Un hôpital texan pourrait retirer le maintien de vie d’un bébé contre la volonté de ses parents
Elaine Wren.
Par l’équipe de LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Texas Right to Life
14 avril 2025 (LifeSiteNews) — Le comité des décès d’un hôpital déterminera si une petite fille dont il s’occupe continuera à recevoir des soins de maintien en vie ou si elle mourra de négligence.
Elaine Wren, née le 10 mars 2025, vit avec un oscillateur, un appareil respiratoire pour nourrissons, dans un hôpital du nord du Texas. Cependant, à l’encontre de la volonté de ses parents, l’hôpital pourrait cesser de lui administrer ce traitement de maintien en vie.
Selon l’organisation Texas Right to Life, les parents du bébé se sont tournés vers elle pour obtenir de l’aide. Ils demandent au public de prier pour « la guérison du bébé Wren » ; pour que « l’hôpital de fournisse la trachéotomie et la sonde d’alimentation nécessaires » pour son transfert dans un autre hôpital ; pour qu’un « autre établissement médical accepte le bébé Wren » et pour que « la famille Wren, qui défend sa cause, reçoive la paix et le discernement ».
Lire la suiteUn projet de loi texan pour clarifier la loi de l’État sur l’avortement
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Aerra Carnicom/Wikimedia Commons
Le sénateur texan Bryan Hughes et le représentant de l’État Charlie Geren ont déposé des projets de loi au Sénat et à la Chambre des représentants du Texas afin de clarifier le langage entourant les exceptions de la loi pro-vie de l’État. Les projets de loi 31 du Sénat et 44 de la Chambre, intitulés « Life of the Mother Act » (Loi sur la vie de la mère), modifieront la formulation actuelle du code de la santé et de la sécurité de l’État.
Actuellement, le code de la santé et de la sécurité du Texas prévoit une « exception permettant un avortement en cas d’urgence médicale ». Cependant, les pro-avortement se sont plaints que cette exception était embrouillée, et certains médecins ont affirmé qu’ils étaient incapables de comprendre comment avoir un jugement éclairé pour déterminer si la grossesse d’une femme doit être interrompue en raison d’une situation d’urgence. Au moins deux articles publiés par ProPublica ont attribué à tort la mort de deux femmes à la loi texane sur les battements cardiaques, ce qui a suscité davantage de controverse et de confusion au sujet de la loi et de ses exceptions.
Lire la suiteUn chirurgien américain obtient gain de cause après avoir dénoncé des « changements de sexe » sur mineurs
Par Clémentine Jallais (reinformation.tv) — Photo : ipuwadol/Adobe Stock
L’arrivée de l’ère Trump aura fait son effet : toutes les charges retenues contre le chirurgien lanceur d’alerte, le Dr Eithan Haim, ont été abandonnées. Le ministère de la Justice du nouveau président a déposé, il y a une semaine, une requête pour rejeter l’affaire qui avait été portée par l’administration Biden. Un petit « miracle » selon le mot de Haim !
Le médecin avait en effet osé faire révéler, par un journaliste d’investigation, qu’un hôpital pour enfants effectuait des traitements de transition de genre sur des mineurs alors qu’il avait affirmé ne plus en faire pour se conformer aux lois de son Etat, le Texas. Le chirurgien avait été rapidement poursuivi par le Département de la justice sous divers chefs d’accusation, tous fallacieux, attaqué par une procureur démocrate dépourvue de tout souci de probité. Car on ne dénonce pas impunément une telle infraction et un tel mensonge quand ils servent l’idéologie du genre : il s’en est fallu de peu pour qu’Eithan Haim perde tout.
Le progressisme n’a que faire de la Justice — mais il sait gangrener les institutions pour promouvoir la sienne.
Lire la suiteLe Texas poursuit un avorteur new-yorkais pour avoir envoyé par la poste des pilules abortives qui ont blessé une femme
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : kwanchaift/Adobe Stock
Le procureur général du Texas, Ken Paxton, a porté plainte jeudi contre un médecin new-yorkais qui a prescrit des pilules abortives à une femme texane par télémédecine — une pratique illégale dans l’État du Texas.
Selon la plainte, le Dr Margaret Daley Carpenter, de New York, a illégalement prescrit des médicaments abortifs, les envoyant par courrier à une jeune femme de 20 ans dans le comté de Collin, au Texas. Mme Carpenter, qui n’est pas autorisée à exercer au Texas, est la fondatrice d’Abortion Coalition for Telemedicine, un groupe qui aide à distribuer la pilule abortive dans les États où le meurtre d’enfants à naître est illégal. Selon Texas Tribune, Carpenter est également membre fondatrice de Hey Jane et travaille avec Aid Access, deux organisations radicalement pro-avortement.
Comme de nombreuses femmes qui prennent la pilule abortive, la femme du Texas a connu des complications, notamment de graves hémorragies après avoir pris les pilules, et a dû recourir à des soins médicaux d’urgence. Elle a demandé de l’aide au père de son enfant qui, apparemment, ignorait qu’elle était enceinte et avait pris les pilules.
Lire la suiteLa famille de Nevaeh Crain déclare que deux hôpitaux sont « responsables de sa mort », par « négligence médicale »
Par Kelli (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Khunatorn/Adobe Stock
Le jour des élections, KFDM 6 News à Beaumont, au Texas, a publié un article reprenant les remarques des parents de Nevaeh Crain, une jeune femme décédée l’année dernière en même temps que son bébé à naître, en raison d’une septicémie qui n’avait pas été correctement diagnostiquée ni traitée à temps.
Les parents de Nevaeh Crain s’étaient initialement adressés à ProPublica, un média libéral qui a admis avoir recherché des décès de femmes dans des États favorables à l’avortement afin de jeter le blâme sur leurs lois pro-vie. Des médecins sont intervenus, affirmant que ce cas, et d’autres couverts par ProPublica, sont des exemples de négligence médicale qui peuvent se produire, et en fait se produisent dans les États, indépendamment de leurs lois relatives à l’avortement.
Cependant, les parents de Crain, Robert et Candace Fails, ont déclaré à la chaîne de télévision locale que l’histoire tragique de leur fille était utilisée pour dépeindre un récit politique inexact. C’est ce qu’a rapporté KFDM :
« ... la famille affirme que la mort de Nevaeh est utilisée à des fins politiques alors qu’elle déclare que les hôpitaux sont à blâmer ».
« Je veux qu’ils s’en prennent aux hôpitaux Baptist et Saint Elizabeth parce qu’ils sont responsables de sa mort », a déclaré M. Fails.
Les hôpitaux dans lesquels Crain s’est rendue au cours des dernières 24 heures de sa vie n’ont pas su la soigner correctement. Selon KFDM, dont l’article semble largement correspondre au rapport de ProPublica (soulignement ajouté) :
Lire la suiteLe jour de sa fête prénatale, Nevaeh s’est réveillée avec un mal de tête, qui a été suivi de nausées, de fièvre, de frissons et de douleurs abdominales. Ses parents affirment qu’elle a passé quatre heures à vomir dans le hall de l’hôpital Baptist et que son bébé n’a pas été évalué malgré ses plaintes de douleurs au ventre.
« Ils disent qu’ils lui ont fait un prélèvement dans la gorge », a déclaré Mme Fails. « Elle avait un streptocoque, ils l’ont renvoyée chez elle avec des antibiotiques ».
Nevaeh est rentrée chez elle, mais vers 3 heures du matin, elle a réveillé sa mère en se plaignant de l’aggravation des douleurs et de la dureté de son abdomen. Cette fois, la famille s’est rendue à l’hôpital CHRISTUS Saint Elizabeth.
« Elle y est restée environ trois ou quatre heures et ils ont dit que le rythme cardiaque du bébé était bon et fort », a déclaré Mme Fails. « Ils ont dit qu’ils allaient la laisser sortir même si elle avait une forte fièvre, une infection et que sa tension artérielle était encore élevée. »
Un collège du Texas contraint un club d’étudiants pro-vie à se dissoudre
Par Laura Nicole (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : KENS 5/YouTube
Un élève d’un collège de San Antonio affirme que ses droits ont été bafoués lorsque l’établissement scolaire a fermé son club pro-vie.
Diego Salinas est en dernière année au collège Sotomayor, près de San Antonio, au Texas. Au début de l’année, il a créé un club pro-vie, une section de Students for Life of America, qui a des sections dans plusieurs écoles et universités à travers le pays. Au début, tout se passait apparemment bien.
« J’ai tout fait correctement, j’ai suivi la procédure », a-t-il déclaré à la chaîne d’information locale KENS5. « Même lorsque je savais que [l’école] faisait des erreurs, j’ai continué à respecter les règles. »
Comme d’autres groupes d’étudiants de l’école, il a lancé un compte Instagram pour le club, l’appelant « Sotomayorforlife » pour le distinguer des autres chapitres pro-vie, un peu comme d’autres clubs de l’école tels que « SoCatsBibleStudy » ou « Soto_tabletop ». Le groupe d’étudiants d’Asie-Pacifique avait également un compte Instagram, « AAPIWildcats », avec le logo de l’école comme image de profil du compte et l’explicatif déclarant qu’il s’agissait du « Sotomayor’s Official AAPI Club » (Club officiel AAPI de Sotomayor).
Contrairement à ces autres clubs, le club de Salinas a été pointé du doigt, apparemment pour ses opinions pro-vie.
Lire la suiteTransition de genre sur mineurs au Texas : un médecin en procès
Par Pauline Mille (reinformation.tv) — Photo : kwanchaift/Adobe Stock
C’est une première : l’Etat du Texas intente un procès à Mme May Lau, professeur associé de pédiatrie à l’Université du Texas et directrice d’une clinique pour adolescentes à Dallas, pour avoir prescrit de la testostérone afin d’assurer leur transition de genre à au moins 21 mineures, des jeunes filles qui n’avaient pas l’âge minimal requis. Le médecin est accusé d’avoir outrepassé la loi SB14 (Senate Bill) signée par le gouverneur Greg Abbott en mai 2023, qui a pris effet le premier septembre 2023 et a été confirmée par la Cour suprême en juin 2024. May Lau est accusée aussi de fausses ordonnances et fausses facturations aux assurances.
Selon le Texas, le médecin a pris un risque pour la santé des mineurs
L’arrêt de renvoi désigne clairement l’enjeu de ce procès : « Au Texas, le débat sur la légalité de certaines procédures médicales expérimentales et dangereuses tendant à la transition ou affirmant la croyance d’un enfant que son identité de genre n’est pas cohérente avec son sexe biologique appartient au passé. Aujourd’hui commence l’application de la loi contre ceux qui la violent. » Selon l’Etat du Texas, le médecin a pris un « risque pour la santé et la sécurité de mineurs » et a en outre « violé la loi en s’engageant dans des actes et des pratiques faux, fallacieux et trompeurs afin de tromper les pharmacies, les agents d’assurances, ou les patients en falsifiant diagnostics, ordonnances et documents d’assurance afin de donner à croire que ses prescriptions de testostérone avaient un autre but que de mener à la transition d’un enfant hors de son sexe biologique ».
Lire la suiteAimez-les tous : les parents de Margo Naranjo ont également besoin de notre soutien pour continuer à s’occuper d’elle
Mike et Cathy Naranjo.
Par Dorothy Cummings McLean — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Mike Naranjo/Facebook
25 juillet 2024 (LifeSiteNews) — Presque tous les matins, je suis réveillée par des coups et des raclements. C’est mon mari en fauteuil roulant qui se rend aux toilettes. Son fauteuil d’intérieur n’est pas conçu pour être autopropulsé ; il le déplace en frappant des pieds contre le sol et en s’accrochant aux cadres de portes. Ce bruit me rappelle que je dois sortir du lit, préparer le petit-déjeuner et le lunch de mon mari et sortir son fauteuil roulant électrique de l’armoire extérieure. Finalement, je devrai me procurer la rampe d’accès portable et l’installer ici et là pour que mon mari puisse se rendre dans la rue et filer au travail. Près de six ans après l’ablation de sa tumeur cérébrale, on lui a découvert des tumeurs de la colonne vertébrale. Comme la tumeur cérébrale, elles ne sont pas malignes. Mais comme la tumeur cérébrale, elles sont mal placées. Et je suis tellement, tellement reconnaissante pour les chocs et les éraflures, car ils signifient que mon mari est en vie et en pleine forme.
La lecture de l’histoire de Margo Naranjo, une jeune femme laissée gravement handicapée par un conducteur imprudent à Nacogdoches, au Texas, le 16 juin 2020, est déchirante, d’autant plus que j’ai commencé l’histoire à l’avant-dernier chapitre : le fiancé de Margo est maintenant fiancé à une autre, et ses parents ont (ou avaient) décidé de mettre fin à sa vie en supprimant la nutrition et l’hydratation assistées médicalement. Mais ce n’est pas ainsi que l’histoire a commencé. Elle a commencé par l’espoir.
Les parents de Margo, Cathy et Mike, ont offert des prières publiques sur les médias sociaux presque tous les jours depuis l’accident de leur fille et ont écrit franchement sur les détails de ses soins. Malheureusement, ils ont maintenant supprimé le compte rendu de ces quatre années, ce qui signifie qu’il sera difficile pour presque tous ceux qui ont vu cette vidéo troublante détaillant les plans pour la mort et les funérailles de Margo, âgée de 28 ans, de connaître toute l’histoire. Je suis reconnaissante d’avoir eu le temps de lire le début.
Lire la suiteL’église St. Ann du Texas annule les funérailles de Margo Naranjo après avoir appris qu’elle n’était pas mourante
Mike (à gauche) et Margo (au centre) Narango.
Par l'équipe de LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : X
25 juillet 2024, Coppell, Texas (LifeSiteNews) — L’église catholique dans laquelle les parents de Margo Naranjo, handicapée, avaient prévu de tenir ses funérailles a annulé la réservation.
LifeSiteNews a appris que le pasteur de la paroisse catholique St. Ann à Coppell, Texas, où les parents de Margo espéraient avoir des funérailles le 2 août, a annulé la cérémonie après avoir découvert que Margo n’était pas réellement en train de mourir, mais que ses parents voulaient lui retirer la nutrition et l’hydratation administrées cliniquement. Un prêtre catholique a contacté la famille pour lui expliquer la doctrine de l’Église, selon laquelle on ne peut refuser de donner à manger et à boire à une personne dans le but de provoquer sa mort.
LifeSiteNews a également appris que la personne qui a effectué la réservation auprès d’un employé du bureau de la paroisse avait indiqué que Margo était en phase terminale.
La paroisse catholique St. Ann a été une communauté importante pour la famille Naranjo, en particulier pour Margo elle-même. En 2020, son père, Mike Naranjo, a partagé sur sa page de médias sociaux Caring Bridge une réflexion que Margo, diplômée du lycée de Coppell, avait écrite sur la paroisse avant l’accident de voiture qui l’a d’abord laissée dans le coma, puis dans un état de conscience minimale. Dans cet essai, Margo décrivait les brimades qu’elle avait subies dans son ancien lycée du Colorado et la dépression qu’elles lui avaient causée. Lorsque sa famille a déménagé au Texas, elle a participé à une retraite organisée par la paroisse catholique St. Ann, qui l’a aidée sur les plans psychologique, social et spirituel. D’abord attirée par la messe à la paroisse parce que ses amis s’y trouvaient, elle a rapidement approfondi sa foi catholique et sa relation avec Jésus-Christ.
La page Caring Bridge de Mike Naranjo n’est plus accessible au grand public.
Lire la suiteUne statue satanique pro-avortement décapitée, les responsables de l’Université de Houston crient au vandalisme
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : 8photo/Freepik
20 juillet 2024, Houston (LifeSiteNews) — Une statue pro-avortement sur le campus de l’Université de Houston, critiquée pour ses détails d’apparence satanique, a été décapitée pendant l’ouragan Beryl, dans ce que les responsables de l’école appellent un acte de vandalisme intentionnel.
Comme LifeSiteNews l’a déjà rapporté, les étudiants pro-vie ont protesté contre la sculpture « Witness » de l’artiste Shahzia Sikander, une imposante figure féminine dorée avec des cheveux tressés en forme de cornes de bélier, des protubérances en forme de tentacules à la place des bras, et un col de dentelle en l’honneur de la défunte Ruth Bader Ginsburg, juge de la Cour Suprême des États-Unis radicalement pro-avortement.
Mme Sikander a expliqué qu’elle voulait que son œuvre reflète « l’esprit infatigable des femmes qui se battent collectivement depuis des générations pour leur droit à disposer de leur propre corps », censé avoir été rejeté par l’annulation de l’arrêt Roe v. Wade. De nombreuses femmes sur le campus ont exprimé le message inverse, une femme ayant subi un avortement l’ayant qualifiée de source de « traumatisme intense » qui interfère avec ses efforts de « chaque jour pour se rétablir et faire face au regret ».
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