Une mère, alors agée de 18 ans, choisit de garder son fils après avoir découvert la vérité sur l’avortement
Par Angelina Davis de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
J’avais 18 ans lorsque j’ai conçu mon précieux Benjamin et 19 lorsqu’il est né. Mes plans étaient de poursuivre mes études postsecondaires au sein d’un programme scolaire sport-étude en golf en 2006, mais j’ai été naïve et rebelle… Cela peut paraître stupide, mais je n’ai jamais considéré d’avoir la chance de me retrouver enceinte.
Ma relation avec mon père en a beaucoup souffert. Les rêves qu’il se faisait pour moi en ont pris un coup et j’ai pu ressentir sa déception. Son père biologique ne voulait rien savoir de cet enfant et de mon père. J’avais besoin du soutien et de la protection d’un homme et j’étais donc perdue.
Me voilà avec toutes les raisons auxquelles les gens font appel lorsqu’ils considèrent l’avortement : je n’avais pas d’argent, ma relation avec mon père était souffrante, le père de l’enfant voulait que j’avorte et je devais abandonner l’idée de faire partie de la ligue féminine de golf ou encore de pouvoir continuer mes études gratuitement. Je suis aussi la plus jeune d’une famille de trois enfants et cela m’a rendue plutôt égocentrique et indépendante. Je n’avais même jamais porté un bébé dans mes bras et je n’avais pas d’instinct maternel.
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Par Claire Culwell de Life Site News - Traduit par Campagne Québec Vie
29 avril 2014 (LifeSiteNews)
Cher Dr. Patel,
C’est avec beaucoup de tristesse que je vous écris aujourd’hui. J’ai récemment appris votre existence en voyant votre clinique d’avortement passer aux nouvelles à cause des règlements qu’elle aurait entravés. J’ai finalement découvert que je partageais avec vous un lien plus étroit que ce que je croyais initialement.
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Témoignage de Gianna Jessen - traduit par Campagne Québec-Vie
Il y a 38 ans, Gianna Jessen a survécu à un avortement. Maintenant, après avoir témoigné devant le Congrès la semaine dernière, plus de 2.1 millions de personnes ont entendu son histoire dans une vidéo qui est devenue virale. Voici son témoignage:
«Bonjour,
Mon nom est Gianna Jessen et j'aimerais vous remercier pour l'opportunité de témoigner ici aujourd'hui. Ma mère biologique était enceinte de sept mois et demi lorsqu'elle s'est présentée à la clinique Planned Parenthood où on lui a suggéré d'avoir un avortement salin de dernier trimestre.
Cette méthode d'avortement brûle le bébé à l'intérieur et à l'extérieur, aveuglant et étouffant l'enfant qui est ensuite expulsé mort, habituellement dans les 24 heures.
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Par Susan Michelle Tyrell de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Selon la loi en vigueur au Texas, le bébé n’était pas assez vieux et ne pesait pas suffisamment pour nécessiter un acte de décès, mais il a tout de même eu un enterrement convenable.
Le fils d’Allison était rendu à treize semaines et quatre jours quand elle l’a perdu. Le 12 septembre, son époux Daniel, son fils Matthew âgé de deux ans et demi et le reste de leur famille ont déposé Nathan Isaiah dans son cercueil afin qu’il repose en paix.
L’histoire de Nathan en est une de vie et de mort, mais où ultimement la vie a triomphé. Allison et Daniel, tous les deux âgés de vingt-huit ans, se sont réjouis de cette nouvelle grossesse et ont attendu avec impatience le 28 février 2014, date prévue de l’accouchement. À la suite d’une fausse-couche environ un an après le premier anniversaire de Matthew, les deux savaient qu’ils voulaient d’autres enfants, et ce, malgré la douleur ressentie par la perte du petit frère de Matthew une journée seulement après avoir découvert la grossesse. « Je n’ai même pas eu le temps de m’habituer au fait d’être enceinte que déjà, le sang et la douleur venaient inonder notre joyeuse réalité avec cette perte », a dit Allison.
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Par Sarah Terzo de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
En 2008, l'Institut de recherche sur la population a publié le témoignage d'une ex- directrice médicale d'une clinique d'avortement sous le nom de Zlata. Bien qu'elle était très engagée pour l'avortement et qu'elle ait travaillé six ans à la clinique, Zlata se considère maintenant pro-vie. Elle raconte son histoire :
«Je me souviens, une fois en particulier, avoir aidé dans la salle d'opération à la clinique où j'ai travaillé pendant six ans comme assistante médicale. Je me tenais derrière le docteur et je pouvais tout voir pendant qu'il pratiquait un avortement sur une femme enceinte de 20-22 semaines.
A 20 semaines, le bébé est complètement développé. Il ou elle pèse environ 9 onces et mesure à peu près 10 pouces de longueur. Elle a des doigts, des orteils, un visage et tous les organes d'un bébé nouveau-né incluant, si c'est une fille, son utérus et ses ovaires propres. Ses cordes vocales sont assez développées pour déclencher des mimiques de pleurs. Elle est capable de goûter, et au cours d'une expérience, on a démontré que des bébés de son âge buvaient moins de liquide amniotique lorsqu'on y ajoutait de l'huile de pavot, ce qui le rendait plus amer. Elle entend depuis la 14e semaine après la conception; elle répond au toucher et peut ressentir la douleur. Vous pouvez voir une vidéo d'une échographie en 4D d'un bébé de 21 semaines ici. Dans cette échographie, vous pouvez clairement voir le visage de l'enfant.
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Par Rebekah O'Brien de LifeSiteNews - Traduit par Campagne Québec-Vie
Micah était âgée de dix-sept ans lorsqu’elle a découvert qu’elle était enceinte. Mais l’avortement n’était tout simplement pas une option pour elle et son petit ami, Kyle.
« Nous n’étions pas prêts du tout, mais nous sentions tous les deux que nous devions assumer l’entière responsabilité du bébé qui était en train de croître à l’intérieur de moi », a-t-elle dit à LifeSiteNews.
Bien que ne se sentant pas prêt à élever un enfant, le couple commença bientôt à ressentir un enthousiasme croissant pour le bébé grandissant à l’intérieur de Micah. Toutefois, leur enthousiasme se transforma en peur et chagrin lorsque lors d’une échographie à 18 semaines de grossesse, ils découvrirent que le bébé que portait Micah souffrait d’une condition appelée anencéphalie. Cela signifiait que leur fille n’avait pas développé une grande partie de son cerveau, de son crâne, et de son cuir chevelu.
Les docteurs lui dirent que le bébé ne survivrait pas à l’extérieur du ventre.
Le docteur de Micah lui suggéra immédiatement l’avortement. Et, bien que Micah et Kyle aient refusé dans un premier temps, Micah a avoué que pendant une semaine après le diagnostic, avorter semblait en réalité être l’option la plus attrayante. Elle craignait qu’il serait plus douloureux de mener sa grossesse à terme et donner naissance à un enfant mort-né que de simplement « mettre fin à la grossesse » à 18 semaines.
« Je portais un bébé qui ne serait probablement pas né vivant. Ma fille ne pouvait pas survivre à l’extérieur du refuge que j’avais créé pour elle », a-t-elle dit. « Il a fallu des mois pour que j’accepte ma décision de porter la grossesse à terme. J’étais constamment confrontée à des questions. Pourquoi? Comment? »
Pourtant, Micah commença à comprendre les réponses à ces douloureuses et difficiles questions.
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Lianna Rebolledo, 35 ans, dit qu'elle se rend compte maintenant que sa fille lui a sauvé la vie et l'a aidée à trouver la guérison dont elle avait désespérément besoin. |
Par Pete Baklinski de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Lianna Rebolledo avait seulement douze ans et se promenait près de sa maison à Mexico City lorsqu'elle fut soudainement kidnappée par deux hommes et brutalement violée. Les attaquants laissèrent la jeune fille à demi-morte, le visage et le cou horriblement défigurés. Ce que les agresseurs ne savaient pas, c'est qu'ils ont aussi laissé Lianna avec le début d'une nouvelle vie en elle.
«C'était très violent. Honnêtement, j'ai pensé qu'ils allaient me tuer», a-t-elle déclaré à LifeSiteNews dans une interview vidéo à Washington, D.C. la semaine dernière.
Lire la suiteJe n’étais pas prête. Je n’avais que 18 ans. Mais j'ai choisi de t’aimer même si c’était difficile.
Par KRISTEN NEDERVELD - traduit par Campagne Québec-Vie
L’idée de ton existence me terrifiait. Je n’étais pas prête. Je n’avais que 18 ans. Le moment de ta conception n’était pas affectueux. Je me suis assise et j’ai réalisé que ma vie allait changer pour toujours.
Alors que je réfléchissais à la situation, ma tête était pleine de peur et de pensées égoïstes. Je ne voulais pas que ma vie change. Ce n’était pas dans les plans. C’était injuste. Je suis tombée à genoux. C’est à ce moment que Dieu a décidé de me libérer de mon égoïsme. De ma peur. Tout ne tournait plus autour de moi. Tout tournait autour de toi. Je savais que j’aurais à laisser tomber ce que je voulais pour te donner une chance.
J’avais de la difficulté à décider ce que je devais faire, mais je savais au plus profond de mon cœur et de mon âme que tu étais tout aussi vivant que moi. Tu étais effectivement un petit enfant précieux. Un battement de cœur. Un vrai battement de cœur vivant. Tu faisais partie de moi. Et je t’aimais. Tu méritais une chance de vivre, tout comme celle que j’avais reçue. Tu méritais d’être aimé.
Te laisser aller ne rendrait pas ce qui m’arrive plus facile. Ou moins douloureux. Non, j’aurais eu à vivre avec ce regret le reste de ma vie. Parce que peu importe les circonstances de ta conception, tu étais mon enfant. Dieu avait donné la vie à ce tout petit enfant que tu étais. Et y mettre fin n’aurait rien réglé, n’aurait pas effacé ce qui m’était arrivé.
Plusieurs mois plus tard, j’ai fait une fausse-couche. Je t’ai perdu. Et ça m’a brisée. J’avais perdu la chose que je pensais ne pas vouloir.
Pendant que je pleurais la perte de ta précieuse vie, ça m’a frappée. J’étais incroyablement heureuse de ne pas avoir fait ce choix moi-même. J’ai choisi de t’aimer même si c’était difficile. Dieu avait choisi la vie et j’ai choisi d’honorer sa décision jusqu’à ce qu’il soit temps pour Lui de te ramener à la maison.
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Mes amis, la vie appartient à Dieu. Pas à nous. Peu importe les circonstances. Plusieurs m’ont dit que, compte tenu des miennes, j’avais le droit… de choisir. Aussi simple que cela. Ce droit ne m’appartient pas. Mon corps et mon choix n’étaient pas plus importants que ce précieux bébé qu’il m’a été donné de porter ces quelques mois avant la fausse-couche. Ce n’était pas à moi de décider si ce petit cœur continuerait de battre ou non.
Je regarde les deux précieux enfants que le Seigneur m’a permis d’élever et d’aimer. Je ferais n’importe quoi. Absolument n’importe quoi pour les protéger. Je mourrais pour eux. Sans aucune hésitation. Jamais je ne leur ferais du mal.
~Kristen
Le jour où je suis morte...avant de donner naissance à ma fille
Par Melanie Pritchard de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Quand j'étais enceinte de mon premier enfant, j'étais à la recherche de docteurs et d'hôpitaux adéquats, en sachant que certains d'entre eux considéraient que la vie des enfants à naître n'était pas aussi précieuse que celle de leur mère. J'ai intentionnellement fait un détour de 25 minutes sur mon chemin quotidien pour consulter un service d'obstétrique et de gynécologie pro-vie pour accoucher dans un hôpital qui, je le savais, accordait une estime importante à la vie dès la conception.
Quand je me suis réveillée de l'accouchement qui avait failli me coûter la vie, j'ai réalisé l'importance que cette décision avait eue dans ma vie, et dans celle de mon enfant.
Le 28 juillet 2010, j'ai accouché de ma fille à la maternité d'un hôpital, pour ensuite me réveiller quelques jours plus tard au service de soins intensifs d'un autre hôpital à l'autre bout de la ville, sans savoir comment j'y avais atterri. Choquée, je me suis assise et ai écouté ma famille me raconter ce qui s'était passé ces trois derniers jours. J'ai eu beau me creuser la tête, je n'en avais strictement aucun souvenir.
Lire la suiteTémoignage Trisomie 21 : « Ça c'est David »
Publié dans le journal Le Soleil, le témoignage de Lucille et son mari qui ont donné la vie et élevé leur fils David, trisomique 21, jusqu'à l'âge adulte.
Au point de départ il y a eu l'inconnu, la crainte, l'opposition de l'entourage, les épreuves puis, après des années, la joie, la paix et la satisfaction qui proviennent de la conscience d'avoir rempli leur rôle en tant que parents.
En ayant donné leur vie pour leur fils, ils ont permis à une jeune personne déficiente de devenir un homme qui connaît l'amour et la joie de vivre et qui est maintenant capable de donner à son tour à ceux qu'il côtoie cet amour qu'il porte en lui.
C'est le grand mérite d'une véritable culture de la vie, c'est que personne ne gagne au détriment d'un autre.
C'est à travers le don même que l'on fait de soi-même que nous finissons par connaître le plus grand bonheur. Si nous pouvions en être vraiment persuadés, cela nous donnerait la force de faire, chacun dans nos propres vies, les choix qui peuvent vraiment changer le monde.