Planned Parenthood persuade une femme d’avorter sans en aviser son époux...
Par Sarah Terzo (LiveActionNews) ― Traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : Drobotdean/Freepik
MT Hall était l’ancien directeur du centre de ressource pour grossesse Birthright. L’auteur pro-vie Terry Lanora raconte l’histoire d’une femme enceinte ayant visité le centre. La femme arrivant heureuse et joyeuse d’avoir un enfant, fond soudainement en larme lors de son départ et confia à Hall une triste histoire. Hall raconte :
C’était sa quatrième grossesse, mais serait son troisième bébé [à naître vivant]. Lors de sa dernière grossesse elle s’était rendue à Planned Parenthood. Elle laissa savoir que son mari était au chômage et l’employée lui fit ressentir beaucoup de culpabilité. La travailleuse avait une opinion très négative sur le temps que prendrait le mari à obtenir un nouvel emploi. Elle lui lança qu’elle n’avait aucun droit de lui mettre un plus grand fardeau sur les épaules et que cela était injuste pour les enfants qu’elle avait déjà*, et cætera.
Le pire** est que cette femme la convainquit d’avoir un avortement sans même en discuter avec son mari !
Selon d’anciens employés de Planned Parenthood, il y a un quota d’avortements que les employés doivent « vendre ». Selon des témoignages, les travailleurs sont formés afin de mettre la pression sur les femmes afin qu’elles se fassent avorter.
Lire la suiteCanada : un père enfreint l’injonction au silence imposée au sujet de la « transition » de son enfant
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Quand le père d’une fille de treize ans apprit que celle-ci voulait « transiter » en garçon il s’y opposa. Hélas, derrière sa fille se rangeaient ceux qui lui avaient conseillé de « changer » de sexe, des promoteurs du transgenrisme, dont un psychologue, et sa mère qui l’a soutien dans ce délire. L’affaire fut amenée devant les tribunaux, et se rendit jusqu’en Cour suprême de Colombie-Britannique.
Ce qui résulte de ce litige c’est que non seulement le père ne peut empêcher la « transition » de sa fille, qui a maintenant quinze ans, mais il doit s’adresser à sa fille comme à un garçon en employant le prénom masculin qu’elle s’est choisi (s’il utilisait par exemple son véritable prénom cela serait de la « violence familiale »), et il n’a pas le droit de divulguer, par rapport à cette affaire, son nom, celui de sa fille, celui de la mère, du psychologue et des médecins qui procèdent à la « transition ». Il doit aussi ne pas parler des détails de cette affaire avec les médias ni parler de sa fille comme d’une fille.
Il passa outre, s’exprimant deux fois en entrevues qui furent publiées très récemment sur internet, encourant, ainsi que deux autres personnes, le courroux du tribunal. D’après LifeSiteNews :
Lire la suiteUn juge de Colombie-Britannique a averti un père, se battant pour empêcher les médecins et les tribunaux de faire « transiter » son enfant de 15 ans de fille en garçon, de ce qu’il devait respecter une injonction au silence ou faire face à une accusation d’outrage au tribunal.
Le juge de la Cour suprême de Colombie-Britannique Michael Tammen a également mis en garde la blogueuse chrétienne Laura-Lynn Tyler Thompson, qui a été convoquée au tribunal le 12 février avec le père pour avoir enfreint une interdiction de publication en ayant mis en ligne, la semaine précédente, une entrevue du père.
Le militant transgenre Jenn Smith a également été traduit en justice pour violation présumée de l’interdiction de publication, dans le cadre d’une action intentée contre le trio par les avocats de la fille, rapporte le Vancouver Sun.
Tammen a ordonné à Smith d’annuler son entretien en ligne avec le père prévu pour ce soir-là, et a ordonné à Thompson de retirer sa vidéo d’internet.
Tammen les a avertis tous trois que s’ils enfreignaient de nouveau les ordonnances du tribunal, les avocats de la fille — dont fait partie l’activiste « queer » Barbara Findlay — pourraient intenter une action pour outrage au tribunal contre eux.
Un cinéaste explique comment l'avortement forcé de son enfant à naître l'a poussé à devenir pro-vie
Traduit par Campagne Québec-Vie
24 octobre 2019 (LifeSiteNews) — L'épisode hebdomadaire du Van Maren Show présente une discussion avec Jason Jones, militant pro-vie prolifique, qui raconte à Jonathan Van Maren comment il a été introduit à la réalité de l'avortement, lorsque le père de sa petite amie* d'alors a fait tuer leur enfant sans son consentement et à son insu.
« En fait, j'avais seize ans lorsque j'ai appris que ma copine du lycée était enceinte et que je me suis enrôlée dans l'armée, or j'étais en formation de base, quelques semaines seulement avant mon retour, lorsque son père a appris qu'elle était enceinte et l'a forcée à avorter », se rappelle Jones, qui est président et fondateur de Human Rights Education Organization et de Movie to Movement ainsi que producteur du film pro-vie Bella. « Et j'ai découvert que mon enfant avait été détruit quand le père de ma copine du lycée le révéla, parce qu'elle ne pouvait même pas me le dire. Elle n'arrêtait pas de pleurer en disant : "Je suis désolée, je suis désolée, je suis désolée." Et puis son père a dit : " Nous connaissons ton secret, ton secret est parti. Tu peux venir à la maison maintenant." »
Jones, qui avait été « vraiment excité d'être père », indique que ç'a été l'« incident déclencheur » dans sa vie, qui l'a transformé, de l'état d'ignorance au sujet du fait que l'avortement était légal à « exploser en activité implacable » pour la vie.
« J'ai explosé. Je dirais que pendant les dix premières années, et même si j'étais impliqué dans le mouvement pro-vie, ce n'était pas très sain », admet Jones, expliquant comment il avait été mené au départ en grande partie par la vengeance de son enfant perdu, ceci se manifestant de diverses façons et allait depuis chercher la bagarre avec les défenseurs de l'avortement à railler les professeurs pro-avortement d'université. « Ce n'est qu'en devenant chrétien que j'ai pu dire que j'étais capable d'exploiter cette force explosive causée par l'avortement et de l'utiliser de manière constructive. »
Jones explique qu'à ses débuts dans le mouvement pro-vie, il craignait, s'il se convertissait au christianisme comme ses nouveaux alliés, que cela dissipât la colère qui alimentait son activisme visant à éliminer l'avortement, et qu'il devint comme ce qu'il appelait, des touristes pro-vie, « qui semblaient confier paresseusement à « la volonté divine » la tâche de mettre fin à l'avortement.
Lire la suiteLe gouverneur du Texas se penche sur le cas d’une mère qui veut faire « transiter » son enfant de 7 ans
Le gouverneur du Texas, Gregory Wayne Abbott.
Par Madeleine Jacob — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Gage Skidmore/Flickr
Dallas, Texas, 23 octobre 2019 (LifeSiteNews) — Le gouverneur du Texas a twitté le 23 octobre que l’État enquêtera sur le cas d’une mère qui tente de réaliser la « transition » de genre de son fils de sept ans contre la volonté du père.
Le 23 octobre au soir, le gouverneur républicain Greg Abbott a twitté que l’Office du procureur général du Texas et que le Département des Services de la famille et de la protection du Texas examineront l’affaire James Younger. [Le gouverneur a annoncé aujourd’hui que les deux offices ont commencé a examiné l’affaire.]
Anne Georgulas et Jeffrey Younger ont eu un différend complexe au sujet de la garde de leurs jumeaux, James et Jude. Le Dr Georgulas dit à James qu’il est une fille depuis l’âge de trois ans et sa pédiatre, le Dr Jennifer Pape, le classe comme une femme dans son dossier médical. Elle l’a inscrit au jardin d’enfants comme fille nommée « Luna ». Il utilise les toilettes des filles, et tous ces camarades de classe pensent qu’il est une fille.
Le Dr Georgulas, également pédiatre, veut soumettre James à des bloqueurs de puberté et à des hormones de l’autre sexe, tout en forçant légalement son père à le traiter comme une fille.
Il y eut un consensus de 11 des 12 jurés, le jury a décidé lundi de ne pas accorder à M. Younger le statut de seul tuteur de ses jumeaux. Ils ont voté en faveur du remplacement de la tutelle partagée par une tutelle unique, et que M. Younger ne devrait pas être le tuteur. Le jury s’est prononcé sur les requêtes de M. Younger qui demandait un procès devant jury. Le juge Kim Cooks se prononce [... aujourd’hui] sur les requêtes de Georgulas et sur les détails de la décision du jury, comme la garde et la pension alimentaire des enfants.
Le sénateur républicain Ted Cruz, du Texas, a qualifié l’affaire d’« horrible » et de « tragique ». Il a appelé son État à protéger James contre son utilisation « comme pion dans un programme politique de gauche ».
Lire la suiteLa décision du juge sur la « transition » d’un enfant de 7 ans remise au 24 octobre
Jeffrey Younger et ses jumeaux James et Jude.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Le jugement du juge du Texas, Kim Cooks, sur l’affaire opposant le père et la « mère » de James, enfant de sept ans que sa « mère » voudrait appeler « Luna » et « transitionner » en fille, sera rendu au 24 octobre et non pas le 23 comme cela avait été annoncé précédemment. Le jury s’est déjà prononcé contre Jeffrey Younger, le père de l’enfant, qui s’oppose à cette maltraitance qu’est la castration chimique que représente la « transition » LifeSiteNews :
La décision du juge dans l’affaire Jeffrey Younger, le père qui tente de sauver son fils de sept ans, James, d’être « transitionner » en fille, a été reportée au 24 octobre.
Lundi, le juge Kim Cooks a dit dans la salle d’audience qu’elle lirait sa décision mercredi à 13 h 30 [CST]. L’affaire était inscrite au calendrier de la cour pour le 23 octobre.
Selon le greffier, la décision sera annoncée le 24. Elle a refusé de préciser l’heure.
Un père supplie la mère de l’enfant de ne pas l’avorter
Par Jonathon Van Maren — traduit par Campagne Québec-Vie
18 juin 2019 (LifeSiteNews) — C’est l’une des vidéos les plus déchirantes que j’ai jamais vue. Celle-ci a été prise à l’extérieur de la clinique grotesquement nommée Hope Clinic for Women (Clinique de l’espoir pour les femmes). Elle montre un jeune homme portant un chandail à capuche bleu et une casquette de baseball grise portée à l’envers par-dessus ses cheveux mêlés, suppliant devant les portes de la clinique. Il s’accroupit, les mains tendues vers la porte fermée, suppliant sur un ton de désespoir strident qui va droit à l’âme. « S’il te plaît, ne tue pas notre bébé ! Abby, ne tue pas notre bébé ! Abby... » et la voix se brise, se transformant en sanglots déchirants.
Cette vidéo est devenue virale sur Twitter le jour de la fête des Pères. Elle a d’abord été affichée sur le compte Facebook de l’activiste pro-vie John Ryan la fin de semaine dernière avec la description suivante :
Le cauchemar de la fin de semaine de la fête des Pères. Ce père s’agenouille devant les portes de cette usine à avortements et pleure hystériquement pour la vie de son enfant. Il s’appelle Tyler. La mère s’appelle Abby. Priez pour lui, s’il vous plaît. Il a dit qu’Abby a été maltraitée dans sa vie et qu’une des personnes impliquées dans la violence, sa belle-mère, est celle qui l’a amenée ici pour tuer leur enfant. Il a dit qu’elle a trois autres enfants à la maison, dont un enfant de 4 ans et demi qui sait très bien que sa mère est enceinte et qui attend avec impatience la naissance de son frère. Il a dit qu’ils avaient planifié ce bébé. Le bébé en danger a 12 semaines. Dans les vidéos ci-jointes, vous pouvez entendre ce père crier pour la vie de son enfant. C’est déchirant. C’est ce qu’[au moins*] fait un vrai père quand son enfant est en danger imminent.
Beaucoup de gens oublient souvent que les pères se rendant aux cliniques d’avortement ne sont pas tous là parce qu’ils ont hâte de se débarrasser de leur enfant. Tous les papas ne sont pas des hommes égoïstes indignes de ce titre qui veulent à tout prix se dispenser de leurs responsabilités. Certains d’entre eux veulent désespérément avoir la chance de s’occuper de leur enfant et d’être papas. Certains sont à la clinique contre leur gré. Leur cœur se brise lorsque leur enfant y meurt, mais ils sont aussi impuissants sous nos lois que leurs enfants à naître, tous pris dans une sorte de danse mortelle qui met fin à des vies humaines et détruit ainsi quelque chose de notre humanité dans ce processus.
Lire la suiteDeuxième défaite pour un père de famille devant les tribunaux
Par Pascal Bergeron (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : The Post Millennial
Un jugement tordu… Au passage, une fille ne pourra jamais devenir un garçon ou vice-versa, bien que l’on puisse leur faire acquérir artificiellement certains des attributs physiques de l’autre sexe, puisque leur corps respectif a de nombreuses différences selon leur appartenance, jusque dans les organes similaires. Évidemment c’est sans parler de la génétique. Enfin, étant donné que les « traitements » de « transitionnement » ne donneront qu’un corps de femme masculinisé, et non d’homme, à cette jeune fille voulant être garçon, je ne pense pas qu’elle s’en sentira mieux et sera moins suicidaire, elle n’en sera pas satisfaite. Ce n’est pas suivre ses désirs désordonnés qu’il faut, mais la conforter dans sa féminité. — A. H.
Selon une juge canadienne, refuser de reconnaître que son enfant a changé de sexe équivaut à de la « violence familiale ».
Une juge de la Cour suprême de la Colombie-Britannique a déterminé la semaine dernière qu’un père avait fait subir de la « violence familiale » à sa fille de 14 ans parce qu’il refusait de reconnaître que celle-ci s’identifiait dorénavant au sexe masculin.
Bien que la juge Francesca Marzari reconnaisse qu’il a droit à son opinion, elle a avancé qu’il ne pouvait pas pour autant « faire du mal à son enfant ». Soulignons que l’identité des parties demeure confidentielle et que l’homme ne peut commenter l’affaire publiquement pendant au moins un an afin d’éviter, apparemment, que l’enfant soit « victime » de commentaires haineux.
Il ne s’agit pas du premier revers essuyé par ce père de famille devant les tribunaux britanno-colombiens. En février dernier, un autre magistrat de la Cour suprême de la Colombie-Britannique avait déterminé que l’enfant en question pourrait recevoir des injections d’hormones de croissance. Il avait donc décidé de rejeter les prétentions du père qui, de son côté, soutenait que son enfant n’était pas apte à consentir à ce traitement qui devait lui permettre d’acquérir les attributs physiques masculins.
Étant donné que le jeune avait déjà tenté de se suicider dans le passé, le juge chargé de trancher l’affaire avait expliqué qu’il craignait que le mineur tente de s’enlever la vie si sa demande n’était pas accueillie. Il s’était d’ailleurs dit satisfait de la compréhension de l’enfant quant aux risques associés au traitement.
Un juge autorise un père à poursuivre l'avortoir qui a avorté son bébé
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Ce serait une première en la matière qu’un père poursuive un avortoir pour l’avortement sans son consentement de son enfant à naître, la mère ayant décidé autrement. Un juge du comté de Madison en Alabama a autorisé la poursuite, ce qui est un premier pas. Outre l’humanité de l’enfant à naître que les pro-avortement ignorent souvent superbement, la volonté du père et ce qu’il ressent passent pour du beurre à leurs yeux, à côté du « droit à l’avortement » de la femme. Extrait de LifeNews :
Un père en deuil d’Alabama a remporté une première victoire cette semaine dans un procès défiant l’avortoir qui avait avorté son enfant à naître.
Ryan Magers poursuit l’Alabama Women’s Center de Huntsville après que sa « petite amie » y ait avorté leur bébé à naître contre son gré. Mardi, le juge du comté de Madison, Frank Barger, a fait droit à la requête de Magers de représenter la cause de son enfant, « Baby Roe », et, en conséquence, de poursuivre l’établissement en avortement au nom de son enfant décédé, selon Vice News.
L’avocat Brent Helms, qui représente Magers, a déclaré que la décision du juge est une première victoire pour leur affaire.
« C’est la première fois que je suis au courant de ce qui a été ouvert pour un bébé avorté », a dit Helms à WAAY News.
[...]
« La vie innocente de Baby Roe a été engloutie par le mercantilisme de l’Alabama Women’s Center et bien qu’aucun tribunal ne puisse ramener Baby Roe à la vie, nous demanderons justice au nom de Baby Roe et du père de Baby Roe, » a déclaré Helms dans une déclaration.
« Le temps est venu d’uniformiser la jurisprudence de l’Alabama : soit nous reconnaissons pleinement la personnalité de l’enfant à naître, soit nous sélectionnons les innocents que nous protégerons et ceux que nous jetterons pour le profit », a-t-il poursuivi.
Un premier centre d’hébergement pour pères en difficulté à Québec
Par Rafael-Alexandre Ramos Richard (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : Radio-Canada et Maison Oxygène Vers l’Autonomie
L’organisme MOVA prend de l’expansion avec l’établissement d’une 14e « Maison Oxygène » sur le territoire québécois.
Le réseau Maison Oxygène au Québec Vers l’Autonomie (MOVA) a maintenant pignon sur rue dans le quartier Limoilou, à Québec.
L’organisme, dont la mission est de venir en aide aux pères vivant des difficultés personnelles, conjugales ou familiales, et qui ont la garde de leurs enfants ou qui tentent d’obtenir cette garde ou un droit de visite, mettra à leur disposition trois chambres dans son nouveau centre d’hébergement.
Les papas dans le besoin pourront y séjourner entre trois et six mois et pourront compter sur le soutien d’intervenants, si nécessaire. Ceux-ci accompagneront également les usagers du centre en les guidant vers les ressources appropriées.
Les regrets et la souffrance des pères après l’avortement racontés dans la grande presse… au Royaume-Uni
Par Jeanne Smits (Reinformation.tv)
Le tabloïde britannique Daily Mail publie un long article sur les regrets et la souffrance des pères après l’avortement. Sujet largement tabou au nom du politiquement correct qui impose la reconnaissance de l’avortement comme « un droit des femmes », il fait ainsi son entrée dans un journal de la grande presse du Royaume-Uni, qui vise un public populaire et qui y réussit d’ailleurs fort bien, puisqu’il annonce aujourd’hui quelques 2 millions d’exemplaires vendus quotidiennement dans les pays anglophones.
C’est à travers quelques exemples poignants que le Daily Mail se fait l’écho d’associations de soutien aux personnes qui regrettent leur « IVG » : Rachel’s Vineyard, notamment, organisme catholique qui aide de nombreuses femmes à prendre conscience de la réalité de l’avortement et à rechercher le pardon à travers cette vérité qui seule rend libre. L’association dispose d’antennes à travers le monde et elle s’est tôt ouverte aux hommes qui souffrent aussi du syndrome traumatique post-avortement. Chez Abortion Recovery Care, également sollicité par les journalistes qui ont réalisé l’enquête, on estime qu’aujourd’hui une personne sur 10 venant trouver un soutien et une aide à la suite d’un avortement est un homme.
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