Richard Martineau censuré sur Facebook
Richard Martineau.
Par Pascal Bergeron (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : Facebook/Voici la source de la photo : Facebook
Richard Martineau s’est fait bannir pour une semaine de Facebook, et ce pour avoir dit qu’un homme ne pouvait pas accoucher. Ce qu’il a dit est vrai, si au moins Facebook le bannissait plutôt quand il dit des bêtises…
Je rajouterais à ce que M. Martineau affirme : le transgenrisme est mauvais, aussi bien pour les personnes qui s’en réclament que pour la société. — A. H.
La rectitude politique a frappé à nouveau, et ce, sous le couvert de la lutte aux messages « haineux ».
Le compte personnel du chroniqueur Richard Martineau a été banni pour une semaine du réseau social Facebook. Il s’est exprimé à ce sujet par le biais d’une vidéo qui a été diffusée sur le compte Facebook de QUB radio. La voici ci-dessous. Qu’en pensez-vous ?
Le groupe « Catholic Dissidents » appelle à la rétrogradation du Saint-Siège à l’ONU
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Cancilleria Ecuador/Wikimedia Commons
Des gens qui s’appellent eux-mêmes catholiques et qui s’attaquent à l’Église catholique ? Il y a un certain manque de logique dans leur position. Extrait de C-Fam :
Ces catholiques dissidents et leurs alliés demandent une fois de plus la révocation du statut d’observateur du Saint-Siège auprès de l’ONU. Lors d’une conférence en marge de la Commission de la condition de la femme, un groupe de militants qui s’appellent eux-mêmes Catholics for Human Rights (catholiques pour les droits de l’homme) a lancé une pétition pour que l’ONU rétrograde le statut du Saint-Siège. Il s’agit du dernier produit d’une série d’efforts illusoires similaires lancés sporadiquement au cours des années précédentes, dont aucun n’a été couronné de succès.
Le Saint-Siège est souvent la cible de telles campagnes en raison de son statut unique au sein du système des Nations Unies, de l’autorité morale qu’il exerce et de son historique d’organisation d’alliances internationales pour repousser les tentatives visant à créer un droit international à l’avortement et à redéfinir le genre et la famille. En attaquant le Saint-Siège, des groupes féministes sceptiques à l’égard de toutes les religions ont trouvé un terrain d’entente avec des dissidents de l’Église, tels que Catholics for Choice et des partisans de l’ordination des femmes.
Programme d’éducation à la sexualité du Québec: lutter contre «les effets nuisibles des versions traditionnelles» des rôles sexuels
Par Pour une école libre au Québec — Photo : Dimitri Martin/PublicDomainPictures
Extrait[s] du programme officiel d’éducation à la sexualité du Québec, partie des contenus obligatoires au secondaire :
En agrandissant certains passages, on voit un des aspects idéologiques du programme : la lutte conte les « stéréotypes » sexuels traditionnels, contre les normes sociales qui s’opposeraient à la fluidité de l’« identité de genre » des enfants, distincte rappelons-le de leur sexe, selon la théorie du genre en vogue dans certains départements universitaires de sciences sociales […]
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Notez ci-dessous le « mais ». Pourquoi « mais » ? Comme si les comportements et les attitudes « de genre » plus traditionnels étaient une mauvaise chose...
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Le programme est écrit dans un langage un peu hermétique (sans doute pour aider les parents...). Rappelons à ce sujet que le Monopole de l’Éducation du Québec (MEES) fournit du matériel pédagogique, mais qu’il n’est accessible qu’à ceux qui enseignent le programme, mais pas aux parents.
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Ici l’allusion aux jeunes immigrés (en novlangue « issus de différentes communautés culturelles ») qui font face à un plus important « défi » signifie que ces communautés culturelles sont plus traditionnelles et s’opposeraient à une libre « construction [de genre] de soi » chère aux militants LGBTQ2SAI+. Heureusement, l’État québécois est là pour assurer qu’ils pourront se construire « librement » dans le domaine des rôles, de l’orientation et du genre, loin des constructions stéréotypées et traditionnelles.
Promesse non tenue : L’éducation sexuelle ontarienne continuera d’enseigner aux enfants « l’identité sexuelle »
Doug Ford, Premier ministre d'Ontario.
Par Calvin Freiburger — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : HiMY SYeD/Flickr
Toronto, le 15 mars 2019 (LifeSiteNews) — La ministre de l’Éducation de l’Ontario, Lisa Thompson, a annoncé vendredi que le gouvernement instaurera un programme d’éducation sexuelle qui exposera les enfants aux questions de l’« identité sexuelle » et du « consentement » ; les pro-famille ont considéré cette annonce comme constituant « une promesse rompue ».
« Notre plan modernisera les salles de classe, protégera l’avenir de notre système d’éducation et veillera à ce que les élèves d’Ontario acquièrent les compétences dont ils ont besoin pour réussir leur vie, leur famille et leur entreprise ici même en Ontario », a déclaré M. Thompson lors d’une conférence de presse à Toronto, selon le National Post.
La loi fait passer de 22 à 28 le nombre maximal d’élèves par classe dans les écoles secondaires, interdit les téléphones cellulaires en classe et comprend un nouveau programme de mathématiques. Mais ses éléments les plus controversés sont ses dispositions prévues pour l’enseignement du « consentement » en 2e et 3e année et de l’« identité sexuelle » en 8e année. Des leçons sur l’abstinence, le cannabis et l’image corporelle seront également enseignées.
Pour répondre aux préoccupations des parents, la province a déclaré que les parents seraient en mesure de retirer leurs enfants des leçons d’éducation sexuelle, mais que le programme d’études complet ne sera pas disponible pour examen avant sa publication prévue en mai. Il est prévu qu’il entre en vigueur en septembre.
Lire la suiteComment se poursuit l’expansion de la théorie du genre à l’école
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : PxHere
Esther Pivet, coordinatrice du mouvement VigiGender sonne encore une fois l’alerte, dénonçant la théorie du genre qui fait ses ravages dans plusieurs pays dont la France, où ils ont échappé belle de voir remplacé, sur les formulaires scolaires, les mots « père » et mère » par « parent 1 » et « parent 2. » Pourtant Esther Pivet met en garde contre cet apparent recul de l’expansion de l’idéologie du genre. Au passage, précisons encore une fois qu'il est tout à fait impossible de changer de sexe, les opérations de « réassignation du genre » ne faisant que changer l'apparence. Extrait d’Aleteia :
La coordinatrice du collectif VigiGender a mené l’enquête sur l’expansion sournoise et régulière de la « théorie du genre » à l’école. Comment réagir auprès des professeurs ? Comment aider les enfants à se construire sous la pression de ce formatage déstabilisant ?
L’abandon de « parent 1 – parent 2 » sur les formulaires scolaires semble envisagé au profit d’une formulation plus consensuelle. Faut-il pour autant se limiter à pousser un « ouf » de soulagement devant le retrait de cette mesure absurde privant pères et mères de leur dignité ? Réveillons-nous ! Ouvrons les yeux ! Toute l’Éducation nationale et la culture sont imprégnées de la théorie du genre sous-jacente à cette mesure, selon laquelle toutes les différences entre hommes et femmes ne seraient qu’une construction sociale. Les enfants et les adolescents sont formatés au goutte-à-goutte par des messages fondés sur ce postulat. L’objectif est de leur faire penser qu’il n’y aurait aucun problème à « changer de sexe », et que l’hétérosexualité et l’homosexualité seraient équivalentes, puisque notre corps sexué n’aurait aucune influence, aucune signification, ne dirait rien de ce que nous sommes, simple source de plaisir.
Changer de sexe
Des séries télévisées commencent à mettre en scène des jeunes qui décident de subir une réattribution sexuelle. Internet regorge d’informations sur le sujet. Comment s’étonner que de plus en plus d’enfants qui présentent un trouble dans leur identité demandent à « changer de sexe » (Le Point, 15 septembre 2018), alors que de tels troubles disparaissent pour la plupart après la puberté ? Leur « réveil » dans dix ans sera douloureux et, pour beaucoup, le suicide un jour peut-être la seule issue1. Des médecins tirent la sonnette d’alarme2, mais crient encore dans le vide, car le marché est prometteur. Chaque jour, un adolescent entre dix et quinze ans change de sexe anatomique au Royaume-Uni (The Telegraph, 8 juillet 2017).
Le trou noir de la théorie du genre est en train de happer une génération de jeunes. Des enfants sont formatés à l’école, à l’insu des parents, et par tout ce qu’ils voient sur Internet, si facilement accessible. Beaucoup de jeunes sont désespérés, blessés dans leur identité, dans leur sexualité…
Une aile de prison séparée pour les hommes « transgenres »
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Enfin, en Grande-Bretagne, se seront-ils décidés à mettre des criminels prétendant être des femmes dans un lieu séparé de celui où sont incarcérées les criminelles, bien que ce soit toujours dans une prison féminine. Malgré l’irraison de l’acceptation de la théorie du genre de la part des autorités britanniques, celles-ci auront fini par céder devant l’évidence, même si elles ne l’avouent pas, un homme, ça reste un homme. Extrait de LifeSiteNews :
Le ministère de la Justice a annoncé qu’il inaugurait la toute première aile au Royaume-Uni, pour hommes criminels dits « transgenres » prétendant être des femmes, dans un établissement pénitentiaire.
Trois prisonniers de sexe masculin, qui portent des « Gender Recognition Certificates » (Certificats de reconnaissance du sexe), seront confinés dans une aile de la prison pour femmes HMP Downview, à Surrey, dans le sud de Londres. Le ministère de la Justice a mentionné la sécurité des prisonniers comme étant sa plus grande préoccupation.
L’annonce a été faite après que Karen White, un homme prétendant être une femme, ait agressé sexuellement deux détenues à la prison de New Hall de Wakefield [...]
Blanc est un homme mais « s’identifie » comme une femme. Classé par un juge comme « prédateur » et danger pour les enfants et les femmes, il purge une peine d’emprisonnement à perpétuité pour des délits sexuels. Un tribunal a par la suite déterminé que White avait utilisé son « personnage transgenre » pour entrer en contact avec des femmes vulnérables en prison.
Une forte augmentation de « transitions » chez les jeunes Canadiens
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : kfulhert/Pixabay
Avec l’influence de l’internet, de l’endoctrinement LGBT+ dans les écoles, de la propagande de ces groupes et de l’atmosphère de « respect » des théories les plus farfelues régnant dans nos sociétés, pourquoi serait-il étonnent de voir une augmentation d’enfants ayant des doutes sur leur sexe ? Ils sont très influençables.
Quoi de plus ridicule que cette théorie fumeuse selon laquelle une personne pourrait se sentir, par exemple, fille coincée dans le corps d’un garçon et avoir raison ? La notion d’homme et de femme est bien physique et il est strictement impossible de changer de sexe, alors qu’il est inscrit jusque dans l’ADN. Aussi, au lieu de « soigner » ces enfants troublés en leur donnant des hormones (très mauvais de jouer dans l’équilibre hormonal) ou en les mutilant, il vaudrait mieux les conforter dans leur état physique naturel. Extrait de LifeSiteNews :
Lire la suiteAlors que les taux de transgenres sont déjà en hausse aux États-Unis et au Royaume-Uni, Radio-Canada (SRC), le radiodiffuseur d’État du Canada, a récemment constaté une forte augmentation du nombre d’enfants demandant une « transition » du sexe au Canada. Selon la SRC, les cliniques pour enfants connaissent une « croissance exponentielle des demandes de traitement de la part d'adolescents qui ne s’identifient pas au sexe avec lequel ils sont nés. »
Malgré le fait que ce pic soit sans précédent, des médecins comme le Dr Stephen Feder ne semblent pas trop s’inquiéter de ses causes. Feder est codirecteur d’une « clinique sur la diversité des sexes au CHEO, un hôpital pour enfants d’Ottawa, et il a fait remarquer que voilà dix ans de cela, l’hôpital n’aurait accueilli qu’un ou deux enfants par année qui « voulaient changer de sexe ou avaient des questions sur leur identité sexuelle. » En 2018, ce nombre est passé à 180.
La CAQ donne 569 000 $ aux organismes LGBT+
Par Pascal Bergeron (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : Gouvernement du Québec n° 1 et n° 2
La ministre de la Justice, Sonia LeBel, veut se diriger « vers une société exempte d’homophobie et de transphobie ».
Mardi, le gouvernement du Québec a annoncé qu’il versait 569 000 $ pour « la réalisation de 20 projets proposés par des organismes communautaires » dans le cadre du programme Lutte contre l’homophobie et la transphobie. « Je tiens à remercier tous les organismes qui ont soumis des projets. Ces initiatives contribueront à franchir un pas de plus vers une société exempte d’homophobie et de transphobie », a déclaré la ministre de la Justice, Sonia LeBel.
Selon toute vraisemblance, la Coalition Avenir Québec décide donc de continuer dans la lignée du Plan d’action gouvernemental de lutte contre l’homophobie et la transphobie 2017-2022, qui a été dévoilé sous le gouvernement précédent de Philippe Couillard. Le Plan d’action vise à faire accepter à la population les changements sociétaux qu’engendre, entre autres, la reconnaissance juridique de l’identité de genre, pour laquelle la discrimination est interdite au provincial depuis juin 2016 et au fédéral depuis juin 2017.
Rappelons que selon ce concept d’identité de genre, une personne peut être un homme ou une femme comme elle peut s’identifier autrement que comme homme ou comme femme, et ce, sur la simple base de sa déclaration, sans égard pour sa réalité biologique.
La nouvelle frontière transgressée par le lobby Lgbt, les « drag kids »
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info)
Pour le lobby Lgbt, les « drag-queens », ces hommes travestis en femmes qui s’exhibent dans des spectacles vulgaires, et même dans des églises tel le travesti-transsexuel-transgenre Thomas Nuewirth, de son nom de scène Conchita Wurst dans la cathédrale de Vienne du cardinal Schönborn, n’étaient pas suffisants. La nouvelle frontière transgressée est les « drag kids », ces enfants transformés en phénomène de cirque, exhibés travestis en femmes dans des bars gay et dans des contextes hallucinants.
Une vraie violence psychologique infligée à des enfants par des parents consentants. Le plus fameux d’entre ces « drags kids » est un certain Desmond Naples, sur scène Desmond is Amazing : un enfant de 10 ans qui depuis l’âge de 7 ans est exhibé dans des bars gays, « le futur de l’Amérique » selon le chanteur drag queen RuPaul !
Dès 9 ans, il déclara son homosexualité à ses parents, et son désir de s’habiller en femme. Pour comprendre la sexualisation précoce de cet enfant, il faut savoir qu’en décembre de l’an dernier, travesti en femme de manière explicitement sexuelle, il a dansé dans un local gay de Brooklyn pendant que des hommes adultes lui jetaient des dollars. Un des présents commenta par la suite :
Lire la suiteJe suis parti après avoir vu un enfant dansé sur la scène pendant qu’on lui jetait de l’argent. C’était samedi soir et cela m’a profondément dérangé.
L’École de Francfort : aux sources de la folie contemporaine
Des membres de l'école de Francfort : Adorno, Horkheimer et Habermas.
Par l’historien Jean-Claude Dupuis, Ph. D. — Photo : Wikipedia
Regardez sur You Tube la vidéo : « Je ne suis pas un homme, Monsieur. »
C’est à la fois drôle à mourir et triste à pleurer. L’invité nie être un homme de race blanche. Il a pourtant les traits de l’espèce : barbe, calvitie, teint clair. Mais il se débat comme un diable dans l’eau bénite : « Qu’est-ce qui vous fait croire que je sois un homme ? Débarrassez-vous des préjugés de votre perception subjective. Je suis non binaire. » Cet énergumène prétendait n’être ni homme, ni femme, ni même androgyne. Toutes ces catégories sont dépassées. Les LGBT sont déjà désuets parce que la définition de chacun de ces types est trop précise, trop rationnelle, encore trop fixée par la nature. Le non binaire est libre de se sentir homme le matin, femme l’après-midi, et androgyne le soir, s’il le désire. La Réalité n’impose plus aucune contrainte à sa Liberté.
Comment une société peut-elle avoir neutralisé l’intelligence à ce point ?
L’une des clés d’explication se trouve dans le rayonnement de l’École de Francfort, qui a largement inspiré la Contre-Culture des années 1960.
En 1920, les communistes avaient compris que la révolution ne s’étendrait pas au-delà de la Russie. Ils ont adopté une nouvelle stratégie. La révolution devait s’attaquer à la culture occidentale plutôt qu’aux États capitalistes. Il fallait pourrir les intelligences et les mœurs jusqu’à ce que l’Occident s’effondre de lui-même, sans guerre ni révolution. Le stalinisme régnait en Russie, mais c’est le trotskysme que l’on répandrait à l’Ouest.
Karl Marx avait eu cette intuition avant même de publier le Manifeste du Parti communiste (1846). « Il faut, disait-il, critiquer tout ce qui existe. » Il ne s’agissait pas de critiquer le capitalisme, mais de critiquer la réalité. Marx se rattachait à l’idéalisme platonicien plutôt qu’au réalisme aristotélicien. Pour les platoniciens, la réalité n’existe pas en soi, mais seulement par la médiation des idées. La Volonté subjective est donc supérieure à la Réalité objective.
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