Un Ontarien arrêté pour vente de produits pour se suicider
Par Alex Schadenberg (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Daniel/Adobe Stock
Un homme de la province d’Ontario (Canada), Kenneth Law, a été arrêté et inculpé de deux chefs d’accusation d’aide au suicide. Il est connu pour avoir aidé au suicide d’au moins sept personnes aux États-Unis et au Royaume-Uni.
Lucas Casaletto rapporte sur City News que :
Lire la suiteLa police régionale de Peel a annoncé l’arrestation d’un Ontarien de 57 ans à la suite de la distribution en ligne de nitrite de sodium dans la région du Grand Toronto, qui a entraîné deux décès.
Les autorités de la région de Peel ont ouvert une enquête à la suite d’un rapport du Times of London au Royaume-Uni. Ce rapport mentionnait qu’un résident de la région du Grand Toronto, Kenneth Law, avait vendu du nitrite de sodium, un produit légal mais mortel, à des personnes au Royaume-Uni et aux États-Unis, ce qui a entraîné sept suicides.
Le 31 mars, des agents de la région de Peel ont commencé à enquêter sur les circonstances d’une mort subite survenue en Ontario. On pense que Law a distribué et commercialisé la substance en ligne en ciblant les personnes susceptibles de se faire du mal.
Law a été arrêté par la police de Peel mardi et inculpé de deux chefs d’accusation de conseil ou d’aide au suicide. Il a comparu brièvement devant un tribunal de Brampton mercredi, où son affaire a été renvoyée à la semaine prochaine.
Une femme souffrant d’anorexie souhaite que l’euthanasie lui soit accessible
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Laurie Gagnon pour Campagne Québec-Vie — Photo : Maksim Shmeljov/Adobe Stock
Une Canadienne souffrant depuis 30 ans de dépression et d’anorexie a déclaré qu’elle était heureuse lorsque le gouvernement a promulgué l’aide médicale à mourir (AMM). Lorsqu’il a été annoncé que l’aide médicale à mourir pourrait être offerte aux personnes atteintes de maladies mentales, elle a eu l’impression d’avoir enfin le contrôle de sa vie. Pour elle, demander au gouvernement la permission de mourir est un acte de pouvoir.
« C’était la première fois de ma vie que je sentais que la plupart de mes douleurs et de mes souffrances pouvaient prendre fin — que je pouvais reprendre le contrôle parce que je ne veux plus continuer », a déclaré Agata Gawron. « Je ne veux pas prendre la place de quelqu’un qui peut être aidé. J’en suis au point où je ne veux pas être réparée. Je ressens de la force, car c’est moi qui fais enfin preuve de compassion envers moi même. »
Diagnostiquée pour la première fois à l’âge de 13 ans, Gawron a maintenant 43 ans et s’est battue contre la dépression et l’anorexie en essayant d’obtenir de l’aide de différents psychiatres. Elle affirme qu’aucun d’entre eux ne l’a aidée. « Je pense que mon état diffère un peu de la norme », dit-elle. « Certaines personnes développent des troubles alimentaires et beaucoup s’en remettent. Mais pour l’amour du ciel, ça fait plus de 30 ans que ça dure pour moi. »
Elle poursuit : « La plupart des psychiatres que j’ai consultés ne communiquent pas entre eux. Ainsi, chaque fois que je vois quelqu’un de nouveau, je dois répéter mon histoire et mes antécédents. Je ne vois aucune qualité de vie à passer d’un médecin à l’autre pour essayer de me guérir. »
Lire la suiteLa quête d’euthanasie d’un Canadien « transgenre »
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo (côtés flous rajoutés) : Facebook
3 mars 2023 (LifeSiteNews) — En janvier, j’ai écrit une colonne expliquant pourquoi je crois que le désespoir, le suicide assisté et le mouvement transgenre sont destinés à se rencontrer. Alors que les détransitionnés dévastés se débattent avec les retombées de leurs opérations et des hormones qu’ils ont prises, et réalisent qu’ils ont été rendus infertiles et incapables de fonction sexuelle avant d’être en âge de voter, de boire ou de conduire, je soupçonne que certains deviendront, tragiquement, suicidaires. En fait, j’ai noté que nous avons déjà vu cela se produire. Une femme belge a opté pour l’euthanasie après des opérations de changement de sexe bâclées ; un Néerlandais a récemment demandé un suicide assisté pour les mêmes raisons. On nous dit que des médicaments et des interventions chirurgicales irréversibles sont nécessaires pour prévenir les suicides. Sommes-nous sur le point de voir combien de suicides sont causés par ces « traitements » ?
Cela, selon Ryan Robert Skillen — qui s’identifie désormais comme une femme et se fait appeler Savannah Meadows — n’est pas son histoire. Après une enfance difficile et une vie de maladie mentale grave, il veut avoir accès au suicide assisté. Le National Post a publié un long article sur M. Meadows, qui condamne la décision du gouvernement de retarder l’autorisation du suicide assisté pour les personnes atteintes de maladie mentale parce qu’il veut utiliser ce « service ». Le Post, comme on pouvait s’y attendre, utilise les pronoms « elle » tout au long de l’article, qui ressemble à un article de propagande en faveur du suicide pour les personnes dépressives. Meadows a un long casier judiciaire et est clairement une personne très perturbée :
Lire la suiteMeadows a un médecin de famille mais n’est pas actuellement suivie par un thérapeute. Les psychiatres avec lesquels le National Post s’est entretenu n’ont pas pu faire de commentaires sur un cas particulier, mais ont déclaré qu’une personne se débattant seule dans ces circonstances serait en soi tragique … Elle a essayé des médicaments, de l’antipsychotique Abilify au Zoloft, un antidépresseur. Elle a suivi des consultations avec des psychiatres, des psychologues et des travailleurs sociaux, mais elle admet que ses antécédents de traitement ont été « irréguliers ». Elle n’a pas toujours pris ses médicaments dans le passé, à cause des effets secondaires. « Je suis anti-autorité et j’ai des traits narcissiques. C’est ce qui rend le traitement beaucoup plus difficile pour moi. » Elle a été hospitalisée, involontairement, au moins 10 fois pour des pensées suicidaires. Et si elle avait espéré que l’opération d’affirmation du genre serait la seule chose qui changerait les choses — « Je suis une femme maintenant, ce type appartient au passé, je peux l’effacer et aller de l’avant », se souvient-elle — son espoir que l’augmentation mammaire et la vaginoplastie seraient comme une baguette magique était une pensée fantaisiste, dit-elle, elle s’en rend compte maintenant. « Elles m’ont peut-être donné quelques bouffées d’air, mais ma tête est toujours sous la surface. »
Un professeur de l’Université de Yale suggère que les personnes âgées au Japon se suicident en masse
Par Francesca de Villasmundo (Médias-Presse-Info) — Photo : glowonconcept/Adobe Stock
Le Japon est un pays vieillissant. Payer les retraites de tous ces « inactifs » devient un réel problème qu’un professeur de Yale a résolu de manière définitive. Que les vieux se suicident est la solution miracle qu’il préconise pour sauver le Japon du vieillissement et diminuer également les coûts élevés en matière de sécurité sociale et de santé, tout en permettant le renouvellement du marché du travail.
Comment faire face au vieillissement rapide de la population japonaise ? La proposition-choc du professeur Yusuke Narita
Il y a beaucoup trop de gens inutiles dans le monde selon Yusuke Narita, un professeur d’économie de 37 ans à Yale, dont la solution au soi-disant problème est le « suicide de masse » forcé ou « seppuku » des personnes âgées. Parlant de l’euthanasie forcée des personnes âgées pour dépeupler le monde, Narita a déclaré que d’une manière ou d’une autre, les personnes âgées doivent mourir. Soit elles feront ce qu’il faut et commenceront à se suicider en masse, soit la « possibilité de le rendre obligatoire à l’avenir [fera] l’objet de discussions ».
Au Japon, le nombre de personnes qui se suicident est déjà parmi les plus élevés au monde. La recette du professeur de Yale se base sur une vieille recette japonaise : la mise en place du « seppuku », le rituel du suicide obligatoire imposé dans le Japon du XIXe siècle aux samouraïs qui ont déshonoré le pays.
Ces propos choquants ont été rapportés par le New York Times et relancés par tous les médias internationaux. Ils ne cessent de susciter l’étonnement mais l’assistant en économie de la prestigieuse université américaine a défendu ses positions.
Lire la suite« Mourir dans l’indignité. J’ai été témoin de la mort médicalement assistée de mon père »
Par Alex Schadenberg (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) — Photo : wirestock/Freepik
Le 26 novembre, Christopher Lyon a partagé sur son site un article au sujet de la mort médicalement assistée (euthanasie) de son père. J’ai republié certaines parties de cette histoire. Lyon la commence ainsi :
Lire la suiteMon père a été tué, devant ma famille et moi, par son fournisseur d’aide médicale à mourir (AMM), un médecin, dans une chambre d’hôpital numérotée de Victoria, en Colombie-Britannique, au cours de l’été 2021. Bien qu’il ait été à mi-chemin de la période d’évaluation de 90 jours requise pour les demandes d’aide médicale à mourir de la piste 2 (mort non prévisible), il est rapidement passé de la piste 2 à la piste 1 (mort prévisible), ayant réussi les deux évaluations requises.
Une semaine avant de mourir, il avait emménagé dans un appartement nouvellement rénové et aménagé dans le cadre d’un programme d’aide à la vie autonome. Il disait que la nourriture était bonne et qu’il appréciait le salon de coiffure interne. Deux jours plus tard, il a commencé à refuser la nourriture solide. Deux ou trois jours après, il est tombé, pendant une vague de chaleur qui a surchargé les ambulances et les auxiliaires médicaux locaux. Il a donc été laissé sur le sol de son appartement pendant six ou sept heures avant qu’une ambulance ne puisse l’atteindre car le personnel avait comme politique de « ne pas relever » [les personnes tombées]. Il était furieux. La première fois que ma famille et moi avons eu des nouvelles de son prestataire d’AMM, c’est à ce moment-là, quarante-huit heures avant sa mort. Mon père a indiqué que ses évaluateurs pouvaient contacter la famille à tout moment, on ne sait donc pas pourquoi nous n’avons pas été prévenus auparavant. On nous a simplement dit que mon père avait fait l’objet d’un suivi et que nous devions prendre des billets d’avion maintenant si nous voulions assister à son décès dans deux jours.
Le prestataire m’a dit qu’il avait fait l’objet d’un suivi parce que a) il avait commencé à refuser la nourriture solide (mais pas, comme nous l’avons découvert, les liquides caloriques), et b) que son taux élevé de globules blancs indiquait une infection qu’il ne voulait pas faire investiguer immédiatement. Apparemment, ces choix fugitifs ont servi de base pour qualifier sa mort de fixe et prévisible. Pourtant, on ne m’a jamais expliqué en quoi l’un ou l’autre de ces choix était irrémédiable ou constituait une mort imminente ou une perte de capacité.
Les mini chambres à gaz conçues pour l’euthanasie mettent mal à l’aise même les partisans du suicide assisté
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie
7 novembre 2022 (LifeSiteNews) — Le titre du Scottish Daily Express résume succinctement la réaction à une invention récente du médecin australien Dr Philip « Death » Nitschke : « Scandale : un scientifique soutient un projet de chambre à gaz pour l’Écosse ». Nitschke est devenu célèbre ces dernières années en raison de la promotion très médiatisée de ses « nacelles de mort à faire soi-même », des capsules hermétiques dans lesquelles les suicidaires peuvent s’enfermer et libérer un gaz d’azote qui les assomme en soixante secondes et les tue en dix. La mort n’est pas aussi rapide que la méthode de l’injection létale, mais elle a l’avantage d’éviter l’intervention d’autres personnes.
L’année dernière, M. Nitschke a commercialisé pour la première fois ses nacelles de mort « Sarco » en Suisse, pays qui se prête particulièrement bien au « tourisme du suicide », où les gens peuvent se rendre pour se faire tuer dans diverses stations thermales créées à cet effet. « Sarco » est l’abréviation de « sarcophage », mais l’appareil est conçu pour ressembler à un vaisseau spatial afin de symboliser le départ vers une nouvelle « destination », comme l’a fait remarquer un fournisseur suisse de services de suicide. Les sarcophages ont été exposés aux Pays-Bas et en Allemagne, mais n’ont été utilisés qu’en Suisse. M. Nitschke espère que ses nacelles de mort deviendront largement disponibles grâce à des modèles téléchargeables et à l’impression en trois dimensions.
Voici maintenant qu’il défend son invention imprimée en 3D auprès des Écossais. En effet, il a écrit au député libéral démocrate Liam McArthur, qui promeut un projet de loi sur le « suicide assisté », que ses nacelles élégantes « conduisent à une mort paisible, voire euphorique ». Il n’a pas précisé qu’il s’agissait d’une simple supposition, car il n’a manifestement pas testé lui-même la capsule. Les militants anti-euthanasie tels que le Dr Gordon Macdonald de Care Not Killing ont réagi avec horreur, notant que « les gens ordinaires seront choqués et consternés par la tentative de Philip Nitschke de faire pression pour l’utilisation de sa chambre à gaz personnelle si l’Écosse légalise le suicide assisté et l’euthanasie ».
Lire la suiteLe Canada manque de faucheurs pour répondre à la demande d’euthanasies
Par Kennedy Hall — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : otsphoto/Adobe Stock
27 octobre 2022 (LifeSiteNews) — Le National Post a publié un article soulignant le manque de médecins « volontaires » qui s’engageront dans le régime de suicide médical qui a pris le contrôle du système de santé canadien.
Au Canada, le terme euthanasie a été remplacé par un acronyme sacchariné. Au lieu de l’appeler par son nom — l’euthanasie, qui consiste à tuer des personnes malades — on l’appelle MAID (acronyme en anglais), qui signifie aide médicale à mourir (AMM, acronyme français).
« MAID » est un acronyme approprié, car les médecins qui tuent les malades et les personnes âgées sont littéralement des serviteurs de Satan (handmaids of Satan).
Il semble toutefois qu’il n’y ait pas assez de faucheurs pour répondre à la demande des Canadiens désireux de rejoindre leur destination éternelle comme des chiens dans une clinique vétérinaire.
L’article du Post fait référence à un rapport rédigé par divers professionnels de la santé sur l’état du suicide médical au Canada, et il y est écrit que les « risques moraux » sont l’une des principales raisons pour lesquelles il n’y a pas assez de médecins qui s’engagent dans cette tâche.
Les « risques moraux » sont en grande partie dus aux récents développements du cadre de l’Aide médicale à mourir (AMM) qui cherchent à englober une nouvelle catégorie de patients.
Selon l’ancien cadre, il n’y avait que ce qu’on appelle les patients de la « voie 1 », c’est-à-dire les personnes « en fin de vie » qui vont probablement mourir de maladie.
Cependant, l’adoption l’année dernière du projet de loi C-7 autorise les patients de la « voie 2 », ce qui signifie que les personnes malades qui ne font pas face à une « mort imminente » et « naturelle » peuvent choisir de mettre fin à leur vie avec l’aide d’un médecin.
Apparemment, cela va trop loin, même pour les médecins spécialisés dans le suicide assisté.
Lire la suiteTucker Carlson : les études montrent que les opérations transgenres entraînent « 19 fois plus de risques de suicides »
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
21 septembre 2022 (LifeSiteNews) — L’animateur de Fox News Tucker Carlson a démenti l’affirmation selon laquelle les chirurgies transgenres préviennent les suicides, affirmant que les personnes qui sont passées par ces opérations destructrices sont en fait beaucoup plus susceptibles de se suicider que celles qui n’en ont pas obtenu.
Dans un clip publié sur les médias sociaux par le Daily Caller lundi, Carlson a déclaré que des militants « avec un agenda sexuel, pas un agenda politique, ont poussé si fort pour rendre » la chirurgie transgenre « légale et ensuite à la mode que nous n’y avons pas fait attention. Mais les chiffres sont là ».
Dans son monologue, Carlson a fait référence à une étude de cohorte suédoise publiée en 2011. Selon le résumé de l’étude, « les personnes atteintes de transsexualisme, après une réassignation sexuelle, présentent des risques considérablement plus élevés de mortalité, de comportement suicidaire et de morbidité psychiatrique que la population générale. »
Carlson a expliqué que, d’après les recherches qui ont porté sur les résultats réels sur trois décennies, les personnes qui ont obtenu ce qu’on appelle des « chirurgies d’affirmation du genre » étaient « 19 fois plus susceptibles de se suicider que les personnes qui n’en avaient pas eu ; la population générale. »
Tucker Carlson: "People that underwent 'gender-affirming surgery' were 19 times more likely to kill themselves than people who hadn't." pic.twitter.com/xXG0fwn2BR
— Daily Caller (@DailyCaller) September 20, 2022
« Ce n’est pas une histoire ? Vraiment ? », a dit Carlson, en soutenant que les médias traditionnels « ne couvrent pas du tout cela. Ils l’encouragent. »
Le populaire animateur de Fox News a en outre noté que les défenseurs de l’idéologie transgenre « cachent la réalité » des opérations chirurgicales destructrices permanentes « derrière des euphémismes », faisant passer la castration réelle pour des « soins d’affirmation du genre ».
Alors que les défenseurs des transgenres citent souvent des statistiques pour affirmer que les soins dits « d’affirmation du genre » contribuent à réduire les idées suicidaires, une étude du JAMA de 2021 a révélé que les efforts « pour démontrer empiriquement les avantages pour la santé mentale de la chirurgie d’affirmation du genre ont généré des résultats mitigés ».
Lire la suiteUne étude révèle que l’utilisation de bloqueurs de puberté et d’hormones sexuelles augmente le taux de suicide chez les jeunes
Par Everyday for Life Canada — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Basicdog/Adobe Stock
Une étude récente de Jay P. Greene, chargé de recherche principal au Center for Education Policy de la Heritage Foundation, devrait inquiéter les parents et tous ceux qui proposent des hormones sexuelles à des jeunes souffrant de confusion de genre. L’étude s’intitule « Puberty Blockers, Cross-Sex Hormones, and Youth Suicide ». Greene constate que l’accès facile aux bloqueurs de puberté et aux hormones n’a pas réduit le risque de suicide, mais l’a plutôt augmenté. Cette constatation est d’autant plus inquiétante que les commissions scolaires, les gouvernements et même les médecins encouragent l’utilisation généralisée de ces substances. Ce mois-ci, les écoles de l’Ontario célèbrent le mois de la fierté, arborant l’arc-en-ciel et faisant la promotion de toutes les lettres de lgtbq, où le « t » signifie transgenre. (Nous refusons intentionnellement de mettre en majuscules cet acronyme).
La présente recherche soulève cette question importante : comment aidons-nous les plus vulnérables si notre intervention, en fournissant des bloqueurs de puberté et des hormones transsexuelles, fait augmenter le taux de suicide chez les 12-23 ans ? Nous ne le faisons pas. On nous dit pourtant que c’est le contraire qui se produit. Ces produits sont censés sauver la vie des enfants et prévenir les suicides. C’est la seule véritable raison pour laquelle un parent prendrait la décision difficile d’accepter d’utiliser ces substances qui altèrent la vie et peuvent arrêter le développement naturel d’un enfant.
Au lieu de cela, sommes-nous en train d’expérimenter avec des enfants souffrant de confusion de genre et de les exposer à un risque plus élevé ? Les résultats de cette étude sont tristes et effrayants, oui. Nous devrions mettre un terme à ce qui s’apparente à de la maltraitance d’enfants. Les parents doivent faire ce qu’ils peuvent pour protéger leurs enfants de cette dangereuse thérapie d’affirmation du transgenre.
Dans une série de Tweets, Greene décrit ses conclusions. Ce sont tous des messages informatifs qui méritent d’être lus. Les lecteurs peuvent également souhaiter examiner les graphiques dans le lien, et lire l’étude dans son intégralité. Dans cet article, nous publions les Tweets de Greene :
Lire la suiteMa nouvelle étude, publiée aujourd’hui, révèle que la facilitation de l’accès aux bloqueurs de puberté et aux hormones transsexuelles a en fait augmenté les taux de suicide chez les jeunes, contrairement aux affirmations de l’administration Biden, des défenseurs de la cause et des recherches antérieures erronées. 1/
La nouvelle étude examine une expérience politique naturelle qui s’est produite parce que certains États ont des dispositions permettant aux mineurs de recevoir des soins de santé sans le consentement parental, du moins dans certaines circonstances, tandis que d’autres États ne le permettent pas. 2/
Un militant écologiste canadien demande l’euthanasie en raison de son « éco-anxiété » climatique
Howard Breen.
Par Kennedy Hall — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
27 mai 2022, Vancouver (LifeSiteNews) — Un homme de Vancouver, Howard Breen, a fait une demande d’euthanasie auprès du système de santé de la Colombie-Britannique en raison de son « éco-anxiété ».
M. Breen n’est pas atteint d’une maladie en phase terminale, mais il souhaite mettre fin à sa vie en raison d’une souffrance mentale qui aurait été provoquée par le changement climatique ─ ou du moins par sa perception de ce qu’est le changement climatique et de ses conséquences potentielles.
Avant de penser qu’il se raccroche à n’importe quoi et fait appel à la dépression ou à la mélancolie générale en l’associant à ses opinions sur le climat, notons qu’il a été officiellement diagnostiqué comme souffrant d’« éco-anxiété et de dépression liée à la biosphère ».
Breen a déclaré à Vice Magazine : « Cela devient débilitant, la dépression que je ressens concernant l’état des choses, et mon incapacité à ne pas être particulièrement inquiet pour l’avenir de mes enfants est une énorme préoccupation pour moi. »
Sa page Facebook personnelle fait la lumière sur sa disposition psychologique.
Il a écrit : « JE NE SUIS PAS EN PHASE TERMINALE — MAIS MA PLANÈTE LE SERA BIENTÔT !... J’ai été le premier Canadien à faire une demande d’AMM [c’est-à-dire la prétendue aide médicale à mourir] pour l’anxiété liée au climat et à la nature parce que je ne voulais pas qu’un autre de mes amis activistes opte pour une autodélivrance sans pitié de leur profond désespoir. »
Il a ensuite reproché aux conservateurs du parlement fédéral de ne pas soutenir le suicide pour des raisons telles que l’éco-anxiété ─ je ne suis pas sûr qu’il y ait des preuves à cet égard ─ et il a reproché au premier ministre John Horgan de la Colombie-Britannique d’avoir « directement contribué au profond sentiment d’échec et, finalement, aux suicides en catastrophe de mes camarades ».
Il a menacé de mourir de soif en ne buvant pas d’eau afin de sauver les forêts anciennes, et a déclaré que ses derniers mots seraient « Honte à Horgan du NPD [d’extrême gauche] ! »
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