets de blocage de la progestérone de la mifépristone, également connue sous le nom de pilule abortive. Ce traitement aurait déjà sauvé la vie de plus de 2 500 enfants, avec un taux de réussite de 68 %.
Lire la suiteLe Vatican invite des orateurs pro-avortement à son congrès pro-vaccin covid
Par Michael Haynes — Traduit par Campagne Québec-Vie
Cité du Vatican, 10 septembre 2021 (LifeSiteNews) — L’Académie pontificale pour la vie organise au Vatican un Congrès sur la santé qui fait la promotion des vaccins covid-19 contaminés par l’avortement, et présente des conférenciers qui ordinairement soutiennent et promeuvent l’avortement lui-même. Des observateurs décrivent déjà cet événement comme une « rupture » avec l’opposition permanente et absolue de l’Église catholique à l’avortement.
Intitulé « La santé publique dans une perspective mondiale : Pandémie, bioéthique, avenir », le Congrès aura lieu en ligne et sur place du 27 au 29 septembre 2021.
Le Vatican a annoncé que l’événement accueillera des « orateurs de renommée mondiale », entre autres Dr David Barbe, président de l’Association médicale mondiale (AMM), favorable à l’avortement, Dr Carissa Etienne, directrice de l’Association panaméricaine de la santé, favorable à l’avortement, et Dr Jules Hoffman, lauréat du prix Nobel de médecine en 2011.
Mgr Vincenzo Paglia, président de l’Académie pontificale pour la vie (APV), prononcera le discours d’ouverture du Congrès, juste avant que les participants ne bénéficient d’une audience papale.
Cependant, en raison de la promotion des injections contaminées par l’avortement et de l’accueil de nombreux partisans de l’avortement, la conférence a été décrite comme suit par M. Donnelly, diacre au Royaume-Uni : « le Vatican signale au monde qu’il ne s’oppose plus, de manière significative, au meurtre des bébés par l’avortement ».
Un congrès basé sur la « pandémie » du covid qui est « trop dramatique pour être gaspillée »
Le Congrès, un mélange de sessions ouvertes et de sessions réservées aux membres de l’APV, se tient « à la lumière de l’expérience de la pandémie de Covid-19 » et « entend offrir une réflexion sur certaines valeurs éthiques qui se sont avérées cruciales dans cette circonstance, mais aussi une analyse des défis posés par une nécessaire “conversion” éthique, médicale et écologique ». Le pape François et le Vatican lancent également cet appel à la « conversion écologique » dans le cadre d’un événement œcuménique et environnemental qui durera un mois.
Lire la suiteTexas Right to Life reçoit une menace de bombe dans un contexte de fureur pro-avortement contre la Heartbeat Act
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie
Houston, 13 septembre 2021 (LifeSiteNews) — Texas Right to Life a évacué son bureau de Bellaire vendredi après avoir reçu une menace de bombe et un paquet suspect, alors que la fureur de la gauche continue de croître en raison de son appui à une loi interdisant efficacement les avortements après six semaines de grossesse.
« Laissez-moi vous assurer : nous prenons la sécurité et le bien-être de notre personnel très au sérieux », a déclaré le groupe dans un communiqué de presse. « Nous avons engagé des gardes, installé des caméras supplémentaires et renforcé de nombreuses autres mesures de sécurité. Il s’agit d’une dépense coûteuse et inattendue, mais nécessaire. Nous donnerons toujours la priorité à la sécurité de notre équipe héroïque de sauveteurs. »
« Nous avons immédiatement appelé la police, et après une vérification aux rayons X, les agents ont jugé que le contenu du colis n’était pas nocif », poursuit le texte. « Dieu soit loué. »
Click2Houston, affilié à NBC, rapporte que le département de police de Bellaire a confirmé l’incident, et que c’est la police, en fait, qui a remarqué la livraison du paquet suspect en arrivant pour enregistrer la plainte du groupe au sujet du courriel de menace.
« Texas Right to Life a fait ce qu’il fallait en contactant la police », a déclaré le département. « Nous avons eu la chance que nos agents soient sur place lorsque le colis suspect a été livré et nous savons gré aux occupants du bâtiment d’avoir collaboré avec la police pour évacuer rapidement les lieux au cas où cela aurait été une véritable bombe ».
Lire la suiteDes parents poursuivent la Californie pour un programme scolaire où l’on fait chanter aux enfants des prières aux « dieux aztèques »
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Noradoa/AdobeStock
Sacramento, Californie, 10 septembre 2021 (LifeSiteNews) — Le samedi 4 septembre, un groupe de parents a intenté une action en justice contre le ministère de l’Éducation de Californie au sujet du nouveau « programme d’études ethniques » qui exige que les élèves prient en chantant les « dieux » aztèques.
La poursuite a été déposée par la Société Thomas More, un cabinet d’avocats à but non lucratif qui se consacre à la lutte pour les droits de la famille et de la religion, au nom des parents d’élèves, ainsi que par la Fondation Californians for Equal Rights.
L’action en justice a été lancée après que les plaignants aient adressé une lettre au superintendant de l’enseignement public, Tony Thurmond, lui demandant de retirer les chants païens du programme scolaire. La lettre, datée du 24 août, est restée sans réponse.
Sur le plan juridique, la plainte cite que « le libre exercice et la jouissance de la religion sans discrimination ni préférence sont garantis » par la loi californienne et que « la législature ne fera aucune loi concernant l’établissement d’une religion ». « En outre, l’aide gouvernementale à la religion est interdite », ajoute le texte.
Plus précisément, « les Cours suprêmes des États-Unis et de Californie ont clairement indiqué que la prière dans les écoles publiques est interdite » et « les prières rédigées par les responsables des écoles publiques sont doublement interdites », peut-on lire dans le dossier de plainte.
En termes simples, la loi fédérale et la loi de l’État interdisent la promotion de toutes les religions, y compris les cérémonies, les prières et les doctrines, dans toute école publique, selon la plainte.
Ces psalmodies démoniaques, qui font partie du « programme modèle d’études ethniques », étaient initialement un programme volontaire, mais selon le Christian Post, de nombreux districts scolaires en ont autorisé l’intégration dans les classes de tous les élèves.
Ces chants comprennent une demande aux « dieux » pour la « libération, transformation, décolonisation » de l’Amérique.
Lire la suiteUn hôpital de l’État de New York ferme sa maternité car un grand nombre d’infirmières refuse de se faire vacciner au covid
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : rh2010/AdobeStock
A-t-on jamais vu quelque chose de plus stupide que de fermer une maternité parce qu’un grand nombre d’infirmières refuse de se faire injecter un vaccin covid ? En tout cas, c’est ainsi que le gouvernement new-yorkais prétend prendre soin de la santé de ses administrés, en retirant des services de santé… — A. H.
Lowville, New York, 13 septembre 2021 (LifeSiteNews) — Des infirmières refusant de se soumettre au vaccin expérimental COVID-19 ont conduit un hôpital du nord de l’État de New York à fermer son service de maternité à partir du 25 septembre.
« Nous ne sommes pas en mesure d’assurer la sécurité du service [de soins de maternité] après le 24 septembre », a déclaré le Directeur général du système de santé du comté de Lewis, Gerald Cayer, lors d’une conférence de presse vendredi. « Si nous pouvons mettre le service en pause et nous concentrer maintenant sur le recrutement d’infirmières vaccinées, nous pourrons à nouveau mettre au monde des bébés ici, dans le comté de Lewis. »
L’État de New York a exigé que tous les travailleurs de la santé reçoivent au moins une injection du vaccin contre le COVID-19 d’ici le 27 septembre. Sinon, ils ne pourront plus travailler.
Selon M. Cayer, 165 des 464 employés de l’hôpital n’ont pas été vaccinés, et 30 ont officiellement démissionné en raison de l’obligation vaccinale.
Le service de maternité à lui seul a connu six démissions. Sept autres infirmières du service restent « indécises » quant à leur volonté de se conformer à l’ordre de l’État.
Le Lewis County Health System n’a pas répondu à la demande de commentaires de LifeSite sur les raisons pour lesquelles un grand nombre d’employés ont décidé de ne pas se faire vacciner.
De nombreux scientifiques ont trouvé des preuves que les injections de COVID-19 ont un impact négatif sur la santé des femmes en âge de procréer et sur la santé des nouveau-nés.
Le Système de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) du gouvernement a montré qu’en juillet, un nourrisson de 6 semaines est mort de caillots sanguins et d’une « inflammation sévère des artères » après que sa mère, qui l’allaitait, eût reçu le vaccin COVID-19 de Pfizer.
La mère avait reçu sa première dose le 4 juin et son bébé a commencé à avoir une forte fièvre peu après. L’hôpital, qui a tenté d’aider le bébé, n’a pas réussi à établir un diagnostic ni un plan de traitement adéquat, et le nourrisson est décédé le 17 juillet.
Lire la suiteLa Haute Cour de l’État du Kerala, en Inde, empêche l’avortement d’un bébé de 31 semaines
Par Joseph John — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : thodonal/AdobeStock
Kerala, Inde, 10 septembre 2021 (LifeSiteNews) — À la fin du mois dernier, la Haute Cour de l’État indien du Kerala a rejeté la demande d’une mère d’avorter son bébé de 31 semaines, déclarant que le « droit à la vie d’un enfant à naître » ne peut être traité « différemment [de celui] d’un enfant né ». Le Conseil des évêques catholiques du Kerala (KCBC) a applaudi cette décision.
« En l’absence de toute menace pour la vie ou la santé de la mère », l’honorable juge a estimé que « le choix reproductif de la mère, qui est une facette du droit fondamental qui lui est garanti par l’article 21 de la Constitution, devra céder le pas au droit à la naissance de l’enfant à naître ».
L’article 21 de la Constitution indienne garantit deux droits : le droit à la vie et le droit à la liberté individuelle.
La Commission de la famille du KCBC a émis une déclaration saluant le verdict de la Haute Cour du Kerala. Elle a félicité l’honorable juge, déclarant que « seuls les juges ayant des valeurs morales solides sont capables de rendre des décisions fortes pour la justice ». [La KCBC aurait au moins pu mentionner que la décision du juge comporte de grave défaut puisqu'elle ne protège pas entièrement l'enfant à naître.*]
La Cour a ordonné au Conseil médical du gouvernement d’examiner la mère et de soumettre son rapport médical. Le rapport médical précisait que les médecins avaient détecté une anomalie non létale chez le bébé et suggéraient la poursuite de « la grossesse jusqu’à son terme ».
L’honorable juge a écrit que « l’enfant à naître a la vie à partir du moment où il se transforme en fœtus. Si l’enfant à naître a la vie, bien qu’il ne soit pas une personne naturelle (sic), il peut certainement être considéré comme une personne au sens de l’article 21 de la Constitution, car il n’y a absolument aucune raison de traiter un enfant à naître différemment d’un enfant né ».
Le père Paulson Simethy, secrétaire de la Commission familiale du KCBC, a déclaré à LifeSiteNews que le KCBC soutient les familles nombreuses et promeut la culture de la vie. Sabu Jose, le président de la cellule pro-vie du KCBC, a souligné à LifeSiteNews la nécessité de promouvoir la dignité et l’inviolabilité de la vie humaine dans l’utérus.
Le 25 mars 2021, le gouvernement fédéral indien a étendu sa loi sur l’avortement pour autoriser le meurtre d’enfants dans l’utérus jusqu’à 24 semaines. Auparavant, les bébés ne pouvaient être tués que jusqu’à 20 semaines (cinq mois) dans l’utérus. Le nouvel amendement autorise également l’avortement jusqu’à la naissance en cas d’« anomalies » du fœtus.
Le Lancet estime qu'environ 16 millions d'avortements (14,1 millions-17,3 millions) ont eu lieu en Inde en 2015.
*Commentaire d'A.H.
L’administration Biden poursuit le Texas sur sa loi interdisant l’avortement dès les battements de cœur
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie
Washington DC., 9 septembre 2021 (LifeSiteNews) — L’administration Biden a enclenché une poursuite fédérale contre l’État du Texas, alléguant que sa Loi sur les battements de cœur violerait à la fois la loi fédérale et un précédent judiciaire de longue date, mais qui, dans les faits, interdit l’avortement après six semaines de vie du fœtus.
Le 1er septembre, la loi Texas Heartbeat est entrée en vigueur dans l’État de l’étoile unique. Signée en mai par le républicain Greg Abbott, cette loi oblige les avorteurs à détecter les battements de cœur du bébé et interdit l’avortement si un battement de cœur peut être entendu (généralement dès six semaines), avec des exceptions uniquement pour les urgences médicales.
Au lieu que l’État poursuive les contrevenants, la loi habilite « exclusivement » les citoyens à engager des poursuites civiles contre les avorteurs. L’avorteur encourt une peine minimale de 10 000 dollars d’amende par avortement et toute mesure injonctive supplémentaire jugée « suffisante pour empêcher le défendeur de violer le présent chapitre ou de se livrer à des actes qui favorisent ou encouragent les violations du présent chapitre ».
Ce mécanisme d’application unique a été considéré comme responsable de la surprenante décision de la Cour suprême des États-Unis de ne pas bloquer l’entrée en vigueur de la loi, ainsi que des décisions des chaînes d’avortement Planned Parenthood et Whole Woman’s Health de suspendre temporairement les avortements au-delà de six semaines de grossesse au Texas.
Lire la suite