États-Unis : victoire contre l’idéologie transgenre dans les sports
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Il est évident que les hommes ne sont pas des femmes (même s’ils sont modifiés en apparence), cette différence apparaît nettement dans les sports quand on mélange les « femmes transgenres » avec des femmes dans des compétitions féminines. Selon LifeSiteNews :
L’Office pour les droits civils du ministère de l’Éducation des États-Unis a déterminé que la politique du Connecticut, permettant aux garçons qui s’identifient en tant que filles de participer à des compétitions sportives féminines, violait les droits civils des athlètes féminines.
La décision de l’Office pour les droits civils a été rendue dans une lettre de 45 pages annonçant une action coercitive imminente, suite à une enquête de plusieurs mois sur la Connecticut Interscholastic Athletic Conference (CIAC) et plusieurs districts scolaires du Connecticut. Parmi les conclusions annoncées dans la lettre du 15 mai :
« L’Office pour les droits civils a déterminé que la CIAC, en permettant la participation de certains étudiants-athlètes masculins aux courses interscolaires féminines de l’État du Connecticut... a dénié aux étudiantes-athlètes des avantages et possibilités en matière d’athlétisme, y compris l’accès aux finales dans des épreuves, de compétitions de plus haut niveau, prix, médailles, considération et possibilité d’une plus grande notoriété auprès des collèges et autres avantages. »
Les avocats de l’Alliance Defending Freedom (ADF), qui représentent trois compétitrices du Connecticut en course du secondaire, avaient demandé une enquête auprès de l’Office pour les droits civils du ministère de l’Éducation, après que le CIAC eût autorisé les étudiants masculins qui s’identifient comme filles à faire partie des équipes sportives féminines.
« Depuis 2017, les hommes ont systématiquement privé les clientes de l’ADF, Selina Soule, Alanna Smith et Chelsea Mitchell, entre autres, d’honneurs et de possibilités de participer à des compétitions de haut niveau », a déclaré l’ADF.
Les subventions du Titre IX bientôt coupées ? :
La lettre de l’Office pour les droits civils donnait au CIAC et à six écoles secondaires publiques du Connecticut une date limite fixée au 4 juin 2020, afin qu’ils alignassent leurs politiques sur celles du Titre IX. Le ministère de la Justice a déjà déposé un mémoire soutenant la position des clients de l’ADF dans le cadre d’un litige distinct contestant la même politique.
Si le Connecticut ne se conforme pas aux directives du fédéral, il pourrait se voir retirer les subventions du Titre IX. Cette décision de l’Office pour les droits civils du ministère de l’Éducation fera sûrement précédent pour de futures requêtes auprès du gouvernement américain, en matière d’hommes participants aux compétitions féminines dans d’autres États.
Connecticut : Un juge interdit aux avocats d’appeler « hommes » les « femmes transgenres »
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Le juge aurait au moins pu attendre de rendre son jugement avant de montrer son parti pris. Il s'agit d'un procès intenté par trois étudiantes du secondaire américain, surpassées dans les compétitions scolaires féminines par des garçons qui se prétendent « filles ». Selon LifeSiteNews :
Les avocats représentant un trio d’étudiantes du secondaire au Connecticut demandent le remplacement du juge qui supervise le cas dans lequel ils sont impliqués, celui-ci ayant révélé son jeu en leur interdisant d’appeler « hommes » les athlètes biologiquement masculins*.
Le manuel officiel du Connecticut Interscholastic Athletic Conference (CIAC) indique que cet organisme « s’en remettra à la détermination de l’élève et de son école locale en ce qui concerne l’identification de genre », sans aucune condition relative aux transitions physiques ou au niveau de testostérone, au motif qu’il « serait fondamentalement injuste » d’« empêcher un élève de faire partie d’une équipe sportive d’un genre spécifique, qui est conforme à l’identité de genre publique de cet élève à toutes autres fins ».
À cause de la politique du CIAC, les concurrents biologiquement masculins* ont systématiquement surpassé les vraies femmes, selon une plainte déposée par l’Alliance Defending Freedom (ADF) au nom des athlètes Selina Soule, Alana Smith et Chelsea Mitchell. Cette situation prive ces jeunes filles non seulement de la possibilité de progresser dans la compétition, mais aussi de gains dans le domaine qui leur auraient donné la possibilité d’acquérir une bourse d’études.
Le mois dernier, le juge de district Robert Chatigny a demandé aux avocats de l’ADF de ne pas qualifier les concurrents transgenres des jeunes filles — qui sont en fait des hommes — d’« hommes », rapporte le National Review.
Le juge Chatigny a affirmé que l’expression « femmes transgenres » était « conforme à la science, aux pratiques courantes et peut-être à la décence humaine » sans concéder aucun des « intérêts ou positions légitimes » de l’ADF, tranchant que le terme « hommes » était « inutilement provocateur ».
*Remarquez que puisqu’un homme l’est du fait de sa biologie, de sa génétique même, il ne peut donc pas devenir femme, d’où il est absurde de parler d’« homme biologique » (ou de personnes biologiquement masculines) quand on veut mentionner un vrai homme, car en fait d’homme, il n’y a que des hommes biologiques. La même chose est vraie pour les « femmes biologiques ». — A. H.
Nouvelle plainte contre la participation de transgenres dans les compétitions féminines scolaires
Selina Soule.
Par Pour une école libre au Québec — Photo : ADF
Trois athlètes féminines du secondaire dans le Connecticut, ainsi que leurs familles, ont déposé mercredi une plainte devant un tribunal fédéral pour empêcher les athlètes transgenres de participer aux compétitions d’athlétisme féminin, arguant que les athlètes biologiquement masculins* ont un avantage physique.
Selina Soule, lycéenne en dernière année à l’école secondaire Glastonbury, Chelsea Mitchell, lycéenne en dernière année de l’école secondaire de Canton, et Alanna Smith, une étudiante en deuxième année (14-15 ans) à l’école secondaire de Danbury, ont annoncé leur poursuite en justice lors d’une conférence de presse tenue sur les marches du capitole à Hartford, la capitale du Connecticut.
« Notre rêve n’est pas d’arriver deuxièmes ou troisièmes, mais de gagner, à la loyale », a déclaré Chelsea Mitchell. « Tout ce que nous demandons, c’est une chance équitable. »
Les trois filles soutiennent que concourir contre des athlètes biologiquement masculins les empêche injustement de gagner des médailles et de bénéficier de bourses d’études.
L’Alliance Defending Freedom [Défendre la liberté], une organisation conservatrice américaine à but non lucratif, représente les filles devant la justice fédérale. Il y a quelques mois, l’Alliance avait déjà déposé une plainte relative au titre IX des amendements à la Loi sur l’Éducation de 1972 auprès du ministère américain de l’Éducation. Cette plainte fait toujours l’objet d’une enquête par le Bureau des droits civils du ministère.
Lire la suiteLa plainte d'étudiantes du secondaire (américain), obligées de concourir avec des transgenres, sera entendue
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Leur plainte aboutira-t-elle à un changement sensé dans la façon de considérer les « transgenres » par rapport aux gens normaux et les premiers en eux-mêmes ? Extrait de LifeSiteNews :
Trois étudiantes du secondaire (américain), qui affirment avoir été exclues des compétitions féminines en raison d'un règlement du Connecticut Interscholastic Athletic Conference (CIAC) qui autorise les hommes biologiques* prétendant être « filles », feront entendre leur plainte devant l'Office for Civil Rights (OCR) du Ministère fédérale de l'éducation.
Selina Soule, élève supérieure de Glastonbury, Connecticut, et deux autres jeunes filles, dont le nom n'a pas encore été mentionné par crainte de représailles, ont déposé une plainte avec l'aide de leur équipe juridique de l'Alliance Defending Freedom (l'ADF).
La plainte soutient que la politique du CIAC est discriminatoire à l'égard des filles biologiques* et viole leurs droits régis par le Title IX.
Le Title IX a été mis en œuvre en 1972 pour faire en sorte que les filles aient le même accès aux sports que les garçons, point sur lequel la plupart des observateurs conviennent que ç'a été un succès.
Mais il n'a jamais été prévu dans le Title IX que les garçons chercheraient à rivaliser en tant que filles, ni n'est mentionné l'« identité de genre ».
Aux Connecticut et dans 19 autres États, les filles sont maintenant obligées de rivaliser avec les garçons biologiques* qui prétendent être « filles », et ces règlements privent injustement les filles biologiques* du droit à des chances égales dans des compétitions qu'elles ne peuvent gagner malgré leurs meilleurs efforts.
[...]
Et, d'autre part, ces règlements mettent les filles en danger dans les sports de contact.
*Remarquez que puisqu’un homme l’est du fait de sa biologie, de sa génétique même, il ne peut donc pas devenir femme, d’où il est absurde de parler d’« homme biologique » quand on veut mentionner un vrai homme, car en fait d’homme, il n’y a que des hommes biologiques. La même chose est vraie pour les « femmes biologiques ». Il est par conséquent absurdement atroce de déformer ou de mutiler un corps sain pour le faire paraître autre qu'il n'est. ― A. H.
Une collégienne porte plainte : des garçons concourent comme « filles »
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Encore une fois des hommes prétendant être femmes excluent des femmes de leur propre compétition. Au passage, il est absurde de parler d’« homme » biologique, comme s’il y avait d’autres sortes d’hommes, alors que la notion d’homme est bien physique, reposant jusque sur l’ADN, et ne saurait être attribuée pour d’autre raison que celle physique, raison pour laquelle il est tout à fait aberrant de prétendre qu’il y ait des « hommes transgenres » quand celles-ci sont en fait des femmes, ou qu’il y ait des « femmes transgenres » quand ceux-ci sont des hommes. Extrait de LifeSiteNews :
Une athlète du secondaire qui ne s'est pas qualifiée pour une épreuve d'athlétisme, parce que deux garçons qui s'identifient comme filles ont couru plus vite, a déposé une plainte lundi auprès du Department of Education's Office for Civil Rights (Bureau des droits civils du ministère de l'Éducation).
« Personne dans l'état du Connecticut n'est heureux de cela, mais personne n'a le courage de parler à voix haute», a déclaré Selina Soule lors d'un entretien avec Tucker Carlson qui a été diffusée lundi soir sur son émission Fox News Channel.
Selina participe à des compétitions d'athlétisme au collège Bloomfield à Bloomfield, au Connecticut. Elle n'a pas pu se qualifier pour l'épreuve du 55 mètres dans les régionales de la Nouvelle-Angleterre parce que deux places ont été prises par des garçons biologiques, comme Kelsey Bolar du Daily Signal l'a documenté dans un récent reportage vidéo sur la situation du cette jeune fille de seize ans.
Elle est loin d'être la seule athlète désavantagée par les politiques qui permettent aux filles transgenres de rivaliser avec les filles biologiques, a déclaré Selina à Carlson dans l'émission « Tucker Carlson Tonight. »
« Je n'ai pas été la seule touchée par ça, » dit-elle. « Il y a aussi d'innombrables autres athlètes féminins dans l'État du Connecticut, ainsi que toute mon équipe de piste intérieure. On a raté le championnat ouvert de l'état à cause de l'équipe dans laquelle l'athlète transgenre était. »
[...]
Si les deux garçons qui s'identifient comme filles n'avaient pas été autorisés à concourir en tant que filles, dit Selina, elle se serait classée sixième et aurait eu l'occasion de courir le 55e devant les entraîneurs collégiaux lors des régionales de la Nouvelle-Angleterre.