Un hôpital texan affame un quadriplégique atteint de COVID-19 malgré les protestations de sa femme
Michael Hickson.
Par LifeSiteNews ― Traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo :
29 juin 2020 (Texas Right for Life) ― Michael Hickson, un patient atteint du COVID-19, âgé de 46 ans, fut privé de nourriture et laissé sans traitement adéquat pour sa maladie au St. David’s South Austin Medical Center. Sa femme, Melissa, dit que l’hôpital refusa de traiter sa maladie en raison de son handicap.
Michael Hickson devint quadriplégique suite à un arrêt cardiaque soudain, qui nécessita la réanimation cardio-pulmonaire, alors qu’il conduisait Melissa au travail en mai 2017. Melissa et leurs cinq enfants sont restés aux côtés de Michael tout au long de sa convalescence. Il retourna à l’hôpital en 2020 après avoir contracté le COVID-19, dégénérant en pneumonie, d’un membre du personnel de sa maison de soins.
Michael était conscient et alerte, mais ne pouvait communiquer verbalement. Il réagissait aux blagues, secouait la tête ; il fronça les lèvres lors d’un appel sur FaceTime lorsque Melissa lui demanda un baiser. Melissa demandait si elle pouvait prier avec son mari et leurs enfants, ce à quoi il répondait « oui » de la tête. Mais le médecin ne tarda pas à dire à Melissa que son mari serait placé à l’hospice contre sa volonté. Dans une conversation enregistrée, le médecin de St. David déclara à Melissa que son mari ne serait pas soigné à cause de son handicap, malgré son souhait.
Le médecin de St. David : « Donc, à partir de maintenant, sa qualité de vie — il n’en a pas beaucoup ».
Melissa : « Que voulez-vous dire ? Parce qu’il est paralysé à cause d’une lésion cérébrale, il n’a pas de qualité de vie ? »
Le médecin de St. David : « Exact. »
Lire la suiteUn Canadien paralytique mort par «suicide assisté», le gouvernement lui refusait notamment les soins à domicile
Saen Tagert.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo :
Sean Tagert était atteint de sclérose latérale amyotrophique et ne pouvait plus bouger, ne communiquant que par le biais d’un système informatique de suivi oculaire. Il désirait recevoir les traitements dont il avait besoin 24 heures sur 24 à la maison, ce qui lui a été refusé, ne pouvant par conséquent recevoir ces soins que dans un centre. M. Tagert voulait rester dans sa maison pour pouvoir être auprès de son fils de onze ans, considérant l’offre des services de santé comme une « condamnation à mort ». Et maintenant, il a décédé par suicide assisté. Extrait de LifeSiteNews :
Lire la suiteUn Canadien atteint de sclérose latérale amyotrophique a choisi d’être euthanasié après que le gouvernement provincial eût refusé de financer les soins 24 heures sur 24 dont il avait besoin pour rester à la maison avec son fils de 11 ans.
Sean Tagert, âgé de 41 ans, a été tué par suicide médicalement assisté à son domicile de Powell River le 7 août, a rapporté CBC.
« Lorsque vous refusez les soins nécessaires, il arrive parfois qu’une personne, désespérée, demande l’euthanasie », a déclaré Alex Schadenberg, directeur général de la Coalition pour la prévention de l’euthanasie.
« J’avais prédit que cela arriverait et, malheureusement, c’est maintenant une réalité », a-t-il déclaré à LifeSiteNews.
M. Tagert, qui s’était vu diagnostiquer de la sclérose latérale amyotrophique (SLA) en 2013, a déclaré à la CBC en septembre dernier que le Vancouver Coastal Health avait accepté de financer des soins à domicile de 20 heures par jour.
Mais l’ancien mécanicien de machinerie lourde, qui avait épuisé ses économies à ce moment-là, avait besoin de soins 24 heures sur 24, en particulier pour le retrait des fluides s’amassant dans sa trachéotomie, et être retourné toutes les demi-heures, selon la CBC.
Vincent Lambert : une vie qui aurait pu être améliorée
Vincent Lambert.
Par le Dr Jean-Pierre Dickès (Medias-Presse.info) — Photo :
Bien que le titre du communiqué puisse induire en erreur sur l’état actuel de Vincent Lambert, il n’est pas encore mort, mais mourant. Vincent Lambert n’est pas en sédation profonde et doit souffrir atrocement de cette mise à mort par faim et déshydratation, car comme le disent plusieurs membres de sa famille, d’après le Salon Beige :
« Vincent n’a pas de sédation profonde. Nous l’avons entendu gémir plusieurs fois. Nous en avons le cœur retourné. » Mots des parents, frère et sœur
A. H.
Ils ont fini par le tuer
Communiqué de l’Association catholique des infirmières et Médecins, 09/07/2019. Reproduction libre.
L’exécution de Vincent Lambert officialise le concept de « vie ne valant pas la peine d’être vécue ». Hitler avait chargé le Dr Brandt du programme d’élimination des handicapés et des incurables ; lequel ira jusqu’à la mise à mort des personnes hospitalisées depuis plus de trois mois. Ce qui est arrivé à Vincent ouvre une porte que seul un miracle réussira à refermer. La conception utilitariste de la vie ne saurait faire dépenser de l’argent pour entretenir l’existence des plus vulnérables d’entre nous. Voilà qui nous mène droit à l’euthanasie.
Pourtant médicalement parlant le cas de Vincent Lambert pose de multiples questions. Il a été présenté comme étant dans un état végétatif. Un légume est-il capable de pleurer, d’ouvrir les yeux quand on l’appelle ? Est-il inconscient comme on nous le raconte ? Or même si c’était le cas, il a été découvert que 15 % des personnes dites en état végétatives ou inconscientes, réalisent très bien ce qui se passe autour d’elles. (The New England Journal of Medicine du 27 juin 2019.) L’imagerie médicale montre que si ces personnes sont incapables de bouger, elles peuvent tout à fait comprendre ce qui se dit autour d’elles. D’où les pleurs de Vincent quand il a compris qu’on allait mettre fin à ses jours. Maître Jérôme Triomphe me faisait remarquer que Vincent était plus ou moins réactif selon les moments et que les examens pratiqués notamment à Liège l’avaient été à un moment où il était très fatigué. Il convenait de faire ces tests d’imagerie médicale de manière répétée, si possible dans la même journée.
Lire la suiteQui veut la mort de Vincent Lambert ?
Vincent Lambert.
Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Signez la Pétition : Monsieur le Président, protégez Vincent Lambert
Vincent Lambert, handicapé tétraplégique, en état pauci-relationnel, incapable de parler bien que pouvant émettre des sons, dans cet état après un accident en 2008, encourt depuis 2013 les tentatives, de le faire mourir par déshydratation et de dénutrition (ou seulement le second), d'une partie de sa famille et de l'hôpital qui l'a en charge, et ce, avec l'appui de la presse et de divers niveaux de l'État français, dont le ministère de la Santé et le feu vert de la Cour européenne des droits de l'homme, à trois reprises données.
Vincent Lambert est pour ainsi dire séquestré dans l'unité de soins palliatifs du CHU de Reims, où il ne reçoit pas des soins appropriés vu qu'il n'est pas en fin de vie et qu'il devrait être dans une unité de soins spécialisée dans les cas comme le sien.
Considérons enfin que M. Lambert souffre de sa détention dans un lieu inapproprié dont il ne pourra pas s'échapper de sitôt, étant donné que le Dr Sanchez à qui il a été confié, et duquel son sort dépend en partie, veut le faire mourir « dans la dignité », ne laissant pas sa victime s'en aller dans une autre unité de soins de peur de perdre tout pouvoir sur elle. Notons au passage que Vincent Lambert a déjà survécu à 31 jours de privation de nutriments lors d'une tentative pour le faire mourir.
Dans les derniers développements de l'affaire Vincent Lambert, le ministère de la Santé s'est pourvu en cassation pour faire juger la décision de la Cour d'appel de Paris qui avait ordonné la reprise de l'alimentation et de l'hydratation de M. Lambert, celles-ci venant alors de lui être retirées. La Cour de cassation jugera-t-elle le 26 juin en faveur de l'exécution de M. Lambert, ou de remettre son sort au Comité international des droits des personnes handicapées de l'ONU qui avait demandé à examiner son cas ?
Dans une vidéo ci-dessous,émise le 1er juin date à laquelle le ministère de la Santé s'est pourvu en cassation, Marion Sigaut, historienne, écrivaine et conférencière française résume la situation où se trouve M. Lambert et expose les divers intérêts et groupes qui tiennent à sa mort :
Acharnement contre Vincent Lambert : Le ministère de la Santé veut remettre en question la décision qui l’a sauvé
Vincent Lambert, le dimanche 19 mai, veille de son exécution prévue par privation d'aliments et d'hydratation.
Par Pierre-Alain Depauw (Medias-Presse.info) ― Photo :
Signez la pétition : Monsieur le Président, protégez Vincent Lambert
C’est une procédure exceptionnelle qui témoigne de l’acharnement de ce gouvernement pour imposer l’euthanasie de Vincent Lambert !
Le gouvernement s’oppose à la décision de la cour d’appel de Paris qui avait ordonné la reprise des soins et se pourvoit en cassation dans l’affaire Vincent Lambert, annonce le ministère de la Santé ce vendredi.
« Une déclaration de pourvoi a été déposée aujourd’hui en fin de matinée auprès de la Cour de cassation pour le compte des ministères parties », a indiqué le ministère de la Santé.
Ne cessons pas de prier: Vincent Lambert ne va pas bien
Par Pierre Alain Depauw (Medias-Presse.Info)
Signez la Pétition : Monsieur le Président, protégez Vincent Lambert
Chers amis,
Depuis dimanche, informations et émotions se succédant jusque très tard dans la soirée, nous avons préféré attendre des explications juridiques.
Dans quel état Vincent est-il après ce douloureux lundi ?
Quel a été le rouage judiciaire qui a semblé débloquer la situation ?
Pour combien de temps ?
Peut-on déboucher le champagne ?
Tout d’abord, Vincent !
L’hydratation a été replacée mardi matin. La sédation cessée nous ne savons quand.
Mais un être humain n’étant pas une machine sur laquelle il suffit de presser sur ON pour que ça reparte, le problème était de savoir dans quel état Vincent se trouvait après avoir subi tout cela et les stress induits par le contexte.
Les nouvelles ne sont pas bonnes : ce mercredi soir Vincent a les urines rougies (c.-à-d. ensanglantées) et il a été placé sous morphine.
Mais que s’est-il passé pour que l’euthanasie soit interrompue ?
Dimanche, malgré les appels à l’Elysée, la forte mobilisation devant l’hôpital de Reims, les manifestations à Paris et Lyon, la réponse d’Emmanuel Macron à 17 h sur sa page Facebook ne résolvaient rien.
La situation à vue humaine était totalement bouchée.
Lundi 20 mai au matin, alors que le Dr Sanchez avait dit « dans la semaine du 20 mai », l’hôpital commençait la sédation, comme nous l’avions tous prévu.
Le désespoir gagnait les rangs… Dieu n’allait-Il pas nous aider ?
A 23 h, le fil d’actualités titrait dans les médias : la Cour d’appel de Paris oblige l’hôpital de Reims à interrompre la sédation et reprendre alimentation et hydratation. Victoire ou demi-finale ?
Lire la suiteUn médecin : la durée de vie dans un service de soins palliatifs est de 15 jours, Vincent Lambert y est depuis sept ans
Vincent Lambert.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo :
Signez la Pétition : Monsieur le Président, protégez Vincent Lambert
Le Dr Vincent Brun, médecin-chef de la clinique Fontfroide à Montpellier qui comprend une unité de douze places pour les personnes en état dit végétatif chronique, il connaît donc le terrain, a signé conjointement avec 19 autres médecins une lettre s’opposant à l’euthanasie du tétraplégique en état paucirelationnel Vincent Lambert, dont la vie est encore en suspens, dépendant du bon vouloir du gouvernement français, du Comité international pour les droits des personnes handicapées, du Dr Sanchez (son bourreau) et de sa femme Rachel Lambert, (son tuteur légal), celle-ci étant pour le retrait de l’alimentation et de l’hydratation de M. Lambert son époux. Le Dr Vincent Brun explique sur Midi Libre (trouvé via Le Salon beige) :
Vincent Lambert n’est pas en fin de vie. Il est dans une situation qui relève du handicap lourd. Mais telle que la loi [Lionetti] est rédigée, elle peut s’appliquer à des situations qui ne relèvent pas de la fin de vie.
Quand on n’est pas dans une situation de fin de vie, ce n’est pas aux médecins de se prononcer. Je n’ai jamais entendu un médecin dire qu’une personne « mériterait » de vivre et une autre non, en fonction de son handicap. Le débat est philosophique, sociétal, éthique, religieux, mais pas médical.
[…]
Le CHU de Reims présente son unité comme relevant des soins palliatifs et de la prise en charge des personnes cérébro-lésées. Mais la description de l’unité correspond à une activité de soins palliatifs. C’est très différent : on ne s’improvise pas médecins de soins palliatifs, pas plus que médecin de rééducation. Les deux prises en charge sont très différentes.
Un patient cérébro-lésé doit avoir des soins de kinésithérapie, d’ergothérapie, de rééducation, d’orthophonie, éventuellement une prise en charge psychologique… On reçoit des demandes de prise en charge très régulièrement, sans pouvoir les satisfaire.
Je rappelle que la durée de vie dans un service de soins palliatifs est de 15 jours, Vincent Lambert y est depuis sept ans. Peut-être que ça vaut le coup de tenter de le mettre dans un service adapté à sa situation.
[…] la majorité des personnes ne savent pas ce qu’est un état végétatif chronique. Qu’est-ce qu’on sait de la vie de ces personnes ? On est parfois surpris. 40 % des personnes dites en état végétatif ne le sont pas, l’état de conscience n’est peut-être pas observable. Ils sont peut-être moins « légumes » qu’on ne le dit. Ce terme de végétatif est abominable…
Exécution et sursis pour Vincent Lambert
Vincent Lambert lors de la visite de ses parents, le 19 mai 2019.
Signez la pétition : Monsieur le Président, protégez Vincent Lambert
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) ― Image : capture d'écran
Le Français Vincent Lambert, tétraplégique depuis 2008, avait été condamné à la mort par la faim et la déshydratation par Vincent Sanchez, personnage qui porte mal son titre de médecin, avec la ratification de la République. Le retrait de l’alimentation et de l’hydratation de M. Lambert avait donc commencé aujourd’hui, ce 20 mai 2019 (jour de la fête de Dollard des Ormeaux pour les Canadiens-Français). Ses parents qui avaient pu le voir, en larmes, la veille n’avaient plus le droit de le voir ce matin.
Mais coup de théâtre ! La Cour d’appel de Paris a ordonné ce soir la remise en place de l’alimentation et de l’hydratation de Vincent Lambert, afin de respecter les mesures provisoires lancées par le Comité international des droits des personnes handicapés (CIDPH), qui enjoignait à la France de maintenir les deux éléments de base à la vie, d’après Le Monde.
Ceci, si l’État ne se lance pas dans une autre tentative téméraire d’euthanasie, devrait constituer un répit de plusieurs mois pour M. Vincent, en attendant que le CIDPH remette son jugement. ― A. H.
Exclusif : un entretien avec le cardinal Raymond Burke sur Vincent Lambert et l’« état végétatif »
Cardinal Raymond Burke.
Le lundi 20 mai au matin, le cardinal Raymond Burke m’a accordé un entretien à propos la situation
de Vincent Lambert, dont il avait été annoncé par le Dr Vincent Sanchez du CHU de Reims que sa sonde d'alimentation devait être retirée ce jour-là. Entre-temps, nous avons appris que Vincent a reçu une sédation profonde et que sa sonde d'alimentation a été retirée sans que sa famille n’en soit informée et sans que celle-ci ait seulement pu faire ses adieux. Une vidéo publiée sur internet par Valeurs actuelles montre Vincent, dimanche soir, pleurant tandis que sa mère le console.
Il a beaucoup été question de l’état prétendument « végétatif » de Vincent et de sa supposée volonté de mourir. Au-delà de cette polémique, son « affaire » concerne des questions bien plus profondes encore sur la fin de la vie, questions évacuées, niées par la loi positive française puisque la loi Leonetti, dès 2005 et plus encore en 2016 dans sa version remaniée, contredit l’interdiction fondamentale de tuer l’innocent, qui vaut pour tout homme, de tout temps, de toute culture, parce que c’est la loi naturelle conforme à son bien.
Lire la suiteUne centaine de juristes en appellent aux Français pour sauver Vincent Lambert
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Signez la pétition : Monsieur le Président, protégez Vincent Lambert
Presque cent juristes, notaires, avocats, professeurs et universitaires en droit, et autres ont signé une lettre ouverte s’adressant aux Français, leur demandant de ne pas rester indifférents devant l'exécution par privation d’alimentation et d’hydratation de Vincent Lambert qui doit commencer ce lundi, 20 mai prochain. Extrait de la lettre, qui peut être lue dans son intégralité sur Valeurs Actuelles :
Si nous ne faisons rien d’ici au 20 mai 2019, Vincent Lambert va mourir. Abandonné par ses soignants qui ont décidé « collégialement » de mettre fin aux soins, à l’hydratation et à l’alimentation d’une personne qui n’est pas en fin de vie, Vincent va mourir de faim, de soif et d’absence de soins élémentaires, sous le regard froid d’un corps médical qui a sciemment décidé de violer son serment de ne pas nuire à son prochain. Vincent Lambert n’est pas en fin de vie, il n’est pas atteint d’une maladie incurable, il est dans cette situation terrible d’une dépendance absolue après un grave accident, celle d’un être humain qui peut continuer à vivre simplement en recevant les soins auxquels toute personne a droit (lesquels devraient inclure le fait d’être nourri et hydraté, qualifiés hélas par la loi de « traitement »).
Une décision de mort, inhumaine et injustifiable
Le médecin du Centre hospitalier universitaire de Reims a pris cette décision, ultime décision après de nombreux recours exercés par une partie de la famille de Vincent Lambert et finalement rejetés par les juridictions françaises et la Cour européenne des droits de l’homme […]
Accepter cette décision, pour la société française, signifierait que l’on a perdu, chez nos concitoyens, le sens de la valeur infinie de la vie […] C’est aux Français que nous nous adressons pour qu’ils demandent fermement au ministre de la Santé et aux responsables du Centre hospitalier de Reims de ne pas commettre l’irréparable.
Une solution est possible : déplacer Vincent Lambert dans une structure plus adaptée
[…] Le Comité international des droits des personnes handicapées de l’ONU (CIDPH) a rendu le vendredi 3 mai 2019 une décision de « mesures provisoires » demandant à l’État français de ne pas mettre à exécution la décision d’arrêt d’alimentation et d’hydratation. […]
Une solution est possible et l’on voudrait comprendre pourquoi elle n’a pas été mise en œuvre : déplacer Vincent Lambert dans une structure plus adaptée, comme il en existe plusieurs dans notre pays, afin de redonner à Vincent une perspective de vie que personne n’est en droit de lui refuser. Ce serait un soulagement pour tous : pour Vincent […] dont l’horizon est nettement rétréci par une véritable incarcération hospitalière […]
Aux autorités publiques et aux médecins : respectez la vie de Vincent !
Chaque Français doit, en conscience, défendre la vie de Vincent Lambert car, en Vincent, c’est notre humanité qui est souffrante et qui nous ressemble. C’est parce que la vie est diminuée qu’il faut d’autant plus la respecter. Que chacun d’entre nous adresse cette demande aux autorités publiques et aux médecins : respectez la vie de Vincent Lambert et confiez-le à ceux qui veulent lui conserver sa dignité d’homme.
Signez la pétition : Monsieur le Président, protégez Vincent Lambert
Si rien n’arrête le Dr Sanchez, Vincent Lambert sera euthanasié
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Signez la pétition : Monsieur le Président, protégez Vincent Lambert
Vincent Lambert, cet handicapé tétraplégique aux moyens de communication très limités risque bien cette fois-ci, après de nombreuses années de combats judiciaires qui se sont déroulés autour de lui pour le sauver, de se faire euthanasier par privation d’alimentation et d’hydratation, le retrait de ces éléments de base pour la vie devant être retirés le 20 mai, selon la volonté de l’opiniâtre Dr Sanchez. Les avocats des parents, qui se battent énergiquement pour la vie de leur fils, en ont maintenant appelé au Défenseur des droits (autorité française). Extrait de l’AFP :
Les avocats des parents de Vincent Lambert, tétraplégique en état végétatif devenu le symbole du débat sur la fin de vie [remarquez que Vincent Lambert est simplement handicapé et non en fin de vie] en France, ont annoncé à l’AFP avoir saisi lundi le Défenseur des droits après l’annonce à la famille de l’interruption des soins à partir du 20 mai.
Les avocats Me Jean Paillot et Me Jérôme Triomphe attendent qu’il intervienne pour faire appliquer les mesures provisoires demandées par le Comité international des droits des personnes handicapées de l’ONU (CIDPH), enjoignant la France de suspendre toute décision d’arrêt des soins de Vincent Lambert avant une instruction sur le fond.
Les parents de Vincent Lambert projettent de se poster devant le lieu de l’exécution de leur fils, d’après Gènéthique :
« Il faut que la France respecte la convention qu’elle a signée, elle doit le faire pour Vincent mais aussi pour tous les autres handicapés ». Malgré le dernier avis du Comité international de protection des droits des personnes handicapées de l’ONU (CIDPH), à nouveau, le médecin de Vincent Lambert envisage de mettre fin à sa vie. Sa mère a annoncé qu’elle serait dimanche prochain devant l’hôpital de Reims dès 15 h pour « supplier » le personnel de ne pas euthanasier son fils.
Et cet endroit est bien gardé par un déploiement de militaires, selon Medias-Presse.Info qui rapporte un communiqué des avocats des parents de Vincent Lambert :
Dès cette annonce du docteur SANCHEZ, la famille a découvert la mise en place par le CHU de REIMS d’un plan Vigipirate contre on ne sait quels terroristes.