Combattez le programme anti-vie : diffusez cette vidéo rare et étonnante sur l’enfant à naître
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie
25 août 2021 (LifeSiteNews) — Nous sommes maintenant au summum d’une attaque mondiale de type Goliath contre la vie et la fertilité ; c’est pourquoi il est temps de lutter pour la vie avec toutes les « pierres » à notre disposition. Les séquences vidéo montrant l’être humain à naître dans ses moindres détails sont l’une de ces pierres ─ une pierre qui n’amène pas la destruction, mais la préservation de la vie.
The Biology of Prenatal Development (Biologie du développement prénatal), que le Père Frank Pavone, directeur national de Priests for Life (Prêtres pour la vie), a qualifié de « vidéographie la plus vivante, la plus puissante et la plus saisissante qui soit sur l’enfant à naître », en est un excellent exemple.
Dave Andrusko, du National Right to Life News, a déclaré que ce documentaire primé du National Geographic « est si beau, si impressionnant, qu’il vous coupe presque le souffle ».
Bien que le film soit longtemps resté dans l’ombre, ses séquences vidéo du bébé à naître, qui capturent de façon saisissante même les battements de son cœur embryonnaire rouge vif, visible à travers la peau transparente, demeurent à la fine pointe de l’imagerie fœtale. Le documentaire a été filmé grâce à une technique rare, l’embryoscopie, qui fait appel à une caméra minuscule de la taille d’une pointe de stylo.
Le documentaire capture d’étonnantes séquences en couleur semaine après semaine, de 4,5 semaines à 5 mois, après quoi il passe aux images échographiques. Le film montre systématiquement des images vidéo de 4,5 semaines de gestation à 12 semaines, période au cours de laquelle la grande majorité des avortements sont pratiqués. Le CDC a indiqué en 2018 que 92,2 % des avortements étaient pratiqués dans les 13 premières semaines de gestation.
Lire la suiteUn ancien vice-président de Pfizer : les vaccins covid présentent un « risque grave » d’infertilité pour les femmes
Par Celeste McGovern — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : shotprime studio/AdobeStock
(LifeSiteNews) — Les scientifiques savent depuis près de dix ans que les nanoparticules lipidiques, comme celles actuellement utilisées dans les tout nouveaux vaccins COVID à ARNm, s’accumulent dans les ovaires et sont potentiellement toxiques pour la santé reproductive, a déclaré un ancien vice-président et chercheur principal chez Pfizer lors d’une conférence organisée jeudi par LifeSiteNews sur les dangers des vaccins COVID pour la fertilité.
« On ne vous dit pas la vérité », a déclaré Michael Yeadon, ancien vice-président de Pfizer et directeur scientifique au niveau mondial pour la pharmacologie et la toxicologie respiratoires, qui est maintenant le conseiller scientifique en chef de la Fondation Truth for Health. « En y réfléchissant, j’essaie d’imaginer que je m’adresse à mes propres filles, qui sont de jeunes adultes, pour lesquelles je serais très inquiet si elles recevaient ces vaccins. »
Yeadon a cité des études datant de 2012 qui mettent en garde contre les dangers potentiels pour la reproduction des nanoparticules lipidiques qui sont utilisées dans les injections COVID.
Les vaccins à ARNm de Moderna et de Pfizer utilisent tous deux des nanoparticules lipidiques ou des lipoprotéines spécialisées pour transporter leur principal ingrédient ─ une protéine ARNm instable qui amène les cellules à produire la fameuse protéine de pointe du coronavirus et à déclencher une réponse immunitaire. Ce sont ces molécules qui ont eu besoin de températures extrêmement basses pour préserver la stabilité du lipide enveloppant le fragile ARNm.
Accumulation dans les organes reproducteurs
Des chercheurs allemands ont signalé dans leur article publié il y a neuf ans, « Accumulation of nanocarriers in the ovary: A neglected toxicity risk ? », qu’il existe un « risque potentiel de toxicité de tous les systèmes d’administration de médicaments à l’échelle nanométrique » et une accumulation de différentes molécules porteuses microscopiques dans les ovaires des rongeurs. Les chercheurs ont injecté des lipides « nanoporteurs », dont certains contenaient un ingrédient que l’on trouve aussi dans les vaccins COVID à ARNm de Pfizer et Moderna : le polyéthylène glycol.
Lire la suiteNouvelle étude : Les mesures gouvernementales contre la « pandémie » de covid-19 au Canada sont responsables de milliers de décès...
Le Pr Denis Rancourt.
Par Guy Boulianne (Guy Boulianne)
J’ai reçu aujourd’hui même — par courriel — une autre étude qui démontre qu’il n’y a eu aucune pandémie au Canada en 2020. Cette nouvelle étude a été préparée par Pr Denis Rancourt, Dr Marine Baudin et Dr Jérémie Mercier. Je partage avec vous la version courte telle que je l’ai reçue. Vous pouvez aussi la télécharger ci-dessous. La version intégrale peut être consultée sur le site Web du Pr Denis Rancourt.
Lundi le 9 août 2021
Chers amis, collègues, scientifiques, lanceurs d’alerte et citoyens,
Nous venons de publier avec Jérémie Mercier et Denis Rancourt un nouvel article démontrant qu’aucune pandémie n’a eu lieu au cours de la dernière décennie au Canada, y compris en 2020.
L’article est accessible au lien suivant : https://denisrancourt.ca/entries.php?id=104.
Veuillez trouver ci-dessous (version courte) et en pièce jointe (version longue) le communiqué de presse relatif à cette étude.
N’hésitez pas à partager nos travaux autour de vous.
Contacts presse :
Marine Baudin : [email protected]
Jérémie Mercier : [email protected]
Denis Rancourt : [email protected]
Les réponses gouvernementales à une pandémie de COVID-19 inexistante au Canada sont responsables de milliers de décès chez les personnes âgées et chez les jeunes hommes en 2020
Un article scientifique écrit par Pr Denis Rancourt, Dr Marine Baudin and Dr Jérémie Mercier publié sur denisrancourt.ca démontre après analyse de la mortalité toutes causes confondues au Canada depuis 2010 (chiffres de StatCan) que :
- Il n’y a eu aucune pandémie au Canada en 2020.
- Un « pic-covid » d’environ 12 000 morts est arrivé tardivement, à un moment jamais vu dans l’histoire de l’épidémiologie canadienne (maximum du pic à fin avril 2020). Ce « pic-covid », présent dans certaines juridictions de moyenne latitude de l’hémisphère Nord (mais pas toutes et avec des intensités très variables d’une juridiction à l’autre) ne peut pas être simplement une épidémie, et selon l’hypothèse la plus probable a été généré par les mesures politiques et médicales consécutives à la déclaration de pandémie par l’OMS le 11 mars 2020.
- Les mesures politiques mises en place supposément pour juguler la propagation du SARS-CoV-2, le virus à l’origine du COVID-19, ont été responsables, selon l’étude, d’une accélération de la mortalité des plus de 85 ans de mars à mai 2020 et d’une mortalité inédite (environ 2 000 morts en plus) des jeunes hommes canadiens (moins de 45 ans) à l’été 2020.
La médiatisation du COVID-19 depuis près d’un an et demi est en décalage total avec la réalité épidémiologique observée. L’importance de cette maladie sur la mortalité des Canadiens est exagérée, alors que l’impact sur la mortalité des mesures politiques mises en place supposément pour contrer cette maladie est catastrophique (environ 12 000 décès accélérés, principalement chez les plus de 85 ans, de mars à mai 2020 ; et mortalité inédite d’environ 2 000 jeunes hommes à l’été 2020). Au vu des résultats de leur étude, les auteurs appellent à revoir les nouvelles politiques « sanitaires » et à évaluer leurs conséquences dans la transparence et la responsabilité.
Lire la suiteLes manuels de biologie et les scientifiques sont d’accord : la vie humaine commence à la conception
Embryon de six semaines.
Paul Stark (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Sur le blogue scientifique de l’Idaho Statesman Journal, Susie Bodman (à l’époque rédactrice en chef du journal) répond à l’affirmation pro-vie selon laquelle la vie commence à la conception :
« En tant qu’étudiante en biologie, je suis désolée, mais la stipulation selon laquelle “la vie commence à la conception” me fait rire. Cependant, ce n’est pas pour les raisons que vous pourriez supposer ─ que je suis une scientifique-en-devenir complètement impie, une journaliste libérale stéréotypée, une pro-choix, une féministe crachant du feu ou tout ce que vous pourriez imaginer. »
« Cela vient de la façon dont les biologistes définissent la vie et la distinguent des choses inanimées, comme les pierres. Les organismes vivants sont caractérisés par leur capacité de croissance, de reproduction, d’activité fonctionnelle et de changement continu. »
« Une cellule unique est une forme de vie, et devinez ce que sont les œufs et les spermatozoïdes. Oui, c’est exact. Ce sont des cellules. »
« Si les ovules et les spermatozoïdes sont déjà vivants, alors, pour un biologiste, la vie existe avant la conception. »
« De plus, si ces ovules et ces spermatozoïdes sont fabriqués par vous, et que vous avez été conçu à un moment donné à partir d’ovules et de spermatozoïdes provenant d’un couple qui a été conçu à partir d’ovules et de spermatozoïdes, et ainsi de suite, tant que vous n’êtes pas à la fin d’une lignée éteinte, la vie est réellement continue jusqu’à ce que vous reveniez à la toute première cellule qui s’est formée sur Terre. »
« Par conséquent, la vie ne commence pas seulement à la conception. C’est plutôt la vie qui a commencé avec la première cellule, il y a 3,8 milliards d’années. »
Bodman passe vraiment, et de façon risible, à côté de l’essentiel. Lorsque nous disons « la vie commence à la conception », nous voulons dire (je pensais que c’était évident) que la vie d’un être humain individuel commence à la conception.
Lire la suiteUne découverte fascinante confirme que des cellules bénéfiques du fœtus migrent vers le cerveau et le corps de sa mère
Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : lookstudio/Freepik
Pendant la grossesse, la relation qui se développe entre une mère et son enfant à naître est unique et ne ressemble à aucun autre.
De nouvelles recherches scientifiques continuent de révéler comment ce lien spécial produit même des effets physiques durables longtemps après la naissance. Au 19e siècle, les scientifiques ont découvert pour la première fois que des cellules du bébé à naître restaient dans le corps de sa mère après la naissance ; mais de nouvelles recherches permettent de mieux comprendre ce phénomène.
Selon le World Magazine, les scientifiques examinent comment les cellules du bébé peuvent traverser le placenta, passer dans la circulation sanguine de la mère, puis atteindre son cerveau, son foie et d’autres organes.
Voici ce que rapporte l'article:
En septembre 2012, la revue PLOS ONE a publié une étude dans laquelle J. Lee Nelson, chercheur à l’Université de Washington, et son équipe ont examiné le cerveau de 59 femmes âgées décédées qui avaient donné naissance à des fils. Ils ont trouvé des chromosomes Y masculins laissés par les petits garçons dans 63 % des cerveaux maternels.
Il semble que ces cellules soient souvent un cadeau bénéfique du bébé. Les cellules fœtales peuvent fabriquer du collagène, qui facilite la cicatrisation des plaies, et elles peuvent réduire le risque de polyarthrite rhumatoïde chez la mère. Elles peuvent également contribuer à protéger la mère du cancer, a déclaré à USA Today V.K. Gadi, oncologue au Fred Hutchinson Cancer Research Center de Seattle.
L’échange de cellules a lieu dans les deux sens : des cellules de la mère traversent également le placenta pour atteindre le bébé, y compris des cellules qui proviennent de ses grossesses précédentes et de sa propre mère. Cela signifie que nous portons peut-être tous en nous des parts de nos frères et sœurs aînés et de nos grands-mères maternelles, a déclaré à NPR Amy Boddy, boursière postdoctorale à l’Arizona State University.
À l’origine, les chercheurs imputaient à ces cellules fœtales dévoyées des risques pour la santé de la mère, tels que la pré-éclampsie, une complication dangereuse de la grossesse, et des maladies auto-immunes.
Mais Nelson pense que les avantages l’emportent sur les problèmes potentiels : « C’est en fait une belle coopération ».
D’autres études fournissent des preuves scientifiques de la façon dont une mère et son enfant à naître développent des liens dans l’utérus. Comme LifeNews l’a rapporté en 2011, il existe de plus en plus de preuves que « lorsqu’une femme a un bébé, elle ne reçoit pas seulement un fils ou une fille [mais] une armée de cellules protectrices ─ des cadeaux de ses enfants qui resteront en elle et la défendront pour le reste de sa vie ».
Des chercheurs de l’université Tufts ont trouvé, dans une seule cuillerée à café du sang d’une femme enceinte, des dizaines de cellules de son bébé.
« Les cellules d’un enfant à naître resteront dans la mère pendant des décennies... essentiellement pour toujours », a déclaré un chercheur de l’université Thomas Jefferson. « De nombreuses preuves commencent maintenant à apparaître que ces cellules pourraient en fait réparer les tissus ».
Une étude portant sur une femme de Boston atteinte d’hépatite (et mère de cinq enfants) a révélé que des centaines de cellules fœtales étaient à l’œuvre pour « réparer » son foie.
Selon une étude, l’avortement augmente de 50 % le risque de décès prématuré chez la femme
Amy Sobie (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Ruben/AdobeStock
L’avortement légal contribue à une augmentation de cinquante pour cent du risque de décès prématuré chez les femmes, selon une nouvelle revue systématique de 989 études sur les décès associés aux dénouements de grossesse.
Comme l’indique la Figure 1, les taux de décès plus élevés que l’on observe après un avortement, commencent dans les 180 premiers jours qui suivent et se poursuivent pendant au moins dix ans.
Au cours des 180 premiers jours, le risque de décès, toutes causes confondues, est plus de deux fois plus élevé après un avortement qu’après un accouchement. Le risque de décès précoce reste élevé pendant au moins dix ans (figure 1).
Figure 1 : Taux de mortalité après un accouchement ou un avortement pendant les 180 premiers jours et chacune des années suivantes
L’avortement et la fausse-couche sont tous deux liés à des taux de mortalité élevés, mais l’effet est plus fortement associé aux avortements provoqués.
La plus grande partie des décès prématurés consécutifs à une interruption de grossesse sont dus à des suicides, des accidents, des homicides et certaines causes naturelles, comme les maladies circulatoires, dont on sait qu’elles sont associées au stress.
Les chercheurs ont conclu que ces résultats s’expliquent le mieux par les effets psychologiques de la perte de grossesse, qui contribuent à des niveaux élevés de stress, d’abus de substances, de prise de risques et de comportements autodestructeurs.
Lire la suiteDes femmes parlent de leurs traumatismes post-avortement tandis que les partisans de l’avortement en nient l’existence
Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : The VisualsYouNeed/AdobeStock
L’avortement est censé donner du pouvoir aux femmes, et pourtant, les femmes ayant subi un avortement révèlent de plus en plus souvent combien celui-ci les a affectées négativement. Après des années de déni, les médias donnent enfin la parole à ces femmes ─ mais non sans tenter de rassurer le public sur le fait que ces femmes ne regrettent pas réellement leur avortement. Un nouvel article de l’Australian Broadcasting Corporation (ABC) a dressé le portrait de certaines des femmes qui ont ressenti du chagrin après leur avortement. Pourtant, malgré le témoignage de ces femmes, c’est l’industrie de l’avortement qui prétend que le regret suivant l’avortement est rare, voire inexistant, que c’est une croyance plutôt.
« Je me demande si c’était mon fils »
Le premier témoignage est celui de Jessie O’Brien, qui est devenue enceinte de son deuxième enfant alors que son premier n’avait que 10 mois. « Passer d’un à deux si tôt était très intimidant. La naissance de mon premier enfant ne s’était pas très bien passée, donc cela restait dans mon esprit », a-t-elle déclaré à ABC, et elle a dit avoir décidé d’avorter. « C’est un processus assez physique ; vous êtes toujours très consciente que votre corps avorte un fœtus. C’est une période de règles sous stéroïdes, essentiellement ».
Mais aujourd’hui, O’Brien dit que même des années plus tard, elle a toujours du mal à accepter l’avortement. « Lorsque les symptômes physiques disparaissent, on se demande toujours : et si… », a-t-elle admis. « J’ai eu trois filles et je me demande toujours, au fond de moi, et si c’était mon fils… Je me demande si c’était un garçon. Mais je ne le saurai jamais. »
Le « regret... devient de plus en plus profond »
Une autre femme, Sarah, a déclaré à ABC qu’elle regrette carrément de plus en plus sa décision d’avorter au fur et à mesure que le temps passe. « [Je me suis sentie] soulagée au début, juste parce que les nausées matinales avaient disparu », a-t-elle dit. « Mais depuis, j’ai beaucoup de regrets et d’émotions. C’est une chose tellement complexe, c’est vraiment difficile à traduire en mots... c’est presque comme si plus le temps passe, plus c’est profond. »
Lire la suiteUne étude étendue sur dix ans montre que l’avortement légal ne diminue pas la mortalité maternelle
Par Laura Nicole (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :WavebreakMediaMicro/AdobeStock
Les restrictions à l’avortement n’entraînent pas une augmentation du nombre de femmes décédant en raison d’un manque d’avortements « sécures », selon une nouvelle étude mise en évidence par l’Association américaine des obstétriciens et gynécologues pro-vie (AAPLOG).
Dans un tweet récent, l’AAPLOG a cité une étude publiée dans la revue médicale BMJ Open, qui a examiné la mortalité maternelle dans 32 États mexicains sur une période de 10 ans, entre 2002 et 2011. L’étude a commencé par reconnaître l’argument pro-avortement selon lequel « le statut juridique de l’avortement est un facteur qui influence la santé maternelle. » Ils ont également reconnu l’argument courant selon lequel on pense que les restrictions à l’avortement entraînent la pratique d’« avortements clandestins, illégaux ou non sécurisés » conduisant à une augmentation des décès maternels.
Mais au lieu de découvrir des données à l’appui de cet argument, l’étude a plutôt constaté que « les États dotés d’une législation moins permissive sur l’avortement présentaient un TMM [taux de mortalité maternelle] plus faible (je souligne) que ceux où les lois sur l’avortement sont plus permissives ». En d’autres termes, les restrictions pro-vie sur l’avortement n’ont pas entraîné de taux de mortalité maternelle plus élevés.
Même dans les États mexicains qui ont adopté des amendements constitutionnels interdisant l’avortement, la santé des femmes n’a pas souffert : « Aucune preuve d’effet délétère ou bénéfique [sur la mortalité maternelle] n’a été trouvée pour la présence d’amendements constitutionnels protégeant les enfants à naître, sur une période d’étude de 4 ans ».
Pour être clairs, les auteurs de l’étude mexicaine n’ont pas trouvé de preuve que les restrictions à l’avortement étaient la cause de meilleurs résultats en termes de maternité. Des variables indépendantes entre les États expliquaient la plupart des différences de résultats. Comme l’indiquait le tweet de l’AAPLOG, « des facteurs non législatifs (alphabétisation des femmes, poids à la naissance, assistance qualifiée à la naissance, eau potable, etc.) étaient les principales causes » de la baisse des taux de mortalité maternelle dans les États où l’avortement était plus restrictif.
Lire la suiteLa CDC a gonflé les chiffres de mortalité du covid-19 par 1600 % !
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Pikist — Mise à jour : 24 février 2020
Vous avez peut-être vu la « vérification de faits » dont a fait l'objet le présent article, j'y réponds ici.
Le Center for Desease Control américain aurait gonflé les chiffres de mortalité du covid-19 aux États-Unis par 1600 %, notamment, rapporte The Gateway Pundit, grâce à la manipulation des règles d’enregistrement des décès, aux tests peu fiables, à l'enregistrement de cas de covid-19 non certifiés et autres absurdités :
- La CDC a admis que les tests PCR pouvaient donner un résultat positif quand la personne présentait les anticorps correspondant à une famille de virus causant le rhume commun… combien de gens n’ont-ils pas attrapé le rhume ?
- Notez également que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a récemment indiqué (le jour même de l’investiture de Biden) que les tests PCR n’étaient pas fiables (à cause du nombre exagéré de cycles d’amplification).
- Des protocoles utilisés pendant des décades ont été changés sans explication le 24 mars 2020, la CDC publiant le document NVSS COVID-19 Alert No. 2 instruisant les examinateurs médicaux, les procureurs et les médecins d’indiquer dans la Partie I du rapport de décès le covid-19 en tant que cause principale, indifféremment des autres causes, au lieu de l’inscrire dans la Partie II comme cause concurrente en présence de causes préexistantes.
- D’autre part, le 14 avril 2020, la CDC a adopté un règlement exclusif au covid-19, en violation à la loi fédérale, confiant la réglementation de la collecte de données au Council of State and Territorial Epidemiologists (CSTE), organisme à but non lucratif, qui avait publié un document le 5 avril 2020 intitulé Standardized surveillance case definition and national notification for 2019 novel coronavirus disease (COVID-19), qui devint donc la base de nouvelles réglementations le 14 avril, faisant compter les cas probables de covid-19 comme cas réels sans preuve définitive d’infection. De plus, le document en question permis de nouvelles règles pour la recherche des contacts permettant aux chercheurs de contacts d’exercer la médecine sans permis… refusant de surcroît de créer de nouvelles règles pour éviter qu’une même personne fût compter plusieurs fois.
Par conséquent, les chiffres officiels de la CDC sur la mortalité liée au covid-19 ont enflé d’au moins 1600 %. Tous les points énumérés ne sont qu’un simple résumé d’une étude, revue par les pairs, de l’Institute for Pure and Applied Knowledge (IPAK) et du Public Health Policy Initiative (PHPI).
Et au Québec ? Qu’en est-il de notre belle province ? Nous avons déjà un vague aperçu de méthodes semblables ― comme le fameux lien épidémiologique d’Arruda…
Aussi, si cela n’indique pas une incompétence crasse, cela cache une volonté d’employer une « crise » fabriquée de toute pièce dans un but précis.
Les « stéréotypes de genre » sont scientifiquement prouvés
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : AdobeStock
À quelle époque dégénérée vivons-nous, eut dit Dickens, pour que nous eussions besoin de débattre sur le fait que les hommes et les femmes ont des comportements spécifiques ? C’est une chose qui pour moi est évidente, mais si vous voulez trouver quelques arguments pour rajouter à votre panoplie dialectique, en voici quelques-uns basés sur des études scientifiques et expliqués par Virginie Vota dans une vidéo, sous laquelle on peut lire :
De nouvelles études scientifiques viennent confirmer le fait que les hommes et les femmes ont bien des personnalités différentes, et qu’il serait possible d’identifier un cerveau masculin ou féminin grâce à des tests. Or les résultats de ces recherches sont particulièrement intéressants en ce que ces différences se manifestent plus fortement dans des sociétés égalitaires et individualistes... Un étrange paradoxe qui ne plaira pas à la cause féministe. En effet, plus le pouvoir en place s’acharnerait à gommer les particularités inhérentes aux deux sexes, plus le comportement des individus correspondrait aux « stéréotypes de genre » tant décriés.
Quelle conclusion pouvons-nous tirer de tous ces éléments ?