Les Canadiens s’opposent à l’extension de l’euthanasie
Par Alex Schadenberg (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) — Traduit par Laurie Gagnon pour Campagne Québec-Vie — Photo : cookie studio/Freepik
Les Canadiens sont profondément divisés sur l’euthanasie
Un communiqué de presse concernant un récent sondage réalisé par Researchco.com au sujet de la loi canadienne sur l’euthanasie indique que « les Canadiens soutiennent le statu quo sur l’AMM ».
En analysant les données, j’en conclus que les Canadiens s’opposent à toute nouvelle extension de l’euthanasie et que leur soutien en faveur de la loi canadienne sur l’euthanasie a chuté.
Le communiqué de presse de Researchco indique que 73 % des Canadiens sont satisfaits de la loi actuelle sur l’AMM, ce qui représente une baisse de 3 % par rapport à 2021. Mais le sondage montre que seulement 48 % des Canadiens sont satisfaits de la loi actuelle, tandis que 25 % sont indécis et que 27 % sont insatisfaits, les indécis n’étant pas nécessairement satisfaits de la loi. Les Canadiens sont profondément divisés sur le sujet.
C’est au Québec que le soutien pour la loi actuelle est le plus élevé, 53 % des personnes interrogées se déclarant satisfaites, alors que c’est en Alberta qu’il est le plus faible, seulement 40 % des personnes interrogées se disant satisfaites.
Lire la suiteLes sondages ne devraient pas ignorer la douleur et le chagrin des femmes ayant avorté
Par Pete Baklinski — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Kenstocker/Adobe Stock
5 décembre 2022 (Campaign Life Coalition) — Angelina Steenstra avait 15 ans en 1972 lorsqu’elle a été victime de viol. Elle s’est sentie abandonnée, sale, sans valeur, honteuse, imparfaite, impuissante et sans espoir. Elle a découvert quelques semaines plus tard que ce viol l’avait laissée enceinte.
Ses amies l’ont encouragée en lui disant que l’avortement était la solution. Elles lui ont dit que cela résoudrait son problème. Elle a cédé à ses peurs. Malgré tout ce qui en elle lui disait d’arrêter, elle a procédé à l’intervention. Alors que l’aspirateur aspirait la vie humaine hors de son utérus, elle a ressenti instantanément de la peine, de la culpabilité et des remords. En même temps, elle a ressenti une haine intense envers elle-même à cause de ce qu’elle venait de faire. Elle a réalisé qu’elle venait de franchir une ligne pour toujours. Elle s’est mise à pleurer. On lui a donné un sédatif. Mais rien ne pouvait la calmer ou la consoler.
La seule façon pour Angelina de supporter la nouvelle réalité après l’avortement a été d’abord de la nier, et ensuite de chercher à échapper à la douleur par la drogue, l’alcool, la promiscuité sexuelle, le travail effréné et la faim, s’accordant à peine du café et deux paquets de cigarettes par jour.
Son déni et son évasion étaient maintenus par le monde qui l’entourait et qui lui répétait sans cesse que l’avortement n’était « pas une grosse affaire » et que les femmes n’avaient tout simplement pas de « regrets ». En suivant aveuglément cette affirmation, elle s’est enfermée dans une prison de comportements d’autopunition, d’idées suicidaires et de colère déplacée. Elle essayait d’oublier l’avortement, mais certaines choses en déclenchaient le souvenir, en particulier la fraise du dentiste, les aspirateurs et les médecins.
Angelina n’a commencé à guérir que des années plus tard, lorsqu’elle a réalisé que son déni et sa fuite étaient en train de la tuer à petit feu. Elle a enfin commencé à affronter la vérité sur ce qui s’était passé dans cette usine d’avortement de Buffalo, dans l’État de New York. Elle s’est rendu compte qu’elle avait volontairement participé avec d’autres à l’élimination d’une personne — son propre enfant. Et elle a compris que c’était mal.
Le conflit intérieur d’Angelina a finalement pris fin lorsque, confrontée à la vérité, elle a demandé pardon à Dieu, à son enfant et aux personnes qui ont joué un rôle important dans sa vie à l’époque.
En réfléchissant à son expérience, Angelina voit maintenant que l’avortement n’a résolu aucun problème. Il a mis fin à la vie de sa fille, qu’elle a appelée Sarah Elizabeth, et a tué une partie de sa propre personne, la laissant avec un cœur profondément blessé qui a besoin de guérison.
Lire la suiteUn sondage sur l’avortement ignore les vraies victimes de l’avortement
Par Campaign Life Coalition — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Alfons Photographer/Adobe Stock
La plus grande organisation pro-vie au Canada, s’exprime au nom de la véritable victime de l’avortement, l’enfant humain à naître, en réponse au nouveau sondage d’Angus Reid sur l’avortement.
Jeff Gunnarson, président national de la CLC, a souligné que même si Angus Reid prétend être une fondation non partisane de recherche sur l’opinion publique, elle montre clairement son parti pris dans le sondage en affirmant que les femmes « qui ont fait face à une grossesse inattendue ou non désirée » sont celles qui sont « les plus personnellement et profondément touchées » par l’avortement.
« C’est tout simplement faux », a déclaré M. Gunnarson. « Les enfants à naître visés par l’avortement sont certainement les plus touchés personnellement et profondément par l’avortement. Leur vie même est en jeu. En ignorant totalement la réalité du génocide qui a lieu contre les enfants humains à naître, ce sondage jette le doute sur la formulation des questions et les réponses ultérieures des personnes interrogées. L’omission de tout examen des avortements chimiques est également une lacune majeure. »
Gunnarson souligne que le sondage a tout à fait tort de rejeter la responsabilité de « décennies » de débat sur l’avortement sur le pays où aucune loi n’affirme ou ne refuse l’accès à l’avortement.
« L’avortement a été, et sera toujours, combattu par des Canadiens sensés, car il s’agit du meurtre direct et intentionnel d’un être humain à naître vivant dans le ventre de sa mère. C’est tout simplement mal et il faut y mettre fin. Les enfants à naître sont des êtres humains qui sont dignes des droits de l’homme et de la protection de la loi. L’avortement est le plus grand problème de droits de l’homme de notre époque. Le soi-disant débat ne prendra fin que lorsque l’avortement sera aboli. »
Le sondage montre aussi clairement que les libéraux et les néo-démocrates ont tort lorsqu’ils prétendent que « l’accès » à l’avortement est insuffisant au Canada.
Lire la suiteUn sondage montre que les Américains sont en faveur de l’annulation de Roe et de l’interdiction de l’avortement lorsque le cœur bat
Par Steven Ertelt (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Un nouveau sondage national réalisé par l’Université de Harvard et l’institut de sondage Harris confirme que les Américains sont essentiellement favorables au renversement de l’arrêt Roe v. Wade par la Cour suprême et souhaitent des lois sur le battement de cœur qui protègent les bébés des avortements lorsque leur cœur commence à battre.
Publié hier, le sondage montre que 75 % des Américains sont d’accord pour dire que la Cour suprême ne devrait pas décider des avortements, tandis que 44 % soutiennent que les États devraient déterminer les lois sur l’avortement et 31 % disent que le Congrès devrait le faire. Seulement 25 % des personnes interrogées sont d’accord avec l’arrêt Roe, qui stipulait que seule la Cour suprême doit décider de la question de l’avortement.
Le sondage révèle que 37 % des personnes interrogées souhaitent une interdiction totale de l’avortement, à l’exception du viol et de l’inceste, tandis que 49 % sont favorables à une loi sur le battement de cœur interdisant l’avortement après 6 semaines. En revanche, 72 % des personnes interrogées sont favorables à l’interdiction de l’avortement après 15 semaines, ce qui correspond à la loi du Mississippi examinée par la Cour suprême.
Lorsqu’il s’agit de Joe Biden, Nancy Pelsoi et de la position démocrate sur les avortements jusqu’à la naissance, seuls 10 % des Américains sont d’accord avec leur position. Et malgré le mantra des démocrates dans les deux semaines qui ont suivi Dobbs, selon laquelle la Cour suprême n’est pas légitime, quelque 63 % disent que la SCOTUS est légitime et 59 % disent que les démocrates ont tort de faire cette affirmation.
Enfin, le sondage a révélé que 36 % des Américains disent que la décision Dobbs les rend plus susceptibles de voter républicain, 36 % disent qu’elle les rend plus susceptibles de voter démocrate et le reste dit qu’il n’y a pas de changement. Il n’y a donc pas de rebond massif en faveur de l’avortement pour les démocrates suite à l’arrêt Dobbs.
Comme LifeNews l’a rapporté, la Cour suprême a annulé l’arrêt Roe v. Wade avec, dans l’affaire Dobbs, une majorité de 6-3 selon laquelle « la Constitution ne confère pas un droit à l’avortement » — permettant aux États d’interdire les avortements et de protéger les bébés à naître. La haute cour a également décidé, par 6 voix contre 3, de maintenir l’interdiction de l’avortement à 15 semaines dans le Mississippi, afin que les États puissent limiter davantage les avortements et se débarrasser du faux critère de viabilité.
Lire la suiteLe nouveau sondage Gallup est loin d’être ce que les partisans de l’avortement pensent être, voici pourquoi
Par Michael J. New (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : bearfotos/Freepik
Avertissement : les opinions exprimées qui suivent n’engagent que l’auteur et ne reflètent pas nécessairement celles de Live Action ou de Live Action News.
Dernièrement, Gallup a publié un grand nombre de nouvelles données de sondage sur les questions relatives au caractère sacré de la vie. Il s’agit de l’une des premières enquêtes nationales sur l’avortement réalisées depuis le début de l’administration Biden. Dans l’ensemble, les attitudes sur le caractère sacré des questions sont restées stables. Le sondage Gallup a révélé que 47 % des Américains s’identifient comme « pro-vie » et 49 % comme « pro-choix ». Ce résultat est très cohérent avec les récents sondages Gallup. Sur les six sondages Gallup réalisés depuis 2016, le sentiment pro-vie était en moyenne de 47 %. Les médias vont probablement retourner un peu les informations de ce récent sondage afin d’argumenter qu’il a eu une diminution du sentiment pro-vie. Cependant, les pro-vie ne doivent pas être induits en erreur.
Le sentiment « moralement acceptable » est largement inchangé
Tout d’abord, il est vrai que cette enquête révèle que le pourcentage d’Américains qui pensent que l’avortement est « moralement acceptable » a atteint un niveau record. Cependant, si l’enquête révèle que 47 % des Américains pensent que l’avortement est « moralement acceptable », cela ne représente qu’un gain de 3 points de pourcentage par rapport à la dernière enquête Gallup de 2020. En outre, le nombre de personnes qui considèrent l’avortement comme « moralement mauvais » n’a diminué que d’un point de pourcentage.
Roe v. Wade et le soutien aux lois pro-vie dépendent de la formulation du sondage
Deuxièmement, le sondage révèle que 32 % des personnes souhaitent l’annulation de la décision Roe v. Wade, tandis que 58 % ne le souhaitent pas. Cependant, ce sondage Gallup souffre des deux mêmes problèmes que presque tous les autres sondages sur la décision Roe v. Wade.
Lire la suite92% des Français estiment que l’«avortement laisse des traces psychologiques difficiles à vivre pour les femmes»
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Unsplash
Le 8 octobre l’Assemblée nationale française débattra sur un projet de loi visant à étirer le délai d’avortement de 12 à 14 semaines de grossesse. C’est dans ce contexte que l’agence IFOP publie un sondage commandé par Alliance Vita sur l’avortement, selon Le Figaro :
À la veille du débat parlementaire prévu jeudi 8 octobre, sur une proposition de loi de deux députées écologiste et ex-LREM, visant à allonger le délai légal d’accès à l’IVG de 12 à 14 semaines de grossesse, l’IFOP publie un sondage sur « les Français et l’IVG », commandé par l’association pro-vie — c’est-à-dire, opposée à l’avortement — Alliance Vita, et réalisé du 30 septembre au 1er octobre 2020.
Ce sondage, réalisé auprès de 1039 personnes, montre entre autres que 92 % des Français considèrent que l’avortement laisse de douloureuses traces psychologiques aux femmes, d’après Le Figaro :
Ainsi, 92 % des personnes interrogées considèrent qu’« un avortement laisse des traces psychologiques difficiles à vivre pour les femmes ». Ils étaient 89 % en 2016.
C’est donc un fait qui va à l’encontre du récit gouvernemental (et des organismes spécialisés en avortement) sur l’avortement, qui, selon ce dernier, n’aurait pas d’effet sur la santé psychologique des femmes, rapporte Le Figaro :
« Au fur et à mesure des années, cela confirme que le ressenti des Français est bien que l’avortement laisse des traces psychologiques, ce qui contredit ce que le gouvernement affirme sur son site officiel d’information sur l’IVG », commente Caroline Roux, déléguée générale adjointe d’Alliance Vita, interrogée par Le Figaro. Le gynécologue Philippe Faucher, cité sur le site ivg.gouv.fr, affirme en effet qu’il « n’y a pas de séquelle à long terme psychologique de l’avortement »... tout en ajoutant que certaines femmes « sont tristes » ou « pleurent » et qu’il ne faut pas hésiter alors à consulter un psychologue.
Europe : baisse du soutien à l’avortement selon un sondage Ipsos Mori
Par Adèle Cottereau (Droit de Naître) — Photo : prostooleh/Freepik
Ce sont les résultats encourageants d’un récent sondage réalisé par l’agence Ipsos Mori : un nombre croissant de personnes en Europe se déclarent opposées à l’avortement, comme le rapporte le site spécialisé Genethique.org.
L’institut de sondages a interrogé 17 500 personnes dans 25 pays sur cette question et a comparé les chiffres avec ceux du même sondage, mené il y a six ans, en 2014.
La grande majorité (70 %) des personnes interrogées estiment cependant que l’avortement doit être autorisé. Mais globalement, cette proportion a baissé de 2 % depuis 2014.
Particulièrement dans huit pays européens, où le nombre de personnes favorables au « droit à l’avortement » a reculé plus fortement, surtout en Allemagne, en France et en Espagne, pays qui ont connu respectivement une baisse de 9, 6 et 5 points en pourcentage par rapport aux chiffres de 2014.
A l’échelle mondiale, on peut noter un net recul en Turquie et en Afrique du Sud, avec respectivement 15 % et 10 % de personnes en moins en faveur de l’avortement, sur cette même période.
Rappelons que la plupart des pays de l’Union européenne ont légalisé l’avortement avec ou sans période d’attente obligatoire ou conseil.
A l’exception de Pologne et Malte, pays fortement catholiques où des lois limitent toujours l’accès à l’avortement. Fort heureusement.
Selon un nouveau sondage la majorité des Canadiens veut interdire les avortements tardifs et sélectifs
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : bearfotos/freepik
Précisons pour le contexte qu’il n’y a pas de loi au Canada pour interdire ou réglementer l’avortement, cela depuis la décision R. c. Morgentaler de la Cour suprême en 1988, et que donc rien n’empêche une femme de se faire avorter jusqu’au moment de la naissance, aussi débile ceci fût-il, à moins que les médecins refusent de le pratiquer. Selon LifeSiteNews :
Un récent sondage montre qu’une majorité de Canadiens est opposée à l’avortement tardif, et sélectif en fonction du sexe, et serait favorable à l’interdiction de ces pratiques. Le pays ne dispose actuellement d’aucune loi régissant l’avortement, permettant à une mère d’avorter [non il]légalement* pendant les 9 mois de sa grossesse, quelle qu’en soit la raison.
En ce qui concerne l’avortement sélectif, le sondage montre qu’une « vaste majorité (84 %) s’oppose à la légalisation de l’avortement si cela vise les bébés d’un certain sexe ».
Et sept sur dix (70 %) « Les Canadiens pensent que l’avortement devrait être généralement illégal au cours des trois derniers mois de la grossesse ».
Les gros médias disent que les sondages montrent que les Canadiens donnent très peu dans les opinions favorables à la vie, mais ce n’est pas ce qu’indiquent les résultats réels des sondages.
Pro-choix, mais… :
Lire la suiteAlors que le sondage a révélé que 70 % des Canadiens « trouvent l’avortement acceptable », que 62 % « s’identifient comme étant pro-choix » et que 71 % pensent qu’une femme « devrait pouvoir obtenir un avortement si elle décide qu’elle en veut un, quelle qu’en soit la raison ». Mais lorsqu’on les amène sur le terrain de l’avortement tardif et de l’avortement sélectif, les chiffres se métamorphosent notamment.
[...]
Mené par le groupe de sondage DART & Maru/Blue, le sondage a sélectionné au hasard 1 515 adultes canadiens de chaque province, à l’exception de l’Île-du-Prince-Édouard et de tous les territoires canadiens.
[...]
Les données du sondage suggèrent un fort soutien à l’avortement des bébés en début de grossesse, avec seulement 14 % estimant que l’avortement devrait être illégal pendant le premier trimestre, mais 34 % estimant que la vie commence dès la conception.
La moitié des Canadiens veut des limites à l'avortement tardif
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Devostock
Selon l’Angus Reid Institute, les Canadiens seraient, pour 49 % d’entre eux, pour une loi interdisant l’avortement dans le troisième trimestre de la grossesse, à moins que la santé de la femme ne soit en danger, tandis que 51 % d’entre eux approuvent l’avortement tout au long de la grossesse. Déjà, ferais-je remarquer, donner une exception pour l’avortement si la « santé » de la femme est en danger, c’est montrer la faiblesse de cette restriction, pourquoi en effet ne pas mettre une exception que si la vie de la femme est en danger dans le troisième trimestre ? Ensuite, pourquoi ne pas bêtement mettre au monde l’enfant à naître qui est justement viable à ce stade-ci de son développement, une opération qui demande amplement moins de temps qu’un avortement à ce stade-là ? Mais l’avortement est immoral durant toute la grossesse, car l’enfant à naître est un être humain dès la conception. Du moins ne pourra-t-on pas dire que tous les Canadiens approuvent à 100 % ce crime abominable.
Toujours est-il que d’après L’Angus Reid Institute, dans la population canadienne :
Bleu : Les femmes devraient avoir accès à l’avortement légal durant toute la grossesse.
Rouge : Il devrait exister une loi prohibant l’avortement durant le troisième trimestre de la grossesse, à moins que la vie de la mère soit en danger.
Selon les tranches d’âges, on peut voir que parmi les jeunes l’avortement est plus accepté, et que le contraste le plus grand entre les tranches d’âges se constate chez les femmes ; 62 % des 18 à 34 ans sont pour l’avortement tandis que 59 % des 55+ sont pour une limite :
Bleu : Les femmes devraient avoir accès à l’avortement légal durant toute la grossesse.
Rouge : Il devrait exister une loi prohibant l’avortement durant le troisième trimestre de la grossesse, à moins que la vie de la mère soit en danger.
Baisse de la cote du groupe LGBT parmi les jeunes Américains
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Image : geralt/Pixabay
C’est ce que rapporte un sondage Harris, mené pour le compte du groupe LGBT GLAAD. Un réveil par rapport aux comportements contre nature qu’évoque le sigle en constant allongement ? Un rejet des prétentions comme celle d’obliger les femmes à accepter des « femmes transgenres » (des hommes quoi !) aux mêmes toilettes ? Extrait d’USA Today :
Le nombre d’Américains ayant entre 18 et 34 ans qui sont à l’aise d’interagir avec les personnes LGBTQ est passé de 53 % en 2017 à 45 % en 2018 — le seul groupe d’âge à montrer un déclin, selon le rapport annuel d’Accelerating Acceptance. Et c’est une baisse par rapport aux 63 % de 2016.