Une femme poussée à avorter: «J’ai ressenti la perte de notre enfant jusqu’au plus profond de moi-même»
Par Sarah Terzo (LiveActionNews) ― Traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : Depositphotos
Dans un livre dédié aux personnes blessées par un avortement, une femme, nommée Alex, raconte son histoire où elle fut forcée de subir un avortement, épreuve qui l’emplit d’une profonde tristesse.
Alex était fiancée à un homme qui s’appelait Ken lorsqu’elle tomba enceinte. Cette grossesse n’était pas planifiée, mais elle voulait garder le bébé parce qu’elle était contre l’avortement. Vu qu’ils étaient fiancés, elle croyait que Ken accepterait la grossesse. Au contraire, il a immédiatement suggéré l’avortement :
Il était évident pour moi de garder le bébé parce que je ne croyais pas en l’avortement. J’étais un peu nerveuse lorsque j’en ai parlé à Ken. Je savais que ça ne faisait pas partie de ses plans non plus. Toutefois, je ne m’attendais pas à ce qu’il me suggère froidement un avortement. Après tout, nous étions fiancés et nous planifions nous marier. Il savait également que j’étais contre l’avortement.
Alex refusa, mais Ken continua à user de pression :
Ken m’expliqua calmement qu’avoir un enfant pour l’instant ne faisait pas partie de nos plans… Lorsque je protestais, il répétait tout simplement le même argument. Ses mots me blessaient… Je croyais qu’il allait changer d’idée, donc je n’ai rien fait au début. Toutefois, au cours des jours suivants, il continuait de m’expliquer pourquoi nous ne pouvions avoir ce bébé. De mon côté, je lui rappelais gentiment que, de toute façon, nous planifions nous marier et qu’un avortement était hors de question pour moi.
Au fil des jours, Ken devint dur et insistant :
Lire la suitePlutôt discret au début, il s’acharnait de plus en plus à me convaincre que notre relation s’estomperait si je n’avortais pas. Plus je pleurais, plus son ton devenait dur et exigeant.
Une gynécologue : la souffrance engendrée par l’avortement
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (rognée) : wirestock/Freepik
Contrairement à ce que racontent les organismes en avortement, et les médias à leur suite, l’avortement est réellement source de souffrances psychologiques pour la femme. Le Dr Frédérique Mardon-Lerolle, gynécologue-obstétricienne de son état, répond aux questions de Padreblog dans le cadre d’une entrevue sur le film Unplanned, dont la version française était sortie en séances sur internet en octobre :
Padreblog : Pourquoi est-il si difficile pour des femmes de se confier à quelqu’un avant ou après un avortement ?
Dr F. M.-L. : On leur dit « ce n’est rien » ou bien « tu as le choix ». Comment peuvent-elles être libres de leur choix ? Et si c’est leur choix, de quoi se plaignent-elles ? N’est-ce pas « un droit » acquis de haute lutte ? Elles retournent alors souvent cette culpabilité contre elles, une culpabilité pourtant partagée entre le conjoint, l’entourage et le corps médical. Elles ont peur du jugement aussi. D’un côté, cela, cet acte soi-disant anodin et banal, et puis la réalité de ce qui se passe vraiment, entretenue par la prodigieuse mémoire du corps et par la richesse de la psychologie. Moi-même, lors d’une consultation, je devine qu’il s’est passé quelque chose et ce n’est pas une simple intuition féminine, croyez-moi ! Par exemple, une femme qui a subi un avortement a plus de difficultés à se laisser examiner. Figurez-vous qu’en Ehpad, l’une des plus fréquentes souffrances évoquées est la non-venue au monde de ces enfants avortés parfois quarante ans auparavant.
Plus loin, répondant à une autre question, elle affirme que l’avortement et la pilule ne profitent pas à la femme, mais à l’homme hédoniste :
Lire la suiteOn a dit que la pilule et l’avortement avaient libéré les femmes, c’est profondément faux. Ils ont surtout libéré les hommes, afin qu’ils puissent fuir leurs responsabilités.
92% des Français estiment que l’«avortement laisse des traces psychologiques difficiles à vivre pour les femmes»
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Unsplash
Le 8 octobre l’Assemblée nationale française débattra sur un projet de loi visant à étirer le délai d’avortement de 12 à 14 semaines de grossesse. C’est dans ce contexte que l’agence IFOP publie un sondage commandé par Alliance Vita sur l’avortement, selon Le Figaro :
À la veille du débat parlementaire prévu jeudi 8 octobre, sur une proposition de loi de deux députées écologiste et ex-LREM, visant à allonger le délai légal d’accès à l’IVG de 12 à 14 semaines de grossesse, l’IFOP publie un sondage sur « les Français et l’IVG », commandé par l’association pro-vie — c’est-à-dire, opposée à l’avortement — Alliance Vita, et réalisé du 30 septembre au 1er octobre 2020.
Ce sondage, réalisé auprès de 1039 personnes, montre entre autres que 92 % des Français considèrent que l’avortement laisse de douloureuses traces psychologiques aux femmes, d’après Le Figaro :
Ainsi, 92 % des personnes interrogées considèrent qu’« un avortement laisse des traces psychologiques difficiles à vivre pour les femmes ». Ils étaient 89 % en 2016.
C’est donc un fait qui va à l’encontre du récit gouvernemental (et des organismes spécialisés en avortement) sur l’avortement, qui, selon ce dernier, n’aurait pas d’effet sur la santé psychologique des femmes, rapporte Le Figaro :
« Au fur et à mesure des années, cela confirme que le ressenti des Français est bien que l’avortement laisse des traces psychologiques, ce qui contredit ce que le gouvernement affirme sur son site officiel d’information sur l’IVG », commente Caroline Roux, déléguée générale adjointe d’Alliance Vita, interrogée par Le Figaro. Le gynécologue Philippe Faucher, cité sur le site ivg.gouv.fr, affirme en effet qu’il « n’y a pas de séquelle à long terme psychologique de l’avortement »... tout en ajoutant que certaines femmes « sont tristes » ou « pleurent » et qu’il ne faut pas hésiter alors à consulter un psychologue.
Planned Parenthood persuade une femme d’avorter sans en aviser son époux...
Par Sarah Terzo (LiveActionNews) ― Traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : Drobotdean/Freepik
MT Hall était l’ancien directeur du centre de ressource pour grossesse Birthright. L’auteur pro-vie Terry Lanora raconte l’histoire d’une femme enceinte ayant visité le centre. La femme arrivant heureuse et joyeuse d’avoir un enfant, fond soudainement en larme lors de son départ et confia à Hall une triste histoire. Hall raconte :
C’était sa quatrième grossesse, mais serait son troisième bébé [à naître vivant]. Lors de sa dernière grossesse elle s’était rendue à Planned Parenthood. Elle laissa savoir que son mari était au chômage et l’employée lui fit ressentir beaucoup de culpabilité. La travailleuse avait une opinion très négative sur le temps que prendrait le mari à obtenir un nouvel emploi. Elle lui lança qu’elle n’avait aucun droit de lui mettre un plus grand fardeau sur les épaules et que cela était injuste pour les enfants qu’elle avait déjà*, et cætera.
Le pire** est que cette femme la convainquit d’avoir un avortement sans même en discuter avec son mari !
Selon d’anciens employés de Planned Parenthood, il y a un quota d’avortements que les employés doivent « vendre ». Selon des témoignages, les travailleurs sont formés afin de mettre la pression sur les femmes afin qu’elles se fassent avorter.
Lire la suitePoème sur la femme et son enfant après l’avortement
Par Georges Allaire ― Photo : Rawpixel
Hallucinations nocturnes ?
L’enfant que j’ai tué
Est venu me hanter,
Bien qu’on m’ait assuré
Qu’il n’a pas existé.
Car, enfin, ce fœtus,
N’était qu’un détritus,
Contretemps des Ébats
Avec un super-gars.
Liberté, liberté,
J’ai vécu enivrée.
On m’a débarrassée
Des restes de cuvée.
Les gens vêtus en blanc
Suivis de ceux en vert
Ont récuré mes flancs
Sans me traiter de mère.
Cette nuit, cependant,
M’est apparu l’enfant
Que j’avais liquidé
Dans leur complicité.
Quand il m’a dit : « Maman »,
Mon cœur s’est arrêté.
Tout ceci est dément.
« Tu n’as pas existé ! »
« Maman, tu sais pourtant
Que j’ai vécu en toi
L’espace d’un moment,
Celui de ton Émoi. »
« Les docteurs et les psys
T’ont seulement servi
À faire un mensonge
Et me passer l’éponge. »
« Voilà, mon cher docteur,
Les fruits de la noirceur.
Donnez-moi la journée
Ô sachez m’assommer. »
« Je ne veux plus rêver
D’une maternité
Qui n’a pas existé,
Vous me l’aviez juré. »
« Madame, » qu’il me dit,
« Autant je suis sans Dieu,
Soyez-en assoupie,
Ceci n’a pas eu lieu. »
Alors je me suis dit,
Autant il y a Dieu,
Autant mon enfant vit
Et est ainsi heureux.
Il ne m’a pas hanté.
Il m’a fait la faveur
De venir m’inviter
Dans ce même bonheur.
Je dois certes quitter
Le givre de mon cœur
Et savoir accepter
D’aller me confesser.
Ou vais-je préférer
Me hanter par moi-même
Cherchant à oublier
Mon doux enfant qui m’aime ?
Une étude douteuse affirmant que l’avortement n’augmente pas les tentatives de suicide
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : freepik
21 novembre 2019 (LifeSiteNews) — Une nouvelle étude a attiré l’attention des médias grand public sur ses conclusions selon lesquelles l’avortement n’augmenterait pas la probabilité qu’une femme tente de se suicider, mais un éminent chercheur pro-vie affirme que les faits indiquent tout le contraire.
Mardi, The Lancet a publié une étude réalisée par une équipe de chercheurs de l’Université du Maryland qui a examiné les données sur l’avortement et l’automutilation de plus de 500 000 femmes au Danemark.
« Nous avons constaté que les femmes qui ont eu des avortements présentaient un risque plus élevé de tentatives de suicide non mortelles que les femmes qui n’ont pas eu d’avortement », conclut-il. « Cependant, comme le risque accru était le même l’année précédant et l’année suivant l’avortement, il n’est pas attribuable à l’avortement. Ainsi, les politiques basées sur l’idée que l’avortement augmente le risque de tentatives de suicide chez les femmes désinformées. »
Commentant l’étude sur The Daily Mail, Jenneke van Ditzhuijzen de l’Université d’Amsterdam a suggéré que les tentatives de suicide pourraient être attribuées non pas à l’avortement lui-même, mais à d’autres facteurs relatifs à une grossesse non désirée, comme la violence domestique ou la stabilité des relations. « Cela ne signifie pas qu’avoir un avortement indique que les femmes traversent une période difficile ou que les symptômes de problèmes mentaux sont attribuables à l’avortement, affirme-t-elle, mais plutôt que certaines femmes courent un risque élevé d’adversités multiples à un certain moment de leur vie, ce qui pourrait inclure une grossesse non désirée et un avortement. »
Michael New, professeur invité de l’Université catholique d’Amérique et chercheur de l’Institut Charlotte Lozier (CLI), informe LifeSiteNews que les conclusions de l’étude sont limitées par certaines lacunes méthodologiques et que l’étude elle-même est incompatible avec un ensemble de preuves provenant d’autres études.
Lire la suiteQuelle est donc cette histoire de cintres ?
Par Ruth Robert (Campaign Life Coalition) — (Traduit par Campagne Québec-Vie) Image : Facebook
L’un des nombreux arguments avancés par les pro-choix est que l’avortement sauve des vies. Oui, l’enfant meurt, mais si l’avortement n’était pas légal, les femmes continueraient à rechercher et à obtenir des avortements, peut-être au moyen de cintres, et mourraient donc en grand nombre. Étant tombé sur cet argument au cours de l’été, j’ai ressenti le besoin de souligner que la majorité des faits suggère que l’augmentation supposée de la mortalité maternelle due à l’avortement illégal est un mythe. L’avortement sur demande peut même davantage mettre en danger la vie des femmes. Cela cause certainement plus de décès au total.
Considérons la recherche publiée en 2012 qui a été faite au Chili sur le taux de mortalité maternelle du pays sur 50 ans. La mortalité maternelle a continuellement baissé sur une période de cinquante ans, même après que l’avortement y ait été rendu illégal. En d’autres termes, la légalité de l’avortement ne semble pas avoir d’impact sur les taux de mortalité maternelle. De même, l’OMS, l’UNICEF, le FNUAP et la Banque mondiale ont indiqué que les quatre pays qui avaient enregistré la plus forte baisse de leur taux de mortalité maternelle entre 1990 et 2008 étaient les Maldives, la Roumanie, l’Iran et le Bhoutan. Trois de ces pays avaient maintenu l’interdiction de l’avortement.
En outre, selon une étude menée en Finlande, où l’avortement est légal, le taux de mortalité des femmes qui ont subi un avortement au cours de l’année écoulée était quatre fois plus élevé que celui des femmes qui ont enfanté la même année. Le suicide figurait parmi les raisons d’un tel pic, ce qui laisse entrevoir la dévastation émotionnelle et psychologique que peut entraîner l’avortement. D’autres études menées appuient ces conclusions. Par conséquent, que le pays soit développé ou non, au mieux la légalisation de l’avortement ne contribue pas à faire baisser les taux de mortalité, et au pire il tend à les augmenter. Il est clair que la légalisation de l’avortement n’est pas une solution nécessaire [dans le sens où la fin justifierait les moyens], ni même sage, pour épargner aux femmes le risque de mourir.
Cela, peut-être, ne devrait pas être une révélation stupéfiante. Légaliser l’avortement signifie augmenter le nombre de femmes qui ont recours à l’avortement. Étant donné que l’avortement n’est pas sans risque (et qu’il peut également augmenter le risque de complications lors de grossesses futures), il n’est pas surprenant que la mortalité maternelle augmente. Qui sait ? Cette tendance pourrait peut-être contribuer à la tendance ascendante de la mortalité maternelle dans des pays comme le Canada et les États-Unis au cours des dernières décennies, en dépit des allégations d’amélioration des « soins de santé reproductive ».
Enfin, ceux qui se tiennent à la position de « pro-choix à contrecœur » en raison d’un désir de réduire les pertes de vie seraient encore mieux lotis en s’opposant à l’avortement. Selon les statistiques du Center for Disease Control and Prevention (CDC), 39 femmes seulement sont mortes des suites directes d’avortements illégaux l’année précédant Roe v. Wade [États-Unis], contrairement aux « milliers » qui seraient morts selon les militants de l’avortement. Cependant, des milliers d’enfants meurent chaque jour des suites d’un avortement légal. Peut-être qu’au lieu d’aider les femmes à tuer plus efficacement leurs enfants afin qu’elles ne soient pas « forcées » de se tourner vers les cintres, les pays devraient canaliser leurs ressources à l’élimination des causes qui pourraient conduire les femmes à une telle décision.
Une nouvelle étude montre que les femmes qui avortent ont une augmentation de 81 % de risques de problèmes mentaux
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : freepik
C’est ce qu’affirme une récente étude, publiée dans le British Journal of Psychiatry, et menée auprès de 877 000 femmes dont 164 000 ayant eu un avortement. L’étude souligne que ces dernières ont une augmentation de 81 % de risques de problèmes mentaux. Diverses sortes de problèmes ont été répertoriés, les femmes en question étant susceptibles d’une augmentation de risques de :
- 34 % d’avoir des troubles d’anxiété.
- 37 % de ressentir de la dépression
- 110 % de boire trop d’alcool
- 155 % de tenter de se suicider
- 220 % de consommer de la marijuana
Près de 10 % des problèmes peuvent être attribués à l’avortement.
« “Il y a en fait des risques réels associés à l’avortement qui devraient être signalés aux femmes lorsqu’elles sont conseillées avant un avortement”, a déclaré le Dr Priscilla Coleman, professeur en développement humain et en études familiales à la Bowling Green State University, au Daily Telegraph », rapporte CBS.News qui parle de l’affaire.
Imaginez tous les problèmes que doit engendrer l’avortement avec 50 millions de réalisations (connues) environ de cette sinistre pratique chaque année… Sans compter que, ce qui est le plus grave, chaque avortement réussi tue un enfant à naître.
Une nouvelle étude établit le lien entre l'avortement et le suicide
Par The Elliot Institute ― traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : StockSnap/Pixabay
Une analyse de 2019 des décès par suicide en Italie a révélé que dans l'année suivant une grossesse, les femmes ayant subi un avortement étaient 2,3 fois plus susceptibles de se suicider que les femmes ayant donné naissance.
Il ne s'agit là que de la dernière d'une série d'études reliant l'avortement à des taux plus élevés de suicide et à un risque élevé de décès en général.
Des études à grande échelle sur les taux de mortalité maternelle aux États-Unis, en Finlande et au Danemark ont révélé des taux de mortalité plus élevés chez les femmes qui ont avorté que chez celles qui ont accouché, y compris des taux de suicide plus élevés.
L'étude américaine a examiné les dossiers du ministère des Soin de santé américain portant sur plus de 173 000 californiennes à faible revenu qui sont passées par un avortement ou un accouchement. En établissant un lien entre ces dossiers et les certificats de décès, les chercheurs ont constaté que les femmes qui avaient subi des avortements, financés par l'État, étaient 2,6 fois plus susceptibles de se suicider que les femmes qui avaient donné naissance à leur bébé. Par contre, il a été démontré que l'accouchement réduit le risque de suicide chez les femmes comparativement à la population en général.
L'avortement n'est pas bénéfique pour la santé mentale des femmes
Les défenseurs de l'avortement ont souvent soutenu que l'avortement était nécessaire pour protéger la santé mentale des femmes, voire bénéfique.
Mais une étude publiée dans le British Journal of Psychiatry a révélé que 10 % des problèmes de santé mentale chez les femmes, dont 35 % des comportements suicidaires, peuvent être attribuables à l'avortement. Ces conclusions sont fondées sur les résultats combinés de toutes les études publiées entre 1995 et 2009 qui répondaient à des critères d'inclusion stricts. L'analyse qui en a résulté a porté sur 877 181 femmes de six pays.
Les femmes qui ont avorté étaient à 81 % plus susceptibles d'avoir des problèmes de santé mentale que tous les autres groupes témoins, et 55 % plus susceptibles d'avoir des problèmes que les femmes qui ont accouché suite à une grossesse non planifiée ou non désirée.
Lire la suiteElle a eu 15 avortements en 16 ans : une «dépendance à l’avortement»
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : PxHere
Une « dépendance à l’avortement » sont les propos qu’une femme tient sur elle-même, elle qui a eu quinze avortements en seize ans et a mis sur papier son expérience de vie, dans un livre au sombre titre Impossible Motherhood ou Maternité impossible.
Irene Vilar eut une enfance marquée ; une grand-mère nationaliste portoricaine qui a fait 25 ans de prison, pour avoir pris d’assaut avec une arme à feu les marches du Capitole ; sa mère stérilisée de force dans le cadre d’une campagne de stérilisation au Puerto Rico entre 1955 et 1969, celle-ci devint dépendante au diazépam puis se suicida ; et deux de ses frères prenaient de l’héroïne. Maintenant Mme Vilar a deux enfants, mais les souvenirs du passé continuent à la hanter.
Mme Vilar craint cependant que les pro-vie déforment ses propos (qu’elle n’ait crainte, nous resterons scrupuleusement honnêtes), d’après ABC.News :
Irene Vilar craint que son autodescription de « dépendance à l’avortement » ne soit mal comprise et déformée par le mouvement pro-vie pour priver les femmes du droit de choisir.
« Droit » qui n’en est pas un en cette matière. L’article continue :
Lire la suiteSon livre, « Impossible Motherhood » (Maternité impossible), qui sera publié par Other Press le 6 octobre, relate ses propres sombres choix : 15 avortements en 16 ans […]