11 000 scientifiques exigent un contrôle de la population pour «urgence climatique»

Par Claire Chretien ― traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : Capture d'écran d'une vidéo du CELJ
5 novembre 2019 (LifeSiteNews) ― 11 000 scientifiques ont signé un article déclarant que « la population mondiale doit être stabilisée et, idéalement, progressivement réduite », car une « urgence climatique » menace « le destin de l'humanité ».
Rédigé par l'Alliance of World Scientists et rempli d'un langage alarmiste et apocalyptique, l'article a été publié aujourd'hui dans BioScience.
« Toujours augmentant d'environ 80 millions de personnes par an, soit plus de 200 000 personnes par jour... la population mondiale doit être stabilisée, et, idéalement, progressivement réduite, dans un cadre qui assure l'intégrité sociale », ont écrit les auteurs.
« Il existe des politiques éprouvées et efficaces qui renforcent les droits de l'homme tout en abaissant les taux de fécondité et en atténuant l'impact de la croissance démographique sur les émissions de gaz à effet de serre et la perte de biodiversité. Ces politiques rendent les services de planification familiale accessibles à tous, éliminent les obstacles à leur accès et accomplissent une pleine équité entre les sexes, y compris l'éducation primaire et secondaire comme norme mondiale pour tous, en particulier les filles et les jeunes femmes », poursuivaient-ils, citant une étude réalisée par John Bongaarts, un activiste en faveur du contrôle démographique qui a pris la parole au Vatican en 2017.
Le PDG et milliardaire de Tesla, Elon Musk, a cependant publiquement déclaré que le « plus grand problème » auquel le monde est confronté n'est pas l'explosion démographique, mais l'« effondrement de la population » dû à la chute libre des taux de natalité.
« La plupart des gens pensent que nous sommes trop sur la planète, mais en fait c'est une vision dépassée », déclarait M. Musk lors d'un débat en direct en direct le 19 août avec Jack Ma, président d'Alibaba Group Holding Ltd à la World Artificial Intelligence Conference de Shanghai.
Depuis des années déjà, les démographes mettent en garde les pays occidentaux, dont le taux de natalité est inférieur au taux de remplacement, contre ce que certains appellent « l'hiver démographique ». Dans un tel effondrement, les personnes âgées sont plus nombreuses que les jeunes, ce qui crée de graves déséquilibres. Les économies en souffrent. Certaines pourraient même s'écrouler. Le résultat pourrait avoir un impact négatif sur certaines des principales infrastructures — comme les systèmes financier et de soins de santé — qui contribuent à la vie de la démocratie occidentale.
Lire la suiteLe président de la FFQ parle de stérilisation obligatoire des hommes à 18 ans !
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Le président de la Fédération des femmes du Québec (FFQ), « Gabrielle » Bouchard, homme « transgenre » se faisant passer pour femme, a émis le message suivant sur Twitter : « On devrait discuter de la vasectomie obligatoire à 18 ans. »
Et, selon le Journal de Québec, cette proposition a été de surcroît faite lors de la Semaine de la valorisation de la paternité… :
La présidente de la Fédération des femmes du Québec Gabrielle Bouchard a lancé cette bombe sur son compte Twitter...
Mais que veut-elle dire ? Ce n’est pas rien, cette personne occupe une fonction qui n’est pas anodine au Québec. Et de lancer une telle proposition mérite explications !
Et pourquoi maintenant ? Est-ce la façon choisie par la présidente de la FFQ de souligner la Semaine de la valorisation de la paternité ? Car ce tweet a été envoyé ce matin, un peu avant 10 h...
Le message envoyé par cet homme aurait été de nature provocatrice, émis en réponse aux tentatives de lois pro-vie dont sans doute celle de l’Alabama, et les gestes vaguement pro-vie commis au Canada, voulant faire un parallèle entre la proposition de la stérilisation forcée d’hommes, ou, selon les mots d’un article de la FFQ, le questionnement du « droit des hommes à disposer de leurs corps », et les « attaques » contre l’avortement qui ferait partie des « droits des femmes à disposer de leur propre corps ».
Faire une telle comparaison c’est oublier que la stérilisation est une intervention humaine sur le corps d’un individu pour lui ôter une capacité naturelle, tandis que l’interdiction de l’avortement, avortement qui non seulement tue un être humain innocent mais est l’arrêt définitif du développement naturel d’un acte naturel (généralement non imposé, sauf en cas de viol), pourrait plutôt s’apparenter à une interdiction de stériliser, vu que l’avortement et la stérilisation ont tous deux le même but : ne pas mettre d’enfants au monde.
Trump annonce des protections pour les médecins refusant de pratiquer l’avortement, l’euthanasie et la stérilisation
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Le président des États-Unis Donald Trump a annoncé hier de nouvelles protections pour les travailleurs de la santé qui refusent de pratiquer l'avortement, l'euthanasie et la stérilisation. Une excellente nouvelle. Le seul ennui réside en ce que ces protections ont été faites au nom de la liberté religieuse, liberté qui ne devrait être autre chose qu’une tolérance raisonnable (les mots « tolérance » et « raisonnable » étant pris dans un sens raisonnable et non à la sauce moderne) pour les religions en général, une seule* (car vraie) devant être reconnue par l’État et par conséquent n’ayant pas besoin d’exception. Nous avons pu voir à quoi menait la liberté religieuse sans frein… Extrait de LifeSiteNews :
L'administration Trump a achevé la mise au point d'un autre ensemble de protections administratives pour les droits de conscience religieux des Américains sur plusieurs fronts, a annoncé jeudi matin le président Donald Trump lors de son discours à l'occasion de la Journée nationale de la prière.
[...]
Selon un communiqué de presse du Department of Health and Human Services (ministère de la Santé et des Services sociaux ― HHS), le règlement définitif « garantit que le HHS applique l'ensemble des outils appropriés pour faire appliquer » les lois qui exemptent les travailleurs de la santé de « devoir fournir, participer à, payer pour, couvrir ou référer des services comme l'avortement, la stérilisation ou le suicide assisté. » Le règlement « clarifie également ce que les entités couvertes doivent faire pour se conformer aux dispositions applicables à la conscience », « exige des demandeurs d'aide financière fédérale du HHS qu'ils fournissent des garanties et des attestations de conformité » et « précise les obligations de conformité pour les entités couvertes. »
*C'est la religion catholique — A. H.
Les bébés avortés sont encore utilisés dans la production actuelle de vaccins, d’après un expert
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Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Max Pixel — Mises à jour : 26 mars 2019, 13 janvier 2021
Mise au point : les « lignées de cellules » tirées des enfants à naître ne sont pas à notre connaissance utilisées en tant qu’ingrédient desdits vaccins, mais dans le processus d’élaboration de ces derniers, p. ex., en tant que matériel fertile pour la culture de certains virus.
SIGNEZ LA PÉTITION : Non à un vaccin contre le Covid 19 cultivé sur une lignée cellulaire de fœtus avorté >>
Les vaccins ont une triste histoire derrière, actuellement et devant eux, à leur origine des centaines d’avortements forcés ont été perpétrés sur des femmes considérées à l’époque (environ cent ans, aux États-Unis) comme inadaptées, dans la mouvance du mouvement eugénique dont Margaret Sanger, cofondatrice de Planned Parenthood, était l’un des propagateurs. Des cœurs de fœtus palpitants encore étaient utilisés dans les laboratoires qui travaillaient à l’élaboration de « lignées de cellules », employées dans le processus de fabrication du vaccin contre la polio. Et on pratique toujours des avortements pour créer de nouvelles « lignées de cellules » qui sont employées dans la production de ces « médicaments ». Planned Parenthood fait partie de ces gros profiteurs d’un marché de plusieurs milliards de dollars. Extrait de LifeSiteNews :
Le 13 mars dernier, Debi Vinnedge a révélé à une salle comble dans la ville de Rome cette « histoire horrible », qui remonte aux eugénistes comme Margaret Sanger, fondatrice de Planned Parenthood. Vinnedge a séparé le mythe du fait grâce à la documentation des scientifiques impliqués dans cette recherche, et a expliqué pourquoi les bébés avortés sont encore utilisés dans la production des vaccins aujourd’hui.
LifeSite s’est entretenu avec Vinnedge, fondateur de « Children of God for Life », avant la conférence de Rome parrainée par Renovatio 21. Dans notre entrevue, Vinnedge décrit brièvement l’histoire de la recherche sur les vaccins utilisant des fœtus avortés, y compris la pratique « barbare » de s’assurer que les bébés sont avortés vivants afin que leurs organes puissent être prélevés sans anesthésie.
Entrevue de LifeSiteNews avec Debi Vinnedge, fondateur de Children of God for Life :
LSN : Les vaccins font l’objet d’un débat considérable. Certaines personnes sont tout à fait contre les vaccins, d’autres sont tout à fait pour, d’autres encore sont quelque part entre les deux. Quelle est votre position générale sur les vaccins ?
DB : Je crois que la décision de vacciner ou non appartient uniquement aux parents. Les enfants sont un don de Dieu aux parents. Ils ne sont pas la propriété de l’État, et l’État ne devrait pas non plus tenter de prendre leurs décisions médicales. Une chose que j’ai apprise au cours des 20 dernières années, c’est que les enfants ne sont pas comme le bétail. Chaque enfant se développe différemment et a des besoins différents. Il ne fait aucun doute que les vaccins peuvent avoir causé des réactions indésirables graves et des décès, comme en témoigne le versement de près de 4 milliards de dollars aux familles des enfants vaccinés par notre propre gouvernement. Ce ne sont certainement pas tous les enfants qui ont ces réactions, mais on ne peut nier le fait qu’elles existent. Je trouve tout à fait dégoûtant que des parents soient ridiculisés et persécutés simplement parce qu’ils ne veulent pas risquer les vaccins — que ce soit pour des raisons médicales ou morales.
Lire la suitePlanned Parenthood et l’avortement : du sang sur les mains

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Fibonacci Blue/Flickr
J’ai lu aujourd’hui même un article des plus éclairants sur l’industrie de l’avortement, dont Planned Parenthood est l’un des plus gros acteurs, tout y passe : les fondements évolutionniste, eugéniste, malthusianiste, raciste, les profits colossaux des fournisseurs d’avortements, les dizaines de millions d’enfants à naître avorté chaque année, en passant par la stérilisation forcée de centaines de milliers de personnes.
Cet article, au titre évocateur L’argent du sang intra-utérin, écrit par Sébastien Renault sur le site Entre la plume et l’enclume, nous montre que plusieurs de ceux qui prône l’avortement en viennent à soutenir également l’infanticide (bien qu’après tout, tuer un enfant avant qu’il soit né ou après ne change strictement rien, dans les deux cas c’est de l’infanticide) ; il nous dévoile également les raisonnements tordus et illogiques sur lesquels les défenseurs de l’avortement se basent pour le défendre, les défenseurs parmi les plus ardents se trouvant dans le groupe de ceux qui en tire le plus d’argent ; il nous explique enfin les bases philosophiques de l’avortement et ce qui cloche dedans.
Bref, un excellent article. Extrait d'Entre la plume et l'enclume :
Lire la suiteÀ côté de la génération de profits colossaux, le « droit des femmes » à l’infanticide prénatal doit nécessairement s’inscrire et toujours davantage se consolider sur le terrain législatif [4]. La composante fondamentalement meurtrière de l’avortement est en réalité si évidente que ses promoteurs officiels ne prennent même plus soin aujourd’hui de dulcifier leurs discours. Prenons l’exemple de l’adoption récente par le Sénat de l’État new-yorkais d’une nouvelle loi abrogeant la protection des nourrissons nés vivants à la suite d’avortements ratés (le Reproductive Health Act). On pourra ici consulter la version préparatoire de la législation en question, dénotée S. 240 A. 21 et datée du 9 janvier 2019. Elle donne tout son relief au pouvoir tant idéologique que législatif des génocidaires intra-utérins aujourd’hui aux commandes des deux chambres américaines. Le décret législatif, signé de la main du gouverneur Andrew Cuomo, légalise l’extermination de l’enfant à naître comme « droit fondamental », y compris jusqu’à sa naissance — si la « santé » de la mère en dépendait, sans spécifier plus avant ce que le terme de « santé » est ici réellement censé inclure dans sa définition appliquée. En l’absence d’une définition claire, toute raison de santé (physique, mentale et/ou émotionnelle) pourra ainsi être arbitrairement présumée et comprise dans le cadre de la nouvelle loi, moyennant l’aval de la Cour Suprême américaine. La loi S. 240 A. 21 octroie par ailleurs à tout praticien hospitalier agréé le pouvoir d’agir « de bonne foi » pour le bien de telle ou telle patiente — signifiant qu’un enfant à naître peut quant à lui être assassiné en toute légalité, sans autre forme de procès, par n’importe quel membre du corps médical préposé à une femme enceinte qui aura décidé d’interrompre sa grossesse, y compris le jour même de la naissance ou pendant l’acte de donner naissance. Auquel cas l’enfant sera respectueusement placé dans l’isolement et tout simplement abandonné à mourir affamé ou déshydraté, ou encore à voir ses quelques moments d’existence ex utero « tendrement » abrégés par injection létale. De leur côté, les essaims féministes ont, de concert, applaudi la promulgation de la loi S. 240 A. 21.
Quelques mythes sur la fécondité en Afrique — ou l’alarmisme trompeur de l’ONU
Par Jeanne Smits (Réinformation.TV)
C’est un lieu commun que d’affirmer que l’Afrique subsaharienne souffre d’une surpopulation « insoutenable », annonciatrice d’un tsunami migratoire inouï vers l’Europe dans les décennies à venir, liée à une pauvreté et un sous-développement causés par la fécondité des Africaines. Du côté de l’ONU, les rapports abondent qui dénoncent la lenteur de la « transition démographique » d’Afrique Noire, annonçant périodiquement un relèvement des estimations de la population africaine pour 2050. Mais cette hausse inexorable est avant tout liée à un certain nombre de mythes auxquels souscrivent les statisticiens, de telle sorte que l’alarmisme de l’ONU se révèle trompeur, selon une étude réalisée par Lyman Stone de l’Institute for Family Studies.
Les réévaluations à la hausse sont dues selon lui au fait que les démographes ont, par le passé, systématiquement surestimé la baisse de la fertilité en Afrique. A quoi s’ajoutent des projections à long terme : de nombreux chercheurs évoquent une population de 4 milliards d’âmes en Afrique à l’horizon 2100, alors que la marge d’erreur à prendre en compte sur 80 ans est d’une « importance phénoménale ». Elle est même si grande qu’il faudrait tout simplement ignorer les prédictions sur des dates aussi lointaines.
La fécondité en Afrique n’est pas aussi importante que le prétend l’ONU
Les projections de l’ONU indiquent une remontée progressive du taux de fécondité en Afrique au fil du temps. De quoi croire que la fertilité continue de remonter. Mais c’est le contraire qui est vrai : en Afrique subsaharienne, le nombre attendu d’enfants par femme en âge de procréer a plafonné aux alentours de 6,5 jusqu’en 1985 environ, et ne cesse de descendre depuis lors pour atteindre en 2016 environ 4,5 enfants par femme. En clair : en moyenne, les familles africaines comptaient typiquement six ou sept enfants pendant les années 1960, contre quatre ou cinq aujourd’hui, et la courbe continue de baisser.
Lire la suiteQuelques détails sur l'histoire d'une stérilisation de masse « consentante » qui tue des femmes en Inde
Sur le site du Journal de Montréal du 13 novembre 2014 :
(Photo : Des millions de femmes trompées pour obtenir un « consentement »...)
(Photo par R. Mitra sur flickr.com, licence creative commons)
(...)L'ONG Human Rights Watch (HRW) estime que l'Inde a un lourd passé de décès dus à une stérilisation, en partie parce que les employés du secteur de la santé sont poussés à recruter à tout prix des femmes pour remplir des objectifs mensuels «informels».
Selon HRW, certains risquent des baisses de salaires ou même le renvoi dans au moins un Etat de l'Inde, s'ils ne remplissent pas ces objectifs, censés ne pas exister. (...)
« ... poussés à recruter à tout prix ... » Cela donne une bonne idée des moyens utilisés pour obtenir un « consentement »...
Lire la suiteDes médecins font des stérilisations forcées au Québec...
Sur le site du journal La Presse du 24 mars 2014 :
(Camille Claudel fut internée pendant 30 ans sans son consentement. Aujourd'hui, dans certains pays, elle aurait été euthanasiée.)
Jocelyn et sa femme se rendront bientôt dans un hôpital québécois avec leur fils Justin, 16 ans, déficient intellectuel. (...)
Jocelyn, ce n'est pas le vrai nom de l'homme que nous avons rencontré. Justin ne s'appelle pas Justin non plus. Mais cette vasectomie programmée, qui se déroule totalement en marge de la légalité, est bien réelle. Jocelyn tient à ce que son fils déficient soit vasectomisé pour éviter qu'il n'engendre lui-même un enfant. (...)
Carole Boucher est sexologue et travaille depuis 25 ans dans le milieu de la déficience intellectuelle. Elle est formelle. «Oui, il y a des médecins qui font des stérilisations malgré les lois, qui sont très claires sur le consentement, dit-elle. (...)
Si des médecins acceptent les demandes des familles au Québec, pour des stérilisations sans consentement, pourquoi n'y aurait-il pas également des médecins et des familles qui, d'un commun accord, choisirait l'euthanasie pour un patient, sans son consentement, comme c'est le cas en Belgique et en Hollande...?
Procès pour les 300 000 femmes stérilisées de force au Pérou
Sur le site de carevox.fr du 20 février 2014 :
(photo : Jean-Pierre Jeannin sur flickr.com, licence creative commons)
Le procès s'est rouvert fin 2012. Il concerne la stérilisation forcée de 300 000 femmes péruviennes, pauvres et indigènes dans les années 1990, sous la présidence d'Alberto Fujimori. (...)
A l'époque, la Banque Mondiale et le Fond Monétaire International exigeaient une baisse drastique du taux de natalité, analyse néo-malthusienne de la pauvreté dans laquelle la démographie est un facteur primordial.
Une « contraception chirurgicale volontaire » disait le gouvernement Fujimori :
"Les femmes péruviennes doivent être maîtresses de leur destin", avait affirmé Alberto Fujimori, lors de la quatrième conférence de la Femme à Pékin en octobre 1995.
À la Banque Mondiale et au Fonds Monétaire International qui n'ont pas condamné ces crimes, ni au Pérou, ni en Chine, ni en Afrique, on sait comment obliger une femme à être « maîtresse de son destin »...
Pour en savoir plus :
Pour avoir le droit de travailler en Chine il faut parfois n'avoir qu'un seul enfant...
Sur le site de adoption en Chine du 19 décembre 2012:
(Un gouvernement barbare contre les mères)
Dans le District de Panyu Guangzhou, l'administration locale de santé (Food and Drug administration) et l'administration ministère a demandé au propriétaire d'un restaurant universitaire à l'Université SunYat-Sen de présenter au doyen de l'université son certificat familial (preuve officielle de contrôle des naissances) en vue d'obtenir une extension de sa licence et de rester en entreprise, a rapporté le Southern Metropolis Daily mardi.
«Ce sont deux choses complètement différentes! Le directeur de l'université demande le certificat familiale, c'est son affaire privée. Qu'est-ce que cela a à voir avec notre restaurant? Cela n'a aucun sens ", a déclaré le vendeur de nourriture.
Panyu Food and Drug Administration a publié un guide juridique le 30 août, qui a précisé que le certificat familial de son représentant légal est requis dans la procédure de demande et d'extension d'une licence ou d'un permis hygiène alimentaire du commerce pharmaceutique.
Les représentants du gouvernement a expliqué plus tard que la politique est de «veiller à ce que tout coule en douceur pour la population locale et le Bureau de la planification familiale», le ministère survole les questions liées à la politique de l'enfant unique. (...)
«Notre société oblige les femmes à subir des opérations DIU [stérilet] , elle oblige des accouchements provoqués, et elle oblige les avortements tardifs. Est-ce que la politique de l'enfant unique vise à persécuter les mères de notre nation? "A-t-il demandé.
Un autre, frustré quant à la négligence de la Chine face aux droits de l'homme, a déclaré: «Je ne sais même pas s'il est sécuritaire pour moi de commenter davantage."Beaucoup d'autres soulignent que les pratiques de stérilation forcée sont monnaie courante dans plusieurs villes chinoises. "C'est le cas essentiellement partout dans la province du Shandong, ainsi que de nombreuses autres provinces à travers le pays!