Le président argentin Javier Milei utilise sa tribune pour lutter contre l’idéologie LGBT et l’avortement
Javier Milei, président d'Argentine.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Casa Rosada/Wikimedia Commons
21 mars 2024 (LifeSiteNews) — Les élections sont importantes. L’exemple de l’Argentine le prouve.
Les administrations successives avaient ruiné le pays, à la fois sur le plan économique et — avec la légalisation de l’avortement — sur le plan moral. C’est alors que le candidat libertaire pro-vie Javier Milei a été élu à la présidence. Il a prêté serment le 10 décembre. Contrairement aux politiciens qui insistent sur le fait que leur mandat n’apportera que prospérité et soleil, Milei a prévenu les Argentins dès le départ qu’une thérapie économique de choc serait nécessaire ; l’avenir dira si ses politiques ambitieuses seront efficaces, mais il y a des indications positives.
Mais surtout, Milei a utilisé sa tribune pour prendre fermement position contre l’idéologie LGBT et l’avortement. À la grande horreur des militants progressistes, il a commencé par interdire l’utilisation de ce qu’on appelle le « langage inclusif » dans les documents gouvernementaux le mois dernier, interdisant « le langage inclusif et tout ce qui est lié à la perspective de genre dans l’ensemble de l’administration publique nationale ». Comme l’a rapporté CNN :
Lire la suiteL’espagnol est une langue sexuée dans laquelle la plupart des noms se terminent par un « o » masculin ou un « a » féminin. Dans les pays hispanophones, certains s’efforcent de créer une langue non sexiste en utilisant « x », « e » ou « @ » pour créer des noms généraux neutres au lieu d’utiliser « o » ou « a ». Par exemple, le terme neutre « Latinx » par opposition au masculin « Latino » ou au féminin « Latina ».