Une université canadienne publie des études sur des « souris humanisées » à l’aide de tissus de bébés avortés
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie
28 février 2022, Saskatoon, Saskatchewan (LifeSiteNews) — De nouveaux documents de recherche ont été publiés à la suite d’expériences sur des « souris humanisées » financées par le gouvernement à l’Université de la Saskatchewan, les contribuables canadiens devant payer pour une recherche médicale controversée utilisant les organes de bébés avortés.
Dr Kerry Lavender est professeur adjoint de biochimie, de microbiologie et d’immunologie à la faculté de médecine de l’université de la Saskatchewan, où sa biographie officielle mentionne les souris humanisées comme l’un de ses domaines de prédilection, lui attribuant le « développement du modèle de souris humanisée TKO-BLT en vue de la découverte et de l’évaluation de thérapies et de stratégies de guérison du VIH-1 » en collaboration avec le National Institute of Allergy & Infectious Diseases (NIAID) des National Institutes of Health (NIH) des États-Unis.
Ces expériences, qui font l’objet d’une controverse depuis des années aux États-Unis, consistent à implanter des tissus fœtaux humains et des cellules souches fœtales humaines dans des souris afin de doter les animaux d’un système immunitaire plus proche de celui des humains dans le but de tester des médicaments.
Vote Family rapporte qu’en 2020, Mme Lavender a reçu une subvention de 317 258 $ des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC) pour d’autres études sur les souris humanisées, qui consistent cette fois à
des plaques de poumon fœtal humain par voie sous-cutanée sur l’épaule de souris immunodéficientes. Lavender, qui a qualifié ses créations de « mignonnes », disposerait de plus de 150 souris de ce type.
Lire la suiteÉtats-Unis : vente et trafic d’organes de bébés, le nouveau scandale de l’avortement
Par Francesca de Villasmundo (Médias Presse Info)
La crise du covid-19 a révélé au commun des mortels que Big Pharma se sert de cellules de fœtus volontairement avortés pour le développement de ses vaccins ou injections géniques anti-coronavirus. Des scientifiques comme l’Américaine Pamela Hacker soutiennent que le trafic d’organes et de cellules de fœtus avortés fait partie intégrante de la recherche actuelle dans certains grands laboratoires et que ces cellules sont prélevées sur des fœtus vivants. Des documents publiés récemment par la fondation américaine Judicial Watch épaulée par le Center for Medical Progress viennent confirmer ces trafics sur des fœtus encore vivants.
Quelques années auparavant, c’était la machine à avorter Planned Parenthood qui se retrouvait au centre d’un scandale de vente et trafic d’organes de bébés avortés.
Aujourd’hui, c’est l’université de Pittsburgh et le département pour la santé humaine des Etats-Unis qui sont sur le banc des accusés grâce au travail d’investigation et de recueil de données mené par l’association américaine Judicial Watch et le Center for Medical Progress, peut-on lire sur le site Blondet and Friends.
Début août, ces deux organismes ont annoncé avoir reçu 252 pages de nouveaux documents du département américain de la Santé et des Services humains révélant que près de 3 millions de dollars de financement fédéral ont été dépensés pour la recherche de l’Université de Pittsburgh pour devenir un « pôle tissulaire » pour les tissus fœtaux humains allant de 6 à 42 semaines de gestation.
Le Center for Medical Progress a publié un communiqué intitulé La racialiste université de Pittsburgh met en avant dans sa demande de subvention au NIH que les enfants avortés aient encore le sang qui circule avec le sous-titre suivant :
Lire la suite« Les dossiers publics FOIA récemment publiés obtenus par le Center for Medical Progress indiquent que le prélèvement d’organes se fait sur des nourrissons avortés livrés vivants, et ciblés par race ».
L’Université de Pittsburgh prélève les reins sur des bébés avortés dont le cœur palpite probablement encore
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Selon le Center for Medical Progress, l’Université de Pittsburgh a peut-être fourni cette semaine, par inadvertance, de nouvelles preuves que des bébés avortés sont mis au monde vivants afin que leurs organes puissent être prélevés pour la recherche scientifique, ce dont ils meurent ensuite.
Comme LifeNews.com l’a largement rapporté, en début de semaine l’organisme Judicial Watch et le Center for Medical Progress ont exposé des preuves de bébés nés potentiellement vivants lors d’avortements et d’autres pratiques inquiétantes ; ces preuves se trouvent dans des documents qu’ils ont obtenus suite à une demande en vertu de la Loi sur la liberté d’information auprès du ministère de la Santé et des Services sociaux des États-Unis.
Les documents montrent que le gouvernement fédéral a versé à l’Université de Pittsburgh au moins 2,7 millions de dollars provenant des impôts fédéraux au cours des cinq dernières années, afin qu’elle devienne un « Centre de tissus », c’est-à-dire d’organes — et autres morceaux — de bébés avortés destinées à la recherche scientifique.
Dans une entrevue accordée à Fox News, un porte-parole de l’université de Pittsburgh a défendu ses pratiques. Toutefois, le Center for Medical Progress a fait observer que les déclarations de l’université confirment que le cœur des bébés avortés bat toujours alors que leurs reins sont prélevés pour la recherche scientifique.
« Pitt [c’est-à-dire l’Université de Pittsburgh] admet maintenant aux médias que les bébés avortés sont encore vivants au moment où leurs reins sont prélevés, afin de bénéficier des subventions [des Instituts nationaux de la santé] », a déclaré David Daleiden, fondateur et président du Center for Medical Progress.
Daleiden poursuit : « Dans sa demande de subvention pour le GUDMAP, Pitt annonçait au gouvernement fédéral que des avortements par induction du travail, où le bébé est expulsé entier de la mère, seraient “utilisés pour obtenir les tissus”. Le sens évident de la demande de subvention GUDMAP, et de la déclaration de l’Université de Pittsburgh l’expliquant, est que Pitt et les prestataires d’avortement de Planned Parenthood responsables de ses avortements “de recherche” font en sorte que des bébés, dont certains ont atteint l’âge de la viabilité, soient mis au monde vivants, et ils les tuent ensuite en leur coupant les reins. »
Lire la suiteDans le monde de la recherche, on greffe de la peau de bébés avortés sur des rongeurs…
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie
5 janvier 2021 (LifeSiteNews) — Cela fait cinq ans que David Daleiden et le Center for Medical Progress ont révélé que des parties de corps prélevées sur des bébés avortés étaient utilisées pour la recherche médicale, dans ce qui semble être une histoire moderne de Frankenstein fœticide. Il a été révélé que les avorteurs modifiaient les procédures chirurgicales pour s’assurer que certaines parties du corps n’étaient pas écrasées, afin qu’elles soient encore utilisables par les chercheurs. StemExpress envoyait par FedEx des parties de corps de bébés provenant de Planned Parenthood pour qu’elles restent fraîches. Chaque cycle de nouvelles a engendré de nouvelles horreurs.
David Daleiden et les héroïques journalistes infiltrés qui ont passé des années à dénoncer cette barbarie cachée sont toujours embourbés dans un enchevêtrement de batailles judiciaires avec l’industrie de l’avortement, mais de nouvelles révélations qui confirment leurs exposés continuent d’émerger. Stacy Trasancos, experte en chimie, a par exemple récemment publié une enquête sur les pratiques de laboratoire de l’Université de Pittsburgh, où les parties de corps de bébés avortés, tués au cours du deuxième trimestre, sont utilisées pour des expériences.
Selon Trasancos, les expériences utilisant des parties de bébés avortés comprennent la greffe du cuir chevelu de bébés avortés sur des souris pour créer des « souris humanisées ». Une fois cette opération terminée, les chercheurs ont ensuite enregistré l’impact de l’intégration des cheveux de bébé sur l’immunité des souris à divers agents pathogènes. Des photographies montrent de petites touffes de cheveux d’enfant poussant sur le flanc des rongeurs où les chercheurs les ont replantés après les avoir prélevés sur le crâne d’enfants tués dans le ventre de leur mère.
Selon le Dr Trasancos, l’étude de l’Université de Pittsburgh a utilisé un certain nombre de bébés avortés entre 18 et 20 semaines, avec le soutien du National Institute of Allergy and Infectious Diseases, pour examiner la « peau humaine pleine épaisseur » sur les souris et les rats humanisés :
Cette peau humaine provenant de fœtus a été greffée sur des rongeurs tout en greffant simultanément les tissus lymphoïdes du même fœtus et les cellules souches hématopoïétiques du foie, de sorte que les modèles de rongeurs ont été humanisés avec des organes et de la peau provenant du même enfant. La peau humaine a été prélevée sur le cuir chevelu et le dos des fœtus afin que les greffes avec et sans poils puissent être comparées dans le modèle de rongeur. Les tissus graisseux excédentaires attachés à la couche sous-cutanée de la peau ont été coupés, puis la peau du fœtus a été greffée sur la cage thoracique du rongeur, où sa propre peau avait été enlevée. Des cheveux humains sont apparus à l’âge de 12 semaines, mais uniquement dans les greffons prélevés sur le cuir chevelu des fœtus. Dans les greffes de cuir chevelu, on peut voir de fins cheveux humains, longs et foncés, entourés des courts poils blancs de la souris. Les images montrent littéralement une plaque de cheveux de bébé poussant sur le dos d’une souris.
Il n’y a pas que l’Université de Pittsburgh. L’Université de Californie-San Francisco a utilisé les corps de 249 enfants du deuxième trimestre pour la recherche, prélevant leurs foies pour divers tests. L’Université de Yale a utilisé quinze bébés tués au deuxième trimestre pour dissection, utilisant leur moelle osseuse, leur rate et leur foie pour des recherches sur les niveaux immunitaires. À l’UCSF, les appareils reproducteurs et les intestins fœtaux ont été prélevés sur des bébés avortés et transplantés sur des rats. Le scalpage des bébés opéré par l’Université de Pittsburgh n’est pas une atrocité ponctuelle. C’est une pratique courante.
C’est aussi la conséquence inévitable de la vision du monde pro-choix : les enfants in utero ne sont pas suffisamment humains pour bénéficier de la protection de la loi, mais ils le sont suffisamment pour que leurs corps soient pillés pour la recherche médicale. Ceux d’entre nous qui comprennent que ce sont des enfants qui sont tués et que ce sont des cheveux d’enfants qui poussent sur des rats — doux, délicats et grotesquement mal placés — sont écœurés par tout cela. Mais ceux qui nient, face à tant de preuves, que ces enfants sont humains n’ont aucune raison solide de s’opposer à ces expériences, si ce n’est le cri de leur propre conscience. Pourquoi jeter un corps en parfait état quand on peut le recycler ?
Les crimes mêmes que nous commettons contre ces petites personnes confirment leur humanité, car s’ils n’étaient pas humains, ils ne seraient pas utiles à la recherche humaine. Ces expériences confirment leur humanité — et le fait que nous sommes en train de perdre la nôtre.
Réflexions morales sur le remède de Trump et les traitements contre le covid-19 d'un aspect similaire
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Gage Skidmore/Flickr
Encore récemment on avait appris que Donald Trump, président des États-Unis, avait contracté le covid-19, puis en avait été guéri avec un assortiment de médicaments dont le remède expérimental REGN-COV2 produit par la compagnie Regeneron Pharmaceuticals — on ne sait en quelle mesure ce produit en particulier aura participé au rétablissement du président. Ce remède, et les autres utilisés, est promu par Trump qui rêve de le rendre gratuit pour la population américaine et pourrait donc devenir une forme de soin largement employé contre le coronavirus, bien qu’il en existe d’autres — mais vous savez ce que c’est, l’hydroxycloroquine par exemple, ce vieux médicament, a tellement été diabolisé.
Le REGN-COV2 soulève cependant quelques difficultés morales, le développement de celui-ci comprenant l’usage d’un test d’évaluation biologique dérivé d’une lignée cellulaire issue d’un bébé avorté dans les années 70, le HEK293T, selon Catholic News Service (CNS) :
REGN-COV2 est le résultat de recherches minutieuses menées depuis les années 70, qui ont débuté avec une lignée cellulaire connue sous le nom de HEK293, dont l’origine communément admise est un fœtus avorté. Les cellules HEK293 sont largement utilisées dans la recherche médicale.
Au fil des ans, les chercheurs ont transformé la lignée cellulaire en ce qui est aujourd’hui connue sous le nom de HEK293T, ce qui permet de dire qu’il ne s’agit plus d’un tissu fœtal.
Je ne suis pas très bien l’auteur de ces lignes, si la lignée cellulaire extraite d’un bébé avorté a subi des transformations, des modifications, il doit bien rester une bonne part de ce qui était typiquement humain dans les cellules, ce sont sans doute des cellules humaines modifiées, mais des cellules encore en partie humaines ; aussi, de là à dire qu’il ne s’agit plus de tissu fœtal, il y a un grand pas.
Toutefois, la question ne repose pas sur cet aspect, qu’il s’agisse d’une lignée cellulaire extraite d’un bébé avorté ou d’une lignée cellulaire issue d’une lignée cellulaire dérivée d’un bébé avorté cela n’a pas une grande importance, car la question morale reste la même : il s’agit d’un produit provenant d’un acte pervers.
Lire la suiteÉtats-Unis : le Comité d’éthique refuse de financer la recherche sur les tissus fœtaux
Par Adèle Cottereau (Droit de Naître) ― Photo : Freepik
Un nouveau conseil consultatif, nommé par l’administration Trump, a recommandé au secrétaire à la Santé de rejeter le financement de pratiquement tous les projets de recherche envisagés sur les tissus fœtaux. Une excellente et courageuse décision du gouvernement américain.
Dans un rapport publié le dix-huit août dernier, le Comité consultatif d’éthique de la recherche sur les tissus fœtaux humains, créé en février par le ministère de la Santé et des Services sociaux, a recommandé de ne pas financer 13 des 14 propositions de ladite recherche.
Près des deux tiers des membres du comité consultatif sont des opposants déclarés à la recherche.
Ceux-ci ont, entre autres, déploré que les chercheurs se déchargent de la tâche de se conformer aux exigences éthiques, y compris le consentement éclairé [de la femme], en se fournissant auprès d’une société pour obtenir le tissu fœtal.
Le rapport pose entre autres la question de savoir si les contribuables doivent ou non financer la recherche impliquant des tissus fœtaux humains.
Déjà en juin 2019, l’administration Trump avait suspendu le financement fédéral de la plupart des recherches sur les tissus fœtaux : les chercheurs des National Institutes of Health (NIH) avaient reçu l’ordre de cesser leurs recherches sur les tissus fœtaux humains obtenus à partir d’avortements électifs.
Il reviendra au secrétaire à la Santé, Alex Azar, de prendre la décision finale, mais l’opinion du comité devrait avoir beaucoup de poids, espérons-le.
Au cœur de ces débats, est, bien sûr, le combat pour la vie et contre l’avortement.
Covid-19 : Des cardinaux et des évêques se joignent à un appel mondial pour dénoncer la répression des libertés fondamentales
Mgr Carlo Maria Viganò
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits)
Nous rajoutons en bas, après l’article de Jeanne Smits, le texte de l’Appel pour l’Église et pour le monde, paru sur veritasliberavitvos.info ― A. H.
Les cardinaux Gerhard Müller, Joseph Zen et Janis Pujats ont signé un appel lancé à l’initiative de Mgr Carlo Maria Viganò « pour l’Église et pour le monde » rendu public ce jeudi 7 mai à 19 h 30. Des évêques et prêtres, de nombreux laïcs — médecins, universitaires, écrivains, juristes, responsables d’associations, journalistes, la liste provisoire est en fin d’article — ont d’ores et déjà également apporté leur soutien à cet appel qui veut dénoncer l’utilisation du « prétexte de l’épidémie de Covid-19 » pour violer les droits des citoyens et porter atteinte aux libertés fondamentales. Y compris l’exercice de la liberté de culte, d’expression et d’aller et de venir.
(Addendum : Tard dans la soirée de jeudi, le cardinal Robert Sarah, mentionné comme signataire de l’appel, s’en est distancé par deux tweets. Je commente cela ici. La réponse de Mgr Viganò est ici.)
L’hebdomadaire Valeurs actuelles a publié l’intégralité de l’appel en ligne ici.
Ces limitations à la liberté en laissent présager d’autres, qui passent notamment par le « contrôle des personnes » et le « suivi de leurs mouvements ». Les signataires estiment qu’on peut craindre de voir l’utilisation de la « panique », les mesures de confinement et la crise économique profonde qui s’y associe conduire vers la création d’un « gouvernement mondial hors de tout contrôle » et des « répercussions sociales et politiques graves » dans les pays soumis à « ces formes d’ingénierie sociale ».
On ne s’étonnera pas de trouver parmi les signataires Mgr Athanasius Schneider, qui a déjà dénoncé avec vigueur la « dictature sanitaire » qui s’est mise en place.
Les signataires, parmi lesquels une dizaine de médecins italiens, soulignent d’ailleurs que cette « panique » est entretenue, alors que « les doutes croissent quant à l’effective contagiosité, à la dangerosité et à la résistance du virus : de nombreuses voix faisant autorité dans le monde de la science et de la médecine confirment que l’alarmisme à propos du Covid-19 amplifié par les médias ne semble absolument pas justifié ».
Sur le plan médical, l’appel souligne également que des remèdes « efficaces, souvent peu coûteux », ont été « pénalisés » et invitent la communauté scientifique à veiller à ce que des « intérêts iniques » ne dictent les choix des gouvernements en la matière.
« Nous rappelons également, en tant que Pasteurs, que pour les Catholiques, il est moralement inacceptable de recevoir des vaccins dans lesquels du matériau provenant de fœtus avortés est utilisé », soulignent-ils. Des associations de bioéthiciens catholiques ont d’ores et déjà insisté pour que l’on évite l’utilisation de lignées de cellules souches ayant leur origine dans un bébé avorté en 1972, comme c’est le cas pour l’un des essais actuellement menés à Oxford.
Lire la suiteForte opposition aux vaccins développés sur des lignées cellulaires de bébés avortés
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Karolina/Kaboompic/Rawpixel
Certains semblent vouloir profiter de la situation actuelle pour rouvrir les vannes du financement fédéral pour la recherche sur les tissus de fœtus avortés, demandant au gouvernement américain de lever son interdiction de l’usage de ces tissus, notamment pour la fabrication d’un vaccin contre le coronavirus. Une forte opposition s’est levée devant ces projets insidieux, comptant de nombreux pro-vie important comme l'archevêque de Tyler au Texas, Mgr Strickland, qui écrit sur Twitter :
J’implore tous ceux qui croient en la sainteté de la vie des enfants à naître d’élever leur voix et d’exiger que les chercheurs qui travaillent sur un vaccin contre le Covid-19 ne puissent pas utiliser les dépouilles d’enfants avortés pour développer des lignées cellulaires. Nous ne pouvons pas répéter ce péché diabolique. S’il vous plaît, protégez la vie !
Selon LifeSiteNews, en réaction à la demande de 15 procureurs généraux d’États américaine de lever l’interdiction sur les recherches effectuées sur les tissus fœtaux issus d’avortement, plus de 130 représentants du Congrès conjurent le président Trump de rester ferme :
Plus de 130 membres du Congrès exhortent le Président Donald Trump, lui disant, il faut « maintenir votre politique actuelle sur la recherche sur les tissus fœtaux et à réorienter les fonds vers des solutions éthiques et efficaces pour combattre le COVID-19 ».
Lever l’interdiction :
Lire la suite15 procureurs généraux d’État avaient écrit au président Trump le 26 mars dernier, déclarant que l’utilisation de tissus de fœtus avortés pourrait contribuer à « accélérer le développement de vaccins pour combattre COVID-19 », ainsi qu’à « l’étude de son impact sur les femmes enceintes et les enfants ».
« Nous vous demandons de mettre fin à votre interdiction des tissus fœtaux afin de permettre à nos meilleurs scientifiques de résoudre cette crise sanitaire mondiale », ont conclu les procureurs généraux.
Les bébés avortés sont encore utilisés dans la production actuelle de vaccins, d’après un expert
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Max Pixel — Mises à jour : 26 mars 2019, 13 janvier 2021
Mise au point : les « lignées de cellules » tirées des enfants à naître ne sont pas à notre connaissance utilisées en tant qu’ingrédient desdits vaccins, mais dans le processus d’élaboration de ces derniers, p. ex., en tant que matériel fertile pour la culture de certains virus.
SIGNEZ LA PÉTITION : Non à un vaccin contre le Covid 19 cultivé sur une lignée cellulaire de fœtus avorté >>
Les vaccins ont une triste histoire derrière, actuellement et devant eux, à leur origine des centaines d’avortements forcés ont été perpétrés sur des femmes considérées à l’époque (environ cent ans, aux États-Unis) comme inadaptées, dans la mouvance du mouvement eugénique dont Margaret Sanger, cofondatrice de Planned Parenthood, était l’un des propagateurs. Des cœurs de fœtus palpitants encore étaient utilisés dans les laboratoires qui travaillaient à l’élaboration de « lignées de cellules », employées dans le processus de fabrication du vaccin contre la polio. Et on pratique toujours des avortements pour créer de nouvelles « lignées de cellules » qui sont employées dans la production de ces « médicaments ». Planned Parenthood fait partie de ces gros profiteurs d’un marché de plusieurs milliards de dollars. Extrait de LifeSiteNews :
Le 13 mars dernier, Debi Vinnedge a révélé à une salle comble dans la ville de Rome cette « histoire horrible », qui remonte aux eugénistes comme Margaret Sanger, fondatrice de Planned Parenthood. Vinnedge a séparé le mythe du fait grâce à la documentation des scientifiques impliqués dans cette recherche, et a expliqué pourquoi les bébés avortés sont encore utilisés dans la production des vaccins aujourd’hui.
LifeSite s’est entretenu avec Vinnedge, fondateur de « Children of God for Life », avant la conférence de Rome parrainée par Renovatio 21. Dans notre entrevue, Vinnedge décrit brièvement l’histoire de la recherche sur les vaccins utilisant des fœtus avortés, y compris la pratique « barbare » de s’assurer que les bébés sont avortés vivants afin que leurs organes puissent être prélevés sans anesthésie.
Entrevue de LifeSiteNews avec Debi Vinnedge, fondateur de Children of God for Life :
LSN : Les vaccins font l’objet d’un débat considérable. Certaines personnes sont tout à fait contre les vaccins, d’autres sont tout à fait pour, d’autres encore sont quelque part entre les deux. Quelle est votre position générale sur les vaccins ?
DB : Je crois que la décision de vacciner ou non appartient uniquement aux parents. Les enfants sont un don de Dieu aux parents. Ils ne sont pas la propriété de l’État, et l’État ne devrait pas non plus tenter de prendre leurs décisions médicales. Une chose que j’ai apprise au cours des 20 dernières années, c’est que les enfants ne sont pas comme le bétail. Chaque enfant se développe différemment et a des besoins différents. Il ne fait aucun doute que les vaccins peuvent avoir causé des réactions indésirables graves et des décès, comme en témoigne le versement de près de 4 milliards de dollars aux familles des enfants vaccinés par notre propre gouvernement. Ce ne sont certainement pas tous les enfants qui ont ces réactions, mais on ne peut nier le fait qu’elles existent. Je trouve tout à fait dégoûtant que des parents soient ridiculisés et persécutés simplement parce qu’ils ne veulent pas risquer les vaccins — que ce soit pour des raisons médicales ou morales.
Lire la suiteLe gouvernement américain suspend la vente de tissus fœtaux
Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Laboratoire Luli X-Can/Flickr
Le gouvernement américain a par conséquent écourté ses contrats auprès de diverses firmes travaillant dans le domaine de la recherche sur tissus fœtaux. Extrait de Gènéthique :
Une ordonnance gouvernementale américaine a suspendu tous les achats de tissus fœtaux à des fins de recherche. Une disposition prise en septembre dernier, sans annonce publique. Cette ordonnance fait suite à la décision du gouvernement d’organiser une enquête approfondie sur la protection applicable aux fœtus humains dans le cadre des recherches financées par le gouvernement fédéral.