La Hongrie veut interdire les « études de genre » à ses universités
Par Olivier Bault (Réinformation.TV)
La deuxième semaine d’août à Budapest, le ministère de la Justice et le ministère des Ressources humaines (qui réunit les anciens ministères de la santé, de l’éducation et des affaires sociales et du travail) annonçaient leur décision d’interdire aux universités de Hongrie le recrutement de nouveaux étudiants en « études de genre ». Deux universités magyares proposent ce type d’études : la plus grosse et la plus ancienne université hongroise, l’université Eötvös Loránd (ELTE), un établissement public, et l’Université d’Europe centrale (CEU), fondée et financée par le spéculateur américain d’origine juive hongroise George Soros. Cette dernière université propose toutefois des diplômes hongrois et des diplômes américains, et seuls les diplômes hongrois ne pourront plus être délivrés à l’avenir. Dans tous les cas, les étudiants qui ont déjà commencé des « études de genre » dans une de ces deux universités pourront les achever, mais le chef de cabinet du premier ministre Viktor Orbán annonçait le 14 août que ces études ne bénéficieront plus des financements publics. Peu d’étudiants seront affectés : seuls onze étudiants se sont inscrits dans la filière du genre cette année à l’ELTE et 2 à la CEU, mais ces universités pourront accueillir de nouveaux étudiants cet automne pour la dernière fois si la décision du gouvernement, soutenue par la coalition du Fidesz et des chrétiens-démocrates (KDNP), est confirmée.
Lire la suiteUn vrai ministre de la famille : Lorenzo Fontana, le nouveau ministre italien pour la Famille et le Handicap
Blog d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Lorenzo Fontana est catholique et fréquente d’ailleurs la liturgie traditionnelle, qui a été celle de son mariage. Il a une fille.
Le site Rorate Cæli nous apprend, entre autres :
« Début 2018, il a publié le livre “Le berceau vide de la civilisation. Les origines de la crise” qu’il a rédigé avec la participation de l’ancien président de la Banque du Vatican, Ettore Gotti Tedeschi. Matteo Salvini, le chef de “La Lega”* et actuellement ministre de l’Intérieur du gouvernement italien nouvellement élu, a écrit la préface. Dans ce livre, Lorenzo Fontana explique que les Italiens sont en danger d’extinction en raison de la décision de combler le trou démographique par un flux continu d’immigrants. Fontana met l’accent sur un sujet qui lui est cher : la chute des taux de natalité. Il le relie au remplacement ethnique qui aurait pour résultat l’affaiblissement de l’identité italienne.
“D’une part [nous avons] l’affaiblissement de la famille et la lutte pour les unions homosexuelles, la théorie du genre dans les écoles ; d’autre part l’immigration massive que nous vivons et l’émigration connexe de nos jeunes à l’étranger. Ces questions sont toutes liées et interdépendantes, car ces facteurs signifient l’élimination de notre communauté et de nos traditions. Le danger est l’élimination de notre peuple.” M. Fontana a été impliqué dans différents événements pro-vie comme “La Festa per La Vita” à Vérone et “La Marcia per La Vita” qui a lieu à Rome chaque mois de mai.
*Maintenant appelé “La Lega”, car ce parti politique n’est plus limité au nord de l’Italie. Il forme maintenant le gouvernement de coalition actuel avec le parti populiste “Cinque Stelle”. »
Les drag-queens dans les bibliothèques : endoctrinement des enfants
Par Clémentine Jallais (Réinformation.TV)
Il y a moins d’un an, RiTV avait évoqué [l'affaire du] démon drag-queen qui avait fait son heure de lecture enfantine à la bibliothèque publique de Michelle Obama à Long Beach. Aujourd’hui, le phénomène s’est encore amplifié en Amérique du Nord. Pire, il se démocratise outre-Manche mais aussi en France. Et dans des édifices publics, des bibliothèques aux crèches. C’est « culturel », nous dit-on. Ce serait même humaniste, dans le sens où cette initiation maçonnique ouvre l’éventail des possibilités d’être de tout un chacun, et la tolérance pour tous, pour parler leur langage…
Ni plus ni moins, c’est le programme transgenre qui se met en marche à destination des petits. Car il faut que l’idéologie LGBT atteigne les jeunes esprits avant l’âge de trois ans, comme l’expliquait la directrice d’une bibliothèque américaine — après, ils sont déjà trop genrés… !
La communauté LGBTQ2+ pose les principes du transgénérisme
Évidemment que l’entreprise est idéologique. La première histoire racontée aux enfants par une drag-queen avait eu lieu à la bibliothèque Harvey Milk (activiste gay) de San Francisco et c’est l’auteur « queer » Michelle Tea qui en avait eu l’idée. Depuis, c’est une traînée de poudre. Les promoteurs de ces événements se défendent en disant vouloir créer « un endroit safe qui prépare un monde plus safe », comprenez inclusif, ouvert, sécurisant pour tous…
Lire la suiteIdéologie du genre
Par Paul-André Deschesnes — Photo : AxelBoldt/Wikimedia Commons
En juin 2018, je lisais une chronique dans une publication religieuse écrite par un évêque sur la « théorie du genre ».
Actuellement, nous savons que cette sulfureuse théorie fait fureur en Occident (Europe de l’Ouest, États-Unis, Canada et Québec). Le masculin et le féminin sont en train de disparaître. L’appellation « homme-femme » devrait être remplacée par le mot « personne », selon les puissants ténors des communautés sexuelles LGBTQ. Tous ces lobbys très actifs et très criards ont décidé d’imposer leur idéologie et leur philosophie au monde entier.
On nous hurle à tue-tête « qu’il faut détruire cette société qui nous a assigné un sexe à notre naissance ». Cela signifie « détruire Dieu, la loi naturelle et l’enseignement du Christ et de l’Église ». C’est la décadence accélérée de notre civilisation occidentale en putréfaction. Avec cette folie collective du droit à la différence, on est devenu indifférent à Tout !
Dans ce cirque diabolique, les organes génitaux n’ont plus aucune importance. Selon cette théorie, il existerait plusieurs genres et de nombreuses façons de vivre sa sexualité, indépendamment du sexe biologique. Chacun choisit donc son genre et cela pourrait être temporaire ou permanent. À la naissance, la mère ne doit plus dire : « j’ai eu un garçon ou une fille » ; elle doit dire : « j’ai eu un bébé ». En France, on ne parle plus aujourd’hui de « garçons ou filles » dans les écoles, mais « d’amis ou d’enfants ». Dans tous les pays occidentaux, on enseigne dans l’indifférence générale cette populaire théorie démoniaque comme normale, banale et indiscutable. Le dossier est clos ! Il faut se soumettre ! On vit à l’heure du totalitarisme LGBTQ !
Lire la suiteUne très grave menace contre l’humanité
Source de l’image : Pixabay
Par Paul-André Deschesnes
Le 24 février 1982, un événement historique s’est produit en France. Devant les médias et les caméras, le biologiste français et spécialiste des manipulations génétiques, Jacques Testart, annonçait en primeur avec photos à l’appui la naissance du premier bébé éprouvette français. C’était l’euphorie dans la population.
Aujourd’hui en 2018, ce grand génie fait son mea culpa. Dans une entrevue percutante au journal Le Devoir de Montréal publiée le 23 mai 2018, il remet dramatiquement les pendules à l’heure : « On se dirige vers une grande catastrophe pour l’humanité », affirme-t-il haut et fort.
Dans ce reportage, on apprend que le docteur Jacques Testart est devenu très inquiet dès 1984, car il se rendait compte que ces manipulations génétiques venaient d’ouvrir la porte à la possibilité un jour de sélectionner les caractéristiques de l’enfant à naître en triant les embryons. En écrivant un livre intitulé « De l’éprouvette au bébé spectacle », il a, à cette époque, fait rire de lui par la communauté scientifique. Quelques années plus tard, cette horreur était devenue réalité. C’était le début de la fabrication d’enfants à naître selon le goût des parents.
Notre biologiste est aujourd’hui outré et scandalisé par le populaire phénomène des mères porteuses en voie de devenir une odieuse pratique courante. À ses yeux, « notre société est en train de créer un épouvantable transhumanisme, appelé “homme augmenté”. »
Lire la suiteAu tour de l'Université Laval d'adhérer à l'idéologie transgenre
Par Pascal Bergeron (Le Peuple) — Source de l’article : Le Journal de Montréal/Source de la photo : AxelBoldt/Wikimedia Commons
Elle procède notamment à la conversion de plusieurs de ses toilettes traditionnelles en toilettes « non genrées ».
C’est au tour de l’Université Laval d’adhérer à l’idéologie transgenre. Désormais, elle privilégiera la rédaction épicène pour ses documents institutionnels.
L’objectif, dit-on, est de parvenir à une écriture « non genrée ». Ainsi, plutôt que de parler « d’étudiants et d’étudiantes » ou « d’enseignants et d’enseignantes », l’université parlera de « communauté étudiante » et de « personnel enseignant ».
En outre, l’université procède à la conversion de plusieurs de ses toilettes traditionnelles en toilettes « non genrées », c’est-à-dire accessibles aux hommes, aux femmes ou encore à ceux qui s’identifient autrement (trans, non binaires, etc.)
Lire la suiteConférence sur la théorie du genre : une théorie contrenature
L’abbé Olivier Berteaux, FSSPX.
Par Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Voici une vidéo, réalisée par l’abbé Olivier Berteaux de la FSSPX, qui sonde en profondeur la théorie du genre si néfaste et promue partout dans le monde. Dit avec les mots justes, avec un raisonnement puissant ce discours nous aide à voir quelles sont les bases de cette théorie. « De nos jours, la théorie du genre est partout présente, surtout en éducation. Plusieurs personnes peuvent se sentir démunies et ne pas comprendre les fondements, les origines et la valeur de cette théorie pernicieuse. Dans cette conférence, l’abbé Berteaux prend le soin méticuleux de montrer les origines philosophiques rousseauistes de cette théorie et met en lumière les erreurs de celle-ci qui nie la nature humaine. » Nous apprend le site : Le lis et la croix.
Québec — Éducation à la sexualité (uniformisée) — revue de presse commentée
Après avoir été abolie il y a plus de 15 ans en tant que matière autonome obligatoire, l’éducation à la sexualité sera de retour dans toutes les écoles du Québec et à tous les niveaux du préscolaire, primaire et secondaire, dès l’automne prochain.
Québec veut imposer (« offrir » dans la novlangue du ministère) un programme formaté et uniformisé d’éducation à la sexualité. Rappelons cependant que les écoles donnent déjà des cours de ce type, mais pas en tant que matière autonome au programme : son contenu et la pédagogie adoptée peuvent être très variables d’une école à l’autre.
Revue de presse commentée sur l’imposition de ce nouveau programme gouvernemental.
L’opposition à Québec a dénoncé mercredi les retards « inadmissibles » et le « cafouillage » du ministère de l’Éducation dans la préparation du programme d’éducation à la sexualité.
Lire la suiteQuelque 500 prêtres et diacres s’engagent à enseigner la vérité sur le « genre » : au service de la doctrine catholique
Par Jeanne Smits (Reinformation.tv)
Notant que les avancées de l’idéologie du genre sont devenues « impossibles à ignorer », un groupe de plus de 500 prêtres et diacres catholiques du Royaume-Uni s’est solennellement engagé à « proclamer la doctrine catholique » dans ce domaine, et à « proposer un ministère pastoral dans la charité à ceux qui sont les plus touchés ». Cherchant à offrir une bonne orientation aussi bien au clergé qu’aux laïques face à ces avancées, ils veulent notamment faire comprendre comment y répondre alors que la confusion s’installe de plus en plus visiblement. Si bien que l’enseignement de la vérité devient un acte courageux.
La British Confraternity of Catholic Clergy a publié jeudi un communiqué annonçant cette initiative. La nouvelle confraternité observe que ses membres rencontrent « de plus en plus » d’individus dans leur paroisse qui se disent « incapables d’accepter leur sexe de naissance ». Souvent, ceux-ci croient « devoir changer de sexe afin de trouver le bonheur », constate le communiqué.
Enseigner la vérité sur le genre : la doctrine catholique contre l’idéologie du genre
Ceux qui osent leur rétorquer qu’ils ne peuvent pas changer de sexe sont « aussitôt taxés de haine et de sectarisme », ce qui conduit de nombreux catholiques et autres personnes de bonne volonté à entrer eux-mêmes dans un état de « confusion ou d’incertitude » par rapport à ce qu’ils doivent dire ou penser.
Lire la suiteMétaétude — Différences entre les sexes dans les préférences des enfants en matière de jouets
Selon une enquête publiée dans la revue Infant and Child Developement, dès leur plus jeune âge, la plupart des enfants choisissent de jouer avec des jouets typiquement associés à leur sexe.
Afin d’isoler les variables qui prédisent la préférence des jouets, les auteurs ont réalisé une méta-analyse des études d’observation de la sélection libre des jouets par les garçons et les filles âgés de 1 à 8 ans. D’un fonds initial de 1788 articles potentiels, 16 études (portant 787 garçons et 813 filles) répondaient aux critères d’inclusion des chercheurs.
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Ils ont constaté que les garçons jouaient plus avec des jouets de garçons que les filles (Cohen d = 1,03, p < 0,0001) et que les filles jouaient plus avec les jouets de filles que les garçons (Cohen : d = -0,91, p < 0,0001). La métarégression n’a montré aucun effet significatif de la présence d’un adulte, du contexte de l’étude, de la localisation géographique de l’étude, de la date de publication, de l’âge de l’enfant ou de l’inclusion de jouets neutres. Cependant, une analyse plus poussée des données sur les garçons et les filles a révélé que les garçons plus âgés jouaient plus avec les jouets de type masculin qu’avec les jouets de type féminin (β = 0,68, p < 0,0001).
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