Les complications des avortements chimiques doublées : les avortements à domicile sont soupçonnés d’en être la cause
Par Jeanne Smits (Réinformation.TV) — Photo : Pexels
Une étude universitaire suédoise de grande envergure sur les avortements chimiques révèle une forte augmentation des complications liées à cette procédure. Elles ont doublé en l’espace de six ans entre 2008 et 2015. Si l’étude publiée dans BMC Women’s Health n’apporte pas de certitude sur la cause de cette évolution, ses auteurs estiment qu’elle pourrait bien être liée au nombre croissant d’avortements médicaux désormais pratiqués à domicile plutôt que dans un environnement hospitalier.
Le taux de complications est passé de 4,2 % en 2008 à 8,2 % en 2015 pour les avortements par RU 486 au cours des 12 premières semaines de gestation.
L’étude réalisée en Suède s’est intéressée à toutes les femmes ayant eu recours à cette procédure en passant par l’hôpital Skaraborg : 4.945 avortements au total. En Suède, la procédure officielle pousse les médecins à recommander aux femmes d’absorber les « médicaments » abortifs (le professeur Jérôme Lejeune parlait plutôt de « pesticides anti-humains ») à la maison et surtout, d’en attendre les effets à domicile, là encore sans surveillance médicale.
Lire la suiteContraception hormonale chez la femme enceinte, danger de leucémie pour l’enfant
Par Jean-Pierre Dickès (Medias-Presse.info) — Pxhere
Voilà une étude qui vient d’être publiée par la revue médicale internationale The Lancet Oncology qui va faire du bruit dans le landernau médical et plus encore si les médias politiquement corrects veulent faire un effort de vérité ; eux qui depuis toujours ont affirmé que la pilule était sans danger. On sait que c’est faux. Difficile de faire son mea culpa.
La contraception hormonale a pour but de bloquer l’ovulation. Ce peut être des contraceptifs oraux, des injections retard, des patchs, des implants ou des anneaux vaginaux.
Des chercheurs danois ont suivi médicalement 1.185.157 enfants nés entre 1996 et 2014. Ils ont fait un classement des enfants selon qu’ils sont nés de femmes n’ayant pas eu de contraception, de femmes qui l’ont utilisée trois mois et aussi un mois avant la grossesse (y compris celles qui l’ont utilisée sans savoir qu’elles étaient enceintes).
Lire la suiteBeaucoup d'enfants se tournent vers le transgenrisme par contagion sociale
Par Patrice Hans-Perrier (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : The Federalist
C’est ce que révèle une étude produite par un professeur de l’Université Brown qui qualifie la situation d’épidémique.
Les résultats de cette étude sans précédent ont été rapidement retirés du fil des communiqués de presse de l'université après qu'un activiste transgenre ait déclenché une controverse autour de l'affaire. Le journal universitaire qui avait accepté de publier les résultats de l'étude va jusqu'à remettre en cause la validité des constats qui y sont exposés.
Tout cela illustre à merveille la force de frappe des lobbies LGBT+ dans un contexte où la rectitude politique s'est même installée au sein des départements de recherche en santé. Il faut dire que les résultats de cette étude ont de quoi perturber le plan de match des activistes au service des idéologies du genre.
Un effet de contagion sociale
En effet, l'auteur de l'étude constate que « l'épidémie de dysphorie de genre » qui se répand à la vitesse de l'éclair parmi les adolescents et les jeunes adultes pourrait bien être le fruit d'une contagion sociale. L'étude expose que ce phénomène pourrait être causé par le fait d'avoir des amis qui s'identifient à la communauté LGBT ou par l'influence des politiques identitaires partagées par la culture de groupe, tout cela sans oublier l'augmentation vertigineuse de l'usage d'Internet chez les jeunes.
C'est la journaliste Joy Pullmann, dans un article intitulé « Explosive Ivy League Study Repressed For Finding Transgender Kids May Be A Social Contagion », qui tire sur la sonnette d'alarme. Cette dernière souligne qu'une pétition a été lancée par un groupe de parents et de citoyens motivés par l'objectivité afin d'éviter que cette étude passe sous le rouleau compresseur de la censure.
Une pétition soutient le professeur
La pétition en question utilise des données statistiques qui portent sur les cas de signalement des symptômes de la dysphorie de genre, ou perturbation au niveau de l'identité, qui ont été compilées au Royaume-Uni. On y expose, aussi, des données qui illustrent l'augmentation rapide des centres de traitements pour les enfants diagnostiqués transgenres, un phénomène qui est observable des deux côtés de l'Atlantique.
La même pétition souligne que « l'étude en question tient compte de plusieurs signalements parentaux qui mettent le doigt sur un phénomène important, à savoir qu'une multitude d'adolescents, principalement des filles, n'ayant pas d'antécédents en matière de dysphorie, demandent qu'on leur procure des interventions médicales irréversibles, lesquelles pourront potentiellement affecter leur fertilité ou leurs capacités sexuelles dans le futur ».
Les adolescents transgenres sont influencés par internet et sujets aux troubles mentaux, établit une étude
Par Matthieu Lenoir (Réinformation.TV)
Les adolescents qui « décident » de changer de sexe le font majoritairement sous l’influence d’internet et de « groupes d’amis » qui s’identifient comme transgenres. C’est ce que révèle une nouvelle étude, qui déchaîne les critiques des militants du relativisme sexuel et de la destruction des identités naturelles. Plus encore : le travail mené par Lisa Littman, professeur assistante de sciences du comportement à la Brown University de Providence au Rhode Island, publiée par PLoS One, établit aussi que la plupart des jeunes gens qui se qualifient de transgenres ont au préalable été diagnostiqués comme souffrant de troubles mentaux. Leur choix accentue leur isolement. L’étude a été censurée par la Brown University à la suite de pressions du lobby transsexuel.
Les adolescents devenus transgenres, gros consommateurs d’internet et de médias sociaux
Cette étude, qui a concerné 256 familles et s’est concentrée sur des adolescents majoritairement de sexe féminin, a relevé que 87 % des jeunes personnes notifiées comme transgenres par leurs parents avaient effectué leur « coming out » après avoir consacré un temps croissant à visionner des sites internet et des médias sociaux, avec des groupes d’amis dominés par des individus souhaitant changer de sexe ou l’ayant fait. La plupart des adolescents qui ont fini par se qualifier de transgenres ont enregistré par la suite une forte hausse de popularité parmi leurs pairs.
Lire la suiteUn organisme du gouvernement américain achète des parties de bébés avortés fraîches
Par Calvin Freiburger — traduit par Campagne Québec-Vie — Source de la photo : Flickr
Silver Spring, Maryland, 7 août 2018 (LifeSiteNews) — Les dirigeants pro-vie sont scandalisés par les révélations qui affirment que le gouvernement fédéral continue d'utiliser des tissus humains, provenant d’avortements, dans des expériences à buts médicaux, selon des documents donnés à la connaissance du public par CNS News.
Un note datant du 13 juin 2018 de l’Administration des aliments et médicaments des États-Unis [Food and Drug Administration (FDA)] a annoncé que l'agence a donné un contrat de 15 900$ à Advanced Bioscience Resources, Inc. (ABR), une agence de procuration de tissu fœtal, dans le but d’acheter des « tissus pour souris humanisées. » Le contrat devrait durer du 15 juillet 2018 au 14 juillet 2019.
C’est l’un des huit contrats signés par la FDA avec ABR depuis 2012, selon la General Services Administration des États-Unis, tous requérant « tissus fœtaux humains », « approvisionnement en tissus pour souris humanisées » ou « tissu humain ». La révélation est particulièrement préoccupante lorsque l’on considère le rôle d’ABR avec Planned Parenthood dans le scandale du géant de l’avortement en 2015 concernant la vente de pièces de bébé avortées.
Lire la suiteFabriquer des bébés sur mesure : la grande illusion
Par Campagne Québec-Vie — Juxtaposition d'articles de Reinformation.TV et de Jean-Pierre Dickès (Medias-Presse.info)
(Reinformation.TV) — L’édition de gènes pour créer des « bébés sur mesure » afin d’améliorer leur apparence ou leur intelligence pourrait être « moralement acceptable », selon le Conseil d’éthique du Royaume-Uni.
Dès lors qu’il devient possible de modifier l’ADN d’un embryon humain, pour corriger des maladies génétiques, survient aussi la possibilité d’améliorer l’intelligence ou de choisir la couleur des cheveux… Et bien, pour le Nuffield Council on Bioethics, créer des « bébés sur mesure » pour améliorer leur apparence ou leur intelligence, c’est tout à fait envisageable.
L’édition du génome consiste à changer l’ADN d’un embryon — c.-à-d. à découper et à remplacer des parties du code génétique. Selon la technique, qui n’est pas autorisée au Royaume-Uni, l’embryon modifié est ensuite implanté dans l’utérus. Selon la présidente de ce groupe de travail, cette « révision du génome pourrait être moralement acceptable ».
La question clé qui doit demeurer dans l’édition du génome est celle du bien-être de la future personne… Tout le reste est littérature.
Lire la suiteHommes et femmes inégaux devant les traitements de cancers
Par Jean-Pierre Dickès (Medias-Presse.info)
L’immunothérapie connaît depuis quelques années un essor incroyable en matière de traitement des cancers. De quoi s’agit-il ? La chimiothérapie classique visait à détruire les cellules jeunes des cancers. Ce faisant, toutes les cellules jeunes de l’organisme étaient atteintes. Un des effets les plus connus est la perte des cheveux par l’absence de renouvellement des cellules du bulbe pileux.
On sait maintenant que les cellules cancéreuses portent et diffusent des antigènes. L’idée est de produire des anticorps contre ces antigènes et par-là détruire les cellules. On parle de biotraitements dans la mesure où les médicaments ne s’adressent qu’à des produits existant eux-mêmes dans les organismes. Quasiment presque tous les cancers bénéficient désormais de ce type de traitements appelés « anti-TNF ». Certains résultats sont très spectaculaires, y compris dans les cancers généralisés et nous nous en réjouissons tous. Certains de ces malades devraient être décédés depuis longtemps alors qu’ils mènent une vie normale. La survie face aux cancers solides s’est améliorée considérablement en 2017.
De tels traitements reposent sur la génétique ; or le génome n’est pas le même selon le sexe. Par exemple un traitement de cette nature sera en général plus efficace (et rapide) chez 80 % des femmes et 20 % des hommes. En d’autres termes, il y a une différence d’efficacité selon le sexe ; celle-ci étant liée aux points biologiques de contrôle immunitaire (immunocheckpoints). Les effets positifs sont très favorables aux femmes.
Lire la suiteVidéo : Des jumeaux en pleurs se réconfortent après la naissance
Les frères jumeaux Weston et Caleb Lyman, peu de temps après leur naissance.
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Dane Lyman/Facebook
Nous savons tous que les jumeaux créent des liens dans le ventre de leur mère, et que ces liens peuvent perdurer toute leur vie. Une paire de jumeaux nous montre à quel point cette connexion de « jumeau à jumeau » peut être forte et que l’humain est un être social, et ce, bien avant la naissance.
Weston et Caleb Lyman venaient tout juste de naître lorsque leur père Dane a enregistré un moment charmant entre les deux bébés, après que ces derniers aient été séparés durant l’accouchement. Comme n’importe quel nouveau-né, les deux petits criaient, mais ils étaient en bonne santé et l’accouchement s’était bien déroulé. Lorsque les deux frères ont été réunis à nouveau, ils se sont instantanément calmés.
Dane Lyman raconte au News Center Maine : « Tout de suite après l’accouchement, j’ai suivi les garçons pour découvrir leur taille et leur poids. C’est à ce moment que j’ai pu capturer la scène ; c’était l’une des plus belles choses à regarder et je suis si heureux d’avoir eu la chance de la filmer. »
Lire la suiteDes médecins démolissent une étude célébrée des militants proavortement
Par Bradley Mattes (LifeSiteNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Le 19 avril 2018 (Life Issues Institute) — L’avortement légal s’est construit sur des mensonges flagrants, des vérités tronquées et des suppositions bâclées.
On connaît celle-ci : « Les lois pro-vie tuent des femmes ».
Une étude clé, sur laquelle repose cette blâmable allégation se révèle gravement erronée, contenant de sérieuses erreurs et arrivant à des conclusions que ses données ne soutiennent pas.
Son auteure principale est Marian MacDorman, du Maryland Population Research Center (Centre de recherche sur la population du Maryland). Le MPRC a un penchant extrême en faveur de l’avortement. Il s’oppose à l’interdiction de l’avortement sélectif et préconise plutôt des messages de masse ainsi que d’autres mesures pour aborder les graves inégalités des sexes.
L’étude MacDorman s’est concentrée sur le taux de mortalité maternelle dans l’état du Texas. Elle a découvert une augmentation dramatique de décès liés aux grossesses entre 2010 et 2012, comparée à des chiffres relativement stables au cours de la décennie précédente. Cette augmentation suivait la fermeture de nombreux centres d’avortement, suite à une législation pro-vie exigeant que ces établissements satisfassent aux normes chirurgicales ambulatoires et accordant aux avorteurs des privilèges d’admission dans un hôpital avoisinant.
Lire la suiteEvolution, vraiment ? Une étude génétique d’envergure révélerait que 90 % des espèces animales sont apparues en même temps
Par reinformation.tv
Pour les tenants de la théorie de l’évolution, c’est un mauvais coup ou, à tout le moins, une énigme. L’étude de l’ADN mitochondrial dans le cadre d’une recherche génétique de grande envergure vient de révéler que 90 % des animaux, ou plus exactement 9 espèces animales sur 10 sont apparus sur Terre à peu près en même temps que l’homme, il y a 100 000 ou 200 000 ans. L’un des principaux auteurs, David Thaler, généticien à l’université de Bâle, reconnaît que la conclusion de sa recherche est « très surprenante ». « Je l’ai combattue autant que je l’ai pu », avoue-t-il. Pourquoi ? Parce qu’elle ne « colle » pas avec les faux dogmes obligatoires de ce qui demeure une théorie.
Avec son collègue Mark Stoeckle de la Rockefeller Université, il a exprimé son étonnement devant plusieurs faits constatés à travers ses analyses de cinq millions de « codes-barres » d’ADN mitochondrial de 100 000 espèces actuellement présentes dans différentes régions du globe terrestre. D’une part, ils ont constaté que les variations « neutres » — les petites variations d’ADN qui se succèdent au fil des générations — sont beaucoup moins fréquentes que « prévu » par les évolutionnistes. Et ce quel que soit le nombre d’individus que comptent aujourd’hui lesdites espèces.
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