La dictature du politiquement correct
Par Paul-André Deschesnes — Photo : geralt/Pixabay
Dans cette chronique, j’aborderai un sujet très d’actualité. Nos populations occidentales vivent une époque historique où le politiquement correct occupe toute la place.
Mais, en quoi consiste ce cancer généralisé qui contamine toute la société et même notre Église catholique à tous les niveaux ?
La censure est de retour. De nos jours, soyez sur vos gardes. Vous devez vous plier à l’orthodoxie idéologique en vigueur, sinon vous serez exclus. La rectitude politique, c’est un poison qui tue et impose sa vision dite d’avant-garde.
Si vous refusez de suivre le monde décadent, vous serez étiqueté de personnage méprisable qui refuse d’évoluer. Vous n’êtes tout simplement plus fréquentable.
La terrible rectitude politique ne recherche pas la Vérité, mais bien la popularité. Il faut être à la Mode si on veut être écoutés et respectés par nos médias et notre intelligentsia athées.
La rectitude politique gauchiste et socialiste doit être imposée de force pour changer les mentalités des personnes qui refusent de se convertir aux dictats de ce modernisme athée et très populaire.
Vous résistez et refusez d’obéir, alors vous serez discrédités, méprisés, condamnés, exclus, et cloués au pilori.
Devant l’empire du politiquement correct, il faudrait s’émerveiller et suivre la parade ! Ceux et celles qui rament à contre-courant sont dénoncés. Cependant, n’oublions pas que dans nos rivières, seuls les poissons morts suivent le courant !
Les esclaves du politiquement correct vous diront que vous êtes des vieilles branches accrochées au passé, refusant d’adhérer aux nouvelles modes de notre monde devenu complètement fou.
Vous serez peut-être hypnotisés par tous ces beaux discours et ces nouveautés. Non ! Il faut résister !
Lire la suiteLes libéraux envisagent d’interdire la thérapie de conversion
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (modifiée) : National Cancer Institute/Wikimedia Commons
Plusieurs députés fédéraux du Parti libéral, dont deux ministres, travaillent sur un projet d’interdiction de la thérapie de conversion, thérapie qui a pour but d’aider les homosexuels à se défaire de leur attirance pour les personnes de même sexe. Le fédéral s’était déjà penché sur le sujet, renonçant à trancher sur cet enjeu, celui-ci relevant principalement de la compétence provinciale.
Cependant, le député Randy Boissonnault et les ministres de la Justice, David Lametti, et de la Santé, Ginette Petitpas Taylor, s’activeraient pour bannir du Canada la pratique incriminée, d’après La Presse :
L’élu albertain [homosexuel, Randy Boissonnault], qui est conseiller du Premier ministre Justin Trudeau sur les enjeux liés à la communauté LGBTQ2, affirme que s’il est réélu, le gouvernement libéral voudrait déposer un projet de loi visant à amender le Code criminel. « On regarde comment on pourrait faire ça », souligne-t-il.
Les premières bases du travail ont déjà été jetées : les ministres fédéraux de la Justice, David Lametti, et de la Santé, Ginette Petitpas Taylor, ont fait parvenir le 21 juin dernier une missive à leurs homologues provinciaux afin de solliciter leur collaboration dans ce dossier.
« Nous vous écrivons pour vous encourager à prendre des mesures pour mettre fin à la pratique honteuse de la thérapie de conversion, une pratique cruelle susceptible d’infliger un traumatisme à vie qui est dépourvue de tout fondement scientifique », est-il écrit dans une lettre envoyée à Sonia LeBel et Danielle McCann obtenue par La Presse.
Si certaines thérapies de conversion sont peut-être à interdire, l’idée en soi est bonne, car elle vise à libérer les homosexuels de leur attirance contre nature. Car ne nous trompons pas, l’homosexualité est vraiment un problème et les fondements scientifiques pour soutenir cette affirmation ne manquent pas.
Enfin, les libéraux iraient contre leurs propres principes (si tant est qu’ils en aient) de liberté illimitée en empêchant les homosexuels, désirant se débarrasser de cette embarrassante attirance, de s’en défaire par le biais de la thérapie de conversion.
Livres d’Hitler, de Goebbels et de Mao disponibles sur Amazon, mais pas ceux sur la thérapie de conversion
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pixnio
Plus précisément il s’agit de l’ouvrage du défunt Dr Joseph Nicolosi qui n’est plus disponible sur Amazon, celui-ci ne permettant plus la vente de ses livres. Pourquoi Amazon ne permet-il plus la vente de ces œuvres, alors qu’il continue à permettre celle d’ouvrages comme Mein Kampf d’Adolf Hitler, pour ne donner qu’un exemple ? La meute LGBT a prononcé sa sentence, traitant d’homophobes des livres parlant de thérapie de conversion qui osent émettre l’idée que l’homosexualité n’est pas irréversible, que cela peut se soigner ! Extrait du The American Conservative :
Lire la suiteQuels livres pouvez-vous acheter sur Amazon.com ?
Mein Kampf, d’Adolf Hitler.
Les travaux pro-Staline de l’apologiste stalinien Grover Furr, un universitaire américain qui affirme dans des livres et des conférences (voir cette vidéo) que Staline n’a tué personne, et n’a commis aucun crime. (Entre 7 et 10 millions d’Ukrainiens et d’autres citoyens soviétiques sont morts dans la seule famine provoquée par Staline appelée Holodomor.)
Une histoire du communisme par le suprémaciste blanc David Duke.
Le Guide de gouvernance SS, traduit de l’original en allemand.
Un texte très influent du radical islamiste Sayyid Qutb, Milestones, qui appelle les musulmans à mener un djihad mondial implacable contre les non-musulmans et les musulmans insuffisamment radicaux, jusqu’à ce que le monde entier soit sous domination islamique radicale.
Vous pouvez acheter
Savez-vous ce que vous ne pouvez pas acheter ? Les travaux de feu Dr Joseph Nicolosi. D’après NBC News :
Amazon a retiré de son site les livres en langue anglaise d’un homme largement considéré comme « le père de la thérapie de conversion » à la suite des pressions croissantes des militants LGBTQ.
Une mère : Les médecins détruisent ma fille s'identifiant comme transgenre en lui donnant des « soins affirmatifs »
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo :
Les « soins affirmatifs » ne sont autres que de la maltraitance, bourrage d’hormones provoquant un déséquilibre dans ce système, conduisant le corps de la personne qui se les fait administrer à développer certains traits du sexe opposé au sien, ou à empêcher le développement des traits particuliers au sien propre. N’oublions pas les mutilations d’organes sains, exécutés dans le but de faire sembler la personne comme étant du sexe opposé. Et dans ces cliniques où se donnent ces « traitements », la volonté de l’enfant déboussolé est roi, les parents comptent pour du beurre. Extrait de LifeSiteNews :
Je suis une mère dont la fille s'est identifiée comme transgenre depuis l'âge de 14 ans, je l'aime et je me préoccupe profondément d'elle et des autres enfants qui se perçoivent comme transgenres.
Il y a des jeunes, comme ma fille, qui sont dans la détresse et qui ne reçoivent pas les soins compatissants dont ils ont besoin et qu'ils méritent.
Je vais vous expliquer ce qui se passe lorsque des parents demandent l'avis d'un expert pour aider leurs enfants s'identifiant comme transgenres à explorer leurs sentiments et leur inconfort face à leur sexe.
La norme actuelle de traitement promue par les associations médicales et psychologiques s'appelle « soins affirmatifs ». Bien que cela semble sonner agréablement, les soins affirmatifs conduisent directement à mettre les enfants sur la voie de la transition médicale avec peu de chance de faire marche arrière.
Laissez-moi vous expliquer comment ça marche.
Si vous emmenez votre enfant dans une clinique pour obtenir de l'aide, les soins affirmatifs signifient que le thérapeute doit suivre la volonté de l'enfant. Les professionnels doivent accepter l'identité sexuelle déclarée par l'enfant. En fait, c'est la loi dans de nombreux États.
En vertu des interdictions des « thérapie de conversion », la remise en question de l'identité sexuelle professée d'un enfant est désormais illégale.
Ainsi, si un petit garçon a 5 ans et croit qu'il est du sexe opposé, les soins affirmatifs signifient suivrent ses croyances.
Les parents sont encouragés à le considérer comme leur « fille » et à le laisser choisir un nom féminin. On dit aux enseignants de lui laisser utiliser les toilettes des filles à l'école. Les thérapeutes rassureront les parents que la transition sociale est inoffensive et réversible.
Est-il vraiment inoffensif de dire à un enfant qui croit encore à la fée des dents qu'il est du sexe opposé ? N'est-il pas tout à fait probable que cet enfant soit juste confus ?
Si une fillette de 10 ans se sent mal à l'aise avec son corps en développement et insiste soudainement qu'elle est un garçon, les soins affirmatifs signifient bloquer la puberté de cette fille avec des médicaments puissants.
[...]
Il s'agit de traitements hormonaux graves qui ont un impact sur le développement du cerveau, la santé cardiovasculaire et peuvent augmenter le risque de cancer.
Le Canada n’interdira pas les thérapies de conversion
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Bien qu’Ottawa semblât laisser l’affaire à regret.
Nous avons là un bel exemple de propagande radio-canadienne au service des groupes LGBT+++++. L’article ne cite que des homosexuels étant passés par des « thérapies de conversion », ou des organismes s’y opposant, d’où l’on peut voir le manque d’impartialité que Radio-Canada prétend sans doute avoir. Toujours est-il que si certaines « thérapies de conversion » sont probablement à bannir, l’idée de thérapie de conversion est tout à fait bonne en soi. L’homosexualité est un problème pour la personne qui en est atteinte.
Le gouvernement fédéral a rejeté une demande, provenant de militants LGBT, exigeant que les thérapie de conversion soit interdite. Extrait de Radio-Canada :
[Ottawa] Qualifie la pratique d’« immorale », mais affirme que ce domaine est en grande partie une question provinciale et territoriale.
[…]
« Nous sommes déçus que nous n’ayons pas de loi pour l’instant », affirme Devon Hargreaves, militant de l’Alberta. « Mais nous continuerons à défendre ceux qui n’ont pas de voix. »
Hargreaves, qui travaille avec la communauté LGBTQ, parle de la pratique controversée connue sous le nom de thérapie de conversion. [...]
Il a lancé une pétition à la fin de 2018 demandant au gouvernement fédéral d’interdire la thérapie de conversion, en particulier en ce qui concerne les mineurs [...]
Bien que le Canada n’ait pas d’interdiction nationale de cette pratique, certaines provinces ont des restrictions :
L’Ontario a rendu cette pratique illégale en imposant une interdiction totale.
Le Manitoba a interdit aux professionnels de la santé d’offrir une thérapie de conversion.
Vancouver a adopté une loi restreignant les entreprises de l’offrir.
La Nouvelle-Écosse a rendu illégal pour les professionnels de la santé d’offrir une thérapie de conversion aux mineurs.
Persécution: une association qui aide gratuitement des personnes mal à l'aise avec leur homosexualité à changer d'orientation, est en proie à de virulentes critiques
Par Peter Sprigg de FRCBlog - traduit par Campagne Québec-Vie
Le 17 juin 2015 – La liberté et l'intimité, qualités inhérentes à toute relation qui existe entre un conseiller personnel et son client, sont actuellement en proie à des attaques scandaleuses dans l'État du New Jersey. Le Southern Poverty Law Center (qui est une association américaine reconnue pour ses travaux de surveillance sur la dite extrême droite et les associations prônant la haine aux États-Unis) cherche à détruire cette petite association juive du nom de JONAH (Jews Offering New Alternatives for Healing, c'est-à-dire : des Juifs qui offrent de nouvelles alternatives de soins). Leur offense ? Envoyer des personnes homosexuelles (juives la plupart du temps, mais pas seulement) qui vivent mal leur condition vers des conseillers personnels qui peuvent les aider à vaincre ces attirances pour finalement vivre en accord avec l'enseignement biblique de la Torah.
Le SPLC se sert de la loi sur la fraude à la consommation, qui, dans l'État du New Jersey, est incroyablement draconienne. Leur argument : c'est en soi une fraude que d'avancer qu'un changement d'orientation sexuelle est possible, et ce grâce à l'aide d'un conseiller personnel.
On pourrait croire que les militants homosexuels - qui ont longtemps demandé à ce que leur capacité à choisir la façon dont ils répondent à leurs attirances soit respectée - hausseraient les épaules et s'écriraient « Qu'est-ce que ça peut bien me faire ? » face à des situations telles que celles que rencontrent certaines personnes qui ne souhaitent pas donner suite à leurs attirances homosexuelles ! Sauf que certaines personnes qui changent d'orientation sexuelle, ça ébranle complètement l'idée selon laquelle c'est tout à fait impossible, aussi impossible que changer de race. Idée qui servit d'ailleurs d'argument aux militants homosexuels pour gagner l'affirmation et la consécration de leur sexualité par l'opinion et ce, sous prétexte de « non-discrimination ».
Lire la suiteUn témoignage qui ne sera pas joint à la propagande des lobbys gay dans nos écoles
Sur le site de dieutv.com du 28 janvier 2014 :
(Photo de la Gay Pride à Paris en 2012)
(Photo : Gwenaël Piazer sur flickr.com, licence creative commons)
(...)Michael Glatze - véritable icône du milieu gay - s'est marié le 26 octobre 2013 avec une femme prénommée Rebekah. En 2007, quelques années avant cet heureux événement, il avait quitté le magazine homosexuel "Young Gay America" - qu'il avait co-fondé et pour lequel il occupait le poste de Rédacteur-en-Chef -, en raison de sa conversion au Christianisme. (...)
«L’homosexualité, c’est la mort»
C'est par une «note sur son bureau» qu'il avait démissionné du magazine en 2007. Sur cette note, on pouvait lire : «l'homosexualité c'est la mort, et je choisis la vie». Par la suite, il avait expliqué plus en détail sa transformation : «Le ‘programme’ homosexuel exclut que quelqu'un puisse simplement penser qu'un changement d'orientation pourrait être viable. De même, personne ne devrait se poser la question de l'efficacité éventuelle des thérapies. Ce que j'ai vécu me permet de dire que la libération de l'influence de ce ‘programme’ homosexuel a été l'expérience la plus libératrice, la plus belle et la plus étonnante que j'ai jamais vécue». (...)
Michael Glatze est depuis «violemment attaqué par le mouvement homosexuel».
Pour plus d'informations sur les thérapies et pour entendre des témoignages d'ex-gay et de psychologues sur la thérapie réparatrice , vous pouvez consulter le site tavietonchoix.org
La thérapie réparative pour l'homosexualité est maintenue en Californie
Sur le site du journal La Presse du 21 décembre 2012:
Une nouvelle loi californienne, qui rendait illégale une forme de thérapie censée changer l'orientation sexuelle des mineurs, a été suspendue vendredi par un tribunal américain, dans l'attente d'une décision sur sa constitutionnalité.
Cette loi, qui interdit aux médecins de pratiquer la «thérapie réparative», a été signée en octobre par le gouverneur de Californie, Jerry Brown, et devait entrer en vigueur le 4 janvier.
Mais trois juges d'une cour d'appel ont accepté un recours et ont suspendu la loi jusqu'à qu'une décision soit prise sur sa constitutionnalité, a indiqué le Los Angeles Times.
«La motion d'urgence déposée par les requérants en appel a été acceptée», indique la décision de la cour, publiée sur son site internet.
Si la loi entrait en vigueur, les médecins ne pourraient plus pratiquer cette thérapie qui vise à «changer les comportements ou les expressions de genre, à éliminer ou à réduire l'attirance sexuelle ou affective envers les personnes de même sexe».
(...)