Genderless, la nouvelle lubie hollywoodienne
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.Info) — Photo : Pexels/Pixabay
Éduquer ses enfants genderless, c’est-à-dire sans sexe attribué, est la nouvelle mode diffusée parmi les stars de Hollywood, cette usine à rêve américain. Peut-être aussi la dernière manière de faire parler de soi en s’affichant sexuellement correct.
Récemment, c’est l’actrice américaine Kate Hudson qui, dans un entretien, a déclaré avoir pris une décision avec le père de l’enfant par rapport à son éducation :
« J’habille ma fille nouveau-née avec des vêtements de femme mais je suis de toute façon ouverte à toutes les possibilités. Il faut que ce soit ma fille qui choisisse qui elle veut être. »
La fille des acteurs Angelina Jolie et Brad Pitt, Shiloh, a été éduquée de manière gender free et non en conformité avec sa nature féminine. Le résultat ? Aujourd’hui elle a 12 ans, s’habille et a les cheveux courts comme un garçon, et se fait appeler « John ».
La folie d’une telle idéologie semble avoir gagné également la maison régnante au Royaume-Uni : le royal baby de Harry et de Meghan, qui devrait naître au printemps, n’aura pas de chambre blanche, rose ou bleu, mais aux murs gris. Les couleurs rose et bleu sont décidément rétrogrades, vieux stéréotype culturel d’un monde en extinction. Le gris en revanche, couleur neutre par excellence reflète, peut-être plus que l’arc-en-ciel, le prétexte idéologique de qui souhaite par tous les moyens nier la réalité intrinsèque des choses, que le blanc est blanc et le noir est noir, qu’une femme est une femme et un homme un homme !
[...]
Un traité des Nations Unies pourrait rendre criminel l’enseignement de l’Église
Par Austin Ruse Président de C-Fam (NEW YORK — C-Fam) — Photo : Brooklyn Museum/Wikimedia Commons
La semaine dernière, j’ai alerté [mes lecteurs] sur les négociations en cours aux Nations Unies en vue d’un nouveau traité juridiquement contraignant qui transformera des enseignements de l’Église en crimes contre l’humanité.
Certains de ceux qui m’ont écrit étaient incrédules. Comment cela pouvait-il être possible ?
Voici comment.
Les États membres des Nations Unies sont en train de négocier un nouveau traité juridiquement contraignant sur les « crimes contre l’humanité ». Ces derniers sont généralement considérés comme des crimes qui blessent toute l’humanité, comme le génocide des Juifs par les Allemands pendant la Seconde Guerre mondiale.
Le nouveau traité pourrait bien comprendre les éléments suivants :
« Orientation sexuelle et identité de genre »
Et
« Grossesse forcée »
Lire la suiteUne compagnie horlogère contre-attaque avec une vidéo la publicité de la firme Gillette sur la «masculinité toxique» ; ses ventes ont explosé
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : PxHere
Dernièrement, l'American psychological Association avait produit son dernier guide qui parlait de « masculinité toxique », récente notion qui déprécie l'homme normal.
Plus récemment encore, la firme Gillette avait publié une publicité qui reprenait l'idée de « masculinité toxique », obtenant pour résultat d'être fortement décriée, et ce, à forte raison.
En réaction, une compagnie d'hologerie, Egard, a produit une vidéo défendant la masculinité comme étant une bonne chose.
Le plus drôle dans toute l’affaire, c’est que la vidéo de la compagnie d’horlogerie Egard n’était en rien publicitaire… ce qui a eu pour résultat, ô combien recherché ordinairement, d’augmenter fulguramment les ventes d’Egard, au point d’être en rupture de stock devant la demande.
Lire la suiteL’Organisation mondiale de la Santé affirme que les hommes peuvent, et devraient, avoir l’avortement aussi !
Par Rebecca Oas Ph. D. (LifeSiteNews) — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : PxHere
24 janvier 2019 (C-Fam) — L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a publié des directives médicales sur l’avortement afin de tenir compte des dernières données scientifiques dans ce domaine. Cependant, son changement le plus apparent était d’ordre culturel plutôt que médical. Ce nouveau rapport a commencé par insister sur le fait que ce ne sont pas seulement les femmes qui peuvent tomber enceintes, mais aussi les femmes qui se prennent pour des hommes, c’est-à-dire « celles avec des identités de genre variées ».
Les directives précisent en outre que l’avortement doit être pratiqué de manière à promouvoir la santé et les droits de la personne « y compris l’égalité des sexes et des genres », impliquant une nette distinction entre les deux.
Dans une contradiction apparente, l’introduction des directives cite le langage de l’ONU selon lequel « les couples et les individus » ont le droit de décider de l’espacement et du moment des naissances, mais dans les 72 pages qui suivent, les couples ne sont même plus mentionnés une seule fois. De plus, la mère est appelée la « personne enceinte ».
Dans le cas des adolescents et de l’avortement, le rapport ne considère les parents que comme des obstacles à éviter. Lorsque la loi interdit ce que le guide décrit comme étant « ce qui est dans le meilleur intérêt de votre patient adolescent », le guide presse les travailleurs médicaux à « tirer parti de votre expérience et du soutien de personnes qui prennent soin et qui sont compétentes pour trouver le meilleur moyen d’équilibrer vos obligations légales et vos obligations éthiques ».
Lire la suiteÉducation à la sexualité : « les craintes des parents sont légitimes »
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : ben white/Unsplash
Ce qui suit est un billet de blogue sur un billet de blogue, il est vrai, mais dont le sujet principal est un texte écrit par un professeur d’université sur la théorie du genre, et sur le danger que représente cette théorie dans nos écoles. Extrait de Pour une école libre au Québec :
Lire la suiteTexte de Nadia El-Mabrouk, professeure à l’Université de Montréal. Ce texte aurait mené à l’exclusion de la professeure Nadia El-Mabrouk d’un colloque syndical à cause de ses positions sur la laïcité et l’éducation à la sexualité.
« In Queer We Trust » est le message que je peux lire tous les jours sur un autocollant à la porte de ma station de métro. Et si c’était une religion ?
Cela expliquerait la déferlante de messages virulents que j’ai reçus après ma chronique sur l’identité de genre, afin de parfaire mon « éducation » sur le sujet.
Le sexe serait « un continuum d’états sur le spectre de l’arc-en-ciel », il ne serait pas constaté, mais « assigné » à la naissance, des personnes seraient « nées dans le mauvais corps », il y aurait des […]* « hommes qui accouchent ». Toute objection est déclarée transphobe.
La «première famille transgenre» de Grande-Bretagne procède actuellement à la «transition» de son fils de 5 ans
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Pauvre garçon, il n’est pas étonnant qu’il se dirige vers la « transition » (qui ne change que les apparences) avec l’exemple que lui donne le duo de femmes qui lui tient lieu de « famille ». Rappelons au passage que le mot « homme » correspond à une réalité bien physique, et non subjective, et qu’il ne saurait y avoir d’homme ayant un corps de femme ou l’inverse. Extrait du Daily Wire :
Une famille surnommée la « première famille transgenre de Grande-Bretagne » a annoncé qu’elle encourageait la transition sexuelle de leur fils de cinq ans, Jayden. Selon la famille, Jayden, biologiquement un homme, aime les robes et déteste « tout au fait d’être un garçon ».
Le « beau-père » du petit garçon, Greg Rogers, est une femme biologique de 27 ans qui s’identifie maintenant comme un homme. La mère de l’enfant est une femme de 21 ans nommée Jody.
La marque Gillette embarque à fond dans l'ingénierie sociale
Par Patrice-Hans Perrier (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : Daily Mail, YouTube, American Thinker, Journal de Montréal, Jezebel et Le Monde
Une nouvelle publicité de la marque détenue par Proctor and Gamble fait le procès de la pseudo « masculinité toxique ».
Ça y est, les recommandations de l'American Psychological Association (APA) à l'effet de transformer une culture de la masculinité qui serait intrinsèquement « toxique » ont trouvé un écho dans le monde de la publicité. La marque Gillette s'est prêtée au jeu de la mise en accusation des hommes en lançant une campagne publicitaire conçue par une féministe radicale qui ne fait pas dans la dentelle.
Une féministe radicale travaille pour Gillette
En effet, une féministe ultraradicale, Kim Gehrig, a été mise à contribution par l'agence new-yorkaise Grey Advertising pour concevoir un clip publicitaire qui s'adresse aux hommes pour qu'ils prennent conscience de leur « masculinité toxique » afin de devenir de « meilleurs humains » en définitive.
Le slogan de Gillette qui était « The best a man can get » (Le mieux qu'un homme puisse avoir) est réinterprété pour les besoins de la cause féministe et prend la forme d'une question pernicieuse : « Is this the best a man can get ? » (Est-ce que ça, c'est le mieux qu'un homme puisse avoir ?), en référence à cette « masculinité toxique » qu'il convient d'éradiquer au plus vite.
Un protagoniste de race noire y prend le crachoir pour nous prévenir que « We ? We believe in the best in men » (Nous ? [les hommes roses], nous croyons en ce qu'il y a de mieux pour l'homme) et en profite pour faire l'apologie de la délation en affirmant que « Men need to hold other men accountable » (Les hommes doivent rendre les autres hommes imputables [de leurs gestes]).
Lire la suite228 jeunes ont fait «changer» leur sexe sur les papiers de l’État civil au Québec
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : PxHere
Quand on pense à la contagion sociale virulente via internet de la théorie du genre, selon laquelle un homme peut prétendre être femme et l’inverse également, il n’est pas étonnant qu’il y ait déjà un certain nombre d’enfants et d’adolescents qui ont demandé de « transiter ». Ce qui est aberrant, c’est qu’un bon nombre de ces demandes aient eu des suites, non seulement officiellement sur papier mais au niveau médical.
Par ailleurs, il est affligeant que des médecins donnent des hormones masculines à des jeunes filles et des hormones féminines à des garçons. Jouer dans l’équilibre hormonal n’a jamais été une bonne chose et il n’est par conséquent pas surprenant si l’on observe une tendance marquée pour le suicide chez les « transgenres ».
Pour finir, il est impossible de changer de sexe, celui-ci étant inscrit jusque dans la génétique. Extrait du Journal de Montréal :
Les enfants transgenres peuvent officiellement changer de sexe depuis juin 2016. Selon les chiffres que J.E. a obtenus, il y a 228 mineurs qui ont fait modifier leur genre inscrit à l’État civil en deux ans seulement.
Depuis que la loi a été modifiée, les jeunes de 14 ans et plus peuvent faire une demande seuls à l’État civil pour un changement de sexe officiel. Pour les plus jeunes, ce sont les parents qui doivent remplir la demande, le tout doit être accompagné d’une lettre de spécialistes.
Selon les chiffres du ministère du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale, 49 enfants de moins de 14 ans ont été autorisés à changer de sexe depuis que la loi le permet et 179 jeunes âgés de 14 à 17 ans.
Des chiffres qui n’étonnent pas au Centre de santé Meraki, la seule clinique au Québec dédiée aux enfants transgenres, dont la clientèle a explosé.
L’Irlande se soumet à l’homoparentalité
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info) — Photo : Max Pixel
En Irlande une proposition de loi qui permettrait aux duos d’invertis de figurer sur les certificats de naissance comme parents de l’enfant mineur est actuellement examinée au parlement. Non seulement le parent biologique deviendra le parent légal mais aussi son partenaire et sans passer par l’adoption. Cette nouvelle norme sera rétroactive puisqu’elle pourra être appliquée également aux duos ayant déjà un enfant.
Le ministre de la Protection sociale, Regina Doherty a déclaré :
« J’ai rencontré et parlé avec beaucoup de personnes concernées par ce problème et je suis heureuse d’être en mesure de porter en avant ces changements comme une priorité pour qu’ils soient introduits le plus rapidement possible. »
Récemment, la verte Irlande s’est soumise à de nombreux diktats de l’idéologie de genre et aux thématiques liées à l’homosexualité. En 2015 elle a passé une loi pour « le changement de sexe » qui peut être pratiqué dès 16 ans. Doherty voudrait permettre l’accès à cette pratique à tous les enfants quel que soit leur âge.
La révolution de l’Irlande si catholique il y a encore quelques décennies en une nation arc-en-ciel illustre bien l’assujettissement du monde politique aux lobbies lgbt+. Pendant des années l’Irlande a résisté aux exigences des partisans de l’avortement et de la culture gay, et puis, ces quelques dernières années, en peu de temps, elle s’est alignée sur les mesures homosexualistes adoptées par d’autres pays. Cette mutation perverse va de pair avec la déchristianisation des Irlandais.
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En Australie 33 sexes différents sur le certificat de naissance
Sidney, Australie.
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info) — Photo : horstmueller_HH/Pixabay
En novembre 2019, les Australiens sont appelés aux urnes pour changer de gouvernement. Si le parti Labour (les travaillistes) remportait les élections, une loi pourrait être adoptée : celle qui prévoit que lors de la naissance d’un enfant, les parents auraient la possibilité de choisir entre 33 sexes différents outre masculin et féminin. Parmi les variantes on trouve « omni-gender », « neutrois », « intersex ».
Évidemment la proposition de loi est faite pour ne discriminer personne !
Au secours, le monde est devenu fou : il est atteint de genderofolie aiguë…