Une jeune fille suédoise voulait être un garçon, mais les bloqueurs de puberté l’ont fait souffrir en permanence
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : kittipong/Adobe Stock
2 mai 2022, Stockholm (LifeSiteNews) — Les os d’une jeune adolescente ont été tellement affaiblis par les bloqueurs de puberté qu’elle a maintenant du mal à marcher.
Une chaîne de télévision suédoise, Uppdrag Granskning, a récemment produit un documentaire d’enquête révélant les abus commis sur les enfants par la thérapie transgenre. Le film montre la souffrance d’une fillette, qui a pris le nom de Leo, qui a subi de graves préjudices en subissant une transition.
La mère de la fille, Natalie, se souvient que « Leo était petite quand elle a voulu devenir un “il”. J’ai pensé que puisque c’était son souhait, je devais l’accepter. Tout le monde a dit que Leo était courageux de faire son coming-out [en tant que transsexuel], et que je devais être fière de lui. »
En conséquence, Natalie a emmené sa fille à l’hôpital universitaire Karolinska de Stockholm pour la procédure. Selon le Daily Mail, Leo a commencé à tenter de changer de sexe à l’âge de onze ans.
Dans le cadre du traitement, on lui a administré des bloqueurs de puberté afin de stopper son développement normal en tant que femme. Malheureusement, ces produits ont eu des effets secondaires graves et inattendus. Après son traitement, Leo a commencé à souffrir de lésions du squelette et de retards de croissance. Elle a également souffert de fractures vertébrales et d’ostéopénie, un état dans lequel les os sont affaiblis et plus enclins à se briser.
Deux des vertèbres de Leo ont changé de forme, et ses os sont devenus poreux. Les tests de densité osseuse et des radiographies de Leo ont été montrés à Ola Nilsson, le principal spécialiste suédois des hormones infantiles.
« Il semble que ce patient ait des fractures vertébrales, et c’est grave », a rapporté Ola Nilsson. « Il y a des raisons de s’inquiéter. Si vous êtes sous bloqueurs de puberté pendant une longue période, il y a un risque de lésions osseuses. »
Lire la suiteDébut du procès du député Päivi Räsänen, poursuivi pour condamnation de l’homosexualité en citant la bible
Le député finandais Päivi Räsänen.
Par le Visegrád Post
Article paru dans le Magyar Nemzet le 14 février 2022.
C’est en présence de quelques dizaines de manifestants pacifiques et de nombreux journalistes qu’a commencé lundi la deuxième audience du procès de la députée finlandaise Päivi Räsänen, à qui il est reproché d’avoir cité la Bible et réaffirmé les enseignements de l’Église. Cette ancienne ministre de l’Intérieur doit se défendre de l’accusation d’incitation à la haine contre un groupe social, soulevée par le parquet de Helsinki en rapport avec trois de ses déclarations. L’une d’entre elles remonte à 2004 ! L’exhumation d’un pamphlet d’ailleurs rédigé aux fins d’un usage clérical fait que toute l’affaire ressemble davantage à un procès politique qu’à une procédure conforme à la constitution et au droit finlandais.
Lundi matin, à leur arrivée au Tribunal d’Arrondissement de Helsinki, les participants du procès ont été accueillis par une manifestation pacifique de soutien à Räsänen. Outre les pancartes en finnois, ces quelques dizaines de manifestants brandissaient les traductions en diverses langues du slogan « Päivi, on est avec toi ! »
La pancarte en langue hongroise était brandie par une Finnoise qui a vécu sept ans à Budapest. Elle a affirmé que Räsänen ne devrait pas être condamnée pour avoir parlé conformément à sa foi, car cela irait à l’encontre des valeurs de la Finlande.
L’accusée est arrivée devant la salle d’audience la tête haute, à travers un couloir plein de journalistes, après quoi cette députée fragile, mais toujours souriante, a patiemment répondu aux questions de ces derniers. Aux questions de Magyar Nemzet, Räsänen a répondu qu’elle n’était « pas inquiète, et sûre de gagner son procès ».
Elle a déclaré ne rien regretter et ne rien vouloir retirer de ce qu’elle a dit, car tout ce qu’elle a dit est fondé sur la Bible, et conforme à sa foi. Qu’elle continuera à se battre pour la liberté d’expression et la liberté religieuse, et qu’aucune sentence ne pourra y changer quoi que ce soit. Elle a tenu à souligner l’importance qu’a eue pour elle la manifestation de soutien organisée dimanche à Budapest, à l’occasion de laquelle trois mille personnes ont pris sa défense, et la reconnaissance que cela lui inspire envers les Hongrois.
Lire la suiteLe confinement pourrait avoir tué plus de Canadiens que le covid en 2020, malgré ce qu’on fait dire aux chiffres
Par Kennedy Hall — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Gorodenkoff/AdobeStock
20 octobre 2021 (LifeSiteNews) — L’Agence de la santé publique du Canada (ASPC) a publié un rapport intitulé COVID-19 and deaths in older Canadians : Excess mortality and the impacts of age and comorbidity [COVID-19 et les décès chez les Canadiens âgés : La surmortalité et les impacts de l’âge et de la comorbidité]. Il s’agit d’un aperçu des données globales concernant les décès associés au COVID-19 au Canada en 2020.
Le rapport met l’accent sur ce que le gouvernement estime être l’effet disproportionné des décès « avec COVID » sur les personnes âgées et infirmes, principalement dans les maisons de soins infirmiers et de soins de longue durée (SLD).
Selon le document, le Canada a enregistré un peu plus de 16 000 décès excédentaires en 2020, sur la base des estimations relatives aux moyennes annuelles jusqu’en 2020. Le rapport ne précise pas combien de décès ont été enregistrés comme ayant été associés à un diagnostic de COVID-19, mais Statistique Canada affirme qu’il y a eu près de 15 300 décès de ce type.
Il convient de noter que, quelle que soit la véracité des informations fournies par les gouvernements fédéral et provincial concernant le COVID-19, les estimations sont essentiellement des suppositions éclairées, de sorte qu’une fluctuation dans une direction ou une autre ne signale pas nécessairement un changement notable de la maladie dans un pays. Il existe une myriade de facteurs qui pourraient entraîner une hausse ou une baisse de la mortalité contraire à ce qui avait été estimé. Cela dit, une allégation de 16 000 décès excédentaires dans le contexte canadien n’est pas insignifiante.
Selon le rapport, le gouvernement s’attendait à ce que 295 379 décès surviennent dans l’ensemble de la population canadienne en 2020, mais 309 912 décès ont été observés cette même année. Sur le total des décès enregistrés, près de 250 000 étaient des adultes de 65 ans et plus, ce qui est prévisible compte tenu de l’espérance de vie au Canada.
Lire la suiteLes mesures de confinement ont coûté plus de vies qu’elles n’en ont sauvées : étude
Kenton Biffert — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pikist
15 septembre 2021 (LifeSiteNews) — Une étude réalisée en juin a révélé que les mesures de confinement augmentent le taux de mortalité.
L’étude, réalisée par des chercheurs de la RAND Corporation, organisme non partisan, et de l’Université de Californie du Sud, a comparé le nombre de décès non liés au coronavirus enregistrés avant la quarantaine COVID-19 à celui des décès non liés au coronavirus enregistrés pendant la quarantaine.
« Nous constatons qu’après la mise en œuvre des politiques de mise à l’abri en restant sur place (Shelter-in-place, SIP), la surmortalité augmente », écrivent les chercheurs. Les chercheurs ont utilisé le terme SIP comme un terme générique pour désigner les mesures de confinement, confinement à la maison et autres décrets draconiens similaires.
Les chercheurs ont analysé les statistiques de 43 pays et de la plupart des États américains. Certains de ces pays et de ces États se sont lancés immédiatement dans la quarantaine. D’autres ont attendu un certain temps avant de le faire. Dans les deux cas, le schéma était le même : on a constaté une augmentation des décès non liés au COVID ou aux décès excédentaires.
Selon l’étude, l’isolement résultant des mesures de confinement peut avoir entraîné « plusieurs conséquences involontaires importantes », telles que le chômage, l’augmentation du stress et de l’anxiété, la toxicomanie, les suicides, l’augmentation de la maltraitance des enfants et de la violence domestique, et l’impossibilité pour les personnes ayant besoin de soins médicaux (tels que les dépistages du cancer) d’y accéder en raison des restrictions imposées par les hôpitaux.
En outre, la recherche a noté que certains pays qui « ont mis en œuvre des politiques SIP ont connu une baisse de la surmortalité avant la mise en œuvre ». Ces pays avaient enregistré une baisse de la surmortalité avant la [prétendue]* pandémie. Après les mesures de confinement, la surmortalité enregistrée a augmenté. Des îles comme l’État d’Hawaï étaient la seule exception.
Lire la suiteLa Suède interdit les bloqueurs de puberté dans les « transition » des enfants de moins de 16 ans
Par Francesca de Villasmundo (Médias Presse Info) ― Photo : Hero Images/AdobeStock
La très progressiste Suède donne un coup d’arrêt à la très progressiste idéologie du genre ou quand le réel rattrape l’irréel.
Tout comme dans le reste de l’Europe, voire du monde occidental déchristianisé et sans repère, la propagande arc-en-ciel travaille à un rythme forcé pour imposer les diktats de l’univers arc-en-ciel, mais des nouvelles arrivant d’Europe du Nord contredisent complètement le dogme de genre du « changement de sexe » comme moyen de bonheur. La Suède a en effet décidé d’arrêter les bloqueurs de puberté pour les enfants de moins de 16 ans.
Les traitements pour bloquer le développement de l’adolescent sont liés à « des conséquences indésirables importantes et irréversibles telles que les maladies cardiovasculaires, l’ostéoporose, l’infertilité, un risque accru de cancer et de thrombose ». Avec un communiqué de presse de l’hôpital Karolinska, un hôpital universitaire du comté de Stockholm, la Suède progressiste met un terme à l’idéologie trans en protégeant les mineurs de moins de 16 ans.
Il s’agit d’un tournant important qui rejette sans réserve l’idée que les adolescents atteints de dysphorie de genre doivent subir des procédures préliminaires de réassignation sexuelle. Plus précisément, l’hôpital a défini les traitements pour bloquer le développement des adolescents souffrant de dysphorie de genre comme « controversés » et potentiellement liés à des « conséquences néfastes étendues et irréversibles telles que les maladies cardiovasculaires, l’ostéoporose, l’infertilité, un risque accru de cancer et de thrombose ». Pour cela, la Suède se démarque à la fois des lignes directrices du Wpath (acronyme qui signifie World Professional Association for Transgender Health), et du soi-disant « protocole néerlandais ».
Lire la suiteUn ministre suédois invite les Polonaises à se faire avorter en Suède
Åsa Lindhagen, ministre de l'Égalité des sexes de Suède.
Par Micaiah Bilger (LifeNews) ― Traduit par Campagne Québec-Vie
Une haute responsable de la santé en Suède a invité la semaine dernière les femmes polonaises à venir avorter leurs enfants à naître, après que le Tribunal constitutionnel de Pologne eût décidé de protéger les enfants à naître handicapés contre les avortements discriminatoires.
Le ministre suédois de l’Égalité des sexes, Åsa Lindhagen, a également suggéré que les contribuables suédois paient ces avortements afin que les femmes polonaises puissent avorter dans son pays, rapporte Sputink News.
« Laissons les femmes polonaises se faire avorter en Suède ! » écrit Lindhagen sur Instagram. « Il est temps pour la Suède de défendre les femmes polonaises de la même manière que la Pologne le fit pour nous ! Dans les années 1960, lorsque l’avortement fut interdit en Suède, des milliers de femmes suédoises se rendirent en Pologne où l’avortement était légal ». À l’époque, la Pologne était sous régime communiste.
Aujourd’hui, la Pologne, un pays largement catholique, protège les enfants à naître contre les avortements dans presque toutes les circonstances. Le 22 octobre, son Tribunal constitutionnel a invalidé l’une des rares exceptions autorisées par sa loi de 1993 sur l’avortement, à savoir les avortements des bébés à naître handicapés. Les juges ont décidé que cette exception violait la constitution car elle était discriminatoire envers des êtres humains handicapés.
Lire la suiteAvortement : les entités de l’ONU font pression sur le Malawi
Par Rebecca Oas (C-Fam) — Photo : Pxfuel
Les législateurs du Malawi sont confrontés à de fortes pressions pour libéraliser les lois sur l’avortement du pays pendant la session parlementaire en cours. Les chefs religieux demandent que le projet de loi sur l’interruption de grossesse [avortement*] soit abandonné. Pendant ce temps, les organisations bénéficiant de sources de financements internationaux, ainsi que les entités des Nations Unies, se coordonnent pour s’assurer que le projet de loi soit adopté.
À l’heure actuelle, le Malawi n’autorise l’avortement que pour sauver la vie de la mère [l’avortement n’est jamais « nécessaire » (dans le sens machiavélique) pour la vie de la mère*]. Le projet de loi permettrait des avortements « sûrs » et « légaux » en cas d’anomalies fœtales, de viol ou d’inceste, et si la grossesse est censée menacer la santé physique ou mentale de la mère. La Fraternité chrétienne de médecine et de médecine dentaire du Malawi a souligné que des exceptions similaires en matière de santé ont « conduit d’autres pays à pratiquer réellement l’avortement à la demande ». Il est également à noter que si l’exception pour viol et inceste a une limite de gestation de 16 semaines, il n’y a pas de telle restriction sur l’exception liée à la santé.
Un projet de loi similaire fut présenté en 2017, un an après qu’une Commission spéciale du droit eut publié un rapport appelant à des modifications des lois nationales sur l’avortement. La Commission du droit a cité l’organisation internationale pro-avortement Ipas, basée aux États-Unis, comme assurant le financement du projet.
L’un des partisans les plus ardents du projet de loi proposé est Emma Kaliya, présidente de la Coalition pour la prévention des avortements à risque (COPUA). Le COPUA a été créé en 2010 avec le soutien d’Ipas, après qu’Ipas, avec le ministère de la Santé du Malawi et l’Organisation mondiale de la santé (OMS), eut mené une évaluation stratégique nationale sur l’avortement.
Un autre groupe de soutien clé du projet de loi est le Center for Solutions Journalism, également basé au Malawi, qui reçoit un financement d’Ipas, du COPUA et d’Amplify Change, une organisation qui promeut l’avortement et d’autres projets de « santé et droits sexuels et reproductifs » dans les pays en voie de développement, financée par le Danemark, les Pays-Bas, la Suède, le Royaume-Uni et d’autres fondations basées dans les pays occidentaux.
Lire la suiteDes groupes internationaux pro-avortement poussent la libéralisation de l’avortement en Namibie
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie - Photo : PxHere
La Namibie, pays africain, est sur le point d’envisager la légalisation de l’avortement, sous la pression d’organismes étrangers. Selon Right to Life UK, la Namibie dispose actuellement de lois parmi les plus permissives d’Afrique, autorisant les avortements pour cause de viol, d’inceste ou de risque pour la santé de la mère ou du bébé. Suite à la démarche d’organismes étrangers visant à étendre les mesures de santé sexuelle et reproductive [avortement, contraception, etc.] dans les pays africains comme la Namibie, certains membres du Parlement indiquent maintenant vouloir lever les restrictions et autoriser l’avortement sur demande.
Fin juin, le ministre de la Santé Kalumbi Shangula déclara aux Namibiens qu’il ferait pression pour légaliser l’avortement, à condition qu’il reçût un soutien suffisant des femmes. « La question de l’interruption de grossesse ne doit pas être influencée par la politique ou la religion. Toute loi qui a dépassé son but peut être abrogée », déclara-t-il. Suite à cette déclaration, une femme du pays a fait circuler une pétition pro-avortement, recueillant rapidement plus de 6 000 signatures.
Peu après la déclaration de Shangula, le vice-ministre de la Santé de Namibie, Esther Muinjangue, déposa une motion pour que le Parlement envisageât de légaliser l’avortement. Elle fit part de son inquiétude quant au fait que les femmes sont souvent impliquées dans des avortements illégaux d’« arrière-cour ». « Ma crainte porte plutôt sur l’effet psychologique que les femmes subissent. C’est un fait bien connu que les femmes vont dans les pays voisins, où l’avortement a été légalisé », déclara-t-elle.
Lire la suiteSuède : euthanasie dans les maisons pour personnes âgées, protocoles eugéniques
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : prostooleh/Freepik
En Suède, comme dans d’autres pays, le gouvernement a émis des protocoles pour le tri des personnes afin, prétendait-il, d’éviter l’engorgement des hôpitaux devant la « pandémie » coronaviresque. Mais, non seulement les hôpitaux n’ont pas été submergés mais cela a donné que des médecins de résidences pour personnes âgées prescrivaient aux malades un mélange « palliatif » de médicaments, au lieu d’oxygène, ce qui amenait ou accélérait leur mort par suffocation, selon LifeNews :
« Les gens étouffaient, c’était horrible à regarder. Un patient me demanda ce que je lui donnais quand je lui faisais l’injection de morphine, et je lui ai menti », a déclaré Latifa Löfvenberg, une infirmière. « Beaucoup sont morts avant leur heure. C’était très, très difficile ».
Aura-t-on compter ces décès, pour ceux qui avaient le coronavirus, dans le nombre des victimes du coronavirus quand il aura en fait été tué par un mélange de produits ? Précisons que la moitié des décès attribués au coronavirus en Suède sont survenus dans des résidences pour personnes âgées.
De la place dans les hôpitaux :
« Ces directives ont trop souvent eu pour conséquence que les patients âgés se sont vus refuser des traitements, même lorsque les hôpitaux fonctionnaient en dessous de leur capacité », selon les critiques qui se sont adressées à la WSJ. « Le taux d’occupation des unités de soins intensifs du pays, par exemple, n’a pas encore dépassé 80 %, selon les responsables gouvernementaux ».
« Les salles de soins intensifs étaient relativement vides », a déclaré le Dr Cecilia Söderberg-Nauclér, de l’hôpital universitaire de Karolinska. « Les personnes âgées n’ont pas été amenées à l’hôpital — on leur donne des sédatifs mais pas d’oxygène ni de soins de base ».
Yngve Gustafsson, spécialiste en gériatrie à l’université d’Umeå, a déclaré au BMJ que la proportion de personnes âgées aux soins respiratoires dans tout le pays était plus faible qu’à la même époque un an auparavant, même si les personnes de plus de 70 ans étaient les plus touchées par le Covid-19. Il s’est lui aussi dit horrifié par la pratique des médecins qui prescrivent par téléphone un « cocktail palliatif » aux vieillards malades dans les maisons de soins.
« Il arrive souvent que les personnes âgées reçoivent de la morphine et du midazolam, qui inhibent les voies respiratoires », a-t-il déclaré au journal Svenska Dagbladet.
Je trouve que l'on abuse du terme « palliatif » qui n'est en aucun cas un synonyme d'euthanasie.
Comme une exécution :
Et s’exprimant dans le quotidien Aftonbladet, un autre journal, il a été plus précis :
Dans les maisons de retraite, en principe, seuls les soins palliatifs sont prescrits, ce qui signifie que vous recevez de la morphine, du midazolam et de l’haldol pour éviter les nausées et les vomissements provoqués par la morphine. Il s’agit d’un traitement qui conduit certainement à la mort à près de 100 %. Donner à la fois du midazolam et de la morphine inhibe la respiration. Si vous avez du mal à respirer, vous subissez rapidement un tel manque d’oxygène que vous en mourez.
Est-ce que c’était de l’euthanasie ? Gustafsson est franc. Oui, il a dit. « Oui, je pourrais presque imaginer utiliser des mots encore plus forts. C’est la même chose que pour des personnes qui se font exécuter. C’est en gros une méthode efficace à 100 %, un peu comme la chaise électrique. C’est à peu près aussi efficace ».
Dénoncer la tromperie pour regagner sa liberté : Libre opinion sur la pandémie 2020
Par Vincent Mathieu, Ph. D.
Note de la rédaction : Depuis plusieurs semaines des populations entières sont réduites à un confinement forcé, seule solution, nous affirment les gouvernements de bien des pays, ou du moins seule solution en attendant le vaccin qui nous sauvera tous. Avec le temps qui s’est écoulé depuis l’annonce de la « pandémie » du coronavirus, on a pu étudier, comparer, constater les pour et les contre des tenants de cette situation catastrophique.
Le confinement a condamné l’économie de nombreuses nations à un avenir peu reluisant, toute activité « non essentielle » a été interrompue, la liberté de circuler a été plus ou moins restreinte selon les endroits, on a quasi séquestré les personnes âgées, ne leur permettant même pas le réconfort de voir leurs proches, visites souvent essentielles pour leur santé. Les gouvernements augmentent de façon hallucinante leur dette. Et par-dessus tout cela, on a matraqué les populations par un battage médiatique monstrueux, transmettant les nouvelles morbides de l’État ; depuis, la peur du virus règne dans les cités...
Mais les conséquences des mesures prises à travers le monde sont-elles justifiables ? La santé publique était-elle à ce prix, encore incalculable, et surtout, les futures mesures que l’on prévoit nous imposer sont-elles raisonnables ?
De nombreuses questions valaient largement la peine que l’on se penchât dessus, davantage même devant les incohérences des gouvernements et des instances internationales qu’il fallait gober jour après jour ; le confinement était-il vraiment la seule solution ? Le confinement n’est-il pas au contraire nuisible ? Le coronavirus est-il aussi dangereux que l’on nous l’a décrié ? Et si les règlements mis en place étaient vains, pourquoi les avoir érigés ? Pourquoi inspirer la peur à tant de peuples ?
Vincent Mathieu, psychologue, tente d’éclaircir les tenants de cette crise, qui paraît de plus en plus en être une du mensonge, dans un texte fortement documenté et fermement appuyé.
Vincent Mathieu est psychologue et thérapeute de groupe. Il a fait un doctorat en psychologie en 2019 à l’Université de Laval et s’est spécialisé au cours de son doctorat sur les questions de l’empathie et des pathologies antisociales et narcissiques. Il a travaillé à l’Institut Philippe-Pinel de Montréal pendant deux ans au cours de la rédaction de sa thèse.
Une version PDF de cet article est disponible, ici. — A. H.
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Libre opinion sur la pandémie 2020
L’éclosion de la Covid-19 qui est d’abord survenue en Chine à l’automne 2019 ne semblait pas, à ce moment, annoncer une crise d’une telle ampleur en Occident. Au Québec, on parlait du nouveau coronavirus (Sars-Cov-2) comme d’un virus certes contagieux, mais qui ne menaçait pas la santé des Québécois plus qu’il n’en faut. Divers experts relayés dans les journaux indiquaient que la grippe saisonnière faisait plus de morts que ce nouveau virus, que le Sars-Cov-2 était moins à craindre que l’influenza avec laquelle nous avons à composer cycliquement et qui mène annuellement à environ 3500 décès au Canada, 295 000 à 600 000 dans le monde. [1] [2]
Tout à trac, au début du mois de mars, le narratif a changé. À la suite de l’annonce de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) qui déclarait l’état de pandémie, la plupart des pays occidentaux ont réagi en contraignant la circulation aérienne et en fermant les frontières. S’en sont suivi les déclarations d’urgence sanitaire qui ont mené à la prise du pouvoir par les directions de santé publique (DSP). Ce dernier aspect est primordial, car de cette prise de pouvoir a découlé la mise à l’arrêt de la plupart des secteurs économiques et de la vie sociale. Au cours de cette période, il est important de bien réaliser que les rênes de l’état étaient données aux DSP (Dr Horacio Arruda au Québec). Autrement dit, la loi d’urgence sanitaire dépossède, à même titre que la loi martiale, les citoyens de leurs droits et libertés en vue de les protéger d’une situation de crise majeure. Il va sans dire que la mise en place de ces lois opposées à la démocratie et au droit civil ne doit se faire que dans des situations d’urgence extrême. On nous a donc dit, sur la base de chiffres donnés par l’OMS [3], que la situation était d’une urgence extrême. Les courbes statistiques basées sur ces données prévoyaient par exemple la mort d’environ 60 000 Québécois et 2 millions d’Américains si nous ne procédions pas aux mesures de confinement. Des chiffres qui donnent froid dans le dos et qui auraient justifié les mesures d’urgence sanitaire prises par les gouvernements. Le problème, c’est que ces prédictions se sont avérées exagérées. Plusieurs spécialistes ont effectivement mis en cause la crédibilité des données de l’OMS en ce qui a trait au taux de mortalité sur la base de deux grandes questions : quel est le nombre de cas réellement atteints du coronavirus et combien de personnes en meurent directement.
Tout d’abord, le nombre de cas atteints du virus est sous-estimé. Des données chinoises [4], allemandes [5] et américaines [6] [7] suggèrent que le nombre de cas infectés à la Covid-19 était, dès le début de la pandémie, de beaucoup supérieur à celui rapporté par les autorités de santé publique. Si l’on se fie à ces données, les personnes infectées par le Sars-Cov-2 étaient donc probablement déjà nombreuses dans la « population saine » lorsque les premiers taux de mortalité et les premières prédictions alarmistes ont été dévoilés à la population. Puisque les diverses DSP nationales, avec l’OMS comme chaperon, ont calculé les taux de mortalité en fonction du nombre de cas confirmés ou en fonction d’un nombre de cas inférieur au nombre de cas réels (c’est-à-dire en excluant bon nombre de cas asymptomatiques ou des personnes qui développent des formes bénignes de la Covid-19 sans jamais se faire tester), il va de soi que le taux de mortalité en ait été gonflé. Voici ce que déclarait le Dr Antony Fauci et ses collaborateurs dans une note éditoriale du New England Journal of medecine publiée le 28 février 2020 [8] :
Lire la suiteSi l’on suppose que le nombre de cas asymptomatiques ou peu symptomatiques est plusieurs fois plus élevé que le nombre de cas signalés, le taux de létalité peut être considérablement inférieur à 1 %. Cela suggère que les conséquences cliniques globales de COVID-19 pourraient finalement être plus proches de celles d’une grippe saisonnière sévère (qui a un taux de létalité d’environ 0,1 %) ou d’une grippe pandémique (similaire à celles de 1957 et 1968).