Une femme s’écrie, alors qu’elle réalise que l’avorteur lui avait menti — « Attendez ! C’est un battement de cœur !? »
Par SaveTheStorks — Traduit par Campagne Québec-Vie — Fanette Rickert/Twenty20
Abby se rendait à l’avortoir pour la seconde fois en quatre mois. Combien de fois encore cela arrivera-t-il ?
Elle devait se rappeler sans cesse que c'était seulement « Un amas de cellules ». Que c’était tout simplement comme un autre rendez-vous. « Entrer, sortir. Amas de cellules. Tout le monde le fait. »
Elle conduisait en se répétant ce slogan comme elle l’avait fait pendant la semaine passée, à chaque fois qu’un doute entrait dans esprit. Comme elle marchait vers la clinique, quelqu’un tapota sur son épaule. Elle se retourna pour voir le sourire amical d’une femme. Elle semblait être d’un âge proche du sien, et, remarqua Abby, se tenait devant un grand autobus, sur le côté duquel elle pouvait lire : « Échographies et test de grossesses gratuits ! »
Une mère montre les photos de sa fille née à 21 semaines : mon bébé n’était pas un « amas de cellules »
Le bébé prématuré Madalyn
Par Becky Yeh (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Une mère montre une image de son bébé, une fille, née prématurément à vingt et une semaines, pour montrer l’humanité et la dignité inhérente d’un enfant dans le ventre de sa mère. L’image, mise sur Facebook par Save The Storks, atteste que l’enfant à naître n’est pas « un tas de cellules » ou « de tissus », mais un être humain unique. Bien que le bébé Madalyn n’ait vécu que deux heures après la naissance, sa vie a eu un sens et le temps que ses parents ont passé avec elle a été inestimable.
Tragiquement, l’industrie de l’avortement a déshumanisé l’enfant à naître dans le ventre de sa mère. La mère de Madalyn, Jennifer, écrit que la rhétorique poussée par Planned Parenthood et les centres d’avortement est « décourageante » parce que cela dévalorise la vie humaine :
Lire la suite« Selon Planned Parenthood, un bébé n’est pas véritablement une personne jusqu’à ce qu’il soit née et commence à respirer. D’après eux, l’avortement devrait être légal jusqu’à trente-six semaines après la conception ».
Il y a dix ans de cela, Jessica s'est presque fait avorter. Aujourd'hui mère et fils propagent une passion pour la vie
Bonne nouvelle : la clinique d'avortement dont il est question dans cet article va fermer ses portes incessamment. – N.D.E.
Par Rachel Leigh (Pregnancy Help News) traduit par Campagne Québec-Vie
Lorsque Jessica Ricke a mis les pieds dans un Women’s Choice Center en 2005, c’était dans l’intention de mettre fin à la vie de son enfant à naître au moyen de l’avortement.
Aujourd’hui, soit une douzaine d’années plus tard, Ricke est maintenant directrice du développement du centre, jouant un rôle clé dans l’obtention de 1,2 millions de dollars depuis octobre 2015, [somme] dont la majeure partie a été consacrée à l’achat d’une unité médicale mobile.
Bien sûr, la vie de Ricke aujourd’hui contraste beaucoup avec celle qu’elle vivait à 21 ans, alors qu’elle était célibataire et faisait face à une grossesse non planifiée.
« Je n’étais pas en relation avec le père de l’enfant, » a affirmé Ricke. « En ayant grandi dans la foi catholique et étant contre l’avortement, lorsque j’ai eu ma grossesse non planifiée, je me sentais apeurée et voulais régler le problème, toutefois en ignorant comment y procéder. J’ai donc regardé dans les Pages Jaunes pour un avortement. La première chose qui a capté mon attention fut l’annonce du Women’s Choice Center. »
Lire la suiteDes parents encouragent leur fille à choisir la vie, et son bébé est sauvé de l’avortement
Par (LiveActionNews) traduit par Campagne Québec-Vie
(SaveTheStorks) – 2013 fut l’année où ma vie se transforma pour toujours. J’avais 18 ans et je menais une « vie normale ». Je venais d’obtenir mon diplôme du secondaire et je vivais avec ma famille. J’avais deux boulots et un copain sympathique.
Un matin, je me levai afin de m’apprêter pour le travail et je ressentis des nausées. N’y prêtant pas beaucoup d’attention, je m’en allai au travail comme d’habitude. Tout au long de la journée, j’avais envie de manger des plats inhabituels et je souffrais de maux de tête. En rentrant à la maison, je m’arrêtai chez Walmart où j’achetai un test de grossesse. J’ai passé le test une fois à la maison.
J’attendis; deux petites lignes apparurent. J’étais enceinte. J’avais des nœuds dans l’estomac et je me mis à pleurer.
Je ne savais pas quoi faire. Je me débarrassai du test et me comportai comme si rien ne s’était passé. J’appelai mon copain et le rejoignis chez lui, là nous discutâmes de ma grossesse.
Lire la suiteUn bébé sauvé de l’avortement après que sa mère l’ait vu bouger sur l’échographie
Un bébé bien vivant
Par LiveActionNews traduit par Campagne Québec-Vie
Une absence de règles. Un test de grossesse maison donnant deux faibles lignes. Lorsque je découvris il y a quatre mois que j’étais enceinte, j’ai paniqué.
Je n’avais pas peur pour les mêmes raisons pour lesquelles une femme enceinte de 21 ans pourrait avoir des peurs. Oui je suis jeune, mais j’ai une relation d’amour, je suis financièrement stable, j’ai une famille qui est là pour moi et qui me supporte. Si j’avais peur, c’est que cette grossesse pouvait être dangereuse pour moi.
Il y a trois ans de cela, mon petit ami, Darren fut diagnostiqué avec le cancer des testicules. Le traitement par radiations, avec lequel on l’a soigné, lui a sauvé la vie, cependant ce traitement pouvait lui causer de sérieux problèmes pour avoir des enfants. Il a été prévenu que s’il venait à en avoir, qu’il pourrait naître avec des déformations et que la mère de cet enfant, pourrait être lésée par cette grossesse.
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Comment un groupe de jeunes avec une camionnette change le mouvement pro-vie
Par Kristen Walker de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
7 mars 2012 (LiveActionNews.org) - Le 13 mars, à Dallas, TX, une organisation dont vous n’avez probablement jamais entendu parler va révolutionner le mouvement pro-vie.
Tout a commencé avec un gamin de Philadelphie, un bus à New York, et une idée qui l’a amené un peu par hasard dans la ville où l’affaire Roe contre Wade a commencé. La ville où il espère que l'avortement va enfin trouver à qui parler.
A 23 ans, David Pomerantz ne ressemble pas à un militant pro-vie ou à un chrétien pratiquant. Il ressemble à un hippie végétalien avec une coiffure de rebelle. Et de fait, il est en quelque sorte un hippie végétalien avec une coiffure de rebelle. Si vous venez le voir dans son loft, au cœur du quartier industriel de Dallas, il vous offrira du thé fermenté avec du miel biologique. Vous pourrez vous détendre dans un fauteuil poire et parler d'art pendant qu'il surfe sur son Macbook, joue de la musique alternative et parle de Jésus.
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