Le gouvernement Trudeau va rendre toutes les toilettes « neutres » dans les bâtiments du Parlement
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : pkanchana/Adobe Stock
24 juin 2024, Ottawa, Ontario (LifeSiteNews) — Pour la première fois depuis des décennies, les femmes n'auront pas leurs propres toilettes sur la colline du Parlement canadien après que le gouvernement fédéral canadien du Premier ministre Justin Trudeau ait annoncé que toutes les toilettes deviendront bientôt « neutres quant au genre ».
Cette mesure, qui privera les femmes et les hommes de leur intimité lorsqu'ils utiliseront les toilettes sur la colline du Parlement, a été annoncée récemment par le ministre des services publics, Jean-Yves Duclos. Sous sa direction et avec la bénédiction de M. Trudeau, environ 200 toilettes de l'édifice du Centre, ainsi que le nouveau centre d'accueil, seront rendues plus « accessibles » et plus « inclusives ».
Selon M. Duclos, les rénovations des toilettes ont pour but de « répondre aux attentes et aux besoins » des Canadiens LGBT et de s'adapter à leurs « besoins des années 2030 et au-delà ».
Selon M. Duclos, la dernière mesure prise par le gouvernement Trudeau en faveur des LGBT s'inscrit dans le cadre d'un « message très large d'inclusion ».
L'initiative en faveur de toilettes « neutres » intervient après que le député néo-démocrate Don Davies ait présenté une pétition à la Chambre des communes demandant l'interdiction des toilettes exclusivement pour hommes ou pour femmes dans les lieux de travail fédéraux.
« Les politiques d'exclusion en matière de toilettes créent des obstacles importants pour les personnes transgenres, non binaires et non conformes au genre », a déclaré M. Davies.
Lire la suiteL’interdiction des toilettes neutres (mixtes) dans les écoles au Québec est une bonne nouvelle
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
3 mai 2024 (LifeSiteNews) — Il est encore parfois surréaliste de considérer ce qui constitue une nouvelle en 2024. Imaginez que vous disiez à vos grands-parents, ou même à vos parents il y a 20 ans, que ce serait une nouvelle de dernière minute pour tout le monde — Global News, le Globe and Mail, le radiodiffuseur national — qu’un gouvernement provincial ait émis une directive... pour que les salles de bains et les vestiaires dans les écoles soient spécifiquement désignés pour les garçons ou pour les filles.
Et pourtant, nous y sommes. Le 1er mai, les nouvelles règles québécoises interdisant la mise en place de salles de bain partagées, « neutres » ou « mixtes », sont entrées en vigueur, à la suite d’une pétition lancée en 2023 pour protester contre le projet de rendre toutes les salles de bain neutres à l’école secondaire D’Iberville, à Rouyn-Noranda. À l’époque, le premier ministre François Legault avait chargé la ministre de la Famille, Suzanne Roy, de créer un comité consultatif chargé d’effectuer des recherches ; les recommandations sont attendues à l’hiver 2025.
Mais le ministre de l’Éducation Bernard Drainville, réalisant peut-être à quel point il est ridicule qu’un comité consultatif doive être créé — et qu’il lui faille ensuite plus d’un an — pour déterminer si oui ou non les adolescents et les adolescentes ont besoin de leurs propres toilettes, a décidé d’aller de l’avant et de « corriger le tir », en invoquant la nécessité de protéger les jeunes filles contre l’inconfort et le harcèlement. Lorsqu’on a appris qu’une école secondaire québécoise de Rouyn-Noranda commençait à aménager des salles de bain neutres (mixtes), Drainville a décidé d’aborder la question par voie de directive.
Lire la suiteUne résidente ontarienne expulsée de la séance du conseil municipal pour avoir soulevé des inquiétudes au sujet d’un vestiaire « neutre »
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo (modifie) : MarkRademaker/Adobe Stock
6 mars 2024, Cambridge, Ontario (LifeSiteNews) — Un conseil municipal de l’Ontario a refusé d’entendre les préoccupations d'une femme concernant une « zone commune universelle neutre » qui pourrait conduire à ce que des enfants soient sollicités sexuellement.
Lors d’une réunion du conseil municipal de Cambridge, en Ontario, le 27 février, Janice Fiaschetti, résidente de Kitchener, a été réduite au silence et expulsée de la réunion après avoir exprimé ses inquiétudes au sujet de la « zone commune universelle neutre » à parois de verre proposée dans le nouveau centre de loisirs de la ville.
« Ce qui est en cause, c’est le projet du conseil municipal, présenté dans les plans architecturaux de MJM, d’avoir des salles de bains, des vestiaires et des douches ouverts et universels », a commencé Janice Fiaschetti.
« Je demande si l’un des conseillers municipaux peut garantir que nos enfants seront en sécurité dans l’une ou l’autre de ces zones ».
Selon les plans, la ville prévoit construire dans son nouveau centre de loisirs un « espace commun universel neutre » aux parois de verre, en lieu et place des vestiaires traditionnels pour hommes et femmes.
Les toilettes du rez-de-chaussée, destinées aux deux sexes, seront composées d’une série de cabines privées allant du sol au plafond et d’une zone publique pour le lavage des mains. Quelques cabines seront également équipées de toilettes et de lavabos.
Lire la suiteLe ministre de l’Éducation du Québec rejette les toilettes neutres dans les écoles
Bernard Drainville, ministre de l'Éducation du Québec.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Montreal Gazette/YouTube
21 septembre 2023, Québec (LifeSiteNews) — Le Québec a annoncé qu’il n’autorisera pas l’installation de salles de bain neutres dans ses écoles, plaçant le bien-être des étudiants au-dessus des demandes des activistes LGBT.
Le 12 septembre, le ministre de l’Éducation du Québec, Bernard Drainville, a déclaré que la province n’installerait pas de salles de bain neutres dans les écoles après qu’une école, l’École d’Iberville, ait annoncé son intention d’installer des salles de bain neutres pour l’année scolaire suivante.
« Nous ne pensons pas que ce soit une bonne idée », a déclaré M. Drainville lors d’une rencontre avec la presse mardi, premier jour de la session parlementaire provinciale qui reprend à Québec. « L’école doit rectifier la situation ».
L’école d’Iberville, une école secondaire de Rouyn-Noranda, au Québec, a déclaré qu’elle prévoyait construire des cabines de toilettes allant du plafond au plancher, de sorte que seule la zone des lavabos serait partagée.
Cependant, M. Drainville s’est dit préoccupé par le fait que les étudiantes se sentent mal à l’aise lorsqu’elles doivent partager l’espace des toilettes avec des étudiants de sexe masculin.
« Une jeune fille de 12, 13 ou 14 ans qui commence à avoir ses règles, par exemple, et qui sort de sa cabine, se retrouve face à des garçons de 13 ou 14 ans qui la regardent fixement », a-t-il expliqué. « Moqueries, sarcasmes, humiliations : c’est un scénario que nous ne voulons pas. Je pense donc qu’il faut tracer une ligne, et c’est ce qui est fait aujourd’hui ».
Lire la suiteToilettes neutres ou pas de toilettes neutres ?
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Freepik
Ces derniers jours avait surgi la question des toilettes neutres au Québec, lieux censés satisfaire les exigences de l’idéologie du genre. En effet, le ministre de l’Éducation du Québec, Bernard Drainville a interdit de changer en bloc les toilettes pour garçons ou pour filles en toilettes mixtes dans les écoles.
Précédemment, en août, le Centre de services scolaire de Rouyn-Noranda avait annoncé la transformation des toilettes ordinaires en toilettes mixtes sur les trois étages de l’école secondaire d’Iberville — ce que le ministre a désapprouvé. Selon La Presse :
« Il n’est pas question de transformer des toilettes pour garçons en toilettes mixtes ou des toilettes pour filles en toilettes mixtes », a dit M. Drainvillle, précisant que sa décision est « ferme ».
Plus précisément, le projet de question prévoyait de faire les cabines des toilettes complètement closes, tandis que les lavabos auraient été dans une aire ouverte.
Le ministre Drainville donne un motif raisonnable pour son refus, éviter que les jeunes filles commençant à avoir des règles ne soient la cible des sarcasmes de la juvénile gent masculine. Selon La Presse :
Lire la suite« J’imagine la scène, les jeunes filles de 12, 13, 14 ans qui commencent à avoir ses règles par exemple et qui sortent du cubicule et là, il y a des garçons à côté de 13, 14 ans qui les regardent. Imaginez la scène. Les moqueries, le sarcasme, l’humiliation. Vous parlez d’élèves qui pourraient être blessés, sinon meurtris par ce genre de situations », a dit M. Drainville.
Un libéral soutient les espaces non mixtes, ayant appris des prisons féminines où l’on met des « transgenres »
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : AdobeStock
Les activistes transgenres qui réclament que les représentants de leur… nouvelle catégorie soient traités selon qu’ils se disent « hommes » ou « femmes », ou autres… semblent aveugles aux conséquences de leurs réclamations. Arrêter la puberté d’un enfant, lui administrer des hormones qui se rencontrent surtout chez l’autre sexe puis l’amputer de quelques organes sains afin qu’il « ressemble » à une personne de l’autre sexe est des plus aberrants. Autoriser des « femmes » qui ne le sont que de nom à entrer dans les espaces réservés aux vraies femmes est d’une absurdité sans nom, comme si le fait de se dire femme allait garantir une perception de femme, une sensibilité de femme et finalement, le plus important dans ce cas, des appétits de femme et non d’homme… Ce n’est pas comme si rien n’arrivait, et malgré tout leur propagande continue, aveugle et sourde.
Un politicien libéral (d’après ses positions et non selon le parti auquel il a pu appartenir) a bien compris cette leçon, du temps où il était ministre et supervisant le système carcéral, selon LifeSiteNews
Au Royaume-Uni, le plus libéral des candidats à la direction du parti conservateur de l’année dernière, et désormais candidat non affilié à un parti aux élections de Londres, Rory Stewart, a raconté que lorsqu’il était ministre responsable des prisons, il y avait eu des cas (comme il l’a dit) de « prisonniers masculins s’identifiant comme femmes » violant des membres du personnel. Pour cette raison, il n’est pas favorable à l’ouverture des « espaces féminins », tels que les toilettes publiques, à tous venants.
Un homme qui se dit «femme» entre dans les toilettes des femmes et agresse une fillette de 10 ans
Par Jonathon Van Maren — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Alexas_Fotos/Pixabay
15 février 2019 (LifeSiteNews) — Des décennies après que le féminisme ait balayé l’Occident, les droits des transgenres ont officiellement remplacé les droits des femmes, car l’idéologie émergente de la fluidité des sexes annihile toute conception formelle de ce qu’est une « femme » en partant.
Les femmes et les filles qui ne se sentent pas en sécurité lorsque des hommes biologiques* pénètrent dans des espaces autrefois réservés aux femmes se font essentiellement dire qu’elles sont transphobes et qu’elles devraient se taire. L’Université de West England a même lancé récemment une campagne par le biais d’affiches invitant les étudiants à ne pas se préoccuper de ceux qui auraient l’air d’être dans les mauvaises toilettes. Lorsque la journaliste Josephine Bartosch a fait remarquer que « l’UWE en en train de dire que les sentiments et les craintes des femmes comptent moins que ceux qui s’identifient comme transgenres », elle a rapidement été condamnée par le chef de la société LGBT.
Les militants LGBT insistent sans cesse sur le fait qu’il n’y a pas d’inconvénient à éliminer les espaces réservés aux femmes ou à les limiter aux femmes biologiques*. Quiconque prétend qu’il pourrait y avoir un danger à permettre à quelqu’un d’entrer dans un espace privé en fonction de la façon dont il décide de s’identifier se fait dire qu’il est motivé par la haine envers les personnes transgenres plutôt que par le souci des femmes vulnérables. Tout malaise exprimé par les femmes elles-mêmes est condamné comme de l’intolérance. Et ce système est imperméable aux questions : Il n’est pas seulement transphobe de demander si certains espaces devraient être limités aux femmes biologiques* pour des raisons de sécurité, il est également transphobe de poser des questions complémentaires à ce sujet. La communauté transgenre, apparemment, est un groupe uniformément parfait, tout à fait sans péché et dépourvu de membres infâmes, quels qu’ils soient. Je suppose que si l’on est capable de croire qu’une femme a un organe sexuel masculin, l’on peut croire n’importe quoi.
Malheureusement, mais comme on pouvait s’y attendre, ce n’est pas le cas. Au Royaume-Uni, le Courier a récemment rapporté qu’un jeune homme violent, pour lequel les médias ont docilement utilisé le pronom « elle » tout au long de leur reportage, a reçu une tape sur le poignet ayant agressé sexuellement une fillette de dix ans dans les toilettes des femmes d’un supermarché à Morrisons en Kirkcaldy. L’individu de 18 ans, qui porte actuellement le nom de « Katie Dolatowski », a attrapé la petite fille par le devant, l’a poussée dans une cabine de toilettes et lui a ordonné d’ôter son pantalon, ajoutant qu’un homme devant la salle de bains tuerait sa mère. La fille a paniqué et a commencé à frapper Dolatowski, le frappant [...] au ventre et au visage. Elle s’est ensuite précipitée vers son père et ses frères et sœurs, qui l’attendaient juste à l’extérieur de la salle de bains, présumée sûre pour les femmes.
Lire la suiteLa survivance du pays réel
Les réfugiés d'Évariste Carpentier.
Par l’historien Jean-Claude Dupuis, Ph D. — Photo : terminators.com/Wikimedia Commmons
Récemment, je suis entré dans un édifice du gouvernement fédéral. J’ai demandé où se trouvaient les toilettes. On m’a répondu qu’il y avait des toilettes « mixtes » tout près, mais également des toilettes « traditionnelles », pour hommes et pour femmes, un peu plus loin. L’idéologie transgenre s’impose désormais sur le terrain, bien qu’elle nous laisse encore une certaine liberté de choix. Je me suis dirigé rapidement vers les toilettes mixtes. Que voulez-vous, les exigences de ma vessie l’ont emporté sur les critères de mon idéologie.
Mais voici à quoi ressemblaient les fameuses « toilettes mixtes ». Il y avait deux portes recouvertes, l’une comme l’autre, des deux symboles habituels : le monsieur en pantalon et la madame en robe. L’égalitarisme vestimentaire n’est pas encore passé par là, ce qui prouve que ce genre de distinction garde une certaine utilité. Mais sur l’une des deux portes, on pouvait lire : « urinoirs ». J’ai pris cette porte, car c’est précisément ce que je cherchais.
En fait, les deux salles de toilettes n’avaient pas été fusionnées. On avait simplement modifié les affiches. Les gestionnaires de l’édifice respectaient ainsi la lettre des directives transgenres du gouvernement, mais ils avaient trouvé un moyen habile d’en contourner l’esprit. Je suis sûr que tous les hommes prenaient la porte « urinoirs », et les femmes l’autre porte. Quant aux transgenres, ils avaient le choix. Mais ils sont tellement peu nombreux dans la réalité, qu’il faudra probablement attendre une décennie avant que l’un d’entre eux ne profite de cette « liberté démocratique ».
C’est encourageant : le pays réel résiste encore au pays légal.
Le philosophe politique français Charles Maurras (1868-1952) faisait une distinction entre le pays légal et le pays réel. Le pays légal, c’était la France officielle avec son idéologie républicaine, laïque et cosmopolite. Le pays réel, c’était la France profonde avec ses traditions monarchiques, catholiques et nationales.
Le pays réel résistait à la dictature du pays légal, surtout dans les campagnes. C’est le pays réel qui a sauvé la France durant la Première Guerre mondiale (1914-1918). La République maçonnique dut faire appel aux officiers catholiques et royalistes qu’elle avait pourtant exclus des hauts rangs de l’armée après l’Affaire Dreyfus (1898-1906). La France a remporté la victoire grâce aux soldats chrétiens, du simple poilu d’origine paysanne jusqu’au maréchal Ferdinand Foch. À titre de commandant en chef des forces alliées, Foch a ordonné, en 1918, d’apposer le Sacré-Cœur sur tous les étendards militaires. Les troupes britanniques et américaines, majoritairement protestantes, l’ont fait elles-mêmes avec enthousiasme. Et le vent a tourné en faveur des Alliés. Mais cela n’a pas empêché la République de reprendre sa politique anticléricale après la guerre.
Aujourd’hui, nous pouvons appliquer le concept de « pays réel » dans un autre contexte. Le pays réel, ce sont les gens qui pensent et vivent normalement, malgré la pression totalitaire d’une société contre-naturelle. Ce sont les couples qui ont des enfants et qui les élèvent correctement, donc de manière traditionnelle. Ce sont les enseignants qui croient encore à l’importance de la grammaire et du silence en classe. Ce sont les jeunes qui font du sport au lieu de végéter dans le monde virtuel. Ce sont les travailleurs qui accomplissent leur devoir avant de réclamer leurs droits. Ce sont les bénévoles en tout genre qui rendent gratuitement service à leurs concitoyens. Ce sont les prêtres qui parlent de Jésus-Christ plutôt que de l’Écologie et des Migrants. Ce sont les esprits libres qui savent encore rire du système.
Soyons réalistes : le pays réel survit et l’avenir lui appartient.
L'idéologie transgenre prend du galon à Québec
Par Pascal Bergeron (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : Radio-Canada / Voici la source de la photo : AxelBoldt, Domaine public
De plus en plus d'établissements postsecondaires de la région de Québec optent dorénavant pour des toilettes non genrées.
Le cégep Lévis-Lauzon a pris la décision de se munir de cinq nouvelles toilettes neutres qui seront maintenant accessibles dans la nouvelle bibliothèque, lesquelles s'ajoutent aux deux toilettes mixtes déjà disponibles.
Depuis la décision de l'Université Laval de convertir ses toilettes traditionnelles en toilettes universelles, plusieurs établissements postsecondaires de la Capitale-Nationale ont décidé de suivre la mouvance, et ce, sans attendre la demande de groupes de pression appartenant à la communauté LGBT (lesbienne, gai, bisexuelle, transgenre).
Rappelons que ces changements surviennent en parallèle de mesures gouvernementales fédérales qui permettent maintenant aux citoyens de choisir la neutralité de genre sur les documents officiels et de choisir le sexe « X » lorsqu'ils présenteront une demande d'assurance-emploi.
Au tour de l'Université Laval d'adhérer à l'idéologie transgenre
Par Pascal Bergeron (Le Peuple) — Source de l’article : Le Journal de Montréal/Source de la photo : AxelBoldt, Domaine public
Elle procède notamment à la conversion de plusieurs de ses toilettes traditionnelles en toilettes « non genrées ».
C’est au tour de l’Université Laval d’adhérer à l’idéologie transgenre. Désormais, elle privilégiera la rédaction épicène pour ses documents institutionnels.
L’objectif, dit-on, est de parvenir à une écriture « non genrée ». Ainsi, plutôt que de parler « d’étudiants et d’étudiantes » ou « d’enseignants et d’enseignantes », l’université parlera de « communauté étudiante » et de « personnel enseignant ».
En outre, l’université procède à la conversion de plusieurs de ses toilettes traditionnelles en toilettes « non genrées », c’est-à-dire accessibles aux hommes, aux femmes ou encore à ceux qui s’identifient autrement (trans, non binaires, etc.)
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