Une nouvelle étude révèle la souffrance des femmes qui ont eu des avortements
Par Matthew Cullinan Hoffman — traduit par Campagne Québec-Vie
États-Unis, 8 janvier 2018 (LifeSiteNews) — Une étude publiée en décembre dans l’éminent Journal of American Physicians and Surgeons révèle que les femmes souffrent d’une grande variété de traumatismes psychologiques sévères à cause de l’avortement, pouvant durer souvent de nombreuses années et ayant des conséquences considérables.
L’étude a aussi découvert que les femmes, qui ont enduré un tel traumatisme émotionnel lié à l’avortement, croient souvent que leur souffrance leur a finalement profité, leur fournissant un stimulus pour aider les autres femmes dans leurs grossesses non désirées.
« Women Who Suffered Emotionally from Abortion: A Qualitative Synthesis of Their Experiences » (Les femmes qui ont souffert émotionnellement de l’avortement : une synthèse qualitative de leurs expériences), examine les données provenant de 987 femmes ayant des antécédents en lien avec l’avortement et qui ont été invitées à participer à un sondage en ligne.
Lorsqu’on leur a demandé quels effets négatifs, s’ils existaient, elles attribuaient à leurs avortements, 23,7 % ont reconnu qu’elles avaient pris une vie. Beaucoup ont mentionné souffrir de dépression (14,4 %), de culpabilité ou de remords (14 %), de haine de soi ou d’autres sentiments négatifs envers elles-mêmes (12,4 %), de honte (10,9 %) et de regret (9,3 %).
Lire la suiteDes études prouvent que les enfants à naître ont une mémoire dans le ventre de leur mère
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Les premiers souvenirs que vous avez eus se sont formés lorsque vous étiez seulement un bébé à naître dans le ventre de votre mère. C’est du moins ce que concluent des chercheurs d’après une variété d’études. À quel point les enfants à naître sont capables d’enregistrer des souvenirs reste encore un débat, mais à chaque étude, l’évidence comme quoi ces petits humains en sont capables est démontrée.
Une étude de 2009 publiée par Child Development s’est penchée sur la mémoire à court terme des enfants à naître âgés de 30 à 38 semaines de grossesse. Presque 100 femmes enceintes participèrent à l’étude, qui visait à tester les réactions des enfants à naître à des stimulations vibroacoustiques particulières — un faible son créant une vibration. Les réactions furent observées en effectuant une échographie. Les chercheurs découvrirent que la première fois que les fœtus recevaient la stimulation, ils étaient surpris. Par contre, après une exposition répétée au stimulus — environ 13 fois, à 30 secondes d’intervalle — les fœtus arrêtaient de réagir. Cela indiquait qu’ils s’habituaient alors au son. Les chercheurs appellent cela l’accoutumance, qui nous est à tous commune. Par exemple, nous nous habituons aux sons qui nous entourent, tels que le bruit d’une chaufferette ou de l’air conditionné au point de ne plus s’en apercevoir du tout.
Lire la suiteSavez-vous quand les ondes cérébrales d’un enfant à naître peuvent être détectées ? La réponse pourrait vous surprendre
Par Maria Gallagher (LifeNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Quand j'étudiai en journalisme, on m’a appris à ne jamais supposer. Pourtant, comme journaliste-radio, lorsque je parlais de la question de l’avortement, je supposais que mes auditeurs connaissaient les bases de l’avortement.
L’ironie, c’est que je n’avais pas moi-même de connaissances fondamentales sur l'avortement — autrement dit, ce qu’il faisait à un enfant à naître et les effets qu'il pouvait avoir sur une mère en matière de séquelles émotionnelles et psychologiques.
Je veux dire par là que, pendant longtemps, je ne savais pas que l’avortement arrête un cœur battant. Je ne savais pas que seulement 24 jours après la conception, le cœur du bébé bat.
Je me demande maintenant combien de journalistes dans les salles de rédaction de toute l’Amérique connaissent ce fait important au sujet du développement d’un enfant à naître.
Lire la suiteTraitement de la sclérose en plaques par cellules souches adultes et non d'embryon : un nouvel espoir
Par Reinformation.tv
Grâce au traitement, la maladie, qui affecte le cerveau et la moelle épinière, s’attaquant également au système immunitaire, arrête sa progression tandis que les patients éprouvent moins de symptômes grâce à cette nouvelle technique éprouvée cliniquement sur plus de 100 malades à Chicago, Sheffield, Stockholm et São Paolo. Tous étaient victimes d’une forme de sclérose en plaques caractérisée par des crises ponctuées de périodes de rémission.
Les médecins ont salué une avancée majeure, étant donné qu’au bout de quatre ans de traitement en moyenne on a constaté un taux d’échec de 6 % seulement, contre 60 % chez les malades recevant des médicaments classiques. Les traitements réussis par cellules souches étaient également associés à une réduction du handicap des malades.
La technique consiste à désactiver le système immunitaire du patient au moyen de chimiothérapie anti-cancéreuse, puis de le « réinitialiser » grâce à une transplantation de cellules souches.
Cellules souches embryonnaires ou adultes ? Quelle question ! Aucun traitement à part entière et efficace n’a été développé à ce jour grâce aux cellules prélevées sur des embryons, que l’on détruit ce faisant. Dans l’étude internationale dont on vient de publier ces résultats si encourageants, on a prélevé des cellules souches adultes sur le sang et la moelle épinière des patients eux-mêmes avant de les réinjecter après la chimiothérapie. Exemptes de sclérose en plaques, elles reconstruisent le système immunitaire sans présenter le moindre risque de rejet.
Le coût de la greffe, de l’ordre de 35 000 euros, équivaut à celui d’un an de traitement classique.
Métaétude — Différences entre les sexes dans les préférences des enfants en matière de jouets
Selon une enquête publiée dans la revue Infant and Child Developement, dès leur plus jeune âge, la plupart des enfants choisissent de jouer avec des jouets typiquement associés à leur sexe.
Afin d’isoler les variables qui prédisent la préférence des jouets, les auteurs ont réalisé une méta-analyse des études d’observation de la sélection libre des jouets par les garçons et les filles âgés de 1 à 8 ans. D’un fonds initial de 1788 articles potentiels, 16 études (portant 787 garçons et 813 filles) répondaient aux critères d’inclusion des chercheurs.
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Ils ont constaté que les garçons jouaient plus avec des jouets de garçons que les filles (Cohen d = 1,03, p < 0,0001) et que les filles jouaient plus avec les jouets de filles que les garçons (Cohen : d = -0,91, p < 0,0001). La métarégression n’a montré aucun effet significatif de la présence d’un adulte, du contexte de l’étude, de la localisation géographique de l’étude, de la date de publication, de l’âge de l’enfant ou de l’inclusion de jouets neutres. Cependant, une analyse plus poussée des données sur les garçons et les filles a révélé que les garçons plus âgés jouaient plus avec les jouets de type masculin qu’avec les jouets de type féminin (β = 0,68, p < 0,0001).
Lire la suiteLes enfants dont les mères ont subi un avortement sont plus susceptibles d’en subir un à leur tour
Par Reinformation.tv
C’est la conclusion d’une nouvelle étude publiée dans le JAMC (Journal de l’Association médicale canadienne), le 29 janvier dernier.
« La recherche montre qu’il existe une association entre les mères et les filles dans le calendrier d’une première grossesse se terminant par une naissance vivante », écrivent les deux médecins de l’Institut des sciences cliniques évaluatives de Toronto, en Ontario. « Nous voulions voir si la même tendance existe pour les grossesses se terminant par un avortement provoqué. »
Les chiffres sont sans appel : pour les filles dont la mère avait subi au moins un avortement, la probabilité d’avoir un avortement pendant leur adolescence était de 10,1 %. Alors que pour les autres, elle était divisée par plus de deux, frisant les 4 %.
Mieux, ou pire : plus le nombre d’avortements chez la mère était élevé, plus le nombre d’avortements chez sa fille adolescente l’était aussi…
Les médecins n’ont pas fouillé les « pourquoi » de l’affaire – ce n’était pas leur but. On ne sait rien de l’état matrimonial, des niveaux d’éducation de la mère et de la fille, ou des milieux sociaux. Mais des études antérieures ont largement prouvé une probabilité plus élevée d’avortement chez les adolescentes confrontées à de plus grands défis sociaux, comme la détresse scolaire, la séparation des parents ou une faible éducation.
Le contraire eût été étonnant.
La science trouve 1500 différences génétiques entre hommes et femmes, ce qui détruit les arguments « transgenres »
Par Pete Baklinski — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Sebastian Pichler/Unsplash
ISRAËL, 8 mai 2017 (LifeSiteNews) — Les scientifiques ont découvert 1.559 différences génétiques entre les hommes et les femmes, qui concernent non seulement les organes sexuels, mais étonnamment d'autres organes comme le cerveau, la peau et le cœur.
« Dans l'ensemble, les gènes spécifiques au sexe sont principalement exprimés dans le système reproducteur, soulignant la distinction physiologique notable entre les hommes et les femmes », rapportent les scientifiques. « Cependant, un grand nombre de gènes n’étant pas connus comme étant directement associés à la reproduction, se trouve également avoir une expression spécifique au sexe (par exemple, les gènes de la peau spécifiques aux hommes), » ajoutent-ils.
Ces résultats suggèrent au lecteur occasionnel que la notion de changement de sexe au sexe opposé implique beaucoup plus que seulement la chirurgie et le traitement hormonal.
« Nos résultats peuvent faciliter la compréhension de diverses caractéristiques biologiques dans le contexte du sexe [masculin et féminin]. »
Lire la suiteUne nouvelle étude montre que les enfants à naître reconnaissent les visages
Par Micaiah Bilger (LifeNews.com) traduit par Campagne Québec-Vie
Une étude, publiée le mois dernier en Grande Bretagne et rapportée par le journal USA Today, montre que les bébés encore dans le sein de leur mère semblent reconnaître les visages humains et réagir à ceux-ci.
Des chercheurs de l’Université de Lancaster en Angleterre ont projeté des motifs lumineux à travers l’utérus de femmes enceintes et ont observé les réactions des bébés à naître. Ils ont découvert que les enfants dans leur 3ème trimestre tournent la tête et réagissent à la vision de trois points lumineux représentant les yeux et la bouche d’une personne. Par contre, ils n’ont pas réagi lorsque les 3 points étaient inversés et ne ressemblaient plus à un visage.
Les chercheurs ont écrit : « Nous savons que les bébés humains à leur naissance, préfèrent entrer en relation avec des stimuli ressemblant à des visages, plutôt qu’avec tout autre type de stimulus, quand les différentes sortes de stimuli leur sont présentés ensemble » [...]
Lire la suiteUne nouvelle étude découvre qu’il est possible que les enfants à naître puissent ressentir la douleur au cours des trois premiers mois de grossesse
La science serait-elle en train de découvrir que ce bébé peut ressentir une douleur pouvant être intense ?
Par Cassy Fiano (liveActionNews) traduit par Campagne Québec-Vie
Au cours des dernières décennies, les avancées de la médecine ont fortement touché l’industrie de l’avortement. Les ultrasons permettent aux mères de voir leur enfant avant qu’il ne naisse; l’amélioration des connaissances dans le domaine de l’embryon a permis une meilleure compréhension de l’humanité de l’enfant à naître.
Les découvertes sur la douleur fœtale ont très fortement perturbé le soutien aux avortements violents, dits de « dilatation et extraction », à partir du second trimestre (dont on peut prendre connaissance dans la vidéo ci-dessous, avec l’ancien praticien en avortements, le docteur Anthony Levatino).
Lire la suiteLa science enseigne que la vie commence au moment de la fécondation
Sarah Terzo (LiveActionNews) - traduction de Campagne Québec-Vie
La question centrale dans le débat sur l’avortement est la suivante : Quand commence la vie?
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Représentation artistique en métal d'une structure double hélice d'ADN. |
La science enseigne sans réserve que la vie commence au moment de la conception. Un nouvel organisme existe dès le moment de la fécondation alors qu’il n’existait pas auparavant. Ce nouvel organisme possède son propre ADN, distinct de celui du père et de la mère, c’est à dire qu’il s’agit là d’une nouvelle personne unique. En grandissant, l’embryon développe un cœur qui bat (22 jours après sa conception), son propre système sanguin et ses propres organes. Dès le moment de la fécondation, un nouvel organisme commence à vivre et va grandir aussi longtemps qu’on lui fournisse la nourriture dont il a besoin et que sa vie ne soit pas arrêtée par un acte violent ou par une maladie.
Le nouvel organisme est humain car il contient de l’ADN humain.
La progéniture de deux membres de la même espèce est toujours le même type de créature que ses parents. Deux chiens ne donneront jamais naissance à un chat; l’œuf d’un poisson ne produira jamais de serpent. Donc, selon les lois de la nature, l’enfant dans le sein de sa mère est humain.
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