Europe : baisse du soutien à l’avortement selon un sondage Ipsos Mori
Par Adèle Cottereau (Droit de Naître) — Photo : prostooleh/Freepik
Ce sont les résultats encourageants d’un récent sondage réalisé par l’agence Ipsos Mori : un nombre croissant de personnes en Europe se déclarent opposées à l’avortement, comme le rapporte le site spécialisé Genethique.org.
L’institut de sondages a interrogé 17 500 personnes dans 25 pays sur cette question et a comparé les chiffres avec ceux du même sondage, mené il y a six ans, en 2014.
La grande majorité (70 %) des personnes interrogées estiment cependant que l’avortement doit être autorisé. Mais globalement, cette proportion a baissé de 2 % depuis 2014.
Particulièrement dans huit pays européens, où le nombre de personnes favorables au « droit à l’avortement » a reculé plus fortement, surtout en Allemagne, en France et en Espagne, pays qui ont connu respectivement une baisse de 9, 6 et 5 points en pourcentage par rapport aux chiffres de 2014.
A l’échelle mondiale, on peut noter un net recul en Turquie et en Afrique du Sud, avec respectivement 15 % et 10 % de personnes en moins en faveur de l’avortement, sur cette même période.
Rappelons que la plupart des pays de l’Union européenne ont légalisé l’avortement avec ou sans période d’attente obligatoire ou conseil.
A l’exception de Pologne et Malte, pays fortement catholiques où des lois limitent toujours l’accès à l’avortement. Fort heureusement.
Selon un nouveau sondage la majorité des Canadiens veut interdire les avortements tardifs et sélectifs
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : bearfotos/freepik
Précisons pour le contexte qu’il n’y a pas de loi au Canada pour interdire ou réglementer l’avortement, cela depuis la décision R. c. Morgentaler de la Cour suprême en 1988, et que donc rien n’empêche une femme de se faire avorter jusqu’au moment de la naissance, aussi débile ceci fût-il, à moins que les médecins refusent de le pratiquer. Selon LifeSiteNews :
Un récent sondage montre qu’une majorité de Canadiens est opposée à l’avortement tardif, et sélectif en fonction du sexe, et serait favorable à l’interdiction de ces pratiques. Le pays ne dispose actuellement d’aucune loi régissant l’avortement, permettant à une mère d’avorter [non il]légalement* pendant les 9 mois de sa grossesse, quelle qu’en soit la raison.
En ce qui concerne l’avortement sélectif, le sondage montre qu’une « vaste majorité (84 %) s’oppose à la légalisation de l’avortement si cela vise les bébés d’un certain sexe ».
Et sept sur dix (70 %) « Les Canadiens pensent que l’avortement devrait être généralement illégal au cours des trois derniers mois de la grossesse ».
Les gros médias disent que les sondages montrent que les Canadiens donnent très peu dans les opinions favorables à la vie, mais ce n’est pas ce qu’indiquent les résultats réels des sondages.
Pro-choix, mais… :
Lire la suiteAlors que le sondage a révélé que 70 % des Canadiens « trouvent l’avortement acceptable », que 62 % « s’identifient comme étant pro-choix » et que 71 % pensent qu’une femme « devrait pouvoir obtenir un avortement si elle décide qu’elle en veut un, quelle qu’en soit la raison ». Mais lorsqu’on les amène sur le terrain de l’avortement tardif et de l’avortement sélectif, les chiffres se métamorphosent notamment.
[...]
Mené par le groupe de sondage DART & Maru/Blue, le sondage a sélectionné au hasard 1 515 adultes canadiens de chaque province, à l’exception de l’Île-du-Prince-Édouard et de tous les territoires canadiens.
[...]
Les données du sondage suggèrent un fort soutien à l’avortement des bébés en début de grossesse, avec seulement 14 % estimant que l’avortement devrait être illégal pendant le premier trimestre, mais 34 % estimant que la vie commence dès la conception.
La moitié des Canadiens veut des limites à l'avortement tardif
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Devostock
Selon l’Angus Reid Institute, les Canadiens seraient, pour 49 % d’entre eux, pour une loi interdisant l’avortement dans le troisième trimestre de la grossesse, à moins que la santé de la femme ne soit en danger, tandis que 51 % d’entre eux approuvent l’avortement tout au long de la grossesse. Déjà, ferais-je remarquer, donner une exception pour l’avortement si la « santé » de la femme est en danger, c’est montrer la faiblesse de cette restriction, pourquoi en effet ne pas mettre une exception que si la vie de la femme est en danger dans le troisième trimestre ? Ensuite, pourquoi ne pas bêtement mettre au monde l’enfant à naître qui est justement viable à ce stade-ci de son développement, une opération qui demande amplement moins de temps qu’un avortement à ce stade-là ? Mais l’avortement est immoral durant toute la grossesse, car l’enfant à naître est un être humain dès la conception. Du moins ne pourra-t-on pas dire que tous les Canadiens approuvent à 100 % ce crime abominable.
Toujours est-il que d’après L’Angus Reid Institute, dans la population canadienne :
Bleu : Les femmes devraient avoir accès à l’avortement légal durant toute la grossesse.
Rouge : Il devrait exister une loi prohibant l’avortement durant le troisième trimestre de la grossesse, à moins que la vie de la mère soit en danger.
Selon les tranches d’âges, on peut voir que parmi les jeunes l’avortement est plus accepté, et que le contraste le plus grand entre les tranches d’âges se constate chez les femmes ; 62 % des 18 à 34 ans sont pour l’avortement tandis que 59 % des 55+ sont pour une limite :
Bleu : Les femmes devraient avoir accès à l’avortement légal durant toute la grossesse.
Rouge : Il devrait exister une loi prohibant l’avortement durant le troisième trimestre de la grossesse, à moins que la vie de la mère soit en danger.
Baisse de la cote du groupe LGBT parmi les jeunes Américains
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Image : geralt/Pixabay
C’est ce que rapporte un sondage Harris, mené pour le compte du groupe LGBT GLAAD. Un réveil par rapport aux comportements contre nature qu’évoque le sigle en constant allongement ? Un rejet des prétentions comme celle d’obliger les femmes à accepter des « femmes transgenres » (des hommes quoi !) aux mêmes toilettes ? Extrait d’USA Today :
Le nombre d’Américains ayant entre 18 et 34 ans qui sont à l’aise d’interagir avec les personnes LGBTQ est passé de 53 % en 2017 à 45 % en 2018 — le seul groupe d’âge à montrer un déclin, selon le rapport annuel d’Accelerating Acceptance. Et c’est une baisse par rapport aux 63 % de 2016.
60 % des Américains s’opposent aux avortements dans tous les cas, ou presque tous
Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Voici quelques résultats d’un nouveau sondage de la firme Gallup sur la position des Américains sur l’avortement, selon LifeNews :
Gallup a publié de nouvelles données de sondages nationaux sur la question de l’avortement et les résultats montrent un sentiment pro-vie croissant aux États-Unis, car plus de gens disent s’opposer à tous les avortements ou à la plupart d’entre eux que ces dernières années.
Généralement, les sondages Gallup ont révélé que la majorité des Américains s’opposent à tous les avortements ou à la plupart d’entre eux (...)
Dans le passé, les sondages Gallup ont révélé qu’environ la moitié ou un peu plus de la moitié des Américains s’opposaient à tous ou presque tous les avortements. Les données les plus récentes des sondages ne sont pas différentes, comme l’indique Gallup, qui a constaté « régulièrement » au fil des ans qu’une majorité d’Américains est pro-vie.
Gallup a constaté que 60 % des Américains prennent une position pro-vie sur l’avortement en voulant que tous (21 %) ou presque tous (39 %) les avortements soient rendus illégaux. Ce chiffre de 60 % est le pourcentage le plus élevé d’Américains ayant adopté une position pro-vie depuis 2009 et une augmentation spectaculaire des attitudes pro-vie depuis les 53 % marqués dans les sondages Gallup l’an dernier.
[...]
Les données des sondages de février de Marist montrent un des plus grands déplacements vers la position pro-vie de l’histoire. Les Américains se sont tournés vers la position pro-vie sur l’avortement par un bond de 17 % en un mois après que les démocrates aient soutenu l’autorisation à laisser les bébés [nés suite à un avortement] mourir ; et qu’ils aient légalisé l’avortement jusqu’à la naissance dans l’État de New York.
Culture de mort au Québec : 3 Québécois sur 4 seraient pour l’euthanasie en cas d’Alzheimer
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pixnio
D’après un sondage Léger réalisé en avril, les trois quarts des Québécois seraient pour qu’il y ait la possibilité de demandes anticipées d’euthanasie en cas d’Alzheimer (je serais curieux de savoir à qui a été adressé le sondage en question). Tout en prenant avec un grain de sel ce sondage, qui n’a pas été étendu à l’échelle de la province, il pourrait révéler que la culture de mort qui suinte de partout, depuis le gouvernement jusqu’aux médias, a imprégné l'esprit des gens. Extrait du Journal de Montréal :
Trois Québécois sur quatre croient que les personnes atteintes d’Alzheimer devraient pouvoir demander l’aide médicale à mourir avant de perdre leurs facultés, selon un sondage Léger.
« C’est rare que les taux soient aussi élevés. Il n’y a aucune ambiguïté », dit le sondeur Jean-Marc Léger à propos de l’enquête réalisée en avril auprès de plus de 1500 Canadiens.
Actuellement, seules les personnes en fin de vie et qui sont aptes à consentir peuvent demander l’aide médicale à mourir. Or, dans le cas des démences comme l’Alzheimer, « le cerveau meurt longtemps avant le reste du corps », explique le Dr Alain Naud.
Voici une déclaration pour le moins exagérée, tout à fait fausse et à senteur de « mort cérébrale » (un concept inventé pour le prélèvement d’organe). L’article continue :
Au Québec comme dans le reste du Canada, plus de la moitié des répondants sont en accord avec l’idée d’élargir l’accès à l’aide médicale à mourir aux personnes qui ont un diagnostic d’Alzheimer et qui en font la demande de manière anticipée, alors qu’elles sont encore lucides.
C’est toutefois au Québec que l’adhésion à cette idée est la plus élevée.
Hystérie médiatique autour d'une loi contre l'avortement en Alabama
Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Evil Erin/Flickr
J'ai un peu de mal à comprendre ce qui a bien pu choquer à ce point les tenants médiatiques de l'avortement pour qu'ils se mettent à publier article sur article, sur une gamme de tons allant du lugubre au tragique, au sujet d'une toute récente loi, signée par le gouverneur d'Alabama le 15 mai dernier, interdisant l'avortement depuis la conception et ne l'autorisant que pour les « raisons » de danger de risque grave d’altération substantielle physique d’une fonction corporelle majeure, et de danger que pourrait représenter la grossesse pour la vie de la femme, ou d’anomalie létale chez l'enfant à naître.
Comme vous avez pu le voir, ça n'est pas une loi extraordinairement pro-vie, par rapport à d'autre lois votées par d'autres États, vu qu'elle contient encore l'idée de santé de la femme comme raison pour justifier l'avortement. Son originalité reviendrait plutôt à ce que cette loi interdit l'avortement depuis la conception. Mais est-ce la seule raison pour laquelle les médias canadiens se lamentent ? Voyons un peu ce qu'ils disent...
Judith Lussier gémissait dans le Journal Métro... pardon, écrivait le 23 mai :
On débat encore d’avortement?
La semaine dernière, nous n’étions pas en train de parler d’avortement. C’était un droit acquis. Et tant qu’on n’en parlait pas, la menace de nous retirer ce droit semblait ne pas exister, même si les organisations de planning des naissances savent combien cette prérogative sur nos propres corps est fragile.
Ce passage me laisse songeur, cela fait depuis qu’il a été question de permettre l’avortement qu’on ne cesse d’en débattre, il est faux d’affirmer que la semaine dernière on ne parlait pas d’avortement, à moins que l’auteure de ce texte ne parlât de son propre journal. Par ailleurs, tant qu’à évoquer le concept de « droit acquis » les esclavagistes pouvaient aussi dire que c’était un droit acquis de posséder des esclaves, ce qui ne le rendait pas l’affaire plus morale pour autant. De plus, il est évident que la meilleure méthode pour faire en sorte que l’avortement reste en place, c’est de ne pas en parler, ça s’appelle cacher la tête dans le sable ou jeter de la poudre aux yeux. Enfin, je ne sais pas si le « droit » à l’avortement est fragile ou non, mais ce qui est sûr c’est que l’avortement tue un enfant à naître et que le droit de disposer de notre corps ne saurait justifier le meurtre d’un innocent.
La semaine dernière, la Fédération du Québec pour le planning des naissances soulignait que les débats sur l’avortement aux États-Unis trouvaient des échos chez nous.
Continue plus loin Judith Lussier. Sans doute, mais ce n'est le pas le principal moteur du mouvement pro-vie au Canada. Au passage, une citation savoureuse du même article :
Au Québec, une médecin de Laval s’est rendue en Cour supérieure pour demander la révocation de l’interdiction de manifester devant les cliniques d’avortement. Les femmes qui ont eu recours aux procédures d’IVG savent à quel point il s’agit d’une technique passive-agressive d’intimidation.
Il faudrait que l’on m’explique en quoi le fait de se tenir paisiblement avec des pancartes pacifiques devant un avortoir, au milieu de passants hostiles puisse être une « technique passive-agressive ». Mais cela ne nous explique pas pourquoi ce subit intérêt pour la question.
Lire la suiteLa quasi-totalité des habitués de la Messe traditionnelle rejette l’avortement, la contraception et le «mariage gay»
Par Joseph Shaw — traduit par Campagne Québec-Vie
26 février 2019 (LifeSiteNews) — Une nouvelle étude sur les catholiques qui assistent à la Messe traditionnelle en latin, autrement appelée Forme extraordinaire, révèle qu’une majorité stupéfiante rejette la contraception, l’avortement et le « mariage gay » tout en ayant des familles nombreuses, assistant à la messe chaque semaine et donnant généreusement de l’argent à l’église. L’étude a mis en évidence des données montrant que l’inverse est en grande partie vrai pour les catholiques qui assistent à la messe dite Novus Ordo.
L’« Étude nationale sur la Messe latine traditionnelle » du Père Donald Kloster met en lumière le phénomène des « catholiques traditionnels » et confirme essentiellement le stéréotype qui croit aux enseignements de l’Église, reçoit régulièrement les sacrements et donne généreusement à sa paroisse.
Bien qu’il s’agisse d’une étude pilote autoproclamée, l’enquête comporte suffisamment de réponses, environ 1 800, sur une zone géographique suffisamment étendue (les États-Unis), pour mériter d’être prise au sérieux.
« Le sondage comportait sept questions sur les croyances et les attitudes des répondants. Les données ont été collectées entre mars 2018 et novembre 2018. Les sondages étaient anonymes et seules les réponses uniques étaient compilées. Des enquêtes ont été menées auprès de 1322 personnes interrogées. Le nombre de réponses variait (entre 1 251 et 1 322) en fonction de la question posée. La même enquête, gérée en ligne, a reçu 451 réponses », déclare le Père Kloster dans l’étude.
L’enquête auprès des catholiques traditionnels a notamment porté sur les sujets suivants :
- L’approbation de la contraception
- L’approbation de l’avortement
- La fréquentation hebdomadaire à la messe
- L’approbation du mariage entre personnes de même sexe
- Le pourcentage du revenu donné
- Confession annuelle parmi les participants à la messe hebdomadaire
- Taux de fécondité
L'Europe centrale et orientale s'oppose plus fortement au « "mariage" de personnes de même sexe » et à l'avortement que l'Europe occidentale
Costumes traditionnels de Pologne.
Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : włodi/Flickr
Si je sais que je ne peux en rire, je ne sais si je dois en pleurer. C'est une bonne nouvelle que les populations du centre et de l'est de l'Europe s'opposent plus fortement au « mariage » de duo de même sexe et à l'avortement, mais il est douloureux de voir des pays, comme la France ou l'Irlande, plongés dans l'acceptation de ces pratiques malsaines. Extrait du Pew Research Center :
Lire la suiteEn Europe centrale et orientale, les gens tolèrent moins¹ [...] le mariage homosexuel et l'avortement légal.
[...]
Ces différences émergent d'une série d'études menées par le Pew Research Center entre 2015 et 2017 auprès de près de 56 000 adultes (âgés de 18 ans et plus) dans 34 pays d'Europe occidentale, centrale et orientale, et ces différences continuent de diviser le continent plus d'une décennie après que l'Union européenne a commencé à s'étendre bien au-delà de ses racines européennes pour inclure, notamment, la Pologne et la Hongrie, pays de l'Europe centrale, et l'Estonie, la Lettonie et la Lituanie, pays baltes.
[...]
Des centaines de bébés au Canada sont-ils nés vivants après des avortements ratés puis laissés à mourir ?
Mike Schouten (LifeNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
En août 2018, la blogueuse pro-vie Patricia Maloney a rapporté que l’Institut canadien d’information sur la santé (ICIS) a enregistré 766 avortements tardifs qui ont résulté en des naissances vivantes sur une période de cinq ans.
En d’autres mots, les grossesses ont pris fin assez tard par le moyen de l’avortement pour que l’enfant survive pendant un certain temps en dehors de l’utérus, mais meurt peu après en l’absence de tentatives de soins médicaux pour lui sauver la vie. Ce n’est pas la première fois que de tels cas sont rapportés.
Comme le fait remarquer elle-même Maloney, il y a beaucoup de théories sur le pourquoi et le comment de ces décès. Les sources listées sur son blogue nous donnent des chiffres, mais elles ne nous disent pas comment et pourquoi ces enfants sont morts après un avortement raté, et pourquoi cela est encore considéré comme un avortement plutôt que comme une mort à la naissance ou même un meurtre.
Mais ignorer la question à cause des zones grises ne nous apportera jamais plus de clarté. Nous avons un système de signalement assez déplorable en ce qui concerne l’avortement. Les hôpitaux déclarent leurs données sur l’avortement, mais ils ne le font que pour environ le quart des quelque 100 000 avortements qui ont lieu chaque année au Canada. Les cliniques privées s’occupent des 75 % restants, mais elles ne sont pas tenues de déclarer leurs données sur rien allant de l’âge de la gestation au moment de l’avortement aux complications qui ont suivi.
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