Parents méfiez-vous : La dysphorie du genre à déclenchement rapide : une contagion sociale chez les filles
Par Lianne Laurence — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Max Pixel
Le 10 janvier 2019 (LifeSiteNews) — Une nouvelle contagion sociale, appelée dysphorie du genre à déclenchement rapide (Rapid Onset Gender Dysphoria), rend les familles malheureuses alors que des filles auparavant satisfaites tentent de devenir des garçons avec des hormones et des opérations.
Dimanche, le Wall Street Journal (WSJ) a publié un article de la journaliste Abigail Shrier détaillant les défis des parents dont les adolescentes terminant leur secondaire (américain) ou d'âge universitaire — des filles qui n'avaient jamais montré de confusion entre les sexes — ont soudainement décidé d'adopter une nouvelle personnalité, masculine, par le biais d'un nouveau nom, de vêtements masculins, de testostérone, de chirurgie plastique et de mastectomies doubles.
Pour son article intitulé "When Your Daughter Defies Biology", Shrier a interviewé 18 parents, dont 14 mères, qui étaient consternés par les projets de leurs filles, et qui ont trouvé peu d'alliés dans leurs tentatives pour empêcher leurs filles bien-aimées de prendre des hormones mâles et de se faire mutiler.
Lisa Littman, chercheuse en santé sociale à l'Université Brown, a surnommé le phénomène récent des jeunes femmes cherchant à changer de sexe à l'improviste « dysphorie du genre à déclenchement rapide » ou ROGD. Tout comme le suicide, les mutilations et la boulimie, le ROGD est une contagion sociale, quoiqu'elle touche principalement les filles. Malheureusement, le ROGD — « non nécessairement ses victimes — reçoit le soutien total de la communauté médicale", écrit Shrier.
Lire la suiteL'American Psychological Association (APA) déblatère sur les « genres » : la masculinité est néfaste
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Wikimedia Commons
La plus grosse association de psychologues des États-Unis a publié dernièrement de nouvelles lignes directrices, qui prétendent que la masculinité est « nuisible, » et que la masculinité et la féminité, par ailleurs, sont des stéréotypes ou des « rôles » où l’homme tient évidemment une position nécessairement mauvaise, puisque suivant le « rôle » masculin, d’après le Washington Examiner.
Les nouvelles lignes directrices de l’APA ont soulevé l’indignation du professeur en psychologie Jordan B. Peterson : « Je suis consterné que l’APA parle au nom des membres de ma profession. Il n’y a tout simplement pas d’excuse pour ce qu’ils ont écrit, » d’après le compte Twitter de Jordan B. Peterson.
Extrait du Washington Examiner :
Les lignes directrices de l’APA ont, à juste titre, déclenché un énorme mouvement de ressac. Ils mettent l’accent sur des idées absurdes telles que la « tension entre les rôles de genre », défini comme « une situation psychologique dans laquelle les exigences des rôles de genre ont des conséquences négatives sur l’individu ou les autres », et le « conflit entre les rôles de genre », défini comme « les problèmes résultant de l’adhésion à des rôles rigides, sexistes ou restrictifs, appris pendant la socialisation, qui résultent en restriction personnelle, dévaluation ou violation des autres ou de soi ».
Plus loin, s’adressant à l’APA dans son article du Washington Examiner, Suzanne Venker écrit :
Comme tous membres du parti de gauche, vos membres croient clairement que tout ce qui s’apparente à la tradition est nuisible et doit être changé ou réparé. Vous ne pouvez pas voir ce que les Américains ordinaires peuvent voir par eux-mêmes : ce n’est pas la masculinité qui provoque des comportements pathologiques (conformément à la croyance qu’un « vrai homme » est violent). Un mauvais comportement, de la part des deux sexes, est un comportement appris. C’est un problème au sein de l’individu qui découle de son éducation et de son environnement. Ne savez-vous pas que la grande majorité des détenus viennent de foyers violents, brisés ou autrement dysfonctionnels ?
Non seulement la masculinité traditionnelle n’est pas mauvaise, mais elle est nécessaire pour les enfants, les mariages et une société stable. Les garçons et les hommes dont vous semblez si préoccupés deviennent pathologiques parce qu’ils n’ont pas un modèle traditionnel de masculinité.
Puisque vous ne semblez pas savoir à quoi ressemble la masculinité traditionnelle, permettez-moi de vous éclairer. Les traits auxquels vous faites référence dans votre rapport (comme le stoïcisme, l’agressivité, être le soutien de la maison et même la domination [propension à commander ?]) sont des traits admirables et non destructifs. Voilà une surprise pour vous : les femmes aiment ces traits chez les hommes. Ils permettent aux femmes et aux enfants de se sentir en sécurité. Elles suscitent le respect des femmes, ce qui est crucial pour la pérennité d’un mariage. À tous points de vue, les études ont montré que lorsque les hommes sont féminisés, il y a rupture du mariage, de la famille et de la société.
Les enfants se tournent vers le marché noir des hormones de changement de sexe pour « transiter »
Par Jonathon Van Maren — traduit par Campagne Québec-Vie
5 décembre 2018 (LifeSiteNews) — Alors que le nombre d'enfants s'identifiant comme transgenres grimpe en flèche — plus de 4000% au Royaume-Uni — les experts commencent à souligner le fait que la promotion et l'intégration constante de la théorie de l'identité du genre déclenchent un phénomène social. En fait, de nombreux enfants ne sont même pas prêts à attendre qu'une clinique d'identité du genre veuillent les prendre en charge — une enquête menée par le Daily Mail a révélé qu'un marché noir de drogues pour changer de sexe a fait son apparition sur Internet.
Le Daily Mail a découvert lors de l'enquête, publiée le 4 décembre, qu'ils pouvaient très facilement acheter une « gamme de médicaments transgenres », sans qu'aucune question ne soit posée, pour aussi peu que vingt-cinq livres sterling. Il n'y a pas de vérification de l'âge des personnes qui tentent d'acheter des médicaments hormonaux en ligne, et il y a apparemment un grand nombre de forums en ligne où les enfants peuvent s'expliquer mutuellement comment commander les médicaments et quels sites pharmaceutiques sont les meilleurs à utiliser.
Dans leur enquête, par exemple, le Daily Mail a découvert qu'il pouvait acheter un paquet de « bloqueurs d'hormones mâles », avec une « carte bancaire ordinaire », d'une pharmacie en Thaïlande au prix de seulement trente-quatre livres sterling, port compris. Les pilules étaient étiquetées comme contenant « des œstrogènes naturels pour favoriser la croissance des seins transgenres ». Il a fallu moins d'une minute à l'enquêteur pour trouver les pilules en ligne, et il n'y avait aucune condition d'âge ou d'ordonnance nécessaire pour les commander.
Lire la suiteLe Canada s'ingère dans les affaires intérieures de la Hongrie
Par Patrice-Hans Perrier (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : Gouvernement du Canada, CBC News, The Globalist, American Thinker, Globe and Mail, Vigile et Le Temps
Rappelons que l’Université d’Europe centrale (UEC), pour laquelle le ministre des Affaires étrangères du Canada Chrystia Freeland monte aux créneaux, offre des « études de genre » aux étudiants et que le gouvernement hongrois avait l'intention plus tôt cette année de lui interdire de continuer. — CQV
Fidèle à ses habitudes, la ministre des Affaires étrangères du Canada sermonne un petit pays qui ose mettre Soros à sa place.
La Hongrie de Viktor Orbán est à couteaux tirés avec George Soros et a pris la décision de fermer l’Université d’Europe centrale (UEC) qu’il avait fondée à Budapest. Le gouvernement Trudeau, qui a l’habitude de rencontrer M. Soros lors des Forums économiques de Davos, ne voit pas d’un très bon œil cette décision.
Le Canada s’ingère dans les affaires internes de la Hongrie
Ainsi, le Canada a choisi d’utiliser la voie diplomatique, alors que la ministre des Affaires étrangères, Chrystia Freeland, vient de déclarer que « l’annonce d’aujourd’hui selon laquelle l’Université d’Europe centrale (UEC) sera contrainte de déménager après le refus de la Hongrie de lui permettre de poursuivre ses activités à Budapest est une perte considérable ». Poussant sa réaction d’un cran, la ministre Freeland déclare que « ce déménagement forcé porte atteinte à la liberté universitaire, qui est un droit fondamental ».
Une approche globaliste
Cette prise de position des autorités canadiennes s’explique quand on prend connaissance du fait que Michael Ignatieff, un imminent stratège du Parti libéral du Canada, était le recteur de la Central European University et que cette institution gérait des programmes d’enseignements homologués par les autorités américaines. M. Ignatieff, se confiant à la CBC, a mis en lumière les conséquences politiques de la décision hongroise : « Notre université a été, littéralement, mise à la porte. C’est du jamais vu. Une institution américaine a été foutue dehors d’un pays qui est un allié de l’OTAN ».
Il serait utile de rappeler qu’outre son implication au sein de cette université créée avec l’argent de George Soros, Michael Ignatieff a été le directeur du Centre Carr des Politiques des Droits de la Personne de l’Université Harvard. De plus, M. Ignatieff a été actif au sein de la Commission Internationale sur les Interventions et la Souveraineté des États. Il est de notoriété publique que George Soros, par le biais de ses fondations, est intervenu à plusieurs reprises afin de provoquer des révolutions de couleur ou des changements de régime en utilisant le concept du « droit d’intervention ».
La théorie du genre : la dernière « dictature »
Par Armel Joubert des Ouches avec Jeanne Smits et Clémentine Jallais (Réinformation.TV) — PublicDomainPictures/Pixabay
Dans leurs nombreux articles, Jeanne Smits et Clémentine Jallais, toutes deux journalistes à RITV, reviennent régulièrement sur la nouvelle idéologie mise en place dans la plupart des pays industrialisés : la théorie du genre. Ce concept inique prétend que c’est la société et l’environnement qui conditionnent le sexe chez une fille ou un garçon et non la nature. En fait, les protagonistes de cette nouvelle « dictature » idéologique rendent volontairement les choses confuses afin de semer le trouble chez nos concitoyens. Ils affirment que le « type sexuel » fait référence aux différences biologiques entre hommes et femmes, alors que le « genre » réfère aux différences sociales. Pour être tout à fait précis, ce concept est apparu dès les années 1950 mais s’est à ce point répandu ces dernières années… qu’on l’enseigne à l’école.
La théorie du genre ? Bien sûr qu’elle est enseignée à l’école !
Il y a peu, la directrice générale de l’UNESCO, Audrey Azoulay, a publié, par le biais de l’agence culturelle de l’ONU, les nouvelles normes en termes d’éducation auprès des plus jeunes. Dans un document de près de 140 pages, l’organisation internationale qui demande que l’éducation sexuelle complète soit enseignée dès l’âge de 5 ans, insiste lourdement sur le respect de l’orientation sexuelle, rejetant les stéréotypes.
Lire la suiteLe Premier ministre d’Ontario ignorera le vote de son parti sur l’idéologie transgenre
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : HiMY SYeD/Flickr
Doug Ford révélerait-il son vrai visage, retournerait-il sa veste ? toujours est-il que ce qui l’avait fait élire était l’espoir des parents ontariens qu’il retirerait le cours d’éducation sexuelle qui contenait des éléments LGBT. Les règles du parti de M. Ford ne lui donne aucun pouvoir pour ignorer une résolution (interne) votée par les délégués, aussi s’expose-t-il à une poursuite judiciaire. Extrait de LifeSiteNews :
Le Premier ministre d’Ontario, Doug Ford, affirme que le matériel sur l’« identité du genre » ne sera pas retiré du programme d’éducation sexuelle de la province, même si son propre parti vient de voter en ce sens.
Lors de leur congrès à Toronto la fin de semaine dernière, les délégués du Parti progressiste-conservateur de l’Ontario ont adopté une résolution dépeignant la théorie de l’identité du genre comme une « idéologie très controversée, non scientifique et libérale ».
La résolution demandait au gouvernement du Parti conservateur d’Ontario de « retirer l’enseignement et la promotion de la “théorie de l’identité du genre” des écoles et du curriculum d’Ontario ».
Mais par après, lors d’une conférence de presse avec des journalistes, le Premier ministre d’Ontario a rejeté la résolution de son propre parti.
« C’est non contraignant. Ça venait de la base. Je n’irai pas de l’avant avec ça. Alors, c’est fait, » dévoila Ford.
La Cour suprême américaine décidera-t-elle si les étudiants masculins prétendant être « filles » peuvent utiliser leurs douches ?
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Peut-être qu’enfin le gouvernement américain va mettre un terme à ces folies. Nous allons peut-être aussi enfin voir ce que vaut Brett Kavanaugh, récemment nommé à la Cour suprême. Extrait de LifeSiteNews :
La controverse sur le fait d’obliger les garçons et les filles à partager les toilettes dans les écoles publiques pourrait finalement être entendue par la Cour suprême des États-Unis, si celle-ci accède à une demande du cabinet pro-liberté religieuse Alliance Defending Freedom (ADF).
Il s’agit d’une plainte déposée par quatre élèves du secondaire (américain) de Boyertown, en Pennsylvanie, qui s’opposent à ce qu’on les oblige à partager les toilettes et les vestiaires avec des adolescents qui « s’identifient » comme étant du sexe opposé. Ils soutiennent que le district scolaire de la région de Boyertown viole leur droit à la vie privée au nom du transgenrisme.
Les femmes sont plus empathiques et les hommes plus analytiques
Par Réinformation.TV
Mars et Vénus demeurent !
Dans la plus grande étude jamais consacrée aux différences entre les sexes, des scientifiques ont établi que les femmes sont réellement plus empathiques que les hommes qui sont, eux, réellement, plus analytiques et plus logiques. Ainsi, ce n’est pas, de manière prépondérante, une question d’influence de notre environnement, d’éducation, de facteurs acquis. Il y a des différences fondamentales entre les mentalités des hommes et des femmes, qui relèvent de l’inné, autrement dit de la génétique. Fi de la théorie du genre.
Les chercheurs de l’Université de Cambridge, en testant près de 700 000 personnes, ont montré que les femmes sont en moyenne plus aptes à reconnaître ce qu’une autre personne pense intuitivement et à réagir de manière appropriée. De leur côté, les hommes sont plus enclins à voir le monde à travers des « systèmes à base de règles », cherchant à comprendre comment les choses fonctionnent à travers leurs parties sous-jacentes.
Même si une femme peut posséder davantage ce trait analytique et un homme une prépondérance d’empathie, l’analyse de la population moyenne des deux sexes montre une répartition clairement genrée.
Autre point intéressant de cette étude : elle a aussi montré que les personnes atteintes d’autisme sont beaucoup plus susceptibles de présenter des traits « masculinisés » et donc moins susceptibles d’être empathiques, un phénomène qu’on a surnommé « l’Extreme Male Brain », forme extrême de la masculinité. « Ce sont en moyenne des personnes aux capacités de systémisation puissantes, nous devons soutenir leurs talents afin qu’ils réalisent leur potentiel — et que la société en profite également ».
Le premier ministre d'Australie pour l'identification homme/femme sur les documents officiels
Blog d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Par contre au Canada il existe les possibilités aberrantes de mettre, en Colombie-Britannique, « genre inconnu » sur sa carte d'assurance maladie, en Alberta de changer d'identité sexuelle sur son assurance automobile et dans tout le pays de mettre « sexe X » sur son document d'assurance emploi. Extrait de LifeSiteNews :
Le premier ministre australien a pris une position ferme contre les documents publics [de l'opposition] pour les « non binaires » mardi, alors que le parti d'opposition s'est engagé à faire pression sur la question s'il prenait le pouvoir.
Le Parti travailliste du pays a publié un projet de plate-forme nationale qui s'engage à soutenir les options d'identification « au-delà du homme/femme binaire » sur les documents gouvernementaux comme les passeports, rapporte le Daily Mail. Le parti tiendra sa conférence nationale triennale en décembre, au cours de laquelle un programme définitif sera mis aux voix.
[...]
Le premier ministre, Scott Morrison du Parti libéral, n'est toutefois pas d'accord :
« Un gouvernement national libéral ne supprimera jamais le sexe des certificats de naissance, des permis et des passeports — de qui se moquent les travaillistes ? Soyez réalistes... »
Nouvelle tournée de la pièce « Histoire de Julie qui avait une ombre de garçon »
Par Réinformation.TV
Pour la troisième année consécutive, la pièce « Histoire de Julie qui avait une ombre de garçon » sera donnée lors d’une quinzaine de séances scolaires, en Occitanie et Nouvelle Aquitaine, sans compter les séances publiques. Entre janvier 2016 et juin 2018, la pièce a déjà été donnée 103 fois, dans 16 départements, touchant 16 000 spectateurs, dont une majorité d’enfants – avec le soutien des Conseils Départementaux.
Elle est tirée du roman éponyme (publié aux Éditions du Sourire qui mord, ça ne s’invente pas…) et a été jouée pour la première fois en avril 1982, à Québec. La déconstruction genrée a de vieilles racines…
Vigi-gender donne le témoignage d’une maman spectatrice en 2016 : « Cette pièce relate l’histoire d’une petite fille, garçon manqué, qui est opprimée par ses parents qui n’acceptent pas sa différence, et d’un petit garçon que tout le monde moque car il pleure comme une fille. Le final était, je cite textuellement : « Mais alors une petite fille a le droit d’être un garçon et un garçon a le droit d’être une fille » avec, en ombres chinoises, un garçon déguisé en fille et une fille déguisée en garçon. »
A cette même séance, les enseignants avaient aussi trouvé que certains passages étaient choquants et ont dû s’excuser auprès des parents
La théorie du genre ? Il n’en est absolument pas question selon la Compagnie, qui propose pourtant un dossier pédagogique avec des pistes d’exploitation en classe ad hoc, sur… les stéréotypes de genre.