La présidente d’un hospice pro-vie qualifie d’« horreur nationale » la légalisation de l'euthanasie au Canada
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : DCStudio/Freepik
25 septembre 2023 (LifeSiteNews) — Le chef de l’une des rares sociétés de soins palliatifs pro-vie du Canada a averti que l’euthanasie, depuis qu’elle a été légalisée par le gouvernement fédéral du Premier ministre Justin Trudeau, est devenue un spectacle « d’horreur » national.
« Malheureusement, il n’y a pas de répit en vue alors que l’aide médicale à la mort (AMM) devient une horreur nationale et que les “professionnels” aiguisent leurs aiguilles », a déclaré à LifeSiteNews Angelina Ireland, présidente de la société pro-vie Delta Hospice Society (DHS), basée en Colombie-Britannique.
Angelina Ireland a prévenu que le Canada en est arrivé à un point où tout le monde doit se « protéger » des incitateurs à l’euthanasie.
« Nous avons atteint le point où nous devons tous nous protéger les uns les autres contre l’AMM », a-t-elle fait remarquer.
Récemment, Mme Ireland a mis en garde contre la publication d’une initiative défendue et financée par le gouvernement fédéral libéral, intitulée « Medical Assistance in Dying accredited training program for health professionals » (programme de formation accrédité pour l’assistance médicale à la mort à l’intention des professionnels de la santé).
Selon elle, ce programme de formation n’est rien d’autre qu’une préparation à « la prochaine phase du massacre canadien ».
« Ils (le ministre de la Santé du gouvernement Trudeau, Mark Holland) veulent nous faire croire que l’aide médicale à mourir (AMM) est si “personnelle et complexe” qu’apparemment aucune personne ordinaire ne pourrait comprendre les subtilités d’un homicide non coupable », a déclaré Mme Ireland.
Lire la suiteMAiDHouse, une organisation caritative canadienne, a euthanasié 125 personnes en 2022
Par Alex Schadenberg (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
Le rapport annuel 2022 de MAiDHouse révèle que cet établissement a facilité la mort par euthanasie de 125 personnes en 2022, une hausse significative par rapport à 2021.
MAiDHouse, est une clinique d’euthanasie à Toronto qui propose l’aide médicale à mourir (AMM ou MAiD en anglais) aux personnes ne souhaitant pas mourir par euthanasie dans un hôpital.
En septembre 2022, Margaret Marsilla a lancé une campagne de pétition pour empêcher l’euthanasie de son fils de 23 ans, Kiano, qui devait mourir à MAiDHouse le 28 septembre 2022.
Dans son communiqué de presse, Margaret Marsilla écrivait :
Les docteurs Joshua Tepper et Laurie Morrison (« Dr. Death ») ont approuvé la demande d’aide médicale à mourir (AMM) pour mon fils, qui doit avoir lieu le 28 septembre 2022 à MAiDHouse. Les médecins et MAiDHouse, dirigé par Tekla Hendrickson, continuent de faire la sourde oreille aux exigences de la législation quant à des dispositifs de sécurité intégrés pour protéger les personnes vulnérables.
Le rapport annuel de MAiDHouse expose son projet d’étendre l’euthanasie en ouvrant d’autres cliniques de la mort.
En revanche, Delta Hospice Society, qui fournissait d’excellents soins de fin de vie, a été privée de financement et a vu son bâtiment de 10 lits exproprié par le gouvernement de la Colombie-Britannique en raison de son engagement à fournir un hospice non meurtrier.
MAiDHouse pratique exclusivement l’euthanasie.
MAiDHouse et CAMAP (Canadian Association of MAiD Assessors and Providers ou Association canadienne des évaluateurs et prestataires de l’AMM) n’existent que pour fournir et promouvoir l’euthanasie. Or, tous deux ont été désignés comme organismes de bienfaisance par le gouvernement canadien.
Célébrer ses propres funérailles
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : maxbelchenko/Adobe Stock
Un homme du Lac-Saint-Jean, Éric De Launière, atteint d’un cancer aux intestins métastasé n’en a plus longtemps à vivre et a fait une demande d’euthanasie. Désirant rassembler sa famille et ses amis une dernière fois avant sa mort prévisible (puisqu’anticipée), il a organisé une fête, qu’il considérerait comme ses propres funérailles selon une proche parente, dans l’aréna de Chambord. Deux cents personnes se sont présentées à l’événement, durant lequel la joie des retrouvailles s’est mêlée aux larmes du décès prochain.
Marie-Ève Tremblay, qui a une lointaine parenté avec Éric De Launière, a invité sa petite cousine Valérie à raconter sur les ondes de 98,5 le singulier événement. Selon Valérie, Éric voulait éviter à sa femme et ses enfants d’avoir à affronter seuls le poids et le souci des funérailles... en célébrant en quelque sorte ses propres obsèques de son vivant.
Selon Marie-Ève Tremblay, ce genre d’événements aurait lieu de plus en plus fréquemment — ce qui n’est pas sans rappeler les fêtes dans les salons funéraires où le futur défunt fait ses adieux avant de recourir à l’euthanasie.
Dans la seconde partie de l’émission de Marie-Ève Tremblay et Philippe Cantin, la parole est donnée à Jean-Marc Barreau, professeur à l’Université de Montréal, titulaire de la chaire de recherche Jean-Monbourquette sur le soutien social des personnes endeuillées. Ce dernier fait judicieusement remarquer que ce phénomène est en partie dû à l’éloignement de la population québécoise par rapport à la religion, et que n’ayant plus recours aux cérémonies religieuses, ils éprouvent le besoin de réaliser un « rituel ». Il fait également remarquer que ce nouveau genre de cérémonies ne peut subvenir au besoin du deuil qui survient au décès de la personne.
Cette affaire est assez triste, non seulement du fait qu’un homme soit proche de la mort, mais aussi qu’il ait décidé de recourir à l’« aide médicale à mourir » — ce qui met une note malsaine au tout.
En effet, pourquoi ne pas rassembler comme il l’a fait la famille autour d’un être cher qui va mourir prochainement ? Ce désir n’est pas condamnable. Ce geste cependant ne nécessite pas que la personne mette fin à ses jours avec l’euthanasie, au contraire, combien parmi sa famille et ses amis désapprouvent sa décision ?
Il est affligeant de constater à quel point le Québec a perdu la foi.
Un avorteur est passé à l’euthanasie après l’arrivée de la pilule abortive
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Yaokobchuck Olena/Adobe Stock
Dans un documentaire du Telegraph, Dr Konia Trouton a expliqué au journaliste Steven Edginton, qu’elle avait pratiqué l’avortement avant de devenir praticienne de l’aide médicale à mourir (AMM) — après que l’avortement ait cessé de lui rapporter de l’argent.
Le documentaire, intitulé « Canada's woke nightmare : A warning to the West » (Le cauchemar « woke » du Canada : un avertissement pour l’Occident), aborde de nombreuses questions auxquelles le Canada est confronté aujourd’hui. L’un d’entre eux concerne la mort assistée et les pressions exercées sur les personnes atteintes de maladies et sur leurs médecins pour qu’ils y participent. Mme Trouton, militante pour la justice sociale, a fait part à M. Edginton de son soutien à la mort assistée par un médecin, ainsi que de son parcours rapide pour devenir praticienne de l’AMM.
« La majeure partie de ma carrière a été consacrée aux soins liés à l’avortement, à la santé des femmes, aux droits reproductifs, à la justice sociale et j’ai simplement essayé d’intégrer ce en quoi je crois à ce qui se passe sur le terrain », a-t-elle déclaré. « Ainsi, lorsque la législation sur l’aide médicale à mourir a été adoptée, c’est la même année que la mifépristone a été introduite au Canada. La mifépristone est le comprimé que l’on peut prendre pour avorter. Du coup, on avait moins besoin de mes compétences en matière d’avortement chirurgical et je me suis dit qu’il y avait un changement intéressant dans la loi, qui concernait également la justice sociale et l’autonomie d’une personne. Je me suis demandé si je ne voudrais pas m’impliquer dans ce domaine ».
La loi canadienne sur l’AMM a été adoptée en 2016, puis elle a fait l’objet d’une révision en 2021 autorisant la mort assistée pour les « personnes admissibles qui souhaitent obtenir une mort médicalement assistée, que leur mort naturelle soit raisonnablement prévisible ou non ». Au cours de la même période, en janvier 2017, la mifépristone (le premier médicament de la pilule abortive à deux médicaments) a été distribuée pour la première fois au Canada après avoir été approuvée en 2015.
Lire la suiteAu Québec la mort naturelle est remplacée par la mort assistée
Par Alex Schadenberg (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Gajus/Adobe Stock
Scott Norvell, dans un article paru dans le New York Sun le 15 août 2023, explique comment, au Canada, la mort naturelle est remplacée par une mort assistée. Norvell commente la lettre du Dr Michel Bureau, président de la Commission québécoise sur les soins de fin de vie, qui a récemment demandé aux médecins québécois de cesser de tuer des personnes par euthanasie pour des situations « non conformes à la loi ». M. Bureau a déclaré que, d’ici à la fin de 2023, il est probable que 7 % de tous les décès au Québec seront dus à l’euthanasie. Norvell cite les propos de M. Bureau :
Lire la suite« Nous constatons, de plus en plus, que les cas d’aide médicale à mourir se rapprochent des limites de la loi », a déclaré le président de la commission, Michel Bureau, à la Canadian Broadcasting Corporation. « Il ne s’agit plus d’un traitement exceptionnel, mais d’un traitement très fréquent ».
Si les taux actuels se maintiennent, plus d’un décès sur 14 au Québec sera assisté par un médecin d’ici la fin de l’année. Le Dr Bureau note que ce taux est plus élevé que dans tous les autres pays qui autorisent cette pratique : il est 4,5 fois plus élevé qu’en Suisse et trois fois plus élevé qu’en Belgique. Le taux est deux fois plus élevé que dans la province voisine de l’Ontario.
Une canadienne tétraplégique ne peut obtenir l’aide dont elle a besoin pour son handicap, mais elle peut obtenir l’euthanasie
Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Quality Stock Arts/Adobe Stock
Une mère admissible à l’euthanasie en raison de sa quadriplégie en a fait la demande en Ontario. Mais si l’accès à l’aide médicale à mourir lui est facilement accessible, elle dit avoir du mal à obtenir les mesures de soutien nécessaires à sa survie.
L’histoire de Rose Finlay est devenue virale sur TikTok, mais elle s’exprime davantage auprès des médias canadiens pour expliquer son désespoir. « Je suis une mère célibataire quadriplégique de 33 ans qui élève deux enfants handicapés », a-t-elle déclaré sur les médias sociaux. « Tous les Ontariens qui paient des impôts et cotisent aux programmes sociaux en pensant qu’un jour, s’ils ont besoin de ces aides, elles seront à leur disposition, je suis ici pour vous dire que ce n’est pas le cas ».
Elle a expliqué à Global News qu’après avoir été victime, à l’adolescence, d’un accident à la moelle épinière, elle est capable d’être autonome, mais qu’elle a encore besoin d’aide à l’occasion. « Ma vie telle qu’elle est, sans soutien en tant que quadriplégique, est bien plus mortelle que le fait que j’explore même le processus de l’Aide médicale à mourir (AMM) », a-t-elle déclaré. « L’absence de soutien depuis un an a fait que je tombe plus souvent malade et je pense qu’il vaut mieux que ce soit une option, que l’AMM soit une option, au cas où je tomberais vraiment, vraiment malade ».
Lire la suiteCette Canadienne a demandé de l’aide pour des pensées suicidaires — on lui a proposé l’euthanasie à la place
Kathrin Mentler.
Par Alex Schadenberg (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Michelle Gamage
Kathrin Mentler (37 ans), une Canadienne qui vit avec des pensées suicidaires chroniques, a récemment raconté à Michelle Gamage, dans un article paru dans The Tyee le 9 août dernier, qu’on lui avait proposé l’euthanasie alors qu’elle cherchait de l’aide au cours d’une crise de santé mentale.
Il s’agit de la première histoire claire d’un conseiller proposant l’euthanasie comme option de traitement d’une maladie mentale et d’une illustration de la raison pour laquelle il y a eu une augmentation de 24 % des décès par euthanasie en Colombie-Britannique en 2022.
Mme Mentler souffre de dépression, d’anxiété et de pensées suicidaires chroniques depuis de nombreuses années, mais le centre d’évaluation de l’hôpital général de Vancouver lui a récemment proposé l’euthanasie. Gamage rapporte :
« Ce jour-là, mon objectif était de me mettre en sécurité. Je pensais peut-être essayer de me faire admettre à l’hôpital parce que j’étais en crise », dit-elle.
Mentler raconte qu’elle a dit à la conseillère qu’elle avait peur de « ne plus jamais se sentir horrible ». Elle a également révélé ses antécédents de maladie mentale et d’automutilation.
La conseillère lui a alors dit que le système de santé mentale était « complètement débordé », qu’il n’y avait pas de lits ni de médecin disponibles et que le plus tôt qu’elle pourrait parler à un psychiatre était le mois de novembre.
Lire la suiteLes euthanasieurs du Québec n’aiment pas qu’on leur dise de rester dans les limites de la loi
Coalition pour la prévention de l’euthanasie — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Csaba Deli/Adobe Stock
Cet article de Wesley J. Smith a été publié par le National Review le 9 août 2023.
Le schéma ne change pas. L’euthanasie est légalisée sous la promesse de « directives strictes » empêchant les abus. Au fil du temps, ces directives strictes sont assouplies, puis à nouveau assouplies. Le processus est parfois lent, parfois rapide. Mais la direction est toujours la même.
En outre, les médecins peuvent assister les suicides ou injecter des substances mortelles à des patients qui, techniquement, ne remplissent pas les conditions requises pour bénéficier d’une mort accélérée. Peu de choses, voire rien, n’est fait à ce sujet.
Aux Pays-Bas, de tels cas n’ont jamais donné lieu à des sanctions significatives. Jamais. Au contraire, ils ont été ignorés par les autorités ou, s’ils ont été poursuivis (rarement), les tribunaux n’ont jamais puni l’auteur de l’infraction de manière significative.
Après cela, la « violation » peut devenir l’élément déclencheur d’un assouplissement des « directives strictes » — comme dans le cas du médecin néerlandais qui a tué sa patiente atteinte de démence, qui luttait pour rester en vie, en demandant à sa famille de la tenir pendant qu’il lui administrait la piqûre létale. Le médecin a été déclaré non coupable par le tribunal et le juge l’a félicité pour ses bonnes intentions. La loi a ensuite été modifiée pour permettre aux médecins de décider du moment de tuer dans de tels cas.
Lire la suiteUn Canadien vivant dans le regret et la douleur d’avoir « changé de sexe » veut mourir par euthanasie
« Lois » Cardinal.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie
1er août 2023 (LifeSiteNews) — En janvier, j’ai écrit une chronique dans Substack intitulée « Où le suicide assisté, le désespoir et le mouvement transgenre se rencontrent », examinant le nombre d’incidents de « détransitionneurs » au cœur brisé qui optent pour le suicide assisté à la suite des dommages irréversibles et des effets secondaires douloureux provoqués par leur tentative de changement de sexe. En Belgique, une femme a opté pour l’euthanasie après que ses opérations de transsexualité l’ont transformée, dit-elle, en « monstre » ; un Néerlandais a également demandé l’euthanasie après que ses opérations l’ont plongé dans une douleur quasi constante.
À l’époque, je me suis demandé si nous allions voir apparaître d’autres cas de ce genre à mesure que les effets à long terme des opérations de changement de sexe commenceraient à se manifester. Il n’est pas surprenant que le dernier cas en date se situe au Canada. « Lois » Cardinal est un homme qui a effectué une « transition » à l’âge de 19 ans (il y a 14 ans) pour pouvoir se présenter comme une femme. Lois affirme aujourd’hui qu’il a été poussé à changer de sexe par le personnel d’une clinique d’Edmonton, en Alberta, qui lui a dit qu’un programme de subventions du gouvernement provincial destiné à financer l’opération était sur le point de prendre fin. Malgré son hésitation, on lui a dit que la possibilité de se procurer les procédures risquait de disparaître — et bien que sa demande initiale ait été rejetée, il est allé jusqu’au bout.
Il a commencé à regretter l’opération aussitôt que l’anesthésie s’est dissipée.
Lire la suiteLes autorités sanitaires canadiennes détruisent les soins palliatifs en promouvant le suicide assisté
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : lightfield studios/Adobe Stock
Selon WNG, les médecins du Canada professant une religion sont soumis à une pression accrue pour participer au programme national d’aide médicale à mourir (AMM) malgré le fait que cela aille à l’encontre de leurs croyances, ce qui en a conduit certains à quitter leur emploi et des organisations de santé entières à fermer leurs portes. L’un de ces médecins, le Dr Kevin Sclater, médecin de famille, a expliqué la situation à WNG.
Le Dr Sclater a travaillé pendant 19 ans au Crossroads Hospice, en Colombie-Britannique, mais il a démissionné en décembre après avoir dû s’opposer pendant des années aux politiques pro-euthanasie de l’établissement. L’hospice étant financé par le gouvernement, il était tenu de pratiquer l’euthanasie. Bien que M. Sclater n’ait pas été contraint de commettre l’acte lui-même, on lui demandait d’évaluer les patients pour l’AMM.
« Mes convictions personnelles s’opposant à l’euthanasie sur les plans spirituel, émotionnel, social et professionnel, je n’aimais pas parler de l’AMM avec les gens », explique-t-il. « Mais je devais leur parler avec respect sans qu’ils sachent que j’avais mes propres préjugés à ce sujet, et je ne voulais plus faire cela ».
Un problème qui fait boule de neige
Depuis que le Canada a légalisé l’euthanasie pour la première fois en 2016, il a élargi son critère de mort naturelle « raisonnablement prévisible » pour inclure les patients qui vivaient avec des douleurs, mais qui n’avaient pas de mort naturelle raisonnablement prévisible dans leur avenir. Il cherche à étendre encore davantage la mort assistée aux personnes souffrant de maladies mentales à partir de mars 2024.
Selon WND, les établissements de soins de santé de la Colombie-Britannique qui pratiquent l’aide médicale à mourir et reçoivent plus de 50 % de financement du gouvernement sont tenus d’évaluer les patients en vue d’un suicide assisté et de le mettre en œuvre. Cette loi exempte les établissements confessionnels, mais les partisans de l’euthanasie tentent de supprimer ces exemptions.
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