Les regrets et la souffrance des pères après l’avortement racontés dans la grande presse… au Royaume-Uni
Par Jeanne Smits (Reinformation.tv)
Le tabloïde britannique Daily Mail publie un long article sur les regrets et la souffrance des pères après l’avortement. Sujet largement tabou au nom du politiquement correct qui impose la reconnaissance de l’avortement comme « un droit des femmes », il fait ainsi son entrée dans un journal de la grande presse du Royaume-Uni, qui vise un public populaire et qui y réussit d’ailleurs fort bien, puisqu’il annonce aujourd’hui quelques 2 millions d’exemplaires vendus quotidiennement dans les pays anglophones.
C’est à travers quelques exemples poignants que le Daily Mail se fait l’écho d’associations de soutien aux personnes qui regrettent leur « IVG » : Rachel’s Vineyard, notamment, organisme catholique qui aide de nombreuses femmes à prendre conscience de la réalité de l’avortement et à rechercher le pardon à travers cette vérité qui seule rend libre. L’association dispose d’antennes à travers le monde et elle s’est tôt ouverte aux hommes qui souffrent aussi du syndrome traumatique post-avortement. Chez Abortion Recovery Care, également sollicité par les journalistes qui ont réalisé l’enquête, on estime qu’aujourd’hui une personne sur 10 venant trouver un soutien et une aide à la suite d’un avortement est un homme.
Lire la suite
La souffrance des pères après l’avortement, et ses liens avec le suicide des hommes
Par Jeanne Smits (Reinformation.tv)
Elle est la plupart du temps passée par pertes et profits, quand elle n’est pas niée frontalement. Les pères sont les grands oubliés dans le dossier tragique de l’avortement, et leur souffrance est celle dont on ne parle pas parce qu’ils n’ont pas voix au chapitre face au « droit des femmes ». Elle est pourtant bien réelle. En Australie, on la prend enfin en compte après avoir constaté un lien fort entre le taux de suicide des hommes et l’avortement de leur enfant.
Une journaliste australienne, Corrine Barraclough, vient de découvrir cette réalité qui la « sidère ». Le constat de ce lien de cause à effet a été pour elle comme une illumination ; elle le raconte dans le Daily Telegraph de Sydney.
« Nous savons tous que le taux de suicide des hommes augmente de manière spectaculaire. Saviez-vous que les suicides masculins et la maladie mentale liée à l’avortement sont corrélés ? Je ne le savais pas non plus. Et les professionnels connaissent mal la question eux aussi », écrit la journaliste.
Lire la suiteLettre ouverte d'un pro-vie à une journaliste du Plateau Mont-Royal
Chère journaliste du Plateau Mont-Royal,
Je me présente : mon nom est Georges Buscemi. Je suis président de l’organisme Campagne Québec-Vie, voué à la défense de la personne humaine, de la conception à la mort naturelle, ce qui signifie, selon vous, que j’ai le désir irrépressible de contrôler votre utérus. J’ai lu avec intérêt votre billet dans lequel vous exprimiez votre désaccord avec notre activité de conseiller de trottoir, activité à laquelle le ministre Gaétan Barrette veut mettre un terme, en imposant un périmètre de 50m autour des avortoirs du Québec. D’ailleurs, vous avez raison de vous révolter contre nous. Il faut de la mauvaise volonté pour défendre une cause « jurassique » comme la nôtre – Je vous écris donc pour me repentir.
Vous avez raison : un être humain enfoui dans le cachot humide d’un goulag –ou le cachot humide du goulag qu’est devenu le ventre d’une mère qui choisit l’avortement— n’a de ce fait plus aucune valeur, et doit donc être privé de tout droit, jusqu’à être démembré, jeté dans les déchets biologiques et incinéré sans cérémonie.
Lire la suiteDes centaines de psychologues chiliens l'affirment: le traumatisme post-avortement est réel et dommageable
Par Matthew Cullinan Hoffman de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie
7 janvier 2016 - Un groupe de plus de deux cents professionnels de la santé mentale réfutent une tentative par le Collège chilien des psychologues de minimiser le traumatisme subi par les femmes qui ont eu des avortements, avec un nouveau document citant de nombreuses études qui démontrent la réalité du stress post-traumatique chez les patientes ayant subi un avortement.
Le document, intitulé « Abortion and Women’s Mental Health » (« L'avortement et la santé mentale des femmes »), (cliquez ici pour le rapport en anglais, ici pour celui en espagnol) a été signé par 151 psychologues chiliens, 47 psychiatres et 10 médecins, et publié au début de décembre 2015. Il avertit qu’ « en dehors de la mort de l'enfant à naître » il existe des « preuves suffisantes pour démontrer que l'avortement provoque des dommages à la santé mentale des femmes et à leurs familles ».
« Lamentablement », ajoutent-ils, « cette information a été omise dans un document publié récemment par le Collège chilien des psychologues », qui ne tient pas compte « des conclusions de diverses études qualitatives et quantitatives qui démontrent le dommage qui est causé à la mère qui subit un avortement. »
Lire la suiteLa chanteuse Nicki Minaj regrette l'avortement de son enfant
Dans sa vidéo Autobiography, elle traite de cette question, et elle revient sur ce souvenir douloureux dans sa nouvelle chanson, All Things go. Voici un extrait des paroles de la chanson Autobiography (2009)
(Photo : Eva Rinaldi sur wikimédia.org, licence creative commons)
(...)Bébé, excuse-moi, maman était jeune
Maman était trop occupée à profiter de la vie
Je ne me félicite pas de m'avoir fait avorter
Mais Dieu sait que je valais mieux que ça
Je t'ai conçu et abandonné, rien que le concept semble diabolique, ma conscience me rattrape
J'ai été idiote car j'ai écouté les gens qui me disaient que j'étais pas prête à t'avoir
Mais qu'est-ce qu'ils en savaient ?
Et bien sûr c'était pas de ta faute, je te sens avec moi
Je t'entends dire « maman ne pleure pas, ne vois-tu pas que je suis là ? »
Tu dois savoir ce que tu représentes à mes yeux.
Quand je dors je nous vois tous les deux dans mes rêves
J'aimerais pouvoir toucher ton petit visage
Si Dieu le décide peut-être qu'on pourra se revoir
Dans sa chanson All things go, elle mentionne que cet enfant aurait 16 ans.
Deux mois après, il pleure toujours... Témoignage sur un récent avortement
Sur le site de mamanpourlavie.com du 10 novembre 2014 :
(Photo : Alyssa L. Miller sur flickr.com, licence creative commons)
J'ai 16 ans.
Je suis une ado tout ce quil y a de plus ordinaire. Je ne fume pas je ne bois pas. Je ne couche pas à gauche à droite.
Pourtant, je suis tombé enceinte..
Le jour ou je l'ai su, enfait que jai fais le test et qu'il en est resorti positif, parce que j'avais deja beaucoup de signes ( nausées, mal au ventre, toujours faim, retard des regles),jai voulu mourrir. Pourquoi moi? Une adolescente avec une vie bien banale?
Jai tout de suite envoyer la reponse a mon amoureux. Il se sentait attrocement coupable. On a convenu que le lendemain, on irais à l'urgence. On avait aucune idée quoi faire. Et pas question d'en parler à nos parents. On arrive à l'urgence, on explique à l'infirmière au triage notre situation, et je vous jure, elle s'est mise à pleurer. Elle avait pitié..
Elle nous a réferé a une travailleuse sociale, qui elle nous a référé à une clinique d'avortement situé a 1h30 de chez moi, c'étais la plus proche. On a appeller et on a pris rendez-vous le 17 septembre.
C'étais difficile de me faire à l'idée que ce petit bout qui grandissait en moi, devait partir. Mais c'étais pour son bien.
J'avais peur, peur d'avoir mal, peur de ne plus vouloir, peur de le regretter.
Le jour J, on a rencontré une travailleuse sociale qui nous a tout expliqué comment ça se deroullerait, mais pour être très franche, je n'écoutais rien. J'avais la tete ailleurs.
Quand est venu l'heure, ils n'ont amener que moi dans la salle, mon copain me regardait partir, impuissant. Quand il est arrivé j'avais une robe d'hopital, une seringue dans le bras, et un regard qui le suppliait de me sortir de là.
Ont nous a amené dans une autre salle, on ma couché sur une table, et on ma fais l'echographie. 6,1 semainea ma petite crevette. Ensuite tout est flou, on ma injecté des trucs, je ne me souviens de presque rien. Juste qu mon amoureux a été avec moi tout au long. Je devais avoir un regard vide. Cest comme ça que je me sentais, vide.Ça été un des pires jours de ma vie. Mais jai réalisé beaucoup.
Jai réalisé la chance que j'avais d'avoir quelqu'un comme lui à mes cotés.Je ne te cacherai pas, encore aujourdhui cest tres difficile, juste l'autre soir, mon amoureux cest couché sur mon ventre, et il s'est mis a pleurer.
Notre bébé nous manquera toujours. Mais il veille sur nous..
Voila mon histoire d'avortement, et si vous avez des questions, n'hésitez pas.
Alors qu'ils ont demandé de l'aide, on ne leur a proposé aucun autre choix, aucune autre solution que l'avortement. Et « encore aujourd'hui cest tres difficile», et «il s'est mis à pleurer », et « Notre bébé nous manquera toujours »...
Une société inhumaine qui n'apporte aucune aide, au contraire, et laisse dans les larmes, avec seulement ce vide à l'intérieur... et un discours stupide pour tenter d'oublier, selon lequel tout est pour le mieux, pour le mieux de l'enfant... L'avortement, « c'étais pour son bien »...
Le gâchis total...
La raison pour laquelle nous combattons, pour que de telles histoires ne se reproduisent pas.
Témoignage de l'ancien mannequin Amada Rosa Perez sur son avortement
Sur le site de medias-presse.info du 27 octobre 2014 :
Depuis la Colombie, Amada Rosa Perez, a aussi confessé qu’elle avait subi un avortement suivi du syndrome post-avortement. Dans son témoignage, le modèle raconte: « A cette époque où j’étais enceinte, j’aurais souhaité trouver l’aide de quelqu’un, quelqu’un qui m’aurait dit quelque chose de positif et de beau, comme qu’être maman ce n’est pas mal. »
(...)
Le mannequin explique qu’elle a avorté parce que dans son entourage elle ne rencontrait que des réactions lui disant qu’il fallait privilégier sa carrière. Elle avoue qu’elle a eu peur, qu’elle ne l’a pas dit à ses parents et a décidé de se débarrasser de son bébé
Elle soutiendra la manifestation « Chaque vie est importante » qui aura lieu le 22 novembre 2014 en Espagne et l'on peut entendre son court témoignage, en espagnol, ici.
Lire la suite
Les femmes qui se font avorter souffrent plus que celles qui accouchent…
La légalisation de l’avortement est largement présentée comme étant bénéfique pour les femmes, mais un vaste bassin d'évidences médicales et psychologiques démontre une autre réalité.
Un avortement provoqué pose des risques à court et long termes pour la santé physique des femmes. Un avortement peut aussi avoir un effet néfaste sur la santé mentale.
Ces risques sont exacerbés lorsque l’avortement est légalisé dans des pays ayant des soins de santé maternelle inexistants ou de mauvaises qualités.
Risques physiques de l’avortement
Un avortement chirurgical est une procédure intrusive qui interrompt de façon violente un procédé biologique naturel. Parmi les complications documentées, on compte des hémorragies, des infections, des dommages au col cervical, des perforations utérines, des inflammations du pelvis et des résidus de tissus fœtaux ou placentaire.¹ Certaines de ces complications nécessitent des chirurgies supplémentaires et peuvent affecter la fertilité (voir risques à long terme ci-dessous).
L’avortement peut résulter en un décès. De vastes études basées sur des statistiques de la Finlande,² du Danemark³ et des États-Unis⁴ démontrent que le taux de mortalité maternelle à la suite de l’avortement est beaucoup plus élevé que ce même taux suite à une naissance (voir Fig. 1). Des taux de mortalité plus élevés persistent jusqu’à 10 ans après un avortement.³
Avortements non chirurgicaux
L’avortement non chirurgical, ou avortement provoqué par médicaments (souvent appelé avortement « médical ») pose ses propres risques pour la santé des femmes enceintes. Parmi les complications répertoriées, on compte : les hémorragies, les infections, les grossesses ectopiques et des avortements incomplets (nécessitant souvent une intervention chirurgicale) quelques fois provoquant la mort.⁵
Une étude de grande échelle publiée en 2009 dans Obstetrics & Gynecology a révélé que les avortements provoqués par médicaments (en utilisant une combinaison de mifépristone avec un prostaglandin, habituellement le misoprostol) ont eu des effets adverses majeurs dans 20 % des cas, presque quatre fois le taux de complications immédiates par rapport aux avortements chirurgicaux (voir Fig.3).⁶ Une étude australienne de 2011 sur la mifépristone comparait les complications suite à des avortements médicaux et celles suite à des avortements chirurgicaux lors du premier trimestre de grossesse. Les femmes ayant eu recours à un avortement provoqué par médicaments étaient 14 fois plus à risque de devoir subséquemment être admises à l’hôpital et 28 fois plus à risque de devoir se faire opérer. Les risques augmentaient lorsque des avortements médicaux avaient lieu lors du deuxième trimestre — 33 pour cent des cas nécessitaient une intervention chirurgicale.⁷
Risques à long terme
L’avortement peut freiner le succès reproductif futur. Il accroît de façon significative les risques futurs de naissances prématurées⁸ qui menacent sérieusement la vie et la santé des nouveau-nés.⁹ Le risque de naissance prématurée augmente avec chaque avortement additionnel.¹⁰ L’avortement est aussi associé à une augmentation des risques d’infertilité,¹¹ de fausses-couches,¹² de grossesses ectopiques¹³ (qui peuvent être fatales si elles ne sont pas traitées rapidement) et de décollement placentaire [ce qui peut aboutir, pour la femme, à une hémorragie potentiellement fatale, et peut avoir comme conséquence le décès de l’enfant¹⁴].
L’avortement peut mener à un risque plus élevé de cancer du sein et du système reproductif.¹⁵ Bien que le lien entre l’avortement et le cancer du sein soit controversé, il est clair que l’avortement peut empêcher une femme de bénéficier de la diminution des risques de cancer associé à une première grossesse menée à terme.¹⁶ L’évidence physiologique et épidémiologique démontre qu’à la suite d’un avortement, une femme a plus de tissus vulnérables au cancer dans la poitrine que si elle n’était pas devenue enceinte en premier lieu.¹⁷ Des douzaines d’études appuient cette découverte;¹⁸ une méta-analyse faite en 1996 montre une hausse de 30 % du risque de cancer du sein chez les femmes ayant eu recours à l’avortement.¹⁹ Les preuves réfutant cette analyse ne se sont pas avérées concluantes.²⁰
Risques psychologiques de l’avortement
En plus des risques pour la santé des femmes, l’avortement peut avoir des conséquences psychosociales néfastes. Une méta-analyse menée en 2011 et parue dans le British Journal of Psychiatry démontre que les femmes ayant eu recours à l’avortement sont 81 % plus à risque de développer des problèmes de santé mentale; près de 10 % des instances de problèmes psychologiques peuvent être directement attribués à l’avortement. On compte parmi ces problèmes l’anxiété, la dépression, l’usage excessif d’alcool et de drogues et des tendances suicidaires.²¹ Une vaste étude finlandaise rapporte que le taux de suicide à la suite d’un avortement est six fois plus élevé que le taux suite à un accouchement.²² Inversement, même si les troubles mentaux sont quelques fois utilisés pour justifier un avortement, une étude menée en 2013 démontre que l’interruption d’une grossesse non désirée n’a pas de bénéfice thérapeutique au niveau psychologique.²³
L’avortement peut aussi endommager la relation d’une femme avec son partenaire²⁴ et d’autres personnes²⁵ de son entourage et a des impacts négatifs sur les hommes²⁶ et l’enfant.²⁷ Plusieurs femmes et hommes regrettent maintenant leur décision d’avoir eu recours à l’avortement,²⁸ ou d’avoir encouragé l’usage de l’avortement et cherchent de l’aide afin de faire leur deuil.²⁹
L’avortement dans les pays en développement
Les dangers inhérents à l’avortement sont exacerbés quand les soins de santé maternelle de base ne sont pas disponibles ou sont inadéquats. La légalisation ou la promotion de l’avortement sur demande³⁰ représente donc un danger accru pour les femmes dans les pays en développement.
Les avortements provoqués par médicaments, incluant les avortements en utilisant uniquement le misoprostol (au lieu d’une combinaison avec la mifépristone), sont souvent recommandés dans les régions où les avortements chirurgicaux ne sont pas disponibles. Mais cela peut s’avérer particulièrement dangereux. Les complications fréquentes à la suite d’avortements non chirurgicaux requièrent une infrastructure médicale développée (incluant l’accès à du matériel pour échographie, des transfusions sanguines et une capacité à pratiquer des interventions chirurgicales) souvent non existante dans les pays en développement. Et l’usage du misoprostol seul accroît les risques d’avortement non réussi.³¹ L’usage de ces méthodes menace la vie et la santé des femmes et ne doit pas être encouragé.
Mortalité maternelle
Plusieurs membres de la communauté internationale prétendent que la légalisation de l’avortement est nécessaire pour réduire les décès liés à la maternité dans les pays en développement. Le bagage d’évidences internationales démontre cependant que les incidences de mortalité liées à la maternité sont déterminées par la qualité des soins de santé maternels (et autres facteurs indirectement liés) et non par le statut légal ou l’accessibilité à l’avortement sur demande.³² La légalisation de l’avortement ne résout pas le problème de soins de santé de moindre qualité — cela augmente simplement le nombre de femmes sujettes aux risques liés à l’avortement.
Une étude de 2012 sur la mortalité maternelle au Chili a révélé que le nombre de morts lié à la maternité a diminué de façon significative à la suite de la prohibition légale de l’avortement. Le nombre de morts lié directement à l’avortement a aussi chuté de 10,78 morts par 100 000 naissances en 1989 à 0,83 en 2007 et une diminution de 92,3 % après que l’avortement ait été déclaré illégal.³³ La légalisation de l’avortement n’est pas nécessaire pour améliorer la santé maternelle et sauver la vie des femmes.
Les dangers ne devraient pas être ignorés
Les risques de l’avortement sur le bien-être physique et psychologique ne devraient pas être ignorés. Au lieu de légaliser et promouvoir l’avortement, les gouvernements devraient protéger la dignité et les droits inaliénables de chaque être humain, incluant ceux des femmes et de leurs enfants à naître. Ils devraient travailler pour améliorer les soins de santé maternelle, ce qui est bénéfique pour les mères ainsi que pour les enfants.³⁴
Références
¹Ring-Cassidy E, Gentles I. Women’s health after abortion: the medical and psychological evidence. Toronto, The deVeber Institute, 2003; Strahan TW, ed. Detrimental effects of abortion: an annotated bibliography with commentary. Springfield, IL, acorn Books, 2001.
²Gissler M et al. Pregnancy-associated mortality after birth, spontaneous abortion, or induced abortion in Finland, 1987-2000. American Journal of Obstetrics and Gynecology, 2004, 190:422-427; Gissler M et al. Pregnancyassociated deaths in Finland 1987-94—definition problems and benefits of record linkage. Acta Obstetricia et Gynecologica Scandanavica, 1997, 76:651-657.
³Reardon DC, Coleman PK. Short and long term mortality rates associated with first pregnancy outcome: population register based study for Denmark 1980–2004. Medical Science Monitor, 2012, 18(9):71-76.
⁴Reardon DC et al. Deaths associated with pregnancy outcome: a record linkage study of low income women. Southern Medical Journal, 2002, 95(8):834-841.
⁵a total of 2,207 adverse events following medical abortion were reported to the United States Food and Drug administration through april 2011, including 14 deaths and 612 hospitalizations (excluding deaths). Mifepristone U.S. postmarketing adverse events summary through 04/30/2011. FDa, 2011 (http://1.usa.gov/tZW1hf, accessed 16 april 2013).
⁶niinimaki M et al. Immediate complications after medical compared with surgical termination of pregnancy. Obstetrics & Gynecology, 2009, 114(4):795-804.
⁷Mulligan E, Messenger H. Mifepristone in South australia: the first 1343 tablets. Australian Family Physician, 2011, 40(5):342-345.
⁸This is likely due to cervical incompetence resulting from forced dilation. Shah PS, Zao J. Induced termination of pregnancy and low birthweight and preterm birth: a systematic review and meta-analyses. BJOG: An International Journal of Obstetrics and Gynaecology, 2009, 116(11):1425-1442; Rooney B, Calhoun BC. Induced abortion and the risk of later premature births. Journal of American Physicians and Surgeons, 2003, 8(2):46-49.
⁹Preterm birth is linked especially to cerebral palsy. Escobar GJ et al. Outcome among surviving very low birthweight infants: a meta-analysis. Archives of Disease in Childhood, 1991, 66:204-211.
¹⁰Klemetti R et al. Birth outcomes after induced abortion: a nationwide register based study of first births in Finland. Human Reproduction, 2012, 27(11):3315-3320.
¹¹Tzonou a et al. Induced abortions, miscarriages, and tobacco smoking as risk factors for secondary infertility. Journal of Epidemiology and Community Health, 1993, 47(1):36-39.
¹²Maconochie n et al. Risk factors for first trimester miscarriage—results from a UK-population-based case–control study. BJOG: An International Journal of Obstetrics and Gynaecology, 2007, 114(2):170-186.
¹³abortion can lead to pelvic infection, which can cause subsequent ectopic pregnancy. Parazzini F et al. Induced abortions and risk of ectopic pregnancy. Human Reproduction, 1995, 10(7):1841-1844.
¹⁴Barrett JM et al. Induced abortion: a risk factor for placenta previa. American Journal of Obstetrics and Gynecology, 1981, 141(7):769-772.
¹⁵Remennick L. Induced abortion as cancer risk factor: a review of epidemiological evidence. Journal of Epidemiology and Community Health, 1990, 44(4):259-264.
¹⁶The fact that full-term pregnancy reduces the risk of breast cancer has long been established. See, for example, MacMahon B et al. age at first birth and breast cancer risk. Bulletin of the World Health Organization, 1970, 48(2):209–221.
¹⁷Brind J. The abortion-breast cancer connection. National Catholic Bioethics Quarterly, Summer 2005:303-329 ( http://www.abortionbreastcancer.com/Brind_nCBQ.PDF , accessed 16 april 2013).
¹⁸Epidemiologic studies: induced abortion and breast cancer risk. Breast Cancer Prevention Institute, 2012 ( http://www.bcpinstitute.org/FactSheets/BCPIFactSheet-Epidemiol-studies.pdf , accessed 16 april 2013).
¹⁹Brind J et al. Induced abortion as an independent risk factor for breast cancer: a comprehensive review and meta-analysis. Journal of Epidemiology and Community Health, 1996, 50(5):481–496.
²⁰Lanfranchi a. The abortion-breast cancer link revisited. Ethics & Medics, 2004, 29(11):1-4 (http://www.abortionbreastcancer.com/Lanfranchi.pdf, accessed 16 april 2013); Brind J. Induced abortion as an independent risk factor for breast cancer: a critical review of recent studies based on prospective data. Journal of American Physicians and Surgeons, 2005, 10(4):105-110 (http://www.jpands.org/vol10no4/brind.pdf, accessed 16 april 2013).
²¹Coleman PK. abortion and mental health: quantitative synthesis and analysis of research published 1995–2009. British Journal of Psychiatry, 2011, 199:180-186.
²²Gissler M et al. Suicides after pregnancy in Finland, 1987-94: register linkage study. British Medical Journal, 1996, 313:1431-1434.
²³Fergusson DM et al. Does abortion reduce the mental health risks of unwanted or unintended pregnancy? a re-appraisal of the evidence. Australian & New Zealand Journal of Psychiatry, 2013, doi:10.1177/0004867413484597.
²⁴Barnett W et al. Partnership after induced abortion: a prospective controlled study. Archives of Sexual Behavior, 1992, 21(5):443-455.
²⁵Burke T. Forbidden grief: the unspoken pain of abortion. Springfield, IL, acorn Books, 2007.
²⁶Lauzon P et al. Emotional distress among couples involved in first-trimester
induced abortions. Canadian Family Physician, 2000, 46:2033-2040; Shostak aB et al. Men and abortion: lessons, losses, and love. new York, Praeger, 1984.
²⁷Coleman PK et al. The quality of the caregiving environment and child developmental outcomes associated with maternal history of abortion using the nLSY data. Journal of Child Psychology and Psychiatry, 2002, 43(6):743-757.
²⁸See, for example, http://www.silentnomoreawareness.org (accessed 16 april 2013) and Reardon DC. Aborted women, silent no more. Chicago, Loyola University Press, 1987.
²⁹See, for example, http://www.abortionrecovery.org and http://www.rachelsvineyard.org (accessed 16 april 2013).
³⁰“Elective” abortion here refers to the intentional killing of human beings in utero and excludes medical procedures that are necessary to prevent the death of pregnant women.
³¹ngoc nTn et al. Comparing two early medical abortion regimens: mifepristone+misoprostol vs. misoprostol alone. Contraception, 2011, 83 (5) : 410-417.
³²MCCL Global Outreach, nRL Educational Trust Fund. Women’s health & abortion: evidence shows that legalizing abortion does not reduce maternal mortality. Minnneapolis, Minnesota Citzens Concerned for Life, 2012 (available at http://www.mccl-go.org/resources.htm ).
³³Koch E et al. Women’s education level, maternal health facilities, abortion legislation and maternal deaths: a natural experiment in Chile from 1957 to 2007. PLoS ONE, 2012, 7(5):doi:10.1371/journal.pone.0036613 ( http://wwwplosone.org/article/info%3adoi%2F10.1371%2Fjournal.pone.0036613 , accessed 16 april 2013).
³⁴The science of embryology reveals that the human embryo or fetus is a living organism of the species Homo sapiens, like each of us, only at an earlier developmental stage. and it is a basic moral principle—affirmed in the United nations’ Universal Declaration of Human Rights and other international instruments—that all human beings bear an equal fundamental dignity and right to life that must be respected and protected.
Pour télécharger ce document en format PDF.
GLOBAL OUTREACH Minnesota Citizens Concerned for Life Global Outreach 4249 Nicollet Avenue | Minneapolis, MN 55409 É.-U. 612.825.6831 | Fax 612.825.5527 [email protected] | www.mccl-go.org | www.mccl.org National Right to Life Educational Trust Fund 211 East 43rd Street, Suite 905 | New York, NY 10017 É.-U. 212.947.2692 [email protected] | www.nrlc.org Produced in the United States of America © 2013 MCCL National Right to Life Educational Trust Fund is an international pro-life NGO.
Le suicide de l'actrice indienne Jiah Khan lié à son avortement
Sur le site de chretienslibre.over-blog du 20 juin 2013 :
(Photo : Bollywood Hungama sur wikimédia.org, licence creative commons)
L'actrice anglo-indienne Jiah Khan, qui avait tourné dans d'importantes productions de Bollywood, s'est suicidée à Mumbai aux environs du 2 juin, faute d'avoir pu surmonter la dépression causée par son avortement ainsi que par des abus présumés de son conjoint, d'après les informations d'Aciprensa.
La défunte a laissé une lettre, trouvée par sa soeur, dans laquelle elle expliquait à son partenaire les raisons de son geste. "J'ai avorté notre bébé", dit cette jeune femme de 25 ans, "et cela m'a profondément meurtrie. J'avais peur de continuer cette grossesse, et je me suis entièrement confiée à toi", dit l'actrice à son ami, Suraj Pancholi, et elle l'assure que "ce que tu m'as fait souffrir tous les jours a détruit chaque parcelle de moi-même, a détruit mon âme."
Un témoignage tragique parmi tant d'autres...
Charlotte Dawson, une star top modèle s'est suicidé suite à une dépression née... d'un avortement
Sur le site de 7sur7 du 24 février 2014 :
(Charlotte Dawson : sous le sourire de la top modèle, le goût de mourir suite à un avortement sous la pression de son ex-copain...)
(Photo : Eva Rinaldi Celebrity and Live Music Photographer sur flickr.com, licence creative commons)
(...)Charlotte avait révélé dans le passé que Scott Miller l'avait forcée à avorter. "Mon accouchement était prévu au même moment que les Jeux Olympiques de Sydney en 2000. Je le voyais hésitant. Rien ne pouvait se mettre en travers de son chemin. Il a été décidé que j'avorte et qu'on essayerait d'avoir un enfant plus tard. Qui peut avoir besoin d'un foetus quand on peut décrocher une médaille: d'or, hein?" Après son avortement, Charlotte se sentait "comme une merde". C'est ce qu'elle écrivait dans son livre "Air Kiss and Tell", sorti il y a deux ans. "Peut-être que c'était hormonal mais je sentais les prémices de ce que je peux maintenant identifier comme ma première expérience de dépression." (...)
Les féministes ne comprennent pas cette réaction : le syndrome post-avortement, non politiquement correct, ne saurait exister...