Plus d’un quart des décès au Pays-Bas sont « provoqués »
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Combien de temps cela prendra-t-il au Canada pour en arriver là ? Extrait d'Aleteia :
L’euthanasie aux Pays-Bas est en hausse
Quinze ans après la dépénalisation de l’euthanasie et du suicide médicalement assisté aux Pays-Bas, plus de 25 % de tous les décès dans le pays sont provoqués, plutôt que causés par une maladie ou d’autres causes naturelles.
Ce chiffre est basé sur les statistiques de 2017 et comprend près de 6 600 cas d’euthanasie, 1 900 suicides et quelque 32 000 personnes tuées par le biais d’une pratique appelée sédation palliative, selon un article du journal The Guardian […]
« L’une des raisons pour lesquelles l’euthanasie est devenue plus courante après 2007 est que l’éventail des conditions considérées comme admissibles s’est élargi, tandis que la définition de “souffrances insupportables”, qui est au cœur de la loi, a également été assouplie », écrit de Bellaigue.
[…]
Commentant le reportage, l’activiste anti-euthanasie Wesley J. Smith a souligné que de nombreuses personnes sont tuées aux Pays-Bas par « sédation terminale », qu’il a définie comme « une euthanasie au ralenti où les patients qui ne sont pas au stade actif de la mort sont mis dans des comas artificiels et privés de toute alimentation pour qu’ils meurent par déshydratation. » La pratique, dit-il, ne doit pas être confondue avec la « sédation palliative », qui « soulage les symptômes d’un patient mourant sans causer intentionnellement la mort ».
Le risque de suicide est plus élevé chez les adolescents homosexuels ou transsexuels
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info)
Il est normal que des comportements contre nature aient des contrecoups fâcheux ; dans le cas des transgenres, il est évident que toutes les hormones, qu’ils ingèrent pour paraître comme de l’autre sexe, doivent avoir un effet important sur leur psychisme. — CQV
Ce sont des chiffres qui devraient faire réfléchir les lobbies Lgbt et les apprentis sorciers de la perverse, puisque fausse, notion de « genre ».
« Le risque de suicide et de comportements dangereux pour la vie est plus élevé parmi les adolescents appartenant à des minorités sexuelles » est la triste conclusion d’une étude menée par l’Université de Milan-Bicocca, et publiée récemment sur la revue internationale Jama Pediatrics.
Les auteurs ont calculé « que les adolescents appartenant au groupe global des minorités sexuelles montrent un taux de risque suicide trois fois supérieur par rapport à leurs camarades hétérosexuels. L’évaluation du risque de tentative de suicide a été analysée aussi à l’intérieur de chaque groupe de minorités sexuelles : les chiffres démontrent que les adolescents transgenres semblent les plus affectés par ce phénomène, suivis par les bisexuels et des homosexuels. »
Le suicide est la seconde cause de mortalité parmi les jeunes au niveau mondial, rappellent les experts. Bien que cette tendance avait déjà été démontrée dans d’autres études « pour la première fois a été accomplie une évaluation plus précise de la nature du phénomène chez les adolescents Lgbt ».
Un Cardinal canadien : Tuer les patients malades est « fondamentalement mal »
Le cardinal Collins parlant à la Marche nationale pour la vie du 11 mai 2017.
Par Pete Baklinski — traduit par Campagne Québec-Vie
Toronto, Ontario, 27 octobre 2017 (LifeSiteNews) — Le cardinal Collins a dénoncé l’euthanasie comme étant « fondamentalement mal » dans un discourt, hier [le 26 octobre].
Le Cardinal Collins, s’adressant aux plus de 1700 participants du Dîner du cardinal [événement archidiocésain] dans le centre-ville de Toronto le 26 octobre, disait que les « froides ténèbres de l’euthanasie » se « répandent à travers le pays » après que le Canada ait fait une loi régissant cette pratique, l’année passée.
![]() |
Le cardinal Thomas Collins au Dîner du cardinal du 26 octobre 2017. |
« Une réflexion sur notre réserve limitée de temps nous rappelle que nous ne sommes pas les maîtres, mais seulement les intendants de nos propre vie. Nous ne sommes pas propriétaires de la vie des autres, et nous ne sommes pas propriétaires de la vie confiée à chacun d'entre nous. Parce que nous ne sommes pas propriétaires de la vie humaine, la nôtre ou celle d'autrui, nous n'avons pas le droit de prendre la vie d'une autre personne, et nous n'avons pas le droit de prendre notre propre vie », a déclaré l'archevêque de Toronto.
Lire la suiteLégalisation de l’euthanasie : Au Québec on laisse maintenant mourir les patients suicidaires
Par Paul-André Deschesnes
Nous savons que le Québec a un des plus hauts taux de suicide au monde.
L’euthanasie a été légalisée avec de très sévères balises en décembre 2015. Celles-ci vont bientôt toutes disparaître quand le gouvernement fédéral imposera sa loi à toutes les provinces du Canada d’ici quelques mois.
En attendant la «belle mort» promise par Justin Trudeau, plusieurs médecins au Québec ne se gênent pas pour interpréter à leur manière la loi québécoise.
Dans le journal «Le Devoir» des 19 et 20 mars 2016, on nous informait que «des médecins laisseraient mourir des patients suicidaires» conduits en ambulance dans nos hôpitaux.
Tous ces «bons» docteurs semblent interpréter la loi québécoise sur l’euthanasie en affirmant que tous ces patients qui arrivent inconscients sous l’effet de doses massives de drogues et de médicaments ne veulent plus vivre et refusent indirectement sans le dire d’être soignés ou réanimés. Alors, on les laisse mourir.
Lire la suiteLa légalisation du suicide assisté augmenterait le nombre de suicides (y compris non assistés)
Le 25 novembre 2015 (Pour une école libre) -- Aaron Kheriaty, professeur associé en psychiatrie et directeur du programme d’éthique médicale à la Irvine School of Medicine de l’Université de Californie, s’arrête sur les effets des lois autorisant le suicide assisté sur les populations. Il s’appuie sur une étude réalisée il y a peu par des chercheurs britanniques, David Jones et David Paton, qui a démontré que la légalisation du suicide assisté dans certains États a mené à une augmentation des taux de suicides assistés et non assistés dans ces mêmes États.
Lire la suiteTrop de balises
Par Paul-André Deschesnes
Beloeil, le 23 novembre 2015 - Le 1er janvier 2016, l’euthanasie sera officiellement légale au Québec. Les hôpitaux seront en mesure d’offrir ce «soin dit de santé» au bon peuple québécois.
Plusieurs médecins auront donc été formés pour devenir des spécialistes de la «belle mort», comme on l’a si bien fait au cours des dernières décennies avec l’avortement.
Lire la suite« Laura », 24 ans, sera euthanasiée cet été. Elle est en très bonne santé
Femme triste - Pixabay
Par Jeanne Smits
La folie de l'euthanasie continue en Belgique. Ceux qui prévoyaient que cette dernière s'engageait sur une pente glissante qui l'enfoncerait de plus en plus dans l'horreur lorsqu'elle a adopté l'une des premières lois sur l'euthanasie au monde voient leurs avertissements confirmés. La dernière histoire est racontée par le quotidien belge De Morgen, qui a rencontré « Laura », candidate à l’euthanasie de 24 ans. Elle est en très bonne santé physique et est entourée de nombreux amis. Elle aime les sorties, au théâtre notamment, et le bon café. Sa vie prendra fin cet été. Pourquoi ? Parce qu’elle n’a pas envie de vivre. Les dépressions la tourmentent : depuis trop longtemps, elle s’imagine que « vivre, ce n’est pas son truc ».
L’histoire de la jeune femme est terrible. Elle naît dans une famille divisée par la violence et l’alcoolisme du père : la séparation s’impose en raison du danger, et la petite fille passe beaucoup de temps chez ses grands-parents maternels, qui lui offrent sécurité, affection, structure. Malgré tout, depuis la séparation, elle se demande ce qu’elle fait sur terre. À six ans, elle rêve de mettre fin à ses jours. C’est le début d’un long cauchemard, qui passe par l’automutilation, l’incompréhension et les souffrances.
L'année dernière, plus de 230 000 Ontariens (plus de 2% de la population) ont songé à se suicider...
Des chiffres effarants. Sur le site de Radio-Canada du 5 décembre 2014 :
(Photo : JoePenna sur flickr.com, licence creative commons)
Le nombre d'Ontariens de 18-29 ans qui disent souffrir de problèmes psychologiques ou mentaux a quadruplé de 2008 à 2013, selon une nouvelle étude.
Pendant ce temps, deux sénateurs canadiens veulent déposer un projet de loi pour protéger les médecins qui accueilleraient les demandes de suicide assisté...
Le suicide ? Pas question
Sur le site du journal La Voix de l'Est du 11 septembre 2014, un article à lire pour la journée mondiale de la prévention du suicide, dont voici un extrait :
(...)Directeur général de la commission scolaire du Val-des-Cerfs, André Messier, y est aussi allé d'une anecdote personnelle plutôt touchante, racontant avoir, comme enseignant, accompagné un jeune dans un grand moment de détresse. Il l'a revu récemment, 25 ans plus tard, père de deux enfants et respirant le bonheur. (...)
Quels que soient l'âge et l'état de santé, le suicide et l'euthanasie ne sont pas des options.
Lire la suiteLe suicide ? Pas question
Sur le site du journal La Voix de l'Est du 11 septembre 2014, un article à lire pour la journée mondiale de la prévention du suicide, dont voici un extrait :
(Photo : Mr. Caillou sur flickr.com. licence creative commons)
(...)Directeur général de la commission scolaire du Val-des-Cerfs, André Messier, y est aussi allé d'une anecdote personnelle plutôt touchante, racontant avoir, comme enseignant, accompagné un jeune dans un grand moment de détresse. Il l'a revu récemment, 25 ans plus tard, père de deux enfants et respirant le bonheur. (...)
Quels que soient l'âge et l'état de santé, le suicide et l'euthanasie ne sont pas des options.