La théorie du genre à la maternelle !
Par Nathalie Burckhardt (Avenir de la Culture) — Photo : poplasen/Adobe Stock
Cela se passe aux États-Unis, dans l’État du Tennessee : une enseignante en maternelle, se disant « queer neurodivergent, non-binaire et éducateur sexuel pour le 21e siècle », s’est targuée d’endoctriner des enfants de 3 à 5 ans, leur transmettant ses idées radicales sur le « genre », la « couleur de la peau » et le « consentement ».
Dans une vidéo Tik Tok, « Koe » — c’est son nom — déclare qu’il s’agit de sa première année d’enseignement dans cette classe de maternelle, aux côtés d’« un autre éducateur neurodivergent cher ».
Elle livre une anecdote dégoûtante : « Aujourd’hui à la table du déjeuner, lorsque le sujet du genre et des organes génitaux a été abordé », raconte l’enseignante, « une de nos élèves a levé les yeux et a déclaré : “Eh bien, je suis une fille aujourd’hui, mais je sais que cet enseignant Koe ne l’est pas. Non, il est NB [non binaire].” »
Un autre enseignant présent à la scène « a été choqué dans le bon sens », son visage s’est illuminé et a dit à « Koe » et à son collègue : « ce cours est incroyable et je suis tellement impressionné. »
« Koe » elle-même se dit « impressionnée » par la façon dont les enfants de sa classe se sont imprégnés d’une idéologie radicale du genre…
Le candidat au Congrès du Tennessee, Robby Starbuck, qui a fait du choix de l’école un objectif central de sa campagne, a partagé la vidéo sur Twitter en écrivant : « Ce personnage pourrait être le professeur de votre enfant et vous ne serez même pas au courant de la folie qu’il enseigne, jusqu’à ce que votre enfant vous en parle. »
« Si vous n’êtes pas gêné après avoir vu la vidéo, c’est que vous aussi, vous êtes un fou », sentence M. Starbuck, ajoutant que « le choix de l’école est la question des droits civiques de notre génération. »
Sur le site Web « Koe Creation », on peut voir que l’activiste a déjà donné des conférences promouvant l’acceptation sociale de la théorie du genre et de comportements sexuels radicaux dans des institutions aussi prestigieuses que l’Université de Stanford, UW Medical School et l’Université luthérienne du Pacifique.
La théorie du genre est en train de gagner du terrain outre-Atlantique. Soyons vigilants en ce qui concerne notre vieille Europe, l’ennemi attend le bon moment…
Avortement : projet de loi de veto du père de l’enfant à naître au Tennessee
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Kelly Sikkema/Unsplash
Au Tennessee, État américain, deux hommes politiques ont déposé un projet de loi au Sénat et à la Chambre de l’État. Il permettrait au père d’un enfant à naître de s’opposer à l’avortement de celui-ci. En pratique, je ne pense pas que cela sauverait beaucoup d’enfants à naître, car dans un délai de deux semaines un tribunal prendrait en main l’affaire, ce qui ne garantirait rien pour la survie du principal intéressé ; mais cela pourrait lui donner jusqu’à quatorze jours de sursis ! Et qui sait ? Peut-être la femme aura changé d’avis entre-temps…
Selon LifeSiteNews :
Deux politiciens républicains ont présenté un projet de loi au Tennessee qui permettrait aux pères d’un enfant à naître d’empêcher la mère d’avorter.
Le sénateur Mark Pody et le représentant Jerry Sexton parrainent la législation, M. Pody introduit le projet de loi au sénat de l’État et M. Sexton à la Chambre des représentants du Tennessee. Les projets de loi portent respectivement les noms de SB0494 et HB1079.
Le projet de loi se lit comme suit : « Une personne peut demander à un tribunal compétent en matière de relations domestiques de demander une injonction pour interdire à une femme qui est enceinte de son enfant à naître d’obtenir un avortement. »
Mais pourquoi donc mettent-ils «personne » ? Il n'y a qu'un homme à pouvoir avoir un enfant avec une femme…
LifeSiteNews continue:
L’homme devrait alors déposer une requête auprès du tribunal, et l’audience se tiendrait dans un délai de 14 jours.
Le tribunal pourrait émettre l’injonction empêchant l’avortement, lors d’une audience où les deux parties sont présentes, à condition que certaines conditions soient remplies. Le requérant doit prouver qu’il « est le père biologique de l’enfant à naître du défendeur, et il doit y avoir une probabilité raisonnable que le défendeur cherche à obtenir un avortement avant de donner naissance à l’enfant à naître ».
Les pères canadiens ont perdu le droit légal de défendre leur enfant à naître contre la volonté de la mère, avec le funeste jugement Tremblay c. Daigle de la non moins funeste Cour suprême du Canada.
Trump prêt à châtier les vandales s’attaquant aux statues et aux églises catholiques
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Donald Trump, président des États-Unis promet de punir « avec toute la rigueur qu’impose la loi » les iconoclastes s’attaquant aux monuments ou aux églises catholiques aux États-Unis, affirme un haut responsable de la Maison-Blanche. Le président a par ailleurs signé un décret le 26 juin sanctionnant quiconque s’en prendrait aux monuments ; Trump avait déclaré, « ils s’en prennent également à Jésus-Christ, mais tant que je serai là, cela n’arrivera pas ». Selon Sputnik News :
Donald Trump a promis de punir « avec toute la rigueur qu’impose la loi » ceux qui attaquent des monuments ou églises catholiques aux États-Unis, relate le journal Daily Caller qui cite des propos d’un haut représentant de la Maison-Blanche.
« Le Président Trump se joint à la communauté catholique et exprime sa solidarité en ces temps difficiles. Rassurez-vous, le Président Trump exigera toujours le respect de la loi et de l’ordre dans les communautés américaines et veillera à ce que les criminels à l’origine de ces actes sacrilèges soient poursuivis avec toute la rigueur qu’impose la loi », a informé le responsable.
Et le responsable de rappeler le vandalisme mené contre les monuments catholiques comme cette statue de Jésus décapitée à Miami et celle de Marie brûlée à Boston.
Lire la suite« L’effort en vaut la peine » : un médecin montre un bébé sauvé par la neutralisation de la pilule abortive
Le Dr Brent Boles tenant dans ses mains un nouveau-né, mis au monde par césarienne.
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Un message Facebook d’un médecin pro-vie du Tennessee a été partagé plus de 2 000 fois, et pour une très bonne raison. Avec une seule photo, le Dr Brent Boles a montré à des milliers de personnes que la neutralisation de la pilule abortive fonctionne vraiment.
« Récemment, j’ai opéré cet accouchement, et je partage la photo avec la permission du patient », a-t-il écrit. « Vous voyez, quand une femme prend la pilule abortive, elle le regrette souvent immédiatement. C’est exactement ce qu’a fait cette patiente. »
Sur la photo qu’il a partagée, on peut voir Boles tenir un nouveau-né après une césarienne. Ce bébé, destiné à l’avortement, a été sauvé grâce aux efforts d’un médecin pro-vie dévoué et d’une mère qui a changé d’avis après avoir commis une erreur quasi fatale. [le Dr Boles écrit sur son post Facebook :]
Lire la suiteRécemment, j’ai opéré cet accouchement, et je partage la photo avec la permission du patient. Vous voyez, quand une femme prend la pilule abortive, elle le regrette souvent immédiatement. C’est exactement ce qu’a fait cette patiente. Les fournisseurs d’avortements mentiront et diront aux gens qu’il n’y a aucun moyen de l’inverser. Ce n’est pas vrai. Cette patiente a découvert www.abortionpillreversal.com et je fais partie du groupe de prestataires de soins pro-vie qui sont prêts à essayer d’inverser le poison qu’on leur a donné. Parfois, cela fonctionne et parfois non, mais comme vous pouvez le constater, cela en vaut la peine.
Dylan est né à 6 mois de grossesse et ne pesait que 13oz (369g). Maintenant il fête son premier anniversaire
Dylan Franklin et son père Dedrick Franklin.
Par Kelli (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Dylan Franklin est né à six mois de grossesse et ne pesait que treize onces (369g).
À un âge aussi prématuré, les bébés ont souvent de la difficulté à respirer par eux-mêmes. Mais Dedrick et Paige Franklin de Memphis, dans le Tennessee, se rappellent distinctement de la manière dont leur fils a crié. « C'était le plus faible petit cri. Je ne m'attendais pas à l'entendre crier, mais il a crié » a déclaré sa mère à une chaîne d'informations locale, WREG de Memphis.
Enfant à naître à six mois de grossesse.
Le père de Dylan, Dedrick, a déclaré à WREG : « Beaucoup de gens ne donnent pas une chance à un bébé de sa taille, surtout à cause du fait qu’il était si petit et que les médecins nous ont dit qu'il allait mourir ».
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