Une mère texane donne naissance à de rares jumeaux après une grossesse à haut risque
Raya et Naya, jumelles de Rima Aldebbeh et Rami Ramadan.
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Rima Aldebbeh, une mère texane, a eu un grand choc lors de sa première échographie prénatale : celle-ci a révélé qu’elle attendait des jumeaux, mais ce n’était pas sa seule surprise. L’échographie a également montré que les deux bébés partageaient le même sac amniotique et le même placenta, un phénomène connu sous le nom de jumeaux monochoriaux-monoamniotiques, qui se présente dans moins de 0,1 % de toutes les grossesses.
« Cela se produit dans moins de 1 % de toutes les grossesses de jumeaux identiques et dans moins de 0,1 % de toutes les grossesses en général », a déclaré à NBC 5 le Dr Julia Flowers, gynécologue-obstétricienne et présidente du département d’éthique médicale au Baylor Scott & White Medical Center-Grapevine. « C’est une grossesse très risquée. Le risque d’avoir des problèmes avec les cordons ombilicaux est élevé. Comme vous pouvez l’imaginer, ils sont dans le sac ensemble et il y a plus de chances qu’ils s’emmêlent et que l’approvisionnement en sang soit coupé. »
Aldebbeh, qui a trois autres enfants, a raconté qu’elle était submergée par la peur que quelque chose arrive à ses bébés à naître. « Trop de choses me passaient par la tête, surtout les mauvais scénarios comme “Que va-t-il se passer” ou “Vont-ils vivre ?” a-t-elle dit. » Elle a également confié que c’est son mari, Rami Ramadan, qui lui a permis de garder son calme. « C’est bon. Tu dois juste prier et tout ira bien », lui disait-il.
En raison de son état à haut risque, Aldebbeh a été admise à l’hôpital à peu près au milieu de sa grossesse. Cela a été réconfortant pour sa famille de savoir qu’elle recevrait des soins immédiats en cas de besoin, mais aussi difficile car les restrictions covid signifiaient qu’ils étaient séparés pendant une longue période.
Le Dr Flowers a fait une déclaration à Fox News sur le traitement d’Aldebbeh pendant cette période. « Lorsque nos patientes font face à des grossesses difficiles et à haut risque, notre équipe fait preuve d’amour et de compassion tout en appliquant la formation et les meilleures pratiques pour offrir le meilleur résultat possible », a-t-elle déclaré.
Les jumelles, Raya et Naya, ont finalement été mises au monde sept semaines avant terme pour leur sécurité. Malgré tout, elles étaient en bonne santé et se portent bien. Après un séjour de trois semaines à l’unité de soins intensifs néonatals (USIN), elles sont sorties de l’hôpital et sont maintenant chez elles avec leur famille.
« Nous ne pouvons pas être plus heureux », a déclaré M. Ramadan à Fox News. « Nous avons réussi à traverser cette période difficile. Maintenant, les filles sont enfin là, elles sont en bonne santé, elles sont sorties de l’USIN, la famille est réunie. C’est une bénédiction. »
Le Texas rejoint les États américains qui interdisent le passeport sanitaire et la ségrégation covidienne
Gregory Wayne Abbott (dit Greg Abbott), gouverneur du Texas.
Par Pierre-Alain Depauw (Médias Presse Info) — Photo : J Dimas/Flickr
Les Texans qui choisissent de ne pas prendre de vaccin COVID-19 ne peuvent être punis pour leur refus. Le 7 juin, le gouverneur du Texas, Greg Abbott, a signé une nouvelle loi interdisant aux entreprises privées et aux bureaux du gouvernement de demander une preuve de vaccination. Il a annoncé la nouvelle loi dans un tweet qui déclarait : « Le Texas est ouvert à 100 %. Les Texans devraient avoir la liberté d’aller où ils veulent sans aucune limite, restriction ou exigence. »
Bien qu’il ait souligné « la liberté » de se rendre « sans aucune limite, restriction ou exigence », Abbott avait rendu obligatoires les masques pendant plus de huit mois.
L’article 161.0085 de la législation contient la directive selon laquelle les entreprises du Texas ne peuvent pas exiger des clients qu’ils présentent des papiers contenant la preuve qu’ils ont pris le vaccin ou qu’ils se sont remis de COVID-19.
Une entreprise dans cet État ne peut exiger d’un client qu’il fournisse des documents certifiant la vaccination COVID-19 du client ou la récupération post-transmission à l’entrée, pour accéder à ou pour recevoir un service de l’entreprise. Une entreprise qui ne se conforme pas à ce paragraphe n’est pas admissible à recevoir une subvention ou à conclure un contrat payable avec des fonds publics.
Cette section vise également les passeports de vaccination, déclarant : « Une entité gouvernementale de cet État ne peut pas délivrer un passeport vaccinal, une carte vaccinale ou tout autre document normalisé pour certifier le statut vaccinal COVID-19 d’un individu à un tiers à des fins autres que soins de santé ou publier ou partager le dossier de vaccination COVID-19 de toute personne ou des informations de santé similaires à des fins autres que les soins de santé. »
Lire la suiteLa ville de Lubbock au Texas interdit l’avortement sur son territoire et devient « Sanctuaire pour les enfants à naître »
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
La ville de Lubbock, au Texas, est de nouveau libérée des avortements depuis que ses habitants ont adopté en mai une ordonnance interdisant le meurtre des bébés à naître.
L’ordonnance « Sanctuaire pour les enfants à naître » est entrée en vigueur mardi et, selon les défenseurs de la vie, le Centre Planned Parenthood de Lubbock a donc cessé de pratiquer des avortements.
Pendant sept ans, aucun avortement n’avait été pratiqué à Lubbock, après la fermeture du dernier centre d’avortement en 2013. L’année dernière (2020), cependant, Planned Parenthood y a ouvert un nouvel établissement et a commencé à avorter des bébés à naître en avril. Ce changement a suscité une action rapide de la part des défenseurs de la vie dans la ville et, le 1er mai 2021, les résidents ont voté massivement en faveur d’une ordonnance interdisant les avortements dans les limites de la ville.
Cette ordonnance est maintenant appliquée. Mardi, Mark Lee Dickson, directeur de Right To Life of East Texas et fondateur de l’initiative Sanctuary Cities for the Unborn, a confirmé que Planned Parenthood se conforme à l’ordonnance.
« Planned Parenthood est bien avisée de cesser de pratiquer des avortements à Lubbock », a-t-il déclaré à LifeNews. « Nous sommes impatients de voir d’autres villes du Texas faire ce qui est nécessaire pour protéger leurs villes des avortements qui sont commis dans leur territoire. En ce moment, nous voyons beaucoup d’intérêt à Centerville, San Angelo et Tyler, et nous avons bon espoir de voir ces villes et d’autres interdire l’avortement à l’avenir. »
Lire la suiteLe Texas limite l’avortement, le Gabon en étant l’accès, l’Iowa veut déclarer qu’il n’est pas un droit
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : prostooleh/Freepik
Le gouverneur du Texas, Greg Abbot, vient de signer une nouvelle loi interdisant l’avortement des enfants à naître dont on peut détecter les battements de cœur, selon Gènéthique :
Le gouverneur du Texas a signé mercredi la « heartbeat bill », qui interdit l’IVG « dès que les battements de cœur du fœtus sont perceptibles, soit vers la sixième semaine de grossesse ». En signant, Greg Abbot a déclaré : « la loi garantit que chaque enfant non né dont le cœur bat sera sauvé des ravages de l’avortement ».
Le Gabon, de son côté, a adopté une loi qui élargira l’accès à l’avortement, d’après Gènéthique :
Un projet de loi modifiant les conditions de dépénalisation de l’IVG a été adopté au Gabon vendredi 14 mai en séance plénière de l’Assemblée nationale.
Le Gabon fait passer la limite de l’avortement de 10 à 12 semaines de grossesse, tandis qu’il supprime la notion de gravité quant à la « détresse » dont doit faire preuve la femme pour obtenir l’avortement dans les limites légales ; de plus le médecin n’aura plus à évaluer ladite détresse ― autant dire que n’importe quel avortement pourra s’opérer jusqu’à la 12e semaine.
Dans l’État d’Iowa, la législature a approuvé en première lecture un projet d’amendement à sa Constitution qui, s’il est approuvé une seconde fois, sera proposé à l’approbation de la population iowienne par referendum, rapporte LifeNews :
Le corps législatif de l’Iowa a officiellement approuvé un amendement déclarant qu’il n’existe aucun droit de tuer des bébés lors d’un avortement. L’amendement constitutionnel de l’État doit être approuvé une fois de plus par le corps législatif, puis être approuvé par les électeurs lors du scrutin pour intégrer la Constitution de l’Iowa.
Le Sénat du Texas adopte une loi protégeant l’enfant à naître dès que ses battements de cœur sont détectables
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Le sénat texan a approuvé un projet de loi par 19 voix contre 12, destiné à protéger les enfants à naître dont les battements de cœur sont détectables, ce qui est possible vers la 6e semaine de grossesse. Selon LifeNews :
Le Sénat du Texas a voté lundi en faveur d’une loi qui protégerait les bébés à naître contre les avortements dès que les battements de leur cœur sont détectables.
Le Dallas Morning News rapporte que le projet de loi sur les battements de cœur, le projet de loi 8 du Sénat de l’État, a été adopté en deuxième lecture par 19 voix contre 12. Le vote final est attendu pour mardi.
Parrainé par le sénateur républicain Bryan Hughes de Mineola, le projet de loi exige que les avorteurs vérifient la présence de battements de cœur d’un bébé à naître et interdit l’avortement s’ils sont détectés. Il prévoit des sanctions pénales pour les avorteurs qui enfreignent cette mesure. Des exceptions seraient autorisées pour les urgences médicales.
Mais, faut-il le rappeler, l’avortement, outre son aspect immoral, n’est techniquement pas indiqué quand il s’agit de vraiment sauver la vie de la mère.
Les gouverneurs pro-vie du Texas et du Mississippi lèvent le port obligatoire du masque !
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Freepik
Le gouverneur Greg Abbott du Texas et le gouverneur Tate Reeves du Mississippi ont signé un décret levant le port obligatoire du masque.
Au Texas, selon le site de Guy Boulianne :
Le gouverneur Greg Abbott a publié aujourd’hui un décret (GA-34) levant le mandat du masque au Texas et augmentant la capacité de toutes les entreprises et installations de l’État à 100 %. Le gouverneur a fait cette annonce au restaurant mexicain de Montelongo à Lubbock dans une allocution à la chambre de commerce de Lubbock.
Au Mississippi, selon un autre article du site de Guy Boulianne :
Le gouverneur républicain du Mississippi, Tate Reeves, a annoncé mardi qu’il levait les mandats de masque pour tous les comtés (décret 1549). Reeves a déclaré que son bureau cessait de dire aux gens ce qu’ils pouvaient et ne pouvaient pas faire. « La raison pour laquelle le gouvernement ne vous dit plus cela, c’est à cause des mesures que nous avons prises au cours des 12 derniers mois, nous a amenés à un point où le total de nos hospitalisations aujourd’hui, le deuxième jour de mars 2021, est à peu près là où nous étions à la fin du mois de mai. », a déclaré le gouverneur.
Dans ce dernier cas, le masque restera malheureusement obligatoire dans certains établissements et dans certaines conditions (comme l’impossibilité d’observer la distanciation antisociale).
Lire la suiteLe Texas peut enfin cesser de financer Planned Parenthood, grand exécuteur d’avortements
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Pxfuel
Mise à jour : 11 mars 2021 — Le juge du Texas a déclaré que l'État pouvait cesser de financer Planned Parenthood.
Mise à jour : 26 février 2021 — Planned Parenthood s'est fait donner un autre deux semaines.
Mise à jour : 9 février 2021 — Un groupe pro-avortement s'est pourvu en justice, faisant en sorte que le Texas ne peut, momentanément, cesser de financer Planned Parenthood.
Grâce à une décision de la Cour du 5e circuit rendue en novembre 2020, l’État du Texas n’est plus obligé de financer Planned Parenthood, grand fraudeur et exécuteur d’avortements, depuis le 3 février 2021. Selon LiveActionNews :
Après que le géant de l’avortement eût demandé un délai de grâce de six mois pour permettre aux patientes de trouver de nouveaux prestataires tout en continuant à recevoir des soins, le tribunal a rejeté cette demande mais a accordé un délai de grâce de 30 jours se terminant le 3 février.
Le procureur général du 5e circuit et du Texas a basé cette décision en partie sur l’implication de Planned Parenthood dans le trafic de parties de corps de bébés avortés qui a été révélé en 2015. « Une vidéo d’infiltration a clairement montré que Planned Parenthood admettait avoir un comportement immoral et illégal, comportant des violations à la loi fédérale par la falsification du calendrier et des méthodes d’avortement afin d’obtenir des tissus fœtaux pour leur propre recherche », soulignait une déclaration du procureur général. « Planned Parenthood n’est pas un prestataire “qualifié” au sens du Medicaid Act, et ne devrait pas recevoir de subventions publiques dans le cadre du programme Medicaid ».
En 2013, Planned Parenthood avait été condamné à une amende de 1,4 million de dollars pour avoir demandé et reçu frauduleusement plus qu’il n’y avait droit sous le régime Medicaid de l’État du Texas, rapportait Live Action News.
La Cour suprême des États-Unis rejette la demande de l’hôpital de débrancher la jeune Tinslee Lewis
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo (rognée) : AJEL/Pixabay
L’affaire de Tinslee Lewis, une jeune enfant de presque deux ans ayant une anomalie cardiaque rare, connaît un dénouement heureux ; la Cour suprême des États-Unis rejette la requête de l’hôpital texan qui voulait retirer traitements et soutiens vitaux à Tinslee, renvoyant donc l’affaire au tribunal inférieur qui avait désapprouvé l’hôpital, selon LifeSiteNews :
La Cour suprême des États-Unis a rejeté une requête préliminaire du Cook Children’s Medical Center visant à débrancher [la ventilation de] bébé Tinslee Lewis contre la volonté de sa mère. Le combat de bébé Tinslee pour sa vie a commencé en novembre 2019 lorsque l’hôpital de Fort Worth a décidé de mettre fin à la vie de l’enfant contre la volonté de sa mère en vertu de la mortelle 10-Day Rule du Texas. Son procès a porté un coup sérieux à cette loi contre la vie dans une cour d’appel du Texas, et le Cook Children’s a cherché à faire annuler la décision. Depuis, tous les tribunaux supérieurs, y compris la Cour suprême des États-Unis, ont empêché l’hôpital de supprimer le traitement de survie de Tinslee, malgré l’objection de sa mère.
La décision contre la 10-Day Rule est toujours valide, et l’affaire va maintenant être renvoyée devant la juridiction inférieure pour un jugement final sur le fond de l’affaire.
Le « Règlement des 10 jours » pourrait ainsi être déclaré inconstitutionnel, mettant fin à de semblables situations.
La Cour suprême du Texas rejette la requête d’un hôpital voulant retirer le respirateur d’un bébé handicapé
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (modifiée) : Pxfuel
Nouveau rebondissement de l’affaire Tinslee Lewis ; espérons qu’elle se terminera bien à l’instar de celle de Tafida Raqeeb, et non comme les cas de Charlie Gard et d’Alfie Evans, d’autres jeunes enfants dont les hôpitaux qui les prenaient en charge ont contesté le droit de vivre. Selon LiveActionNews :
La Cour suprême du Texas a rejeté la requête de l’hôpital demandant l’autorisation d’interrompre le traitement médical de Tinslee Lewis, âgée de 18 mois. L’hôpital espérait que la Cour annulerait l’injonction que la Seconde cour d’appel lui avait imposée en juillet.
La petite fille, qui est sous respirateur en raison de graves problèmes cardiaques congénitaux causés par l’anomalie d’Ebstein, a dû être hospitalisée et recevoir des soins médicaux intensifs pendant la majeure partie de sa vie. La continuation de ses soins a fait l’objet d’une bataille juridique, qui remonte à près d’un an, entre l’hôpital et sa famille. Avec la décision de la Cour suprême du Texas, l’affaire revient maintenant devant la Cour de district afin qu’elle statue sur le droit de Tinslee à des soins continus.
[...]
Comme le rapportait Live Action News, les médecins qui ont examiné le cas de Baby Tinslee en juillet ont affirmé que son état pouvait être traité. Ces médecins ont fait valoir qu’une simple trachéotomie résoudrait bon nombre des problèmes causés par le fait qu’elle a été sous respirateur sur une longue période de temps, et permettrait de poursuivre le traitement. Selon WFAA, le Cook Children’s Medical Center devrait d’abord accepter d’accorder des privilèges d’urgence à un médecin pour qu’il pût effectuer une trachéotomie et des soins de suivi.
Austin coupe dans le financement de la police et redirige une partie de l’argent vers l’avortement
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Freepik
Voici un geste typique de gauchistes pro-avortement. Le conseil municipal démocrate de la ville d’Austin, au Texas, a décidé de retirer au budget de la police municipale la coquette somme de 150 millions de dollars, employant du coup une partie de ce montant à élever le financement de l’avortement à 250 000 dollars. D’une pierre deux coups : d’un côté l’on assure la voie à l’anarchie et de l’autre l’on facilite le meurtre d’enfants à naître innocents.
L’idée derrière la coupure budgétaire consiste en ce que la police est raciste en général à la grandeur des États-Unis, théorie qui n’est fondée sur aucune base solide. Réduire les forces de l’ordre réglera-t-il le soi-disant problème ? La pensée mièvre qui accompagne cet acte n’empêchera pas la montée de l’anarchisme qui suivra (et qui a déjà commencé), comme un appel d’air, la baisse des effectifs policiers.
Toujours est-il que l’avortement tue des innocents et que le conseil municipal ne songe pas à couper le financement de cet acte abject… bien au contraire !
Selon LifeSiteNews :
Le conseil municipal démocrate coupe dans le financement de la police et envoie de l’argent à l’industrie de l’avortement.
L’argent destiné à protéger des vies va plutôt servir à y mettre fin à la suite d’un vote unanime du conseil municipal démocrate d’Austin, au Texas.
Le conseil a récemment approuvé son budget 2021, qui réduit de 150 millions de dollars le budget du département de police d’Austin pour le consacrer à d’autres services, rapporte CBN News. Dans le même temps, le budget augmente le financement de « l’accès à l’avortement » à 250 000 dollars, sous les auspices des « services sociaux et de santé ».
[...]
[Le maire] Adler a nié que le budget « transformateur » en fait réduisît de 150 millions de dollars le budget de la police, au motif que 49 millions de dollars de cette somme « pourraient ou non » quitter le département de police d’Austin, attendant une révision des fonctions que l’argent soutient actuellement.
« La décision d’Austin met les braves hommes et femmes du département de police d’Austin et leurs familles en plus grand danger, et ouvre la voie à l’anarchie », écrit le gouverneur républicain du Texas, Greg Abbott, en réponse à la nouvelle. « La sécurité publique est la première tâche à assurer, et Austin a abandonné ce devoir. Le corps législatif se penchera sur cette question lors de la prochaine session, mais en attendant, le ministère de la Sécurité publique du Texas se tiendra debout dans l’intervalle pour protéger notre capitale ».