Un nouveau-né stupéfie les infirmières en sortant du ventre de sa mère avec un stérilet à la main
Violet Quick et son fils Rudy.
Par Mary Zwicker — Traduit par Campagne Québec-Vie
13 février 2023 Idaho (LifeSiteNews) — Un petit garçon en bonne santé a choqué les médecins et les infirmières en sortant du ventre de sa mère en tenant fermement à la main son dispositif intra-utérin (DIU).
Fin janvier, Violet Quick, 20 ans, une étudiante de l’Université Brigham Young (Idaho) originaire de Caroline du Nord, a filmé la victoire de son fils Rudy sur le contrôle des naissances dans une vidéo qui a amassé plus de 22 millions de vues sur TikTok avant qu’elle ne choisisse de la rendre privée.
« Quand toutes les infirmières viennent voir un bébé avec son stérilet », a-t-elle commenté dans son court-métrage.
Quick, mariée à 19 ans, s’est fait implanter le stérilet Skyla parce qu’elle et son mari John Francis voulaient éviter d’avoir des enfants pour le moment. Cependant, après des semaines de nausées et sept tests de grossesse positifs, Quick s’est rendue aux urgences où on lui a dit qu’elle était enceinte malgré l’implant qu’elle avait reçu seulement 9 mois auparavant.
« Je ne savais pas ce qui se passait, alors j’ai fait un test de grossesse, et il a été positif tout de suite », a déclaré Quick, expliquant que la grossesse était la dernière chose à laquelle elle s’attendait à ce moment-là. « Ils étaient tous positifs, et je suis en fait allée aux urgences et j’étais enceinte de sept semaines ».
Les stérilets en cuivre et les stérilets hormonaux peuvent empêcher une grossesse en épaississant la glaire cervicale afin d’empêcher les spermatozoïdes d’atteindre et de féconder un ovule et également en stoppant l’ovulation. Cependant, les stérilets fonctionnent le plus souvent comme des abortifs en affaiblissant la muqueuse utérine pour empêcher un ovule fécondé de s’incruster dans l’utérus.
Au cours de la dernière décennie, le dispositif intra-utérin (DIU) est devenu une méthode de contrôle des naissances de plus en plus populaire. Un rapport publié par le CDC en 2020 a révélé qu’entre les années 2017 et 2019, 10,4 % des 65,3 % de femmes âgées de 15 à 49 ans aux États-Unis utilisaient le stérilet comme principale forme de contrôle des naissances.
Lire la suiteLa France va proposer la contraception gratuite et anonyme aux femmes de moins de 25 ans
Par Jeanne Smits — Traduit par Campagne Québec-Vie
Paris, 22 septembre 2021 (LifeSiteNews) — Au début du mois, le ministre français de la Santé Olivier Véran a fièrement proclamé qu’à partir du 1er janvier 2022, la contraception sera 100 % « gratuite » pour toutes les femmes jusqu’à 25 ans, ainsi que les tests de grossesse, les rendez-vous médicaux et les bioanalyses en lien avec le contrôle des naissances. Moins de 24 heures plus tard, la décision de la France a été saluée avec enthousiasme par le Forum économique mondial dans une courte vidéo publiée sur son compte Twitter officiel.
M. Véran a fait son annonce sur la chaîne de télévision nationale France 2, financée par les contribuables, en expliquant que la principale raison pour laquelle un certain nombre de jeunes femmes n’utilisent pas la contraception est son coût. Cette déclaration a été contredite par le centre d’information de la Fondation Jérôme Lejeune, Gènéthique.
Depuis 2013, les filles âgées de 15 à 18 ans peuvent déjà obtenir des contraceptifs gratuits en France, et depuis juillet dernier, les filles de moins de 15 ans ont été ajoutées à la liste, car, selon le gouvernement, chaque année, environ 1 000 filles âgées de 12 à 14 ans deviennent enceintes. 770 de ces grossesses se terminent par un avortement. La contraception est livrée de manière anonyme aux mineures.
Véran explique : « J’ai constaté, en lien avec les autorités scientifiques, que la contraception est moins utilisée chez un certain nombre de jeunes femmes, et que la plupart y renoncent pour des raisons financières. »
« La contraception hormonale sera prise en charge, ainsi que les tests biologiques qui l’accompagnent, la consultation pour la prescription et tous les soins liés à cette contraception jusqu’à 25 ans », a-t-il ajouté.
L’État français dépensera 21 millions d’euros par an pour payer la contraception des jeunes femmes, ce qui revient à faire payer par le contribuable la facture des jeunes qui décident d’avoir une vie sexuelle active sans en accepter les conséquences naturelles : grossesse et accouchement.
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Des dizaines de femmes témoignent des douleurs atroces provoquées par les stérilets abortifs et du déni des médecins
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie
20 juillet 2021 (LifeSiteNews) — Un article récent paru dans le journal féminin du Washington Post, The Lily, présente plusieurs récits de femmes endurant des douleurs atroces après s’être fait implanter un dispositif intra-utérin (DIU) ou stérilet, la plupart d’entre elles ayant été ignorées par leur médecin.
Le DIU est un outil de contraception. Selon son fabricant, Mirena, le stérilet empêche la grossesse en « épaississant la glaire cervicale, en empêchant les spermatozoïdes de pénétrer dans l’utérus, en inhibant le mouvement des spermatozoïdes de sorte qu’il leur est plus difficile d’atteindre et de féconder un ovule ».
Il peut également agir comme un abortif en amincissant la muqueuse utérine et en empêchant l’embryon de se fixer à la paroi de l’utérus. Le stérilet au cuivre provoque une réaction inflammatoire qui est toxique pour les spermatozoïdes et les ovules ainsi que pour l’embryon fécondé, provoquant ainsi des avortements.
De nombreux obstétriciens avertissent leurs patientes de l’inconfort qu’elles pourraient ressentir après la procédure d’insertion du DIU, notamment des crampes irrégulières. Cependant, de nombreuses femmes ont fait état de douleurs extrêmes qui les ont obligées à prendre des médicaments et à utiliser d’autres méthodes non pharmaceutiques pour faire face à la douleur.
The Lily a demandé aux femmes de partager leurs témoignages. Cent trente et une femmes ont répondu, et la plupart d’entre elles ont raconté avoir ressenti de fortes douleurs soit pendant la procédure, soit après avoir reçu leur stérilet.
Lire la suiteLa Chine recourt-elle à l’avortement et à la stérilisation forcés pour exterminer une minorité ethnique ?
Par Steven Mosher (LifeSiteNews) ― Traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : Pikist
En tant que seul témoin occidental de la brutale politique de l’enfant unique du parti communiste chinois (PCC), j’applaudis lorsqu’elle prit fin en 2016.
Mais ce que fait le PCC maintenant pour réduire la natalité des minorités ouïghoure et kazakhe dans la partie occidentale de la Chine est sans doute pire. Bien que l’application de cette politique sociale soit identique à celle de 1979, dont les mesures comprenaient l’avortement et la stérilisation forcés, pratiques horrifiantes que je décrivis pour la première fois en 1980 (pratiques que le Tribunal de Nuremberg avait qualifiées de crimes contre l’humanité), il y a ici une différence saisissante : ces pratiques ne sont imposées qu’aux minorités ethniques, à savoir les Ouïghours turcophones de la province du Xinjiang.
Oui, vous avez bien lu. Ces dernières années, alors que les dirigeants chinois encouragent les femmes chinoises de l’ethnie majoritaire han à avoir plus d’enfants, ils ordonnent aux femmes ouïghoures d’en avoir moins. Des centaines de milliers de femmes ouïghoures ont été contraintes à avorter, à se faire stériliser, ou à porter un stérilet, afin de réduire la natalité ouïghoure. Celles qui résistent sont stérilisées de force et condamnées à des camps de concentration.
Cette nouvelle politique du parti communiste chinois est en fait un génocide, bien que d’une façon plus lente : la Chine n’extermine pas le peuple ouïghour du jour au lendemain, par exemple en l’enfermant dans des chambres à gaz. Mais, en empêchant la prochaine génération de naître, elle parviendra à la même fin : une réduction considérable de cette population ancienne, qui pourra être alors plus facilement dispersée et assimilée.
Jusqu’à récemment, nous n’avions que des comptes rendus anecdotiques de cette nouvelle campagne de régulation des naissances. Par exemple, une femme ouïghoure nommée Mihrigul Tursun témoigna en 2018 qu’elle et d’autres femmes dans un camp de concentration chinois furent chimiquement stérilisées. Une autre ancienne détenue, Rakhima Senbay, déclara s’être fait poser un stérilet contre sa volonté (Washington Post, 5 octobre 2019). Une troisième, Zumrat Dawut, dut payer une lourde amende et se faire stériliser après avoir eu un troisième enfant (Washington Post, 17 novembre 2019).
Jusqu’à présent, nous ne connaissions pas avec certitude l’étendue et l’ampleur de l’application de cette nouvelle politique menée par le gouvernement central — le chercheur Adrian Zenz vient de publier une enquête qui répond à ces questions.
Maintenant, nous savons maintenant que la campagne de régulation des naissances en cours dans le Xinjiang est encore plus coercitive que celle imposée depuis des décennies à la majorité de la population chinoise han. Les documents du gouvernement chinois obtenus par Dr Zenz indiquent que la sanction pour infraction au règlement sur la régulation des naissances est l’internement dans l’archipel des camps de concentration du Xinjiang. Aussi sévère que fût la campagne précédente, les contrevenants étaient soumis à de fortes amendes voire à la stérilisation, mais pas à de longues peines de prison. Les femmes ouïghoures le sont.
Lire la suiteFrance : contraception gratuite pour les filles de moins de 15 ans
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Freepik
Le gouvernement français vient de publier jeudi dernier dans le Journal officiel un décret, entré en vigueur le jour suivant, rendant gratuit l’accès à la contraception aux filles de moins de 15 ans, rapporte LifeSiteNews :
Alors que les règlements sur le COVID-19 continuent d’occuper grandement le ministre français de la Santé Olivier Véran, et que de nombreuses procédures médicales « normales » ont été reportées de plusieurs mois, le contrôle des naissances chez les adolescentes figure en bonne place sur la liste des activités du gouvernement.
Les jeunes filles pourront obtenir des contraceptifs, y compris des implants et des dispositifs intra-utérins, dans un strict anonymat si elles décident de garder leur identité secrète.
Il n’y a pas de limite d’âge, car le décret a simplement supprimé les mots « âgées d’au moins 15 ans » d’un décret précédent offrant aux « filles mineures âgées d’au moins 15 ans » la possibilité d’obtenir des contraceptifs sans avoir à en payer de frais.
En France, le coût de la plupart des services médicaux est assumé en partie par le patient (sauf l'avortement qui est gratuit à 100 %). Ces frais, plus ou moins importants, sont couverts par les parents ou le tuteur dans le cas de mineurs de moins de 16 ans. Là, cependant, la totale gratuité de la contraception et l’anonymat garanti font en sorte que les parents, n’ont plus leur mot à dire à ce sujet.
Lire la suiteImplant contraceptif Essure : 1,6 milliard de dollars pour les plaintes d’environ 39 000 Américaines
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (rognée et couleurs modifiées) : nastya_gepp/Pixabay
Les implants contraceptifs, en plus de leur aspect immoral, comportent des effets secondaires alarmants, à tel point que le laboratoire pharmaceutique Bayer, auteur de l’implant Essure, a versé 1,6 milliard de dollars pour régler environ 39 000 réclamations d’Américaines à qui on avait implanté le contraceptif, selon Gènéthique :
Jeudi 20 août, le laboratoire pharmaceutique Bayer a annoncé avoir accepté de verser « 1,6 milliard de dollars pour régler la quasi-totalité des [39 000] réclamations déposées aux États-Unis concernant l’implant contraceptif controversé Essure ».
L’implant en question serait l’origine de perforation à l’utérus, entre autres :
L’implant Essure est mis en cause pour des effets indésirables « parfois graves survenus après leur implantation et persistants, y compris après son retrait ». Selon les informations, il a notamment dans « certains cas causé des douleurs chroniques, la perforation de l’utérus et des trompes de Fallope et a conduit à des hystérectomies ».
Ici et là, les gouvernements on mis sous surveillance certains implants contraceptifs, ou les ont carrément retirés de la circulation :
Lancée en 2002, la commercialisation d’Essure a été arrêtée en septembre 2017, partout sauf aux États-Unis où elle n’a cessé qu’en 2018.
En France, l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) a placé Essure sous surveillance renforcée en 2015 avant de préconiser en 2017, « par mesure de précaution », l’arrêt de son implantation et le rappel des produits en stock […]
Comme on s’en doute, les autres implants sont probablement tout aussi dangereux :
Par ailleurs, l’ANSM a appelé à la vigilance sur d’autres dispositifs contraceptifs. Les stérilets au cuivre Novaplus et Ancora ont été retirés du marché […]
En outre, on compterait environ 200 000 femmes à s'être fait implanter le stérilet Essure, d'après les avocats de quatre plaignantes voulant agir contre l'État.
Y a-t-il une réelle baisse d’avortements au Québec ?
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
On nous annonce dans un article du Journal de Montréal, paru le 3 mars, que l’avortement aurait atteint son niveau le plus bas au Québec depuis 20 ans, et ce, à cause entre autres de la baisse de femmes en âge de procréer, mais aussi, selon certains, grâce à la contraception, point sur lequel je doute. Je m’explique, sans doute une baisse d’avortements chirurgicaux pourrait être observée, bien que tous ne soient pas enregistrés, car les seuls qui soient tenus en compte dans le rapport de la Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ) sont les « Avortements de moins de 24 semaines. Les IVG pratiquées par les médecins payés à salaire » n'étant « pas comptabilisées, » d'après le Journal de Montréal.
Bien que non interdits au Canada, les avortements de plus de 24 semaines sont redirigés vers les États-Unis, d’après le FQPN. En outre, et l’article du Journal de Montréal n’en tient pas compte, la contraception a toujours un côté abortif au cas où la fécondation ne serait pas empêchée, ce qui nous amène à considérer le fait que s’il y a plus de contraceptions, il n’y a probablement pas moins d’avortements… peut-être même qu’il y en a davantage. Le Journal de Montréal explique donc :
En 2017, 21 203 femmes ont eu recours à une interruption volontaire de grossesse (IVG), selon les données compilées par la Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ) pour Le Journal.
Il s’agit d’une baisse marquée de 21 % par rapport à 2003, alors que 26 997 interventions avaient été faites (voir ci-dessous). Selon la RAMQ, jamais aussi peu d’avortements n’ont été enregistrés depuis 1996.
[…]
Bien que le nombre de femmes en âge de procréer (15 à 44 ans) ait diminué au Québec depuis 20 ans, cette donnée n’explique qu’une partie de la baisse. Selon l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ), le taux d’avortement (sur 1000 femmes) aurait baissé de pas moins de 25 % depuis 2003.
Il faut remarquer que si le nombre de femmes en âge de procréer est plus bas, c’est à cause d’une baisse de la natalité qui a accompagné la contraception et l’avortement, résultant en un vieillissement de la population. La cause la plus probable d'une baisse réelle d'avortements (avortements chirurgicaux et par contraceptions abortives) devrait plutôt être le vieillissement de la population.
Lire la suiteLa moitié des femmes ayant eu un avortement utilisaient une forme de contraception
Blog d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Une étude menée en Grande-Bretagne établie que la moitié des femmes ayant eu un avortement utilisaient un mode de contraception.
Extrait du The Telegraphe :
Le British Pregnancy Advisory Service (BPAS), l'un des plus grands organismes fournisseurs d'avortement du pays, a déclaré que 51 % des 60 592 femmes ayant avorté chez eux en 2016 utilisaient au moins une forme de contraception quand elles sont devenues enceintes.
Environ 15 000 — environ un quart — utilisaient les méthodes contraceptives considérées comme les plus efficaces lorsqu'elles ont conçu, dont la pilule, l'implant ou les patchs.
[...]
Cependant, chaque année, 9 % des femmes qui prennent la pilule, la méthode la plus utilisée au Royaume-Uni, deviennent enceintes, ainsi que 6 % des femmes qui utilisent une injection contraceptive et 1 % des femmes portant un stérilet (IUD), aussi connu sous le nom de stérilet en cuivre.
Un jugement en faveur d’un médecin licencié à cause de son refus de poser des stérilets
Par Jeanne Smits (Reinformation.tv)
Katarzyna Jachimowicz, médecin polonais exerçant en Norvège, est devenue en 2016 le premier professionnel de la santé à perdre son emploi dans le pays pour avoir refusé un acte médical pour des raisons de conscience : en l’occurrence, cette femme catholique ne voulait pas implanter des stérilets et autres dispositifs intra-utérins dont l’action « contraceptive » consiste à empêcher l’implantation de l’ovule fécondé par un avortement très précoce.
Le Dr Jachimowicz a porté plainte pour licenciement abusif en violation de ses droits et après avoir perdu en première instance, elle vient d’obtenir un arrêt favorable de la cour d’appel de Skien, qui a condamné son employeur à lui rembourser les frais des poursuites, quelque 73.000 dollars.
Le licenciement de Katarzyna Jachimowicz, médecin pro-vie, a méconnu son droit à l’objection de conscience
« Dieu a gagné », s’est réjouie Katarzyna Jachimowicz, citant le roi Jean Sobieski qui après la bataille de Vienne contre les Ottomans s’était écrié : « Veni, vidi, Deus vincit ! » Elle a d’ailleurs attribué sa victoire aux prières innombrables qui l’ont soutenue, notamment de la part de communautés religieuses contemplatives.
Lire la suiteLa journaliste Lysiane Gagnon recommande de lutter contre le trop grand nombre d'avortements en facilitant les... avortements!
Sur le site du Journal La Presse du 22 mai 2014 :
(Photo : ceridwen sur wikimedia.org, licence creative commons)
À l'heure où les médecins ne sont pas assez nombreux pour subvenir aux besoins des malades, des jeunes femmes en santé qui ne présentent pas de problème particulier ont-elles vraiment besoin de passer par le cabinet d'un médecin pour s'assurer une protection contre des grossesses non désirées? En France, les sages-femmes peuvent poser un stérilet. Pourquoi pas, ici, des infirmières bien formées pour ce faire?
Le problème Mme Gagnon, c'est que le stérilet empêche également la nidation d'un ovule fécondé, d'un nouvel être humain unique au monde. Donc, il produit un avortement. Ce n'est pas vraiment génial de vouloir combattre l'avortement chirurgical par l'avortement causé par un stérilet...