26 États interdiront les avortements lorsque la Cour suprême aura annulé Roe vs Wade
Par Steven Ertelt, Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Mallivan/Adobe Stock
Plus de la moitié du pays protégera les bébés à naître en interdisant tous les avortements ou la plupart d’entre eux lorsque le jugement Roe v. Wade sera annulé, comme on l’espère, le mois prochain.
Cette estimation provient de l’Institut Guttmacher, une organisation pro-avortement précédemment affiliée à Planned Parenthood, la plus grande entreprise d’avortement du pays. Selon son analyse, 26 États « sont certains ou susceptibles d’interdire les avortements » si la Cour suprême des États-Unis abolit Roe.
Le juge Samuel Alito ayant rédigé un projet d’avis renversant Roe qui a récemment fait l’objet d’une fuite, l’accent sera mis sur la protection des bébés contre les avortements dans le plus grand nombre d’États possible. La bonne nouvelle est que la moitié du pays protégera légalement les enfants à naître assez rapidement, certains États commençant à les protéger dès le premier jour.
De nombreux États ont déjà pris des mesures pour protéger les bébés à naître contre l’avortement en prévision du jour où Roe sera annulé. L’analyse de Guttmacher a identifié 21 États qui ont des lois ou des amendements constitutionnels qui interdiraient les avortements lorsque le pouvoir de le faire reviendra aux États.
Il s’agit des États : Alabama, Arizona, Arkansas, Géorgie, Idaho, Iowa, Kentucky, Louisiane, Michigan, Mississippi, Missouri, Dakota du Nord, Ohio, Oklahoma, Caroline du Sud, Dakota du Sud, Tennessee, Texas, Utah, Virginie-Occidentale et Wisconsin.
Certains de ces États ont encore des lois antérieures à Roe qui interdisent les avortements, et d’autres ont des lois de déclenchement qui interdiront immédiatement le meurtre des bébés à naître par avortement une fois que Roe sera annulé. Plusieurs d’entre eux ont également mis en place de multiples lois pro-vie, y compris des lois sur le battement de cœur et d’autres lois qui limiteraient ou interdiraient les avortements si les tribunaux les autorisaient à le faire.
En outre, Guttmacher prévoit que cinq autres États prendraient rapidement des mesures pour protéger les bébés à naître contre l’avortement si l’arrêt Roe était annulé. La Floride, l’Indiana, le Montana, le Nebraska et le Wyoming ont adopté un certain nombre de lois pro-vie ces dernières années et, selon l’analyse, ils prendraient probablement des mesures « dès que possible » pour protéger les bébés à naître en interdisant l’avortement.
Lire la suiteLa Cour suprême du Texas permet les enquêtes sur les « transitions » de mineurs
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : fotofabrika/Adobe Stock
16 mai 2022, Austin, Texas (LifeSiteNews) ─ Le Texas peut enquêter sur les interventions transgenres sur les mineurs ─ opérations et médicaments ─ en tant que « maltraitance d’enfants », selon une décision rendue vendredi par la plus haute Cour de l’État.
La Cour suprême du Texas (SCOTX) a levé l’injonction d’un tribunal inférieur empêchant le Département des services familiaux et de protection (DFPS) d’enquêter sur les parents pour « abus d’enfant » si leurs enfants prennent des médicaments transgenres ou subissent des mutilations génitales ou d’autres chirurgies transgenres.
Le tribunal a statué que, puisque ni le gouverneur Greg Abbott ni le procureur général Ken Paxton ne pouvaient exiger du DFPS qu’il enquête sur les cas de maltraitance d’enfants, les plaignants ne pouvaient pas faire valoir que l’ordonnance de février du gouverneur Abbott ordonnant au DFPS de lancer les enquêtes était un règlement créé de manière inappropriée. Au Texas, les secrétaires des départements ne sont pas tenus de suivre les directives du gouverneur ou du procureur général.
« Le DFPS n’a pas besoin de la permission des tribunaux pour enquêter, mais il a besoin de la permission des tribunaux pour prendre des mesures sur la base d’une enquête », a déclaré l’opinion majoritaire. « À ce stade, avant de rendre des ordonnances, un tribunal devrait décider si la maltraitance de l’enfant examinée et alléguée par le DFPS, est considérée comme telle en vertu de la loi texane. »
Une enquête spécifique sur une personne de 16 ans souffrant de dysphorie de genre reste bloquée dans l’attente d’une action en justice distincte visant à mettre fin à l’enquête, selon l’Austin-American Statesman.
Lire la suiteUn tribunal fédéral ordonne le rejet de toutes les contestations relatives à l’application de la loi texane sur les battements de cœur
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : WavebreakMediaMicro/Adobe Stock
27 avril 2022, Austin (LifeSiteNews) — Une cour d’appel fédérale a ordonné le rejet de toutes les contestations du mécanisme unique d’application de la loi texane pro-vie Heartbeat Act, qui permet aux citoyens d’intenter des poursuites civiles contre les avorteurs.
La 5e cour d’appel de circuit des États-Unis a renvoyé mardi la principale action en justice s’opposant à la méthode d’application de la loi Heartbeat (SB 8) au juge Robert Pitman du tribunal de district, en ordonnant de rejeter toutes les contestations.
« Ayant reçu la décision de la Cour suprême du Texas selon laquelle les défendeurs officiels nommés ne peuvent pas appliquer les dispositions de la loi texane sur les battements cardiaques […], ce tribunal RENVOIE l’affaire avec l’ordre de rejeter toutes les contestations des dispositions d’application privées de la loi et d’examiner si les plaignants ont qualité pour contester », indique le jugement.
La décision de mardi met un point final à une décision prise en mars par la Cour suprême du Texas, qui a maintenu la loi pro-vie contre un procès qui avait suggéré que les fonctionnaires de l’État avaient un rôle à jouer dans l’application de la mesure.
La loi Heartbeat, très contestée dans l’État de l’étoile unique, interdit les avortements après la détection des battements de cœur d’un bébé (généralement vers la sixième semaine de gestation) et s’appuie sur des poursuites civiles plutôt que pénales pour son application.
La disposition de la loi qui a suscité la contestation judiciaire rejetée mardi était son mécanisme d’application, qui permet aux particuliers d’engager des poursuites contre les avorteurs et toute personne soupçonnée d’avoir aidé ou encouragé un avortement.
Lire la suiteTexas : une femme accusée de s’être elle-même fait avorter, arrêtée puis relâchée — affaire non résolue
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : beeboy/Adobe Stock
Le cas d’une femme arrêtée au Texas et relâchée par la suite pour une accusation liée à un avortement, a récemment fait rage dans les nouvelles américaines. Mais l’affaire reste une affaire non résolue...
Selon Students For Life of America « après s’être présentée dans un hôpital du Texas affirmant qu’elle avait fait une fausse couche, Lizelle Herrera a été signalée aux autorités texanes par le personnel ou l’administration de l’hôpital après avoir prétendument admis d’avoir auto-induit son propre avortement. »
Par la suite, elle « a été arrêtée vendredi [8 avril] et détenue dans le comté de Starr, près de la frontière mexicaine, selon un responsable du shérif local... (The New York Times) »
BFMTV rapporte que lundi, « un procureur au Texas a abandonné... des poursuites engagées contre une jeune femme inculpée de meurtre quelques jours plus tôt pour avoir avorté... »
Bien que Mme Herrera ne sera finalement pas poursuivie, le procureur de district Gocha Allen Ramirez a affirmé dans une déclaration qu’« il est clair que le département du shérif du comté de Starr a fait son devoir en enquêtant sur l’incident porté à leur attention par l’hôpital déclarant. Ignorer l’incident aurait été un manquement à leur devoir. »
Des détails significatifs tels que les circonstances entourant la mort de l’enfant, ou la raison pour laquelle le personnel de l’hôpital a reporté le cas aux autorités restent inconnus. L’affaire est donc non résolue...
Une chose est certaine : la perte d’un enfant est toujours une perte irremplaçable, que ce soit par un avortement volontaire ou involontaire ; et si l’affaire de Mme Herrera se trouve à être un cas d’avortement volontaire, la Justice devrait exiger des comptes.
L’accès à l’avortement payé par les grandes entreprises
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : standret/Adobe Stock
Saviez-vous que « de grandes entreprises telles que Citigroup, Apple, Bumble et Hewlett Packard proposent à leurs employées de couvrir leurs frais de déplacement si elles souhaitent se rendre dans un autre État pour avorter (Généthique) » ?
En réaction aux nouvelles lois pro-vie aux États-Unis, certains « géants » américains ont lancé des programmes pour financer leurs employés qui veulent avorter. La cofondatrice de la start-up new-yorkaise Alloy, Laura Spiekerman « s’est déclarée “surprise” que davantage d’entreprises ne fassent pas de même. »
Los Angeles Times détaille que, « L’entreprise — qui compte une poignée d’employés dans des États dotés de lois restrictives sur l’avortement comme la Floride, l’Arizona et le Mississippi — a déclaré en janvier qu’elle paierait jusqu’à 1 500 $ pour les frais de déplacement des employés ou de leurs partenaires devant voyager hors de l’État pour des avortements. »
Non seulement de telles puissantes compagnies supportent l’avortement, mais elles le financent et encouragent leurs employés à y accéder. Alloy l’affirme ouvertement : « Alors que les droits reproductifs sont critiqués par notre gouvernement, l’équipe de direction d’Alloy estime qu’il est essentiel que nous adoptions une position plus explicite en faveur des droits reproductifs et que nous offrions à nos employés des directives plus complètes pour soutenir leur santé reproductive à l’avenir. »
Pendant que le droit des enfants à naître aux États-Unis avance lentement au plan légal, les entreprises influentes redoublent leurs efforts pour garantir l’avenir pro-mort de la société : raison de plus pour continuer à lutter pour la vie !
Le gouverneur de l’Idaho signe l’interdiction d’avorter à partir de six semaines, sur le modèle de la loi texane
Par Raymond Wolfe — Traduit par Campagne Québec-Vie
24 mars 2022, Boise, Idaho (LifeSiteNews) — Le gouverneur de l’Idaho, Brad Little, a signé mercredi une loi qui interdit l’avortement à environ six semaines de grossesse et charge les proches des bébés à naître, plutôt que les fonctionnaires, de faire appliquer la loi en poursuivant les fournisseurs d’avortement.
La loi, inspirée d’une législation similaire au Texas, interdit l’avortement lorsqu’un battement de cœur fœtal peut être détecté. Elle interdit l’application de la loi par l’État, mais permet à la mère ou aux autres membres de la famille d’un enfant à naître avorté, y compris le père ou les grands-parents, d’intenter une action civile contre les médecins qui ont pratiqué l’avortement.
Les procès réussis peuvent rapporter jusqu’à 20 000 dollars, en plus des frais de justice. La loi prévoit des exemptions en cas de viol, d’inceste ou d’« urgence médicale », mais exige que les femmes présentent un rapport de police attestant d’une agression présumée avant de procéder à un avortement pour cause de viol.
À moins d’être stoppée par des recours juridiques, la mesure entrera en vigueur dans 30 jours.
BREAKING:
— Live Action (@LiveAction) March 23, 2022
Idaho’s Governor just signed a bill into law that bans abortion after a child’s heartbeat can be detected
The bill closely mirrors Texas’ heartbeat law that has saved ~75 lives per day for over 200 days!
A great step toward complete legal protection for our kids.
« Je suis solidaire de tous les habitants de l’Idaho qui cherchent à protéger la vie des bébés à naître », a déclaré mercredi le gouverneur Little, ajoutant qu’il pense que les décisions passées de la Cour suprême en faveur de l’avortement ont été « décidées de manière incorrecte ».
La nouvelle loi sur les battements de cœur fait de l’Idaho le premier État à adopter une législation calquée sur la loi texane sur les battements de cœur, qui permet aux citoyens de poursuivre toute personne qui « aide ou encourage » l’avortement d’un bébé dont les battements de cœur sont détectables.
La Cour suprême a refusé à plusieurs reprises d’invalider la loi texane, et cette mesure reste en vigueur malgré l’arrêt Roe v. Wade. Les avortements au Texas ont chuté d’environ 60 % au cours du premier mois suivant l’entrée en vigueur de l’interdiction à l’automne dernier.
Lire la suiteLa loi protégeant les bébés dès que leurs battements de cœur sont détectables gagne à la Cour suprême du Texas
Par LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pxfuel
11 mars 2022, Austin, Texas — Aujourd’hui, la Cour suprême du Texas a dit « non » à l’affirmation des avorteurs selon laquelle les fonctionnaires de l’État ont un rôle à jouer dans l’application de la loi texane des battements de cœur — mais ce n’est pas ainsi que la loi est conçue. Le juge Jeff Boyd a écrit que le fait d’accorder le pouvoir d’application aux fonctionnaires de l’État va à l’encontre du langage clair de la loi, qui exige spécifiquement que la loi soit appliquée par des citoyens privés et interdit son application par le gouvernement.
« Une fois de plus, la loi texane sur les battements de cœur l’a emporté devant les tribunaux — non seulement devant la Cour suprême des États-Unis, mais maintenant devant la Cour suprême du Texas », a déclaré Jonathan Saenz, président et avocat de Texas Values. « La haute cour a rejeté l’interprétation erronée que les groupes d’avortement font de cette loi pro-vie et, par conséquent, cette affaire de vie ou de mort devrait être rejetée. Les bébés gagnent à nouveau ».
Dans son avis, la Cour a conclu :
[La loi texane sur les battements de cœur] prévoit que ses exigences peuvent être appliquées par une action civile privée, qu’aucun fonctionnaire de l’État ne peut intenter une telle action ou y participer en tant que partie, qu’une telle action est le moyen exclusif d’appliquer les exigences, et que ces restrictions s’appliquent nonobstant toute autre loi. Sur la base de ces dispositions, nous concluons que la loi du Texas n’accorde pas aux cadres de l’agence d’État désignés comme défendeurs dans cette affaire le pouvoir de faire appliquer les exigences de la loi, que ce soit directement ou indirectement. Nous répondons à la question certifiée du Cinquième Circuit : non.
« La décision d’aujourd’hui est une grande victoire pour le Texas Heartbeat Act, qui sauve des vies », a déclaré Kimberlyn Schwartz, directrice des médias et des communications pour Texas Right to Life. « Nous avons dit depuis le début que la poursuite des avorteurs devait être rejetée. Il est clair que la législature n’a jamais voulu que les agences de l’État participent à l’application de la loi Texas Heartbeat, et la Cour suprême du Texas en a convenu. Ce n’est pas la dernière étape du voyage, car l’affaire va maintenant retourner devant la Cour d’appel du cinquième circuit, mais elle affirme une voie positive pour cette loi historique. Nous sommes reconnaissants au Texas Heartbeat Act de continuer à sauver des milliers de vies, et nous espérons que la justice ouvrira bientôt la voie à la protection de tous les enfants à naître en annulant Roe v. Wade. »
Lisez le jugement au complet ici (en anglais).
Texas : défendre le caractère sacré de la Vie
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : buritora/Adobe Stock
La cinquième proposition de vote pour la primaire républicaine de 2022 affirme que « Le Texas doit promulguer un amendement à la constitution de l’État pour défendre le caractère sacré de la vie humaine innocente, créée à l’image de Dieu, de la fécondation à la mort naturelle »
1 549 445 votes en faveur de cette proposition selon Ballotpedia !
Texas Right to Life rapporte que « 83,3 % des électeurs républicains ... ont voté pour adopter la proposition et faire de la protection de la vie une priorité lors de la prochaine session législative. »
La défense du caractère sacré de la vie ne pourrait pas être formulée plus clairement, ni pourrait-elle exprimer plus explicitement la mission pro-vie que cette proposition.
Il y a de l’espoir ! « Les pro-vie ont démontré qu’ils continueront à se présenter aux urnes pour élire des dirigeants courageux qui adopteront des lois qui protègent la vie innocente », encourage le groupe pro-vie du Texas.
Cependant, « Plus d’action pro-vie sera nécessaire pour transformer cette proposition en une législation exécutoire et salvatrice. Malgré les progrès pro-vie, l’industrie de l’avortement est implacable. »
Elle n’est pas seulement implacable au Texas. Notre province du Québec fait preuve d’une injustice remarquable auprès des vulnérables, que ce soit notre Collège de médecins qui s’est prononcé en faveur de l’élargissement de l’aide médicale à mourir (euthanasie) — même aux 14 à 17 ans sous certaines conditions — ou notre gouvernement qui permet l’avortement à n’importe quel moment de la grossesse.
L’industrie de l’avortement reste peut-être implacable, mais les pro-vie demeurent déterminés à défendre la vie à tout prix !
Biden veut empêcher le Texas de restreindre les « transitions » chez les enfants
Joe Biden.
Par Raymond Wolfe — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Gage Skidmore/Flickr
4 mars 2022, Washington DC (LifeSiteNews) — L’administration Biden a annoncé mercredi plusieurs actions visant à empêcher le Texas de restreindre les médicaments et les chirurgies transgenres pour les enfants, après que le gouverneur du Texas Greg Abbott eût ordonné la semaine dernière des enquêtes sur les parents qui soumettent leurs enfants à ces procédures expérimentales et dangereuses.
Dans une déclaration de la Maison-Blanche mercredi, Joe Biden a dévoilé une liste de mesures prises par le département américain de la santé et des services sociaux (HHS) pour contrer l’ordonnance du gouverneur Abbott qui a déclaré que les pratiques de « transition de genre » constituent des abus à l’égard des enfants en vertu de la loi de l’État.
« Parce que le département des services familiaux et de protection du Texas est responsable de la protection des enfants contre les abus », a écrit Abbott dans sa directive, « je demande par la présente à votre agence de mener une enquête rapide et approfondie sur tous les cas signalés de ces procédures abusives dans l’État du Texas ».
« Il s’agit de la pire forme d’excès de pouvoir de la part du gouvernement [du Texas] », a répliqué M. Biden, dont l’administration se bat actuellement devant les tribunaux pour obliger les médecins à pratiquer des opérations de « changement de sexe » contre leur conscience. Il a ajouté que son administration « mettait l’État du Texas en demeure ». Le catholique autoproclamé [Biden] a également décrit « l’affirmation de l’identité d’un enfant transgenre » comme « l’une des meilleures choses qu’un parent, un enseignant ou un médecin puisse faire » et a déclaré que les enfants dits « transgenres » « sont faits à l’image de Dieu ».
La déclaration de M. Biden était liée à une annonce distincte du secrétaire du HHS, Xavier Becerra, menaçant les prestataires de soins de santé de leur retirer le financement fédéral s’ils dénoncent les parents qui ont recours à des procédures transgenres pour leurs enfants. « Le HHS prendra des mesures immédiates si nécessaire », a déclaré Becerra.
Lire la suiteDes enfants payés 100 $ pour assister à un cours LGBTQIA+ au Texas
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Toni Reed/Unsplash
Le mensonge LGBT ne s’infiltre pas seulement dans les programmes scolaires. Il ne s’infiltre pas seulement dans le langage et le « politiquement correct ». Il commence à être un produit offert aux enfants qui sont payés pour l’écouter, du moins au Texas.
International Family News rapporte que, « Dans un message Twitter (supprimé depuis) du 18 février 2022, le système de bibliothèques de la ville d’Austin a annoncé qu’il parrainait un “Spring Break Sex-Ed Camp” (Camp d’éducation sexuelle des vacances de printemps, NDLR) pour les adolescents »
De nombreux commentaires négatifs ont suivi et le tweet a été supprimé rapidement. Le message annonçait : « Appel à tous les élèves du secondaire. Soyez PAYÉ pour apprendre l’éducation sexuelle pendant les vacances de printemps ! Des cours gratuits sur ce cours basé sur des preuves et adapté aux LGBTQIA+, dirigé par @AustinPublicHealth, sont organisés dans plusieurs bibliothèques ! Les places sont LIMITÉES alors inscrivez-vous dès maintenant… »
« Les adolescents peuvent être payés 100 $ (plus le déjeuner) pour apprendre l’éducation sexuelle. »
On paie les enfants pour adhérer aux erreurs de l’idéologie LGBT et leur vision de la réalité est ainsi complètement déformée. Ensuite devrait-on s’étonner des taux de suicide élevés ou de l’effondrement visible des familles ?
« Le système de bibliothèques de la ville d’Austin, au Texas, essaie de préparer nos enfants en leur promettant de les payer s’ils assistent à des cours d’endoctrinement radical sur le sexe et les LGBT. »
Et ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres. Les combattants pour un monde sans loi naturelle, sans Dieu, et sans famille profitent des années les plus critiques et les plus fragiles de l’enfance pour enraciner leurs propos néfastes.