Naomi Wolf affirme que les injections covid provoquent une surmortalité chez les nouveau-nés et les enfants à naître
Naomi Wolf.
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Sunset Parkerpix/Wikimedia Commons
2 juin 2022 (LifeSiteNews) — L’écrivain féministe Naomi Wolf a lancé un avertissement sévère sur les effets voulus ou non des injections expérimentales d’ARNm COVID-19 : selon Wolf, elles provoquent une « mort des bébés » à grande échelle qui équivaut à un « génocide ».
Personnalité éminente qui ne se range ni dans le camp des pro-vie ni dans celui des pro-avortement, Mme Wolf a suscité la controverse lorsqu’elle a admis que l’avortement était un « mal », mais un « mal nécessaire » [elle est donc pro-avortement puisqu'elle considère l'avortement comme une nécessité].*
Sur la question du verrouillage des COVID-19 et des mandats de vaccination, cependant, Wolf a fermement pris le parti de l’opposition.
Dans un billet publié le 29 mai sur Substack, l’auteure et journaliste féministe de troisième vague ─ qui a été suspendue de Twitter l’année dernière après avoir tiré la sonnette d’alarme sur les perturbations du cycle menstruel associées aux injections contre le coronavirus ─ a mis en lumière une analyse en cours effectuée par une équipe de chercheurs qui passe au peigne fin les 55 000 documents de Pfizer divulgués par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis à la suite d’une décision de justice. Auparavant, la FDA avait demandé un délai de 75 ans avant de divulguer intégralement ces documents cruciaux.
Selon Naomi Wolf, les 3 000 « médecins, infirmières, biostatisticiens et enquêteurs hautement qualifiés sur la fraude médicale » affiliés à War Room de Steven Bannon et à Daily Clout, une société de médias cofondée par Naomi Wolf, « servent l’humanité en lisant ces documents et en les expliquant en termes simples ».
Après avoir souligné que, d’après les documents, Pfizer et la FDA savaient que les vaccins COVID-19 n’avaient pas réussi à prévenir les infections et avaient contribué à un grand nombre de réactions indésirables (dont 1 223 décès), Wolf s’est concentrée sur l’impact que les injections semblent avoir eu sur les femmes enceintes et allaitantes et leurs bébés.
La reproduction elle-même est ciblée, intentionnellement ou non, par les vaccins à ARNm
Selon la lecture que fait Wolf de l’analyse, la FDA et Pfizer savaient que l’ARNm, la protéine de pointe et les nanoparticules lipidiques contenues dans les injections expérimentales COVID « ne restaient pas au site d’injection dans le muscle deltoïde », circulent plutôt dans la circulation sanguine ─ et, pour les femmes, jusque dans les ovaires.
« Il peut en effet y avoir un génocide fortuit », a déclaré Wolf. « La reproduction elle-même est ciblée, intentionnellement ou non, par les vaccins ARNm. »
Lire la suite1/5 des poissons de rivière mâles se sont féminisés, entre autres à cause de la pilule
Une étude révèle l’acquisition de traits féminins chez les mulets, au large de la côte basque.
Par Clémentine Jallais (Reinformation.tv) — Photo : Wikipédia
Ce n’est pas la première étude sur le sujet et ce ne sera pas la dernière. Mais bizarrement, les écologistes impénitents font la sourde oreille et feignent de ne pas voir passer ces témoignages pluriels d’universitaires reconnus, pour certains même adeptes du réchauffement et défenseurs de « GreenPeace », comme le Pr Paul Johnston ! Ici, c’est le Pr Charles Tyler qui livre les résultats d’une énième enquête sur les effets catastrophiques des produits chimiques déversés en amont des stations d’épuration dans les eaux douces. Sur cinquante sites étudiés, 20 % des poissons mâles ont des caractéristiques féminisées – et la pilule n’y est pas étrangère, loin s’en faut.
Les poissons transgenres ? Très XXI e siècle…
Des transgenres, voilà l’avenir radieux de ces poissons à qui on fait avaler à l’insu de leur plein gré des hormones féminines… Selon un article du Telegraph, le professeur Charles Tyler, de l’Université d’Exeter, doit présenter ces résultats alarmants lors de la conférence d’ouverture du colloque du 50e anniversaire de la Société des pêches dans les îles britanniques cette semaine.
Lire la suiteL'avortement comme cause de stérilité des femmes cubaines
Sur le site de Nouvelles de France du 10 juillet 2012:
Un nombre alarmant de cas de stérilité chez les femmes cubaines résulterait de séquelles produites lors d’opérations d’avortement. Une méthode est particulièrement pointée du doigt, celle dite de « régulation menstruelle », consistant à vider l’utérus par aspiration, dont l’utilisation semble banalisée par les populations. La loi cubaine l’autorise jusqu’à six mois de grossesse.
On dénombre aujourd’hui 84 000 avortements par an sur le territoire cubain (pour 11 241 161 habitants). C’est plus que dans n’importe quel pays d’Amérique latine.(...)