Grande-Bretagne : une abominable pression exercée sur les femmes enceintes
Par Adèle Cottereau (Droit de naître) ― Photo : freepik
L’avortement forcé et sous pression devient monnaie courante au Royaume-Uni, en particulier dans le secteur médical. C’est ce que révèle un rapport de la Care Quality Commission (CQC), notamment suite à l’enquête sur des pratiques de vente choquantes de l’une des plus grandes chaînes de centres d’avortement du Royaume-Uni, Marie Stopes. Un rapport accablant, qui a contraint le « géant de l’avortement » à suspendre temporairement la moitié de ses services.
Une partie du rapport révèle notamment que les installations de Marie Stopes exerçaient des pressions sur les femmes, les encourageant à avorter leurs bébés.
La situation est telle que le personnel de la clinique a été jusqu’à recevoir des primes financières pour encourager les femmes à subir un avortement !
De nombreux témoignages viennent illustrer les révélations scandaleuses de l’enquête.
À chaque rendez-vous au long de la grossesse, et jusqu’à la naissance, soit une dizaine de fois, il a été proposé à une future maman, Natalie Halson, d’avorter sa fille, après que celle-ci ait été diagnostiquée avec le spina bifida. Cependant, c’est une fille en bonne santé qui est née…
Mme Halson témoigne : « Ils m’ont dit que l’avortement était la seule option et m’ont expliqué que si je poursuivais ma grossesse, mon bébé resterait dans une chaise roulante et n’aurait aucune qualité de vie. [La pression] était si insistante, même après avoir refusé à plusieurs reprises. »
Elle ajoute : « Je recommanderais à tous les parents à qui il est conseillé d’avorter que ce n’est pas la seule option, peu importe ce que les hôpitaux tentent de leur dire. Et suivez toujours votre instinct; quelque chose à l’intérieur m’a dit que mon bébé allait aller bien ; et regardez-la maintenant, elle est parfaite. »
Michael Robinson, directeur des communications et des campagnes de SPUC Écosse, dénonce : « La réalité scandaleuse qui se cache derrière la "politique du choix" est que les femmes enceintes sont de plus en plus exploitées et poussées à se faire avorter. Des recherches récentes menées par l’organisme caritatif britannique Abortion Recovery Care et Helpline (ARCH) ont révélé que 75% des clientes déclarent avoir subi un avortement parce qu’elles se sont senties sous pression. »
« Les récits de ces jeunes femmes qui ont subi des pressions pour faire avorter leurs enfants montrent non seulement un manque total de compassion et d’attention de la part du personnel médical, mais aussi à quel point le personnel médical est impliqué », dénonce-t-il à juste titre.
Un bébé à naître sauvé grâce à une transfusion sanguine «extraordinaire» in utero
Photo in utero d'un enfant à naître de 26 semaines.
Par La Society for the Protection of Unborn Children — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Lennart Nilsson
Une intervention médicale remarquable a donné de la joie à une famille et de la vie à leur petit garçon qui était menacé par une maladie rare dès le ventre de sa mère.
Bébé Edward, aussi connu sous le nom de Teddy, souffrait d’anémie. En réponse, le docteur Amarnath Bhide a utilisé une sonde à ultrasons pour insérer une aiguille à travers l’utérus et dans le cordon ombilical, dans lequel celui-ci a administré à Teddy du sang donné.
Teddy a bénéficié de cinq transfusions sanguines avant sa naissance, ce sont quelques-unes des plus précoces interventions in utero à avoir été effectuées.
Michael Robinson, directeur des communications de SPUC Scotland, a qualifié ces interventions d’« extraordinaires ».
Sauver des vies grâce à la chirurgie in utero
Bien que l’intervention qui a sauvé la vie du bébé à naître Teddy soit effectivement « extraordinaire », l’option de l’opération in utero, qui peut sauver et améliorer l’espérance de vie des enfants à naître, devient une perspective beaucoup plus positive.
Actuellement, les opérations in utero permettent de traiter un certain nombre de pathologies fœtales, notamment le spina bifida, les tumeurs fœtales, la paralysie cérébrale, les problèmes cardiaques fœtaux et l’hyperthyroïdie.
Lire la suiteL’opération extraordinaire d’un enfant à naître, extrait du ventre de sa mère puis réintégré
Bethan Simpson, mère de l'enfant à naître opéré.
Par Doug Mainwaring — traduit par Campagne Québec-Vie
Royaume-Uni, 13 février 2019 (LifeSiteNews) — Au milieu des clameurs des gouverneurs et des corps législatifs qui s’efforcent d’inscrire l’avortement, jusqu’au moment de la naissance, dans les constitutions des États-Unis, un événement en Grande-Bretagne remet aujourd’hui en question la moralité de ces actes [même s’il est déjà évident qu’ils sont plus que contestables].
Quand il a été découvert que la fille à naître de Bethan Simpson était atteinte de spina-bifida, elle et son mari Kieron avaient tout d’abord été avisés de se faire avorter.
Au lieu de cela, ils ont suivi une procédure révolutionnaire au cours de laquelle leur fille a été retirée du ventre de Bethan pour subir une opération corrective avant d'être replacée dans le ventre maternel pour lui permettre de continuer de se développer jusqu’à terme.
Depuis la procédure effectuée en janvier, les analyses révèlent que l’enfant est guérie et continue de se développer.
Après l’opération, la mère heureuse a déclaré dans une publication sur Facebook : « Nous avons été un succès. »
« Sa lésion était petite et elle a bien réagi à l’opération chirurgicale à un degré que vous ne voudriez pas croire », a déclaré une joyeuse Simpson à propos de sa fille qui n’était pas encore née. « Ils l’ont sortie de mon ventre et l’ont fait revenir tout droit pour rester là aussi longtemps qu’elle le pouvait. »
Simpson a ensuite souligné une vérité troublante.
« Malheureusement, en Angleterre, 80 % des bébés se font enlever la vie lorsque leurs parents se font dire que leur bébé est atteint de cette maladie », a déclaré Simpson. « Ce n’est pas une condamnation à mort [le spina-bifida]. Elle a le même potentiel que chacun d’entre nous. »
Lire la suiteUn bébé atteint de spina-bifida et opéré avant sa naissance peut maintenant marcher
Roman Dinkel, dont les chances de marcher ont été grandement augmentées grâce à une opération prénatale, fait quelques-uns de ses premiers pas. Devant lui se trouve le chien de la famille, Maggie.
Par Dorothy Cummings McLean — traduit par Campagne Québec-Vie
Kansas City, 5 octobre 2018 (LifeSiteNews) — Des médecins ont dit à une mère enceinte que son fils avait le spina-bifida et pourrait ne jamais marcher. Mais, grâce à l’amour de ses parents et à une opération prénatale, le charmant bambin, Roman Dinkel est devenu, avec ses premiers pas, une célébrité sur internet.
Une vidéo mettant en scène Roman faisant ses premiers pas, avec l’aide de béquilles minuscules, a eu un succès fou, et a été visionnée des millions de fois. En septembre, l’émission de télé Good Morning America montre le petit avec sa mère Whitney, son père Adam, ainsi que Maggie, le chiot de la famille. La vidéo montre Roman appelant joyeusement Maggie en lui disant : « Regarde Maggie, je marche ! »
Des milliers de personnes ont posté des messages sur la page Facebook de la famille Dinkel et en dessous de leur vidéo YouTube pour leur dire combien Roman les a inspirés et les a rendus joyeux.
Lire la suiteUn enfant avorté meurt en pleurant dans les bras de sa mère
Par Jonathon Van Maren (The Bridgehead) — traduit par Campagne Québec-Vie
Je viens juste de lire une histoire publiée plus tôt cet été dans The Bolton News au Royaume-Uni, intitulée « Aborted baby died in his mother’s arms at Royal Bolton Hospital, Bolton inquest told » (Un bébé avorté est mort dans les bras de sa mère à l’hôpital Royal Bolton, selon l’enquête du Bolton News). Bien que les détails de l’histoire soient malheureusement familiers aux activistes pro-vie, les réactions de presque toutes les personnes impliquées dans cette affaire tragique sont des exemples de comment une culture qui tue ses enfants se durcit et devient insensible par conséquent :
Lire la suiteMalgré la décision difficile de mettre fin à sa grossesse tardivement, à cause de malformations congénitales, Sofia Khan a donné naissance à un petit garçon vivant, et qui pleurait. Le Bolton News apprit que Mme Khan, une assistante en vente de The Haulgh à Bolton, avait appris à 21 semaines que son enfant avait le spina bifida.
Après avoir parlé à son mari, Shakeel Ahmed, avec les cliniciens des options, une décision fut prise de mettre fin à la grossesse. Mme Khan se rendit alors à l’hôpital St Mary’s à Manchester pour subir une procédure qui allait mettre fin à la vie de son bébé.
La procédure premièrement consistait en une injection d’un produit chimique dans le cordon ombilical, qui fut effectuée le 16 février par le docteur Philip Bullen. Il déclara à l’assistant-coroner Simon Nelson : « J’ai été extrêmement choqué d’entendre ce qui est survenu… J’étais abasourdi puisque la procédure se déroulait comme nous le désirions, sans encombre. »
Un bébé ayant le spina-bifida est né en bonne santé grâce à une opération dans le ventre de sa mère
Piper-Kohl Kelly, au centre entre Tyler Kelly et Georgia Axford.
Par Anna Reynolds (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Ayant subi une opération pour le spina-bifida avant sa naissance, le bébé Piper-Kohl Kelly semble en parfaite santé. Ses parents, le couple britannique Georgia Axford et Tyler Kelly, ont contracté un prêt de 9 000 £ (plus de 15 000 $) et parcouru 570 milles (900 km) pour qu’un chirurgien expérimenté effectue l’opération potentiellement salvatrice de leur fille à naître.
Selon le Daily Mail, à l’échographie de 20 semaines, Axford et Kelly ont appris que leur fille souffrait de spina-bifida, une malformation du tube neural qui expose des parties de la moelle épinière et les nerfs spinaux. Ceci peut causer des anomalies neurologiques, et dans certains cas être mortel.
La médecine permet maintenant aux médecins d’opérer les bébés atteints de spina-bifida avant la naissance, en couvrant les parties exposées de la moelle épinière. Des médecins du Royaume-Uni ont dit à la famille que Piper pourrait subir une opération prénatale, mais qu’elle serait pratiquée par un chirurgien qui ne l’avait jamais faite auparavant. La famille a choisi de se rendre en Allemagne pour avoir un chirurgien plus expérimenté et de payer elle-même l’intervention.
Lire la suiteNée avec le spina bifida, le médecin a proposé à ses parents de la laisser mourir, aujourd'hui elle se porte très bien
Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : PxHere
La majorité des diagnostics prénataux de spina-bifida se soldent par un avortement. Heureusement les parents de Misty Boyd ne savaient pas qu'elle était atteinte de cette maladie avant sa naissance, en 1983. Or ceux-ci ont tout de même dû se battre pour la vie de leur petite fille, explique Boyd dans un message publié sur Facebook à l’occasion du Mois de la sensibilisation au spina bifida.
« Lorsque je suis née on a découvert que j’avais le spina bifida, le médecin s'est confondu en excuses disant qu'il aurait pu "faire quelque chose" s'il l'avait su. On a informé mes parents que j’aurais des problèmes mentaux, que je ne pourrais jamais marcher, parler, me nourrir par moi-même, être indépendante de quelque façon que ce soit et que mon état était incompatible avec la vie. Si le médecin avait découvert mon handicap lors de l’échographie, il aurait insisté pour que je sois avorté, prétextant ma « piètre qualité de vie ». Elle ajoute « Comme mon handicap n'a été découvert qu'après ma naissance, on a offert à mes parents le choix de ne pas me nourrir et de ne pas me soigner afin de me laisser mourir. »
Ce traitement cruel et sans pitié recommandé par le médecin de Boyd était fréquent au cours des dernières décennies pour les bébés naissant avec des handicaps; un cas notoire est celui du bébé Doe, un garçon né avec le syndrome de Down en 1982. Comme ses parents ne voulaient pas de lui, son médecin leur conseilla de le laisser mourir, arguant que sa qualité de vie serait très mauvaise. Puisque bébé Doe aurait eu besoin d'une intervention chirurgicale, le médecin a recommandé aux parents de ne pas consentir à l'opération, en disant des enfants atteints d’une déficience intellectuelle : « Je crois qu'il y a des situations pires que la mort d'un enfant, et l'une d'entre elle est qu'il pourrait vivre. »
Lire la suiteLes parents de ces trois beaux enfants ont rejeté l’avortement qui leur était recommandé… et regardez-les maintenant
Olivier Hinckley
Par Danny David (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
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Catherine Harper et son fils Jackson |
En janvier, Live Action News a produit un article, se penchant sur Catherine Harper, une Néo-Zélandaise qui était allée en Australie afin de recevoir une chirurgie pour son fils prématuré, ayant été diagnostiqué avec le spina bifida. Le bébé avait supposément « une forme sévère de spina bifida – myéloméningocèle – de même qu’une malformation de Chiari au cervelet, cette partie du cerveau contrôlant l’équilibre. »
Catherine et son mari, Paul, se firent dire que leur enfant ne marcherait probablement jamais, et pourrait naître avec une tête considérablement grande. Catherine et Paul décidèrent de rejeter les conseils qui les dirigeaient vers l'avortement, optant plutôt pour une chirurgie, leur bébé devenant alors le premier Néo-Zélandais à subir cette chirurgie alors qu’il était encore dans l’utérus.
Depuis ce temps, les rapports indiquent que la chirurgie fut un succès. D’après MercatorNet, « Le premier scan [de Catherine] à Auckland épata les docteurs puisqu’il montrait que la formation de Chiari s’était inversée. La fermeture de l’ouverture sur la colonne vertébrale du bébé avait également empêché que les dommages des nerfs spinaux ne continuent, et les docteurs furent impressionnés par la netteté de la réparation, puisque cela avait été effectué à l’intérieur de l’utérus. »
Lire la suite‘Le garçon sans cerveau’ stupéfie les médecins après que ses parents aient refusé l'avortement
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) - traduit par Campagne Québec-Vie
À trois mois de gestation, Shelly Wall et son mari Rob ont appris ces nouvelles dévastatrices qu’aucun parent ne veut entendre. Les médecins leur ont dit que leur bébé à naître, le petit garçon Noah avait plusieurs problèmes de santé incluant le spina bifida, des anomalies chromosomiques et l'hydrocéphalie. Ils ont dit que Noah n'avait que 2% de ses tissus cérébraux et mourrait probablement avant la naissance. On a conseillé au couple d'avorter leur fils.
Ils ont refusé.
« On nous a offert d’avorter cinq fois », a déclaré Rob Wall dans le documentaire « Le garçon sans cerveau. » « Ce n’avait jamais été une option acceptable pour nous. Nous voulions tout simplement donner à Noah la chance de vivre. »
Salut tout le monde ! Un bien beau bonjour à vous tous ! Ça sera une semaine magnifique parce que j’ai eu MON TOUT PREMIER BOULOT DE MANNEQUIN !!!!! Si je peux le faire, N’IMPORTE QUI peut y arriver aussi ! Ceci est une photo de moi 48 heures après la naissance, qui l’aurait cru !
Les médecins prédisaient si obstinément que Noah allait mourir à la naissance que le couple avait planifié des funérailles pour leur fils avant qu'il ne soit né. Mais à leur grande joie, tout de suite après sa naissance le 6 mars 2012, Noah a laissé échapper un cri.
Lire la suiteUne mère qui s'était fait dire d'avorter son bébé de 20 semaines parce qu'il n'aurait pas de «qualité de vie», accouche d'un garçon en santé
Par Steven Ertelt de LifeNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Au Royaume-Uni, Claran Rodgers, un petit garçon de trois ans, mène une vie en santé et heureuse avec ses parents Gemma Rodgers et Ross Kelter. Cependant il ne serait pas ici aujourd'hui si ses parents avaient suivi l'avis du médecin et choisi d'avoir un avortement. A l'échographie de 20 semaines, les docteurs ont dit au jeune couple que leur bébé naîtrait paralysé et n'aurait aucune qualité de vie.
Le Daily Mail rapporte qu'ils ont été encouragés à avoir un avortement parce que l'avenir de leur fils paraissait sombre. Ils croyaient qu'il serait atteint de spina bifida, qu'il serait un poids pour ses parents, ne marcherait ni ne parlerait jamais et ne pourrait pas accomplir les choses de base comme aller à la toilette tout seul. Heureusement, le couple a refusé l'avortement et estime que c'était la meilleure décision qu'ils aient jamais prise.
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